阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, March 12, 2011

Mr le president Nicolas sarkozy zones humanitaires


Sarkozy souhaite des "zones humanitaires" pour "gérer les flux migratoires"
(AFP) – Il y a 1 jour

BRUXELLES — Le président Nicolas Sarkozy a réaffirmé vendredi à Bruxelles qu'il souhaitait la création de "zones humanitaires" en Afrique du Nord pour "gérer les flux migratoires" consécutifs aux révoltes arabes.

Selon le président Sarkozy, qui s'exprimait au cours d'une conférence de presse à l'issue d'un sommet des dirigeants européens sur la situation en Libye et dans la Méditerranée, les Vingt-sept se sont "mis d'accord sur le principe de zones humanitaires".

Selon M. Sarkozy, ces zones pourraient, "dans un premier temps", être installées "en Tunisie et en Egypte, mais nous souhaiterions qu'elles le soient rapidement en Libye pour traiter la question des dizaines de milliers de personnes déplacées".

"Si on veut que les révolutions arabes ne provoquent pas de peurs, il faut qu'avec franchise nous parlions des flux migratoires (...) On peut considérer qu'il y a 200.000 personnes déplacées, entre l'Egypte, la Libye et la Tunisie. Si on ne traite pas l'accueil de ces personnes déplacées, dans des conditions humaines et décentes, quelle va être leur tentation: elles n'auront pas d'autre choix que de traverser la Méditerranée", a-t-il mis en garde.

Or, "nous ne pouvons pas les accueillir dans ces conditions-là. Donc, il faut organiser des zones humanitaires", a-t-il insisté.

Selon lui, "ces zones devraient être gérées par les Nations unies" et "l'Europe devrait participer à leur financement et leur organisation".

"C'est la seule façon de gérer tranquillement la question des flux migratoires", a-t-il estimé, en ajoutant qu'il fallait "organiser des zones humanitaires décentes avec des écoles pour les enfants, avec des moyens sanitaires de manière à maîtriser cela".

Il a annoncé que les ministres européens de l'Intérieur et d'Afrique du Nord allaient se réunir "pour voir ce dont ils ont besoin" car "la politique migratoire doit évoluer et doit être maîtrisée des deux côtés".

"On va essayer de gérer ensemble. Profitons de cette crise pour jeter les bases non seulement d'une politique d'immigration européenne mais d'une politique d'immigration concertée entre pays de départ et pays d'arrivée", a-t-il dit.

Dans une déclaration adoptée à l'unanimité à l'issue de leur réunion, les dirigeants européens se sont contentés d'appeler "toutes les parties concernées à autoriser l'accès des organisations et acteurs humanitaires à tous les endroits où l'aide est nécessaire".

L'UE est "disposée à soutenir le travail" des humanitaires, ajoute le texte sans plus de précisions.

Copyright © 2011 AFP

L'Algérie plaide pour une refondation de l'Union pour la Méditerranée



[El Moudjahid] L'Algérie a appelé à une véritable refondation de l'Union pour la Méditerranée (UpM), dans une déclaration présentée hier, lors de la séance plénière de la 7ème réunion de l'Assemblée parlementaire de l'UpM

Les chefs d'Etat des pays arabes se sont réunis pour décider d'une no-fly zone en Libye


Le régime libyen a "perdu sa légitimité"
Les chefs d'Etat des pays arabes se sont réunis pour décider d'une no-fly zone en Libye.

A l'issue d'une réunion extraordinaire au Caire, la Ligue arabe a estimé samedi que le régime libyen avait "perdu sa légitimité" du fait des "violations dangereuses" commises contre son peuple. Dans ces conditions, elle a jugé nécessaire de coopérer avec le Conseil national de transition créé par l'opposition.

La Ligue arabe a aussi appelé le Conseil de sécurité de l'ONU à autoriser la mise en place d'une zone d'exclusion aérienne en Libye pour empêcher le régime d'utiliser son aviation dans la répression. Une telle opération nécessite des centaines d'avions pour interdire le survol aérien d'un territoire de près de 1,8 million de km2.

Les Européens divisés
Quant à savoir qui doit assumer la direction d'une telle zone, Amr Moussa, le secrétaire général de l'organisation paranabe a déclaré : "cela dépend de la décision du Conseil de sécurité (de l'ONU). L'ONU, la Ligue arabe, l'Union africaine, les Européens - tous devraient participer". L'Union européenne et les Etats-Unis ont évoqué vendredi la possibilité d'utiliser "toutes les options" contre le régime de Mouammar Kadhafi. Les Européens se sont montrés toutefois divisés, soulignant que toute intervention était conditionnée à "une nécessité démontrée, une base juridique claire et le soutien de la région".

Le colonel Kadhafi avait dépêché deux émissaires au Caire pour participer à la réunion après la défection du délégué libyen à la Ligue arabe qui avait annoncé qu'il rejoignait "la révolution", mais ils n'ont pas été autorisés à y prendre part. Selon les affirmations de son fils, Seif al-Islam Kadhafi, les troupes gouvernementales auraient déjà repris "90% du pays" et tout accord avec les insurgés serait exclu.

Un mandat de l'ONU" nécessaire" pour la France
Dans un premier temps, le président français Nicolas Sarkozy, n'avait pas exclu une action sans mandat de l'ONU, tout en la conditionnant à "des agressions massives par des moyens militaires sur des populations civiles, désarmées et non violentes". Ces premières affirmations ont toutefois été contredites par le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé, qui a déclaré samedi que la France défendait une position "très claire" quant à la nécessité d'un mandat de l'ONU comme préalable à toute opération militaire en Libye.

La France a été le premier Etat à reconnaître jeudi l'opposition comme seul représentant légitime de le Libye.

Soutenez Mr le President Nicolas Sarkozy, sauvez la Libye



Mr le president Nicolas Sarkozy a raison de vouloir intervenir en Libye

La France pourrait ainsi enfin retrouver un rôle international digne

la ligue arabe pour une zone d'exclusion aérienne Libyie


Libye : la ligue arabe pour une zone d'exclusion aérienne
La Ligue arabe s'est déclarée favorable à une zone d'exclusion aérienne en Libye et à des contacts avec le Conseil national de transition regroupant l'opposition, comme celle-ci le lui avait demandé. Sur place, l'un des fils de Kadhafi affirme que son camp a repris "90% du pays".

L'Europe rejoint l'échappé de Mr le president Nicolas Sarkozy


L'Europe rejoint l'échappé Sarkozy
PAR MATTHIEU VERRIER
LE TEMPS FORT
C'est tout Sarkozy, ça. Dans sa gestion sur le dossier libyen, il y a son activisme habituel. Il y a des raisons de politiques intérieures avec des sondages à redresser. Il y a une envie de retrouver une stature présidentielle en occupant le terrain international. Il y a le besoin de combler le retard à l'allumage accusé dans les révolutions tunisienne et égyptienne. Il y a enfin la stratégie du coup d'éclat permanent.

Alors, notre président s'est avancé sur le devant de la scène européenne dès jeudi soir à la veille d'un sommet des Vingt-Sept. Il a d'abord reconnu les opposants libyens du Conseil national de transition (CNT). Puis, avec le Premier ministre britannique, David Cameron, il s'est prononcé en faveur d'« actions ciblées ».
Résultat : les chefs d'État et de gouvernement se sont retrouvés hier à Bruxelles dans un climat de discorde. Les Allemands ont regretté des positions solitaires de Paris et Londres. Plusieurs pays ont émis des réserves sur l'opportunité de reconnaître si vite le CNT et sur l'éventualité d'une intervention armée. Et l'Europe a offert une nouvelle fois une cacophonie inaudible, qu'il a fallu harmoniser dans la douleur.
Nicolas Sarkozy exploite une faiblesse de l'Europe. Un talon d'Achille connu de tous mais sans remède. L'Union ne parvient pas à bâtir une diplomatie commune. La nomination en 2009 d'une haute représentante aux Affaires étrangères n'y a rien changé. Certes, Catherine Ashton était jusqu'alors inconnue sur la scène internationale et très peu expérimentée. Mais la difficulté tient surtout dans la nature même de l'Europe, qui est une somme d'intérêts nationaux plutôt qu'une communauté de visions internationales.
Les positions divergentes finissent souvent par se neutraliser. Même les crises ne soudent pas le continent. Le rêve, sûrement trop naïf, d'une voix unique pour l'Europe, se fracasse sur la plupart des dossiers. L'échappée est alors peut-être la seule solution pour amorcer un mouvement. Nicolas Sarkozy l'a expérimentée lorsque la France présidait le Conseil européen, au second semestre 2008, s'emparant ainsi du conflit russo-géorgien. Londres l'a fait aussi avec son plan de sauvetage des banques. Et le peloton a suivi.
Hier, l'Europe a moins avancé que Nicolas Sarkozy ne souhaitait. Elle a reconnu le CNT comme un « interlocuteur légitime », appelé Kadhafi à abandonner le pouvoir et étudié « toutes les options », à condition qu'elles soient acceptées par l'ONU et la Ligue arabe. Le président français est sorti du sommet satisfait, la chancelière allemande sceptique.
La stratégie de l'échappée brusque les partenaires et oblige à aboutir à des annonces parfois creuses ou suffisamment vagues pour assurer le consensus.
C'est tout Sarkozy, ça. Mais c'est aussi tout l'Europe.

Mr le president Nicolas sarkozy refondation nécessaire de l'Union pour la Méditerranée


L'UE prête à examiner "toutes les options" sur la Libye
L'Union européenne est prête à examiner toutes les options face à la crise libyenne, tout en restant très prudente sur d'éventuelles actions militaires.
Les dirigeants des Vingt-Sept réunis au sommet à Bruxelles ont condamné vendredi dans leur déclaration finale la "répression violente" du soulèvement libyen par le régime de Mouammar Kadhafi et estiment que la sécurité de la population civile doit être assurée "par tous les moyens nécessaires".

"Les Etats membres examineront tous les options nécessaires, pourvu qu'il y ait un besoin démontrable, une base juridique claire et un soutien régional", ajoutent-ils.

Autrement dit, une telle action n'est envisagée qu'avec un mandat des Nations unies et le soutien de la Ligue arabe.

Les Vingt-sept ne donnent aucune indication sur le type d'action qui pourrait être entreprise et l'idée d'une zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Libye, qui avait été initialement suggérée par Londres et Paris mais qui se heurte à de nombreuses réticences, ne semble plus du tout d'actualité.

"Nous avons clairement dit aux autorités libyennes que le recours à la force contre les citoyens doit s'arrêter", a cependant estimé le président du Conseil européen.

"Les responsables (de ces violences) devront faire face à de grave conséquences", a ajouté Herman Van Rompuy. "Nous suivons étroitement la situation et maintiendrons la pression."

Nicolas Sarkozy a déclaré lors d'une conférence de presse qu'il ne pouvait s'agir uniquement d'options diplomatiques.

Le président français s'était fait, à son arrivée, l'avocat de frappes "ciblées purement défensives" pour empêcher Mouammar Kadhafi d'utiliser des armes chimiques ou son aviation.

Le Premier ministre britannique David Cameron est sur une ligne proche de la France. "Si nous ne réglons pas le problème, le risque est de nouveau d'avoir un Etat paria à la frontière sud de l'Europe menaçant notre sécurité", a-t-il dit.

En revanche, des pays comme la Suède, l'Allemagne, l'Italie et les Etats d'Europe de l'Est sont beaucoup plus hésitants, voire franchement réticents, à l'égard d'une action militaire.

"Nous voulons tout faire pour réduire les souffrances du peuple libyen mais nous devons réfléchir soigneusement aux décisions que nous prenons afin qu'elles aboutissent à un résultat raisonnable", a ainsi dit la chancelière Angela Merkel.

Les Vingt-Sept demandent en revanche sans ambigüité le départ "immédiat" du colonel Kadhafi : "Son régime a perdu toute légitimité et n'est plus un interlocuteur pour l'UE", lit-on dans le communiqué final du sommet.

Le président du conseil italien, Silvio Berlusconi, a cependant jugé peu probable qu'on puisse convaincre le dirigeant libyen de quitter le pouvoir de son plein gré.

L'UE rappelle qu'elle a déjà pris des mesures contre les dirigeants libyens et leurs avoirs et affirme être prête à adopter d'autres sanctions.

Elle "salue" en revanche, "encourage" et considère comme un "interlocuteur politique" le Conseil national de transition (CNT) constitué par les opposants au régime de Mouammar Kadhafi et basé à Benghazi, dans l'est du pays.

Ce faisant, les Vingt-Sept vont moins loin que la France, qui est devenu jeudi le premier pays à reconnaître dans le CNT le représentant légitime des nouvelles autorités libyennes et entend échanger un ambassadeur avec elles.

"J'aimerais savoir avant tout ce qu'en pensent les pays de la région ainsi que la Ligue arabe, afin que nous, en Europe, nous formions une opinion définitive, en préalable à quoi que ce soit d'autre", avait déclaré le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle.

Soucieux d'impliquer les pays du sud de la Méditerranée dans toute solution à la crise libyenne, les Vingt-Sept lancent un appel à la tenue rapide d'un sommet tripartite entre l'UE, la Ligue arabe et l'Union africaine.

Ce sommet tripartite aura aussi pour objet de parler de la "refondation nécessaire de l'Union pour la Méditerranée", a expliqué Nicolas Sarkozy, artisan au début de son quinquennat de la création de cette UPM aujourd'hui en panne.

Les Vingt-Sept demandent à toutes les parties concernées de laisser les organisations humanitaires accéder aux zones où des dizaines de milliers de personnes déplacées ont afflué.

L'UE ne précise pas où se trouveront ces zones humanitaires mais selon Nicolas Sarkozy elles seront probablement situées dans un premier temps en Tunisie et en Egypte, puis en Libye.

"Il faut qu'il y ait dans ces zones humanitaires des moyens sanitaires, des écoles", a ajouté le président français.

L'UE émet enfin le voeu d'un renforcement de la coopération économique et en matière de contrôle des flux migratoires avec les pays de la région. Les Vingt-Sept ont d'ailleurs décidé de convoquer rapidement un conseil des ministres de l'Intérieur pour parler coordination de la politique migratoire européenne
Par Reuters

Le président français, Nicolas Sarkozy Politique européenne


L'Europe n'a pas les moyens d'accueillir les migratoires après la crise en Afrique du Nord (Sarkozy)
Le président français, Nicolas Sarkozy, a reconnu vendredi à Bruxelles que l'Union européenne (UE) n'avait pas les moyens d'accueillir l'afflux massif de réfugiés, suite aux bouleversements survenus en Afrique du Nord.
Lors d'une conférence de presse à l'issue d'un sommet extraordinaire de l'UE sur la situation libyenne et les développements en Afrique du Nord, il a proposé l'accès aussi tôt que possible des agences et opérateurs humanitaires dans des zones précises pour y accueillir des populations déplacées. Ces zones seront dans un premier temps en Egypte et en Tunisie, mais ensuite en Libye, elles doivent être pourvues d'équipements sanitaires et d'écoles, a précisé M. Sarkozy.

Selon lui, c'est "le seul moyen à freiner le flux migratoire qui risque de déferler sur l'Europe et nous n'avons pas les moyens de les accueillir. Nous sommes bien entendu prêts à accueillir leurs hommes d'affaires et étudiants, et à les former".

Le Conseil européen a demandé à l'unanimité le départ du leader libyen Mouammar Kadhafi et considère le Conseil national de transition basé à Benghazi, dans l'est libyen, comme un interlocuteur valable, a dit M. Sarkozy, estimant que ce n'était que le début d'un vaste mouvement qui touchera tous les pays du Moyen-Orient et que peu de pays connaîtraient une situation aussi tragique qu'en Libye.

Toujours selon M. Sarkozy, sur proposition de la France, l'UE tiendra une conférence tripartite avec la Ligue arabe et l'Union africaine pour trouver une solution à la crise libyenne.

Il a terminé sa conférence de presse en saluant la décision du roi du Maroc d'introduire d'importantes réformes constitutionnelles dans son royaume.

Mr le Président Nicolas Sarkozy Mr le Président abdelaziz bouteflika avoir un avenir commun 2006

Le chef de l'état Français Nicolas Sarkozy zones humanitaires Afrique du Nord



Sarkozy souhaite des "zones humanitaires" pour "gérer les flux migratoires"
(AFP) – Il y a 11 heures

BRUXELLES — Le président Nicolas Sarkozy a réaffirmé vendredi à Bruxelles qu'il souhaitait la création de "zones humanitaires" en Afrique du Nord pour "gérer les flux migratoires" consécutifs aux révoltes arabes.

Selon le président Sarkozy, qui s'exprimait au cours d'une conférence de presse à l'issue d'un sommet des dirigeants européens sur la situation en Libye et dans la Méditerranée, les Vingt-sept se sont "mis d'accord sur le principe de zones humanitaires".

Selon M. Sarkozy, ces zones pourraient, "dans un premier temps", être installées "en Tunisie et en Egypte, mais nous souhaiterions qu'elles le soient rapidement en Libye pour traiter la question des dizaines de milliers de personnes déplacées".

"Si on veut que les révolutions arabes ne provoquent pas de peurs, il faut qu'avec franchise nous parlions des flux migratoires (...) On peut considérer qu'il y a 200.000 personnes déplacées, entre l'Egypte, la Libye et la Tunisie. Si on ne traite pas l'accueil de ces personnes déplacées, dans des conditions humaines et décentes, quelle va être leur tentation: elles n'auront pas d'autre choix que de traverser la Méditerranée", a-t-il mis en garde.

Or, "nous ne pouvons pas les accueillir dans ces conditions-là. Donc, il faut organiser des zones humanitaires", a-t-il insisté.

Selon lui, "ces zones devraient être gérées par les Nations unies" et "l'Europe devrait participer à leur financement et leur organisation".

"C'est la seule façon de gérer tranquillement la question des flux migratoires", a-t-il estimé, en ajoutant qu'il fallait "organiser des zones humanitaires décentes avec des écoles pour les enfants, avec des moyens sanitaires de manière à maîtriser cela".

Il a annoncé que les ministres européens de l'Intérieur et d'Afrique du Nord allaient se réunir "pour voir ce dont ils ont besoin" car "la politique migratoire doit évoluer et doit être maîtrisée des deux côtés".

"On va essayer de gérer ensemble. Profitons de cette crise pour jeter les bases non seulement d'une politique d'immigration européenne mais d'une politique d'immigration concertée entre pays de départ et pays d'arrivée", a-t-il dit.

Dans une déclaration adoptée à l'unanimité à l'issue de leur réunion, les dirigeants européens se sont contentés d'appeler "toutes les parties concernées à autoriser l'accès des organisations et acteurs humanitaires à tous les endroits où l'aide est nécessaire".

L'UE est "disposée à soutenir le travail" des humanitaires, ajoute le texte sans plus de précisions.

Copyright © 2011 AFP