阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Monday, November 30, 2009

Maxime le Forestier Mon Frère youtube


Union pour la Méditerranée




La déclaration commune des 43 États
La nouvelle institution doit prendre son essor sur six projets mobilisateurs : la dépollution de la Méditerranée, les autoroutes maritimes et terrestres, la protection civile pour répondre aux catastrophes naturelles, une université euro-méditerranéenne, l’énergie solaire et une « initiative méditerranéenne de développement des affaires ». Son organisation est fondée sur une coprésidence entre un dirigeant de la rive nord, désigné selon les mécanismes de représentation en vigueur au sein de l’UE, et un dirigeant de la rive sud, désigné par consensus dans les États concernés. Le président égyptien et le président français sont les deux premiers coprésidents mais cette décision fait débat. L'omission de toute référence à la démocratie et aux droits de l'homme dans la déclaration marque une régression par rapport aux objectifs du Processus de Barcelone.
Les questions en suspens
Le financement de l’organisation :
Le budget de l’organisation doit être assuré par le lancement du fonds Inframed par la Caisse des dépôts française et la Cassa depositi e prestiti italienne, qui a pour objectif d’atteindre un montant global de 600 millions d’euros. Les riches États du Golfe sont considérés comme des bailleurs de fonds potentiels. Malgré ces manques, ce sommet marque un succès diplomatique pour la France.
Un cadre pour favoriser la paix au Proche-Orient
La présence au sein de la même enceinte des chefs d’État ou de gouvernement d’Israël, de la Syrie, du Liban et de l’Autorité palestinienne marque une volonté de dialogue pour résoudre les conflits au Proche-Orient. Le 12 juillet 2008 le président syrien Bachar el-Assad et le président libanais Michel Sleimane annoncent chacun au palais de l’Élysée leur intention de normaliser leur relations diplomatiques en ouvrant une représentation diplomatique respectivement à Beyrouth et à Damas.

Energie europe



Energie : GE Enegy plus que jamais en Europe
[Fenêtre sur l'Europe]
Dans une interview exclusive à Fenêtre sur l'Europe, Ricardo Cordoba, président de GE Energy pour l'Europe de l'Ouest et l'Afrique du Nord, revient sur la présence de GE en Europe et sur l'action de son groupe en faveur du développement des énergies renouvelables.
Le site de Belfort en France est le siège de GE Energy pour l'Europe avec plus de 2.000 collaborateurs. Belfort est devenu un centre d'excellence mondial et seul producteur de turbine à gaz de gande et moyenne capacité en France.GE-Energy compte plus de 18.000 collaborateurs en Europe et comprend d'autres sites de production de turbines et de composants en Allemagne, en Autriche, en Espagneet en Hongrie. .Les sites de Salzbergen en Allemagne et de Noblejas en Espagne sont notamment des centres de fabrication de turbines éoliennes de nouvelles générations.Autant de raisons qui ont poussé l'Assemblée des régions d'Europe (ARE) à s'orienter récemment vers un partenariat avec GE-Energy en tant qu'acteur majeur du secteur de l'énergie en Europe. http://www.fenetreeurope.com/

6e conférence formation du secteur de l'énergie et des mines


500 participants au rendez-vous les 1er et 2 décembre à Alger
Les technologies de l'information et de la communication au service de la formation", tel est le thème retenu pour la 6e conférence formation du secteur de l'énergie et des mines qui se tiendra du 1er au 2 décembre prochain à l'hôtel El Aurassi à Alger, indique-t-on, hier, dans un communiqué du ministère de l'Energie et des Mines parvenu à notre rédaction. Cette conférence, organisée par le ministère de l'Energie et des Mines, et qui regroupera 500 participants représentant notamment les cadres et managers des entreprises du secteur, des responsables en charge des systèmes d'information et experts d'institutions de formation nationales et internationales et d'entreprises étrangères partenaires des entreprises du secteur, constituera un carrefour d'échange d'expériences en matière de nouvelles technologies et de communication (TIC) dans le domaine de la formation. Cette sixième conférence, souligne la même source, servira d'espace aux responsables de la formation pour faire part du degré d'intégration des TIC dans les systèmes de formation, prendre connaissance des expériences menées à l'interne ou en partenariat et évoquer les perspectives d'intégration des TIC pour optimiser les efforts et les dépenses consacrées à la formation des ressources humaines et à la modernisation des institutions de formation. Ainsi, les participants aborderont, durant ces deux journées, des thèmes relatifs, notamment, à la stratégie d'implantation et d'ingénierie des TIC dans la formation, l'état de l'art, la stratégie d'utilisation des TIC, comme appui à l'apprentissage et à l'enseignement et comme soutien au système de gestion et de décision, note-t-on, encore dans le communiqué. Cependant, des expériences d'implantation des TIC dans la formation dans les sociétés internationales telles que BP, Total, Schlumberger ainsi que l'utilisation des TIC dans les universités algériennes comme l'UFC et l'université d'Annaba, seront au programme de cette conférence qui sera sanctionnée par des recommandations. En marge de cette rencontre, seront exposés des produits formation utilisant les TIC par dix sociétés dont Cisco Algérie, Microsoft Algérie, Atlas Interactiv, Crossknowledge, Sum Total Systems et Syfadis. Il y a lieu de rappeler, que lors de la tenue de la 5e conférence formation du secteur de l'énergie et des mines, cette rencontre à pu permettre d'évaluer les progrès réalisés en matière de formation et échanger les expériences avec d'autres entreprises nationales et étrangères. D'ailleurs dans son intervention à l'ouverture des travaux, le ministre de l'Energie et des Mines avait annoncé, à l'occasion, la création d'un institut du génie nucléaire pour accompagner la politique du secteur en matière d'énergie nucléaire et celle d'un institut des énergies renouvelables pour accompagner la politique du secteur en matière de développement des énergies renouvelables. Samira H

Rencontres d'entreprises Euro-Maghreb


Promouvoir le partenariat fondé sur une complémentarité de compétences
L'Adeci organise du 14 au 17 décembre prochain à Marseille, sous forme de "BtoB ", des rencontres entre entreprises du nord et du sud de la Méditerranée travaillant déjà dans le secteur de l'environnement et des énergies. Les principaux pays concernés sont l'Algérie, le Maroc, la Tunisie, la France et la Belgique. Cette opération vise à mobiliser plus d'une centaine d'entreprises à la recherche d'un partenariat fondé sur une complémentarité de compétences. Les rencontres seront organisées avec l'appui de l'Onudi et de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. C'est au Centre Méditerranéen de Commerce International (CMCI) à Marseille qu'auront lieu les rencontres d'entreprises. Cette rencontre aura lieu avec le soutien de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur et du Programme Européen Invest in Med et en partenariat avec l'Onudi et l'Adeci. Cinq organismes apportent leur collaboration et leur participation à cette initiative : EA Eco-Entreprises, le Pôle Capénergies, le Pôle Mer PACA, Finances et Conseil Méditerranée et l'Imed. Lors de ces rencontres, des entrepreneurs d'Algérie, du Maroc de la Tunisie, travaillant dans les secteurs de l'environnement et des énergies rencontreront individuellement des sociétés de notre région, en vue du développement d'un courant d'affaires inter-entreprises. Parmi les partenaires internationaux de l'AdecI pour cette opération, les entreprises intéressées auront l'occasion de rencontrer des représentants de la Chambre Tuniso-Française de Commerce et d'Industrie. Ces rencontres permettront, entre autres, aux entreprises présentes, de créer et de consolider des partenariats d'affaires, mais également d'influer sur les politiques de développement d'un partenariat solide. L'ordre du jour de cette manifestation portera donc sur la réalisation de recherches prospectives dans l'environnement, les changements climatiques, l'énergie…, les participants à cet évènement se pencheront, durant quatre jours, sur des thématiques, dont l'intégration régionale et le partenariat Maghreb-Méditerranée. En somme, cette rencontre sera orientée avant tout vers la recherche de solutions concrètes aux problèmes actuels liés au développement économique des pays du nord et du sud de la Méditerranée. Nassima B.

Sunday, November 29, 2009

PME avenir



L’industrie du futur est celle des PME !Le 27 novembre 2009
Vous nous présentez un nouveau site « entièrement dédié à l'avenir industriel de la France (...) ouvert à tous : patrons de PMI, cadres et dirigeants de grands groupes, salariés... » N’oubliez pas les patrons de PME comme moi, ce qui laisserait entendre que l'industrie du futur est celle des PMI ou grands groupes ! Ce serait négliger le premier employeur de France avec ses PME et ses artisans industriels ? Au contraire, l'industrie du futur n'est-elle pas celle des PME ? Regardons avec envie, nos voisins allemands avec leur compétitivité et leur esprit de conquête exportatrice, leur performance n'est-elle pas celle de PME ? Certes, les PMI doivent être soutenues puisqu'elles drainent dans leur sillage bon nombre d'entreprises de taille moyenne, quand elles n'ont pas choisi de sous-traiter à l'autre bout du monde. Mais reconnaissons que l'entreprise à taille humaine prend certainement plus en considération le désir de ses salariés, et ne les conduit pas à des situations dramatiques. Dans ces entreprises, le capital est souvent détenu par des hommes et des femmes dont la volonté n'est pas que la recherche du profit en ne s'attachant qu'à des chiffres comptables. La proximité entretenue avec leurs salariés les empêchent souvent de céder trop facilement à lâcher le lest de l'emploi dans des situations difficiles.Enfin, et cela me semble essentiel, ne devons-nous pas encourager l'innovation et la créativité dans ces entreprises ? Créer de l'activité nouvelle, créera nécessairement des emplois nouveaux sans forcément d'aide étatique. Ne doit-on qu'encourager l'innovation de haute technologie réservée à une élite d'entreprise ou PMI ? Cette innovation là, bien que fondamentale pour le rayonnement d'une nation, n'occupe que des ingénieurs ou des docteurs experts. Encourageons l'innovation de basse technologie dans les PME. Nous aurons alors des entreprises fortes dans leur développement et assurées de leur avenir. L'industrie de futur sera celle qui sera managée et non plus gérée, celle dont la performance sera globale et non plus économique.L'industrie du futur sera celle du plus grand nombre mais certainement pas celle d'une plus grande industrie. Pour information, ADVENTECH est une jeune entreprise que j'ai créée il y a 5 ans avec une croissance soutenue de 100 à 40 %, une rentabilité de 9% après impôts ; ce qui donnera cette année un C.A de plus d'un million d'euros et un effectif moyen de 20 personnes. Avec du fil et une aiguille, nous pratiquons au quotidien l'innovation de basse technologie afin de répondre à des cahiers des charges des plus pointus de la part de prestigieux clients comme THALES, DCNS, TOTAL, EDF...Christophe PELLETIER

Saturday, November 28, 2009

Europe viadéo google


Google s’allie à Viadeo qui deviendra la plateforme de réseaux sociaux professionnels de Google en Europe. Cet accord de partenariat doit être annoncé cet après-midi. Il relève de la stratégie de Google pour contrer Microsoft qui a acheté 1.6 % de Facebook la semaine dernière pour 240 millions de dollars.
Google ,qui possède déjà une plateforme de réseau social, Orkut,, s’est aussi allié à MySpace. La stratégie serait donc de créer un gigantesque réseau mondial. Avec un potentiel dépassant largement celui de FacebooK Une « alliance « a été créée et Oracle, Salesforce.com ( logiciels en ligne) et une dizaine de réseaux sociaux tels que Linkdln, Friendster, Plaxo, Ning, Engage.com, Hyves, imeem, Six Apart, Xing et le français Viado pour l’Europe viennent de la rejoindre aujourd'hui.
Viadeo compte déjà 3 millions de membres répartis dans le monde, 1.8 en Europe et 1.2 en Chine depuis son rachat de Tianji. Mais Viadeo reste néanmoins très différent de Facebook car il est dédié au business : recherche de clients ou de partenaires, de collaborateurs, échange d’informations.Son alliance avec Google devrait booster encore plus le site de Dan Serfaty
Source : challenge.fr

Europe Viadéo

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Quand les employeurs recrutent en ligne, bien se vendre sur le Net devient un atout. De la tenue d'un blog à l'animation d'une communauté, les clefs pour être un parfait candidat 2.0.
Bâtir sa marque perso sur le Web
Si en France la majorité des recrutements est toujours réalisée via les canaux traditionnels, le Web fait cependant évoluer les pratiques. Aujourd'hui, le premier réflexe d'un recruteur est souvent de pratiquer lename googling, c'est-à-dire de taper sur Google le nom d'un candidat.
"Que veut-on que l'employeur trouve sur soi ? Des morceaux de sa vie épars, mis en ligne par d'autres, ou bien une image construite, cohérente, qui véhicule ses convictions et ses compétences les plus pointues ?" interroge Didier Pitelet, directeur de l'agence On the Moon, spécialisée en "e-réputation". De fait, qu'il le veuille ou non, chaque individu laisse sur la Toile une empreinte numérique. "Bâtir son image sur la Toile est stratégique. Chacun doit apprendre à se vendre comme une marque", insiste Fadhila Brahimi, dirigeante du cabinet FB Associés, spécialisé en personal branding.
La première étape - avant même de déposer son CV sur les classiques Monster ou Cadremploi, mais aussi sur des sites plus récents, comme DoYouBuzz - consiste à faire le point sur soi. En tant que salarié, sur quoi ai-je une expertise spécifique, une puissance d'action, quels sont mes projets, ma vision du métier, mes défis à relever ? Ces réflexions servent à construire la "ligne éditoriale" de son profil. "Même si cela peut sembler fastidieux et chronophage, documenter avec soin son profil sur Viadeo, DoYouBuzz, ou sa biographie sur Twitter, est essentiel", insiste Stéphane Le Viet, cofondateur de Multiposting.fr, solution de multidiffusion d'annonces d'emploi sur Internet. Diplômes, parcours, compétences, centres d'intérêt professionnels, ouvrages publiés, conférences, blogs et quelques mots synthétiques sur ses passions extraprofessionnelles : tous ces éléments doivent figurer dans votre profil, avec des mots choisis avec soin. Ils sont à actualiser au fil du temps. "Nous recoupons toutes les données pour juger de leur cohérence, voir si la personne est active et véhicule des idées fortes", relève Julien Verspieren, associé fondateur du cabinet de recrutement FedFinance.
Il est également recommandé d'utiliser toujours la même photo, tel un logo. Et pourquoi pas un pictogramme ? Voire une baseline autopublicitaire, "c'est-à-dire rédiger une phrase avec quelques mots-
clefs qui résument l'essentiel et caractérisent le mieux votre profil", résume Fadhila Brahimi. "Il est en outre conseillé d'ajouter des recommandations, émises par d'anciens employeurs, ce que les recruteurs apprécient", ajoute Stéphane Le Viet.
Pour faire la différence
"Un blog est un bon moyen de présenter l'ensemble de ses compétences en temps réel", souligne Thomas Parisot, auteur de Réussir son blog professionnel (Eyrolles). En respectant quelques précautions d'usage. Déterminer une ligne éditoriale et s'y tenir. Varier les formes : analyses, interviews, conseils... La régularité (une fois par semaine, au minimum) contribue à fidéliser les internautes. Tout matériel protégé par le droit d'auteur doit être mentionné comme tel et il faut que les citations de tiers soient clairement identifiables. Le blog doit renvoyer sur d'autres sites, via des liens hypertextes sortants. Si possible, le commencer plusieurs mois en amont de la recherche d'emploi et penser à indiquer un contact direct (adresse électronique, téléphone).
Établir sa zone d'influence via les réseaux
Choisir sur quels réseaux sociaux son profil va figurer est déterminant. "Il convient de réfléchir sur l'écosystème dans lequel on souhaite évoluer et de cultiver les contacts qui en feront partie", conseille Camille Travers, directrice du cabinet de recrutement 2.0 WebTalent.
Viadeo est le réseau social professionnel français des cadres et des dirigeants, accessible en six langues. Il affiche environ 25 millions de membres et couvre déjà l'Europe, la Chine et l'Inde.
"Avec l'acquisition du réseau social Unyk, au début d'octobre 2009, nous touchons désormais aussi l'Amérique du Sud, le Mexique et l'Amérique du Nord", se réjouit Olivier Fecherolle, directeur général de Viadeo pour la France.

Société : 2011 volontariat



Société : 2011 Année européenne du volontariat
[Fenêtre sur l'Europe]

Le Conseil a décidé aujourd’hui que 2011 sera l’Année européenne du volontariat. L’organisation de l’année avait été proposée par la Commission européenne et a reçu un avis positif du Parlement européen.
La Commission européenne encourage depuis longtemps le volontariat. Un tournant important a été pris avec la mise en place du service volontaire européen en 1996 dans le cadre du programme Jeunesse en action.2011, l'Année européenne des activités de volontariat pour la promotion de la citoyenneté active – pour citer son titre officiel – marquera la prochaine étape des efforts déployés par la Commission pour favoriser le volontariat en Europe et aider la société civile, les collectivités locales et régionales et les États membres à réaliser les objectifs suivants:- travailler à l’instauration de conditions propices au volontariat dans l’Union européenne ;- donner aux organisations vouées au volontariat les moyens d’agir et d’améliorer la qualité de ce dernier ;- récompenser et reconnaître les acquis issus d’activités de volontariat et- sensibiliser l’opinion publique à la valeur et à l’utilité du volontariat.

Friday, November 27, 2009

Gmail Google messagerie





Ajouter des pièces jointes à Gmail en mode déconnecté

Edition du 27/11/2009 - par Relaxnews


Google annonce sur son blog officiel une nouvelle fonctionnalité pour son service de messagerie Gmail. Désormais, en mode déconnecté, l'utilisateur aura la possibilité d'ajouter une pièce jointe à son message. Celle-ci sera automatiquement placée dans la boîte d'envoi jusqu'à la prochaine connexion au réseau

Algerie 21 siécle youtube


Algerie France investissement



Les Français heureux d’investir en Algérie
Les chefs d’entreprise français sont heureux de travailler et d’investir en Algérie selon la présidente du patronat français Laurence Parisot.jeudi 26 novembre 2009.
La présidente du patronat français Medef, Mme Laurence Parisot, est revenue sur les dispositions de la loi de finances complémentaire 2009, lors d’une conférence de presse tenue avant-hier en fin d’après-midi à Alger, à l’issue d’une visite de deux jours à la tête d’une délégation d’hommes d’affaires. Affirmant que « les chefs d’entreprise français sont heureux de travailler et d’investir en Algérie », Mme Parisot a tenu à souligner que « le changement de règles instituées dans la LFC est pour nous quelque chose dont nous prenons acte et c’est tout ». Elle reconnaît néanmoins que des opérateurs ont eu quelques a priori, qu’il leur fallait une période d’adaptation et que cette période est arrivée à terme. « Les nouvelles règles se posent à tout le monde, à tous les investisseurs de tous les pays et nous allons nous y adapter. Cela n’atténue en rien les relations entre la France et l’Algérie », a-t-elle insisté. Mme Parisot a également fait savoir que « les entreprises françaises ont bien compris l’orientation et les raisons de la nouvelle politique économique du gouvernement algérien avec l’adoption de la LFC qui a redéfini le cadre juridique des sociétés à capitaux étrangers désireuses de s’installer en Algérie », ajoutant que les entreprises françaises « peuvent apporter beaucoup à l’industrie algérienne en investissements, en transfert de technologie ou encore en formation ».
« Si nous sommes présents aujourd’hui en Algérie, c’est justement pour dire qu’il n’y a aucun problème entre les entreprises françaises et les entreprises algériennes. Nous sommes les premiers partenaires de l’Algérie et nous comptons le rester », a dit Mme Parisot. Abondant dans le même sens, M. Yves Thibault de Silguy, président de la commission Algérie au Medef, a déclaré que les relations économiques entre les deux pays sont continues et n’ont pas connu d’arrêt. Elles se caractérisent par ce qu’il a appelé « les 3 C », à savoir compréhension, conviction et confiance. Mme Parisot a poursuivi qu’elle ajouterait même « deux M » pour qualifier la relation bilatérale : « Makane mouchkil (pas de problèmes). » A propos des 5 milliards de dollars que compte investir la partie française en Algérie, elle a déclaré que « cela reste un objectif » et que la France a des leaders mondiaux dans de nombreux domaines, tels la pharmacie, la pétrochimie, les transports, les énergies renouvelables, le secteur de l’eau, etc. A la question de savoir si des constructeurs automobiles français ont manifesté leur intérêt pour un quelconque projet en Algérie, Mme Parisot est restée quelque peu énigmatique en choisissant bien ses mots pour laisser entendre que l’avenir est prometteur dans ce sens.
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après Le Jeune Indépendant
Actualités

Algerie CNES PME



Le CNES s’intéresse au développement des PME en Algérie

Un comité ad-hoc pour développer les PME en Algérie a été installé par le CNES en partenariat avec le Conseil national pour la promotion des PME.jeudi 26 novembre 2009.
Un comité ad-hoc chargé de réfléchir à la problématique du développement et du renforcement des capacités des petites et moyennes entreprises (PME) en Algérie a été installé, mercredi à Alger, par le Conseil national économique et social (CNES) et le Conseil national consultatif pour la promotion des PME (CNC/PME). Dans une intervention lors de la cérémonie d’installation, le président du CNES, Mohamed Seghir Babes, a souligné la nécessité de s’approprier les bonnes pratiques de gouvernance des PME, l’amélioration de leur compétitivité, la maîtrise de l’expertise, l’innovation et l’intégration des nouvelles technologies dans les PME algériennes. Il a appelé dans ce sens les membres du comité à réfléchir sur des "recommandations applicables", assurant que "la volonté politique pour les prendre en charge existe en Algérie".
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après APS

Google nouvelle interface


Google travaille à une nouvelle interface de son moteur
Par Christophe Lagane
Lifting en vue pour le premier moteur de recherche. Nouveaux design et fonctions de recherche avancées sont proposéesLe site Google BlogoScoped nous apprend que Google travaille à une nouvelle interface de son moteur de recherche. Il s'agit essentiellement d'une refonte graphique mais aussi d'un enrichissement des options de recherches dans la page de résultat.

L'éventuelle future «Home» se distingue de l'actuelle par un logo redessiné. Si elle n'a pas totalement disparue, l'ombre portée se fait désormais beaucoup plus discrète. Les caractères empruntent un ton pastel qui limite l'effet brillant et gaufré du logo actuel. Les boutons «Google Search» (Rechercher) et «I'm Feeling Lucky» (J'ai de la chance) privilégient désormais un aplat sur bleu en lieu et place des classiques boutons chromés. Enfin, deux nouveaux liens apparaissent sous le champ de saisie : «Make Google your home page» (Faire de Google votre page d'accueil) et «Advertising program», lequel renvoie vers la présentation des offres de campagne d'annonces AdWords (pour les annonceurs) et AdSense (pour les webmasters).
La page de résultats présente une évolution plus intéressante. Une barre latérale s'affiche désormais dans la partie gauche de l'écran. Elle introduit des fonctions de filtrage de résultats. Une interface d'affinage des résultats affichée par défaut mais proposée depuis mai 2009 en option dans la version américaine Google.com largement inspiré de ce que fait depuis des années Exalead

réseau social



Un réseau social est un ensemble d'entités sociales telles que des individus ou des organisations sociales reliées entre elles par des liens créés lors des interactions sociales. Il se représente par une structure ou une forme dynamique d'un groupement social. L'analyse des réseaux sociaux, basée sur la théorie des réseaux, l'usage des graphes et l'analyse sociologique représente le domaine étudiant les réseaux sociaux. Des réseaux sociaux peuvent être créés stratégiquement pour agrandir ou rendre plus efficient son propre réseau social (professionnel, amical). Il existe des applications Internet aidant à se créer un cercle d'amis, à trouver des partenaires commerciaux, un emploi ou autres. Il s'agit de services de Réseautage social

Un réseau social représente une structure sociale dynamique se modélisant par des sommets et des arêtes. Les sommets désignent généralement des gens et/ou des organisations et sont reliées entre elles par des interactions sociales.

Le terme provient de John A. Barnes en 1954[1].

Traité de Lisbonne



Traité de Lisbonne : Le Sénat se penche sur l'arrêt de la Cour de Karlsruhe
[Fenêtre sur l'Europe]
Le 30 juin 2009, la Cour constitutionnelle allemande (Cour de Karlsruhe) a adopté un arrêt important sur la compatibilité du traité de Lisbonne avec la Loi fondamentale allemande.
C’est ainsi le cadre de la participation de l’Allemagne à la construction européenne qui s’est trouvé précisé.La commission des affaires européennes du Sénat, après s’être rendue à Karlsruhe pour rencontrer le président de la Cour et celui de la formation qui a rendu l’arrêt, a adopté hier un rapport d’information de M. Hubert Haenel sur la signification et les conséquences de ce jugement.Elle conclut que : La signification de cet arrêt est de clarifier les conditions d’une construction européenne démocratique, sans exclure aucune hypothèse sur l’avenir de l’Union dès lors que le principe de démocratie est respecté. Il faut y voir, non pas une limitation de la participation de l’Allemagne à la construction européenne, mais bien une salutaire leçon de démocratie."Voir le rapport sur le site Internet du sénat :http://www.senat.fr/noticerap/2009/r09-119-notice.html

Algérie France économie





Salah Mouhoubi : Sur le plan économique, « la France ne s’intéresse pas assez à l’Algérie L’économiste algérien revient sur l’état des relations économiques entre Paris et Alger Paris s’inquiète des mesures « protectionnistes » qu’auraient récemment prises Alger à son encontre. Une délégation du patronat français s’est rendu récemment en Algérie. Les relations économiques et commerciales entre les deux capitales serait-elles alors en train de se dégrader ? Le point de vue de l’économiste algérien, le Dr. Salah Mouhoubi
La loi des Finances promulguée en juillet 2009 en Algérie a provoqué un vent de panique en France, le premier partenaire économique du pays. Depuis quelques mois, la France se plaint des « mesures restrictives » prises pas l’Algérie à son égard. « Apaiser les tensions » était le mot d’ordre de la récente visite (du 22 au 23 novembre) du Mouvement des entreprises en France (Medef) à Alger.
Afrik.com : Que peut-on dire des relations économiques qu’entretiennent l’Algérie et la France, et plus généralement l’Union européenne (UE) ? Salah Mouhoubi : Elles sont bonnes, il n’y pas de contentieux majeur. La France est le premier partenaire commercial de l’Algérie. Concernant l’Europe, l’accord passé entre l’UE et l’Algérie au début des années 2000 n’est pas satisfaisant. Le marché algérien a été ouvert sans contreparties réelles. Par exemple, les produits "made in Algérie" ne sont pas présents sur le marché européen et l’aide en matière d’investissements fait défaut.
Afrik.com : Paris ne cache pas son inquiétude face aux récentes mesures « protectionnistes » prises par Alger. Qu’en pensez-vous ? Salah Mouhoubi : L’Algérie n’a pas pris de mesures pour freiner les importations. Pour les dix premiers mois de 2009, les importations chiffrées à 30 millions de dollars sont équivalentes à celles de 2008. Cependant, ce qui est vrai, c’est que l’Algérie a supprimé le crédit à la consommation pour les biens durables comme les équipements électroménagers et les véhicules. Et ce pour deux raisons : les revenus des hydrocarbures, qui ont baissé de moitié, ne peuvent plus payer la facture des importations, et les crédits à la consommation font imploser ces dernières. Il s’agit de préserver l’équilibre interne/externe et éviter un lourd déficit commercial. Mais, ce n’est en aucun cas une politique commerciale restrictive à l’égard de la France.
Afrik.com : Pour vous, l’Algérie n’est pas protectionniste... Salah Mouhoubi : Pas du tout. L’Etat a seulement pris des dispositions pour éviter le déséquilibre économique. Il ne souhaite pas fermer le marché.
Afrik.com : Pourtant une délégation du Mouvement des entreprises en France (Medef) s’est déplacée dimanche et lundi à Alger pour aborder cette question... Salah Mouhoubi : Ils ont surtout discuté de la pomme de discorde entre les deux pays : le nombre très faible d’investisseurs français sur le sol algérien. Le Medef a d’ailleurs promis que les investissements passeraient de 3 à 5 milliards de dollars. La France ne s’intéresse pas assez à l’Algérie. L’entreprise automobile Renault a accepté de construire une unité de montage au Maroc. Pourtant, l’Algérie possède des infrastructures et de la main d’œuvre. Cette frilosité montre que la France a un problème avec son passé. Les gens n’arrivent pas accepter que ce l’Algérie soit devenu un pays souverain.
Afrik.com : Les relations économiques entre l’Algérie et la France pourraient-elles véritablement se détériorer ? Salah Mouhoubi : Dans ce domaine, je suis assez optimiste quant à l’avenir. Les Algériens n’ont aucun préjugé à l’égard de la France. Les autorités françaises ne doivent plus regarder les Algériens au travers du prisme des années 60. Il faut également que Paris cesse de poursuivre une politique économique déséquilibrée. S’ils ne veulent pas changer leur comportement, l’Algérie va se tourner vers d’autres puissances comme la Chine. Ce pays est très présent sur le territoire notamment dans le secteur du BTP, de l’automobile et des hydrocarbures.

Les réseaux sociaux la messagerie



Les réseaux sociaux s'invitent dans la messagerie
Outlook et Open XChange en tête, les client de messagerie tant open source que propriétaires proposent de plus en plus aux utilisateurs d'interagir directement avec les réseaux sociaux.Depuis quelques semaines, une tendance semble se dégager à travers les annonces des différents éditeurs de messagerie : celle de l'interaction entre les messageries d'entreprise – Microsoft Outlook, IBM Lotus Notes, Zimbra, Open XChange, etc. – et les réseaux sociaux comme Facebook, LinkedIn ou Viadeo. L'idée est simple et séduisante. Il s'agit d'avoir accès, depuis l'interface utilisateur de sa messagerie, aux flux d'activité issus de l'extérieur et notamment des sites Web collaboratifs les plus populaires du marché. Mais plusieurs niveaux d'intégration existent entre les deux parties, de la récupération des contacts ou des profils à l'envoi de commentaires et la récupération de statuts.
Ainsi, la version 6.14 du serveur de messagerie open source Open XChange, prévue d'ici quinze jours, proposera de souscrire à des réseaux sociaux et de récupérer les contacts associés aux profils Facebook, Xing ou LinkedIn. Inversement, la publication de certaines informations en provenance d'Open Xchange vers l'extérieur sera également possible : en effet, depuis septembre, Open XChange a lancé un projet Social OX pour aider à l'échange d'informations grâce à l'utilisation des microformats et de balises spécifiques. Peu, voire pas du tout utilisé pour l'instant, ce mécanisme permettra à des sites communautaires de récupérer des informations d'Open XChange.
Comme le précise Philippe Veys, expert Open XChange chez Alterway, « l'utilisateur paramétrera lui-même son compte pour donner accès à son carnet d'adresses. Il faudra cependant faire très attention car ces données seront rendues publiques et donc accessibles à l'extérieur des entreprises ».
Publier des tweets depuis sa messagerie Si Open XChange s'intéresse pour l'instant surtout aux contacts, d'autres éditeurs récupèrent (ou prévoient de le faire) d'autres informations en provenance des réseaux sociaux. La messagerie open source Zimbra propose ainsi, depuis septembre et la sortie de sa version 6, une zimlet (i.e. module ajouté à Zimbra pour enrichir l'interface ou les fonctionnalités), qui interagit, entre autres, avec Twitter et Facebook (LinkedIn ne devrait pas tarder). Non seulement, l'utilisateur récupère n'importe quelle information des réseaux externes, mais peut aussi poster directement des commentaires dans son compte Twitter.
La même tendance s'observe chez les éditeurs de logiciels propriétaires. IBM annonçait en début d'année un partenariat avec LinkedIn, pour rendre visible les profils des expéditeurs des courriels reçus dans IBM Lotus Notes. Et Microsoft vient d'annoncer un partenariat avec ce même réseau social. La version 2010 d'Office propose un module, Outlook Social Connector avec un SDK, qui exposera dans Outlook l'activité des contacts outlook sur LinkedIn ; en standard, les informations sont récupérés du réseau social interne de SharePoint. Signalons enfin que certains réseaux sociaux n'ont pas attendu ce mouvement de fond des éditeurs de messagerie. LinkedIn propose depuis un bon moment un plug-in pour Outlook (2003, 2007) afin de gérer ses contacts LinkedIn depuis Outlook.

Thursday, November 26, 2009

L’Union pour la Méditerranée



Confidentiel Un Jordanien secrétaire général de l’UPM ?

L’ambassadeur jordanien auprès de l’Union européenne est donné favori pour devenir le premier secrétaire général de l’Union pour la Méditerranée (UPM). Ahmad Massaedeh bénéficie de l’appui des pays arabes. Il ne lui manque plus que l’aval des Vingt-Sept ainsi que d’Israël et des autres pays inclus dans le partenariat euro-méditerranéen. «Ce qui ne devrait pas poser trop de problèmes», reconnaît un ambassadeur arabe à Paris. France et Égypte coprésident l’UPM, née à Paris en juillet 2008

ALGER 2e ÉDITION JAZZ MEETING 2 AU 4 DÉCEMBRE



DU 2 AU 4 DÉCEMBRE 2009, 2e ÉDITION D’ALGER JAZZ MEETING
La capitale aux rythmes jazzy
Par : Amine IDJER Suite au franc succès qu’a connu la première la première édition d’Alger Jazz Meeting, rendez-vous donc est donné pour une deuxième édition. Organisé par l’Office Riadh El-Feth, sous l’égide du ministère de la Culture, cet événement musical culturel fait pour la ville d’Alger est destiné aux férus et autres mordus de la musique jazz ; dans toutes ses sauces.
À partir du 2 jusqu’au 4 décembre 2009, la salle Ibn Zeydoun (Oref) vibrera aux rythmes du jazz et de la musique fusion. Hier, lors d’une conférence de presse à la salle Frantz-Fanon, les organisateurs ont dévoilé le programme de ces trois soirées musicales. En effet, le responsable de la programmation artistique, Adnane Ferdjioui, a tenu à préciser qu’“Alger Jazz Meeting n’est pas un festival”, car, toujours selon lui, un festival a des normes plus importantes et englobe d’autres activités telles que des conférences débats, des expositions, des projections… Et d’ajouter qu’avec cette manifestation, c’est une “approche différente pour contenter les amoureux du jazz”. Quant à Rachid Briki, chargé de la programmation de l’Oref, il précisera qu’Alger Jazz Meeting n’est pas organisé “pour faire de l’ombre Dimajazz”, un festival qui se tient chaque annuellement à Constantine. “C’est pour fidéliser le public à cette manifestation”, ajoutera-t-il.Abordant le volet programmation, Adnane Ferdjioui annoncera que “le principe est le même que l’année dernière, 50% programmation algérienne et 50% programmation étrangère. Ici, ce n’est pas comme en France ou ailleurs, on ne mettra pas un groupe pour chauffer la salle et lancer la soirée”. De plus, le programme a été présenté à la fin de l’Aïd-el-Fitr dernier. Ces trois jours de communion jazz offriront des concerts de haute facture, car les groupes qui se succéderont durant ce “meeting jazzy” ont déjà fait leurs preuves, qu’ils soient algériens ou étrangers. Ces concerts (six au total) vont permettre au public découvrir d’autres talents, d’autres noms et surtout une autre approche dans la création jazz. Il y en aura pour tous les goûts ! C’est d’ailleurs ce que promettent les organisateurs. À cet effet, pour la première soirée de cette deuxième édition d’Alger Jazz Meeting, le public aura droit “à une soirée caviar” comme l’a si bien décrite Adnan Ferdjioui. Et pour cause, ce sont les groupes Madar (Algérie) et Mario Canonge Trio (des Antilles), spécialisé dans le jazz caribéen, qui ouvriront le bal de cette joute jazz-fusion. Les deux formations sont versées dans des registres très différents, ,mais qui se rejoignent par la création et la profondeur de la musique interprétée. La deuxième soirée, elle, sera très riche en sonorités, mais surtout 100% algérienne, avec la participation de l’incontournable groupe venu de la ville des Ponts suspendus Sinoudj et l’autre fierté nationale établie en France Fayçal Salhi Quintet. Ces deux formations flirteront avec du jazz, du malouf et de l’oriental. Une soirée dédiée à “la subtilité du jazz avec le raffinement du malouf”. Quant à la clôture, vendredi 4 décembre 2009, on aura droit “à une soirée fondue (comprendre par là le formage)”, dira Rachid Briki de la programmation de l’Oref. Le public pourra apprécier Pascal Schaer Trio, qui nous vient de Suisse, dans ses compositions issues de la pure tradition jazz avec une intrusion ou un souffle suisse, car il y aura le cor des Alpes, sans oublier des touches d’Afrique. Ainsi que Raaga Trio, c’est de l’afro-jazz avec tout ce qu’il contient comme sonorités et musicalité.
Amine IDJER
Alger Jazz Meeting

Algerie Alger France rencontre Medef




A Alger, les patrons français tentent de s'adapter aux nouvelles règles

[ 25/11/09 ]
Laurence Parisot était hier à Alger à la tête d'une délégation de chefs d'entreprise français. Elle a évoqué avec le Premier ministre algérien les obstacles rencontrés par plusieurs projets, parmi lesquels ceux de Total et de Saint-Gobain.VERONIQUE LE BILLON, Les Echos
De notre envoyée spéciale à Alger.

L'Algérie et la France, toutes deux qualifiées, le même soir, pour la Coupe du monde de football l'an prochain, voient là un symbole utile en temps de refroidissement des relations politiques entre les deux pays.« Nous gagnons ensemble ou en tout cas en même temps »,a lancé Laurence Parisot, en visite hier à Alger, à Hamid Temmar, ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements. La veille au soir, la présidente du Medef avait donné sa feuille de route à la soixantaine de chefs d'entreprise français présents dans la délégation du Medef International.« Je suis venue dire à nos amis notre surprise sur un certain nombre de sujets, mais dire aussi à quel point nous voulons continuer à investir. »
« Relocaliser la valeur ajoutée »

Face à la chute des cours du pétrole, qui a divisé ses recettes d'exportation, et à l'envolée de ses importations (en hausse d'un tiers l'an dernier), le gouvernement a adopté une série de mesures destinées à rendre l'économie moins dépendante de son pétrole et de l'extérieur. Le tout sur fond de demande de transferts de technologies et de soutien à la formation.« Nous voulons relocaliser au maximum la valeur ajoutée dans ce pays »,résume Hamid Temmar.« Nous prenons acte de cette stratégie, nous n'avons pas à émettre de jugement mais seulement à nous adapter », est convenue Laurence Parisot. Le marché y oblige : la France reste le premier fournisseur de l'Algérie et celle-ci est son cinquième excédent, à 2 milliards d'euros ces douze derniers mois. Si la France a l'avantage de la langue, d'autres sont aux portes : des délégations patronales sont déjà venues d'Espagne, des Etats-Unis, d'Allemagne s'enquérir des nouvelles règles et la Chine s'impose comme le troisième fournisseur du pays. Les deux parties ont donc cherché hier à mesurer la détermination des uns à investir et la souplesse des autres à interpréter ses textes.« Pour qu'il n'y ait pas d'inquiétude »des investisseurs français, Laurence Parisot a surtout fait valoir au Premier ministre« qu'il fallait peut-être que deux ou trois grands dossiers bloqués se concluent ».
Cela concerne deux verreries rachetées par Saint-Gobain, mais surtout le projet pétrochimique de Total de plusieurs milliards de dollars pour lequel, souligne Francis Raatz, l'un de ses responsables,« sans aménagement, ce sera très difficile ».Total, qui n'est pas fermé à ce que son partenaire (Sonatrach) soit majoritaire, proteste contre l'obligation de réinvestir les exemptions de TVA accordées et celle de se financer en dinars (sans couverture de change). Les autres entreprises françaises vont tenter de s'adapter. Stéphane Galoustian, directeur général de Renault en Algérie, juge que la suppression du crédit à la consommation a fait plonger le marché des ventes de voitures d'un quart, dans l'attente de solution alternative. Un manque à gagner aussi pour BNP Paribas, dont la filiale de crédit à la consommation Cetelem emploie une centaine de salariés en Algérie.« Il nous reste l'encours à gérer », relativise Laurent Dupuch, son directeur général à Alger. Visiblement, le potentiel de l'Algérie reste supérieur aux contraintes.« Le problème est de rapatrier l'argent en France, mais en France le problème, c'est d'en gagner. Alors patience et persévérance », juge Rodrigue Lescaillet, président de Ramery, une entreprise de BTP. Poussée par l'Elysée à venir à Alger, alors que les réunions à haut niveau sont gelées depuis des mois, Laurence Parisot a aussi fait passer le message de l'intérêt d'une nouvelle rencontre entre Nicolas Sarkozy et Abdelaziz Bouteflika.

Régions L'ARE



Régions : L'ARE, en plein coeur des débats de Copenhague, lance son "Action Thank"
[Fenêtre sur l'Europe]
L'Assemblée des Régions d'Europe (ARE) tient depuis ce matin son assemblée générale sur le site de GE Energy à Belfort. Le thème de l'"Energie et des régions" sera le thème principal de cette assemblée, dernier grand évènement avant le sommet de Copenhague.
Dans une interview vidéo donnée à Fenêtre sur l'Europe (http://www.fenetreeurope.com/), la première présidente élue de l'ARE, Michèle Sabban, présente l'institution qu'elle dirige, mettant l'accent sur le rôle que les régions veulent jouer en matière de développement des énergies renouveleables. Elle veut lancer, non un "Think thank", mais une "Action thank" pour marquer la volonté d'agir des régions dans ce domaine. Une volonté qui s'inscrit, notamment, dans le cadre du partenariat que l'ARE a conclu avec GE-Energy.Pour plus d'information :http://www.aer.eu/http://www.ge.com/

Sommet de Copenhague



Sommet de Copenhague : Le Parlement européen définit un nouveau mandat pour l'Europe
[Fenêtre sur l'Europe]
A deux semaines de l'ouverture du Sommet de Copenhague sur le climat, le Parlement européen a adopté hier à une écrasante majorité une résolution sur le sujet dont l'ambition tranche avec les positions dangereusement frileuses du Conseil. Le Parlement européen a adopté le seul mandat de négociation compatible avec la science et la responsabilité de l'Union européenne.
Sandrine Bélier, députée européenne Europe Ecologie, membre de la Commission Environnement explique que : "Dans cette résolution, le Parlement a renforcé l'objectif d'une réduction des émissions européennes de 30% d'ici à 2020 par rapport à 1990. C'est là un signe d'espoir qui ouvre la voie à un objectif plus ambitieux, bien plus conforme aux recommandations des scientifiques que la position des chefs d'Etat européens qui hésitent encore à prendre un objectif de plus de 20%. Si les négociateurs européens suivent la résolution du Parlement, qui rappelle en outre l'importance d'obtenir un accord juridiquement contraignant à Copenhague, éviter un réchauffement climatique de plus de 2°C est encore possible."Yannick Jadot, député européen Europe Ecologie, membre de la Commission Industrie, Recherche et Energie, ajoute, quant à lui, que: "Les parlementaires demandent aujourd'hui aux chefs d'Etat européens, et en particulier à la France et à l'Allemagne, de mettre un terme à leur jeu de poker menteur sur la question cruciale du soutien financier à apporter aux pays en développement pour les aider à faire face au péril climatique. Ils se sont prononcés en faveur d'un soutien européen immédiat de plusieurs milliards d'euros par an, et augmentant jusqu'à au moins 30 milliards en 2020. Nicolas Sarkozy et Angela Merkel militent quant à eux pour ne mettre aucun chiffre précis sur la table des négociations avant le Sommet de Copenhague."Pour les deux eurodéputés "le Parlement européen assume véritablement ses responsabilités et choisit la cohérence avec la science et avec nos responsabilités, y compris vis-à-vis des pays du Sud. Le message des parlementaires est clair et explicite: le mandat de négociation européen doit évoluer. Il doit permettre à l'Europe d'être à la hauteur de ses responsabilités et y compris d'engager une sortie de crise durable. Etre ambitieux pour le climat, c'est aussi sortir de la crise. Les chefs d'Etat européens doivent maintenant impérativement agir à la hauteur de leur responsabilité et augmenter l'ambition de leurs positions qui, aujourd'hui conduiraient à un réchauffement inacceptable de 4 à 5°C. C'est aussi la condition pour débloquer les négociations à Copenhague."

sp6men - Calogero / Passi - Face à la mer youtube


Viadéo l'Apec réseaux sociaux





L'heure est à la consolidation dans le petit monde des petites annonces. Pionnier des réseaux sociaux professionnels en France, Viadeo annonce un accord stratégique avec l'Apec, un site mettant l'accent sur l'emploi des cadres.L'alliance, qui sera effective en janvier, consistera à la reprise d'informations Viadeo sur le site de l'Apec, à la création d'une communauté Apec sur le site Viadeo mais surtout à la double publication des offres d'emploi sur ces deux sites, revendiquant 38 millions de visites par an pour l'Apec et plus de 25 millions de membres pour Viadeo."L'alliance de l'Apec et de Viadeo, c'est la mise en commun de l'expertise de deux incontournables dans leur secteur, qui regroupent à eux deux la quasi-totalité des acteurs du marché de l'emploi – cadres et entreprises" indique Dan Serfaty, Président et co-fondateur de Viadeo.Une alliance qui devra néanmoins faire face à celle de Societe.com (groupe Adverline), un pionnier de l'information sur les entreprises, et de CadrEmploi.fr, bras armé d'Aden Classified (Groupe LeFigaro) dans l'emploi des cadres.Concrètement, les 1,6 millions de visiteurs uniques de Société.com peuvent désormais consulter les milliers d'offres d'emploi de CadrEmploi.fr mais également déposer un curriculum vitae."Le nouveau service Emploi de societe.com marque une étape supplémentaire dans notre volonté d'intégrer une gamme complète de services pratiques destinés à tous les actifs et à toutes les entreprises." explique Marc Wacongne, président de Societe.com.Des accords qui interviennent en tout cas dans un contexte de crise économique. Selon une récente étude de l'Apec, les offres d'emploi à destination des cadres seraient en baisse de plus de 21% cette année.

Wednesday, November 25, 2009

Algérie la mentalité export existe



Le directeur général, de l'Algex (Agence algérienne de promotion du commerce extérieur), Mohamed Bennini, a dispensé une formation d'élite à ses exportateurs hors hydrocarbures. En effet, Optimexport maître d'œuvre, avait organisé une formation très pointue, identique aux cours donné à Bruxelles par l'auteur de l'Export facile pour les PME-PMI du Maghreb (Aussi d'autres traités d'export traduits en plusieurs langues). Il faut souligner le style du formateur, qui a une approche pragmatique anglo-saxonne, a surpris certains des participants...Ces derniers étant plus habitués à un langage plus académique. L'important, selon ce dernier étant "the bottom line (la ligne finale : soit le résultat) ...Qu'importe la méthode...Il y aura à l'arrivée ceux qui réussissent et ceux qui échoueront. Il faut mettre en évidence aussi la participation des chefs d'entreprise aux études de cas concrets aux débats qui a électrisé positivement les participants. Ce qui est aussi visible, c'est que le dernier jour fut encore plus excitant car les directeurs régionaux de l'Algex étaient de la partie, partageant avec les chefs d'entreprise les expériences positives ou négatives, faisant de cette journée un moment exceptionnel. Il faut souligner aussi que les nouveaux produits alimentaires, les certifications bio ou halal, ont été abordées ainsi que les nouvelles approches marketing export. Selon l'expert "la mentalité export existe en Algérie mais il faudra, comme pour un plant, la fortifier et l'entretenir pour la faire pousser très haut". Pour sa part, M. Bernard déclare "avoir apprécié la visite ou prise de parole chaque jour de M. Bennini dans l'amphithéâtre ce qui prouve qu'il est un homme de terrain, proche des entreprises et de ses directeurs régionaux, ce qui n'est pas toujours le cas en Europe, en Belgique, en Allemagne ou en France où vous ne verrez pas cela contrairement aux Etats-Unis ou en Angleterre". Comme il a souligné que l'offre des produits est très bonne mais reste à revoir un peu le packaging, convaincre les acheteurs coréens ou autrichiens que les produits made in Algeria sont identiques ou meilleurs au produits portugais ou tunisiens... mais surtout être présent dans les centrales d'achats et être sur le terrain bien préparé. Enfin, il a tenu à féliciter l'équipe nationale, mais à sa manière, tout en disant "Espérerons que les résultats seront identiques aux résultats de l'équipe nationale et que les exportations algériennes hors hydrocarbures atteignent des sommets après ce type de séminaires apportés à nos capitaines d'industrie". Larabi Moumen

Cesaria Evora Besame Mucho Youtube


Copenhague 2009 COP 15



La conférence de Copenhague appelée COP 15 se tiendra du 7 au 18 décembre 2009. C'est la réunion annuelle des représentants des pays qui ont ratifié la Convention-cadre des Nations unies sur le changement climatique. Conformément à la feuille de route adoptée lors de la COP 13 à Bali, elle devrait être l'occasion, pour les chefs d’Etat et de gouvernement, de renégocier un accord international sur le climat qui remplacera le Protocole de Kyoto qui doit prendre fin en 2012.
Cent soixante-dix pays enverront des représentants de leur gouvernement.
Les scientifiques du monde entier se sont rencontrés dès mars 2009, dans cette même capitale, pour mettre en commun les connaissances les plus récentes sur le changement climatique. Ils se sont montrés très alarmés sur l'état de la planète qui exige de prendre des mesures. "Les dernières observations confirment que le pire des scénarios du GIEC est en train de se réaliser. Les émissions ont continué d’augmenter fortement et le système climatique évolue d’ores et déjà en dehors des variations naturelles à l’intérieur desquelles nos sociétés et nos économies se sont construites", a affirmé le comité scientifique de la conférence.
Selon Greenpeace, la Chine et l'Inde sont pour l'instant les pays ayant fait le plus d'efforts en matière de politique climatique alors que les États-Unis finissent derniers

Wikipedia

Climat Parlement européen



Climat : Le Parlement européen appelle à un accord ambitieux au sommet de Copenhague
[Fenêtre sur l'Europe]
La résolution du Parlement européen en vue du sommet de Copenhague sur la lutte contre le changement climatique a été adoptée à une large majorité cemercredi 25 novembre 2009 (516 pour, 92 contre, 70 abstentions).
Pour Corinne Lepage le Parlement européen a compris l'urgence de la situation climatiqueCorinne Lepage, 1ère vice-présidente de la commission de l'Environnement au Parlement européen, se félicite de l'appel à conclure un accord ambitieux envoyé aux négociateurs européens."Nous demandons que les pays développés s'engagent dans une fourchette de réduction de leurs émission comprise entre 25 et 40 % d'ici 2020 par rapport à 1990, comme le recommande le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat dans son quatrième rapport d'évaluation (GIEC 4RE). Nous insistons aussi pour que l'objectif à long terme soit d'au moins 80 % d'ici 2050 par rapport aux niveaux de 1990. Quand on sait que certains députés ont souhaité supprimer cette référence, je suis heureuse que le Parlement ait été ferme sur ce point.Nous devons également être satisfaits que le Parlement appelle les Etats membres de l'UE à fournir au moins 30 milliards d'euros par an d'ici 2020 pour aider les pays en développement à s'adapter au changement climatique. De ce point de vue, le fait que la résolution ouvre la voie à une taxe sur les transactions financières internationales est un très bon signal. Nous ne pourrons pas nous limiter simplement aux fonds existants. Il faudra trouver d'autres modalités de financement, car s'il n'y a pas d'argent à Copenhague, il n'y aura pas d'accord ambitieux à Copenhague. Cela veut dire, très probablement, même si le sujet est très controversé, qu'il faudra nous poser la question d'une taxe, type "taxe Tobin verte", pour permettre le financement de la lutte contre changement climatique.Par ailleurs, la résolution est très claire quant à la déforestation : nous appelons à mettre un terme, d'ici 2020 au plus tard, à la déforestation tropicale brute. Croire que remplacer les eucalyptus replantés peuvent avoir une valeur équivalente à celle de la forêt primaire est une escroquerie."

Algerie les patrons français à Alger



L'Algérie entretient une convertibilité du dinar réduite et reste toujours réticente pour avoir une convertibilité totale par crainte d'un transfert de capitaux brutal et important». A un chef d'entreprise algérien qui s'est interrogé sur les possibilités d'investir en France «pour rendre plus efficace le transfertde technologie», le vice-président du Medef a répondu : «C'est une très bonne idée et beaucoup de sociétés étrangères ont choisi la forme d'investissement soit en direct, soit par association avec des PME-PMI à forte croissance. Pour le faire, vous avez, en France, l'Agence des investissements internationaux, un département très autonome du ministère des Finances ». Hamiani rectifie : « C'est la Banque d'Algérie qui doit en premier donner son accord conformément à la loi sur la monnaie et le crédit parce que ça concerne un transfert de capitaux». Il estime que «les investisseurs algériens sont très pénalisés par cette vision malthusienne des choses. Ce n'est pas interdit mais le règlement et les accords sont donnés au compte-gouttes». Il évoque à cet effet «un accord donné durant ces 20 dernières années à une filiale algérienne pour un transfert de quelques millions de dinars». Le président du FCE souligne que « ça pose un problème de convertibilité du dinar. L'Algérie accepte une convertibilité réduite du dinar, dite commerciale, mais reste réticente pour une convertibilité totale par crainte qu'il y ait un transfert de capitaux brutal et considérable ». Très rares sont, selon lui, les pays émergents qui ont accepté une convertibilité totale de leur monnaie. C'est un problème de royalties qui entrave les franchises». Le vice-président du Medef estime par contre qu'une grande majorité de pays émergents ont résolu le problème des transferts de capitaux. «Le cas algérien est particulier», dit Hamiani. Le responsable du MDI pense qu'ils l'ont fait par les fonds souverains. «Il n'y a pas que les fonds souverains, il y a d'autres capitaux», précise Courtaigne. «Tant qu'on a le marché informel, on ne peut pas aller vers un transfert de capitaux aussi libéral que celui accepté par les pays émergents», renchérit Hamiani. Le PDG de la SAA a, pour sa part, présenté hier le projet de partenariat qui le lie à la Macif conformément à la nouvelle règle de partage de capital, 51%-49%. Il a fait savoir notamment qu'il faut aujourd'hui définir «en commun les niveaux de capital de l'assurance-vie», ce nouveau projet que les deux organismes préparent ensemble. «Il est juridiquement sur le plan d'être créé», a affirmé le PDG de la SAA. Il notera que 5.000 Algériens décèdent chaque année en France «et les familles cherchent à rapatrier les corps. C'est pour cela que nous avons conclu avec la Macif un protocole pour commercialiser le produit ». Il voudrait pour cela que la Macif ait «l'amabilité d'accepter d'associer avec nous deux grands banquiers algériens, c'est permis par la loi depuis que le code des assurances a introduit la notion de la banque assurance». La SAA commercialisera ainsi, conjointement avec la Macif, l'assurance vie auprès des ressortissants algériens en France par une participation majoritaire (51%) dans le capital, partagée avec deux autres banques publiques algériennes. «Elle est majoritaire individuellement mais minoritaire globalement», synthétisera Atrous, le PDG de la SAA, qui tient à préciser «que le conseil d'administration sera présidé par la partie algérienne mais la gestion revient à la Macif ». Le tout se fera, dira-t-il, «dans le respect des dispositions de la LFC 2009 ». Le président de l'association des industries pharmaceutiques présentera pour sa part «un projet de partenariat entreprise en 1996», qu'il qualifie de «réussi entre deux entreprises algérienne et française, de dimension moyenne, dont le chiffre d'affaires est passé de 8.000 euros en 1996 à 8 millions d'euros en 2009». Le marché de l'industrie pharmaceutique a évolué, selon lui, de 20% sur les dix dernières années. Sur près de 2 milliards de dollars d'importation de médicaments, les laboratoires français en détiennent près de 850 millions. Installé en Algérie depuis 8 ans et employant 1.200 personnes à travers une cinquantaine d'agences réparties à travers le pays, BNP ParisBas, dit son responsable, comptera «bientôt 70 agences» et fait savoir que «70% des dépôts collectés sont redistribués sous forme de crédit». Il a surtout présenté l'Académie des PME, que la banque française a développée dans plusieurs pays et a créé en 2007 en Algérie. L'Académie se charge, selon lui, «d'apporter un minimum de théories très pratiques pour un développement pérenne de l'entreprise, d'organiser des séminaires itinérants à travers les principales villes du pays pour connaître les attentes et les préoccupations des PME et d'assurer des formations à leurs gestionnaires». L'Algérie compte 6 académies des PME, à Alger, Oran, Blida, Annaba, Béjaïa et Sétif «et d'autres sont à venir », qui ont assuré la formation pour plus de 500 PME. Sur ce, le représentant de MDI intervient pour affirmer que la principale contrainte pour les entreprises algériennes est l'indisponibilité de la ressource humaine compétente. «Son développement occupe une place de choix», dit Benabdesselem. Il évoque à cet effet la coopération que MDI entreprend avec des institutions françaises. Coopération qui gravite sur trois niveaux, à savoir «le contenu des formations qui évolue vite et où l'apport français est indéniable, la formation de l'encadrement et la visite d'entreprises françaises par les cadres algériens». Total et Sonatrach ont aussi été hier de la partie pour faire partager «leur magnifique projet de vapocraquage de l'éthane à Arzew ». Le projet a été conclu pour un montant avoisinant les 3 milliards d'euros, soit près de 5 milliards de dollars, sur un appel d'offres lancé en 2005 et remporté par Total en 2007. Tout en rappelant que « Total a eu une présence ininterrompue en Algérie et ce quelles que soient les circonstances, c'est (donc) un partenaire fiable qui s'implante pour longtemps». Son responsable affirme que le projet en question « est une première mondiale !». Il s'inscrit dans « la poursuite du développement de la pétrochimie, et ce en valorisant l'éthane dans un chaîne qui n'est pas énergétique ». C'est, dit-il, « un projet structurant pour développer une plate-forme mondiale pour irriguer l'Europe (...) et, bien sûr, renforcer nos positions industrielles et commerciales». Il emploiera 1.200 personnes sur site et créera 1.000 emplois pour la société, dont des durées de contrat de 2 à 10 ans pour l'usine, mais pour le reste pour une quarantaine d'années ». Le responsable de Total promet de revenir le mois prochain pour « finaliser avec Sonatrach les négociations commerciales». Nous avons, a-t-il dit, «pris le temps pour contrôler les coûts d'investissement pour des prix beaucoup plus raisonnables». Il est question, conclut-il, «de signature de contrats soutenant celui global déjà signé, pour un financement en dinar et l'aspect risque de change qui nous préoccupe particulièrement en plus de l'exonération d'impôts qu'on doit négocier». La majorité algérienne de capital est, par ailleurs, précise-t-il, «un point sur lequel on peut trouver des arrangements ». Le projet lancé dans la filière «pour accompagner 1.000 éleveurs algériens» fait dire à son représentant du côté français, que «j'espère que les réunions ministérielles que nous aurons aujourd'hui aboutiront enfin à un accord de façon à démarrer le projet au début de l'année.» Le représentant de la Banque mondiale en Algérie a estimé que «les dispositions de la LFC n'ont rien d'extraordinaire par rapport à ce qu'il y a à travers le monde». Il a ajouté cependant qu'il espère voir se développer « une puissance du système financier. On ne s'improvise pas du jour au lendemain capitaliste à 51%». Il a fait savoir que la BM s'intéresse au secteur privé pour «être le partenaire industriel et financier. Nous ne sommes ni algériens ni français, mais multilatéraux. On voudrait soulager le fonds algérien de l'investissement ». C'est, dit-il, la SFI qui apporte la garantie aux investissements.
Ghania Oukazi

Viadéo Apec cadres partenariat

lepetitjournal.com
Ecrit par Damien Bouhours Avoir une qualification plus importante ne met pas à l'abri du chômage. Les résultats d'une étude de l'Agence pour l'emploi des cadres (Apec) prouvent que même les cadres sont touchés par la crise. Le marché de l'emploi pour les cadres en Europe serait d'ailleurs en panne Rédaction internationale) - L'étude prospective sur les recrutements cadres pour 2010 réalisée par l'Agence pour l'emploi des cadres (Apec) n'est pas optimiste quant à la situation de l'emploi en Europe*. Selon ses estimations, on se rapproche même des chiffres de la période suivant la crise de 1993, pire année pour l'embauche des cadres.
Une baisse partout en EuropeSelon l'Apec, le recrutement de cadres entre juillet 2009 et juin 2010 subira une chute entre 9% et 22% par rapport à la même période 2008-2009. Ainsi au lieu des 463.200 embauches de cadres de l'année passée, entre 360.000 et 420.000 seront recrutés. Si la situation en France et en Allemagne n'est pas aussi catastrophique que dans d'autres pays européens grâce à une "timide reprise", la situation n'est pas non plus réjouissante. "L’heure n’est pas à l’optimisme.", estime Eric Verhaeghe, président de l’Apec. L'agence avait recueilli en octobre dernier 21.200 offres d'emplois destinées aux cadres soit un recul de 21% par rapport à octobre 2008. Selon ses estimations, la baisse du recrutement dans l'Hexagone oscillera entre 5% et 23% sur la période allant de juillet 2009 à juin 2010 par rapport à l'année précédente.
Des postes résistent Certains secteurs s'en sortent en revanche mieux que d'autres. Ainsi la fonction études, recherche et développement est la plus porteuse dans le marché post-crise (3 recrutements sur 10), preuve de l'intérêt renouvelé pour l'innovation. Viennent ensuite les postes dans la production-exploitation tertiaire (26%) et le commercial (1/4 des embauches). L'informatique, secteur traditionnellement porteur d'emplois, semble cependant se boucher. Sa part dans les recrutements cadres a baissé de plus de 10% en 2008-2009 par rapport aux trois années précédentes.
La meilleure solution : le réseauLa situation des cadres n'étant pas glorieuse, l'Apec tente d'innover. L'agence vient de signer un partenariat avec le premier réseau social français, Viadeo. Dès fin janvier 2010, les cadres inscrits sur le site de l'Apec pourront également créer un compte sur Viadeo grâce une passerelle qui leur permettra gratuitement d'obtenir des avantages "premium" (normalement payants) sur le second site. Les utilisateurs pourront ainsi visualiser des informations en rapport avec leur recherche d'emploi, par exemple des personnes travaillant dans le secteur ou dans l'entreprise qui intéressent le cadre. Grâce à ce réseau, le candidat à l'embauche obtiendra des "informations de première main" selon Dan Serfaty, fondateur et président de Viadeo. Les entreprises qui passent leur annonce gratuitement sur le site de l'Apec pourront également le faire à un tarif "privilégié" sur Viadeo. Abandonnés sur la route de l'emploi, les cadres ne peuvent aujourd'hui que compter sur les bons tuyaux de ceux qui ont trouvé le chemin.

UE energies renouvelables (IRENA).



(src : Commission Européenne)
M. Andris Piebalgs, membre de la Commission responsable de l'énergie, et M. Ola Alterå, secrétaire d'État suédois, ont signé lundi à Berlin les statuts de l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA).
L'Union européenne devient de ce fait le 138ème membre de cette nouvelle organisation dont l'objet est d'accélérer le recours aux sources d'énergie renouvelables dans le monde. C'est la première fois qu'une organisation intergouvernementale adhère à cette agence."En rejoignant l' IRENA, l'Union européenne montre que la promotion des sources d'énergie renouvelables dans le monde est une composante essentielle de sa politique extérieure en matière d'énergie. Moins d'un mois avant le sommet de Copenhague, cet acte souligne une nouvelle fois que l'UE est, dans son ensemble, favorable à une transition des combustibles fossiles vers des technologies utilisant des sources renouvelables. Opérer cette transition maintenant plutôt que de la remettre à plus tard nous sera bénéfique, aussi bien du point de vue du climat que de la sécurité des approvisionnements et de l'économie." a déclaré M. Piebalgs.L'IRENA devrait devenir une agence mondiale chargée exclusivement du développement des sources d'énergie renouvelables utilisant notamment le soleil, le vent ou la biomasse. L'objectif est de créer un centre d'excellence pour les sources d'énergie renouvelables, de conseiller les gouvernements pour la définition de programmes nationaux de promotion de ces sources d'énergie, la diffusion d'informations concernant les technologies de production d'énergie à partir de sources renouvelables et la mise en œuvre d'actions de formation, et de donner des avis sur les meilleures pratiques et les solutions de financement.Créé le 26 janvier 2009, l'IRENA comprend en plus de l'UE, 137 pays membres, dont les États-Unis, l'Inde et pratiquement tous les pays d'Europe et d'Afrique.

Salon electro, automation industrielle & energy


Des opportunités à saisir
Sur toile de fond d'investissements massifs dans les secteurs algériens de l'énergie, de la construction et de l'industrie ainsi que d'une forte augmentation de la demande en énergie, en technologies électriques et en équipements et solutions d'immotique et d'automation industrielle, fairtrade organise le 4e Salon International de l'Electrotechnique, de l'Automation Industrielle et de l'Energie d'Algérie. Celui-ci se tiendra d'ailleurs à Alger du 14 au 17 mars prochain. Le salon professionnel leader au sein du pays, electro, automation industrielle & energy 2010, offre une plate-forme commerciale idéale. Pour le prochain événement, en 2010, les organisateurs sont déterminés à ajouter encore plus de valeur à la manifestation. À cette fin, fairtrade noue des partenariats avec les exposants et les chambres de commerce pour cibler les meilleurs visiteurs de qualité potentiels de manière encore plus précise en expédiant des invitations personnalisées et en rendant l'événement encore plus enrichissant pour les visiteurs professionnels en fournissant aux exposants un espace flexible qui leur permet de recevoir des visiteurs dans le cadre de séances techniques et de formation ainsi qu'en organisant le " Coup de Projecteur sur l'Efficacité énergétique " et la " Journée Campus ". L'Allemagne sera Invité d'Honneur du Salon electro, automation industrielle & energy 2010. L'Allemagne étant l'un des principaux partenaires commerciaux de l'Algérie, sa présentation en tant qu'Invité d'Honneur contribuera à renforcer encore davantage cette position privilégiée. Selon ZVEI - l'Association centrale de l'industrie électrotechnique et électronique allemande, les exportations allemandes de produits électrotechniques vers l'Algérie ont atteint 190,9 millions d'euros en 2008, enregistrant ainsi une hausse de 5 % par rapport à 2007. Entre janvier et avril 2009, les exportations de biens électrotechniques de l'Allemagne vers l'Algérie ont augmenté de 25 % au total, les exportations de technologies d'automation de 71,9 % et les exportations de technologies d'énergie de 287,7 %. L'actuel essor du bâtiment en Algérie contribue à la très forte progression de la demande en technologies électriques, en équipements immotiques et en produits et solutions d'éclairage. Un moment idéal pour un lieu de rencontre de grande envergure s'adressant à l'ensemble du secteur : electro 2010 ! electro 2010 est le plus important événement commercial international destiné aux spécialistes et réunissant en une seule manifestation tous les domaines touchant aux technologies électriques, à l'immotique et à l'éclairagisme. Au Salon electro 2010, des fournisseurs de technologies électriques de premier plan rencontreront des cadres supérieurs acheteurs, des grossistes, des détaillants, des concepteurs, des aménageurs et des architectes de toute l'Algérie, un rendez-vous qui leur permettra de s'informer, d'établir des contacts et de réaliser des affaires. electro 2010 est le salon phare pour la communauté algérienne du commerce de l'électrotechnique. Tous les leaders algériens et internationaux sont attendus pour l'ouverture des portes du Salon electro 2010 au Palais des Exposition à Alger, des investissements massifs étant actuellement réalisés à travers le pays en vue de la modernisation et de la rénovation de bâtiments déjà existants et d'installations industrielles ainsi que de la réalisation de nouveaux projets. Aussi, les solutions d'automation industrielle deviennent un facteur de compétitivité de plus en plus important pour les grandes et moyennes entreprises d'Algérie et d'Afrique du Nord. C'est souvent dans ce domaine que se décide la réussite d'une entreprise. Au Salon Automation Industrielle 2010, l'accent est mis sur l'automation des processus, l'automation des usines et l'automation des bâtiments industriels. L'espace Automation des Processus présente des solutions destinées à tous les domaines de l'automation de processus, celles-ci allant de la planification d' ensemble aux systèmes de commande, aux dispositifs à champ et aux services d'utilisation des installations. D.T

Algerie cotisations sociales




Le ministre du Travail et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, a indiqué, lors de la visite de travail et d'inspection qu'il a effectuée dans la wilaya d'Alger, ce dimanche, qu'un décret exécutif portant réduction des cotisations sociales des personnels du secteur économique est à l'étude.
Une mesure qui s'inscrit dans le cadre de l'encouragement de la création de nouveaux postes de travail. Ce décret, qui sera prêt dans les prochaines semaines, s'inscrit également dans la stratégie de l'Etat portant sur des dispositions incitatives de soutien et de promotion de l'emploi, et également, la mise en œuvre du programme du président de la République, notamment son volet relatif à la résorption du chômage en Algérie et à la création de 2 millions d'emplois à l'horizon 2009, pour "lutter contre le phénomène de non-déclaration des travailleurs auprès des services de la sécurité sociale". Il est à noter que le taux de chômage a été ramené à 12.30%, selon les dernières statistiques de l'Office national des statistiques. Concernant ce taux, M. Louh expliquera que le chômage est un problème de la non-qualification de la main d'œuvre. Il n'exclut pas que le même taux doit être revu à la baisse, puisqu'au niveau de l'Anem, le nombre de demandeurs d'emploi n'est que de 600 000 en 2006. Il est à noter que la caisse de recouvrement, créée par décret exécutif, sera opérationnelle avant la fin de cette année, selon le ministre du Travail et de la Sécurité sociale. D'autre part, ce décret permettra la mise en œuvre du projet de loi portant sur des mesures d'encouragement de la création de l'emploi, adopté par les députés, en octobre 2006. A ce titre, M. Louh avait souligné que ce texte vise à mettre en place de nouveaux mécanismes pour l'encouragement, le soutien et la promotion de l'emploi, à travers la réduction des charges sociales au profit des employeurs, en contrepartie de la création de nouveaux emplois, sans modifier les taux des participations en vigueur. Ce texte vise aussi à encourager les investissements nationaux, à drainer les investissements étrangers, notamment dans les régions des Hauts-Plateaux et du Sud de l'Algérie et à inciter les employeurs à la mise à niveau de leurs ressources humaines par le biais de la formation, et partant de là à préserver leurs emplois. Cette loi permettra également une meilleure maîtrise du marché de l'emploi, par l'enregistrement des demandes d'emploi au niveau des agences d'emploi, en vue de bénéficier des avantages contenus dans ce texte. Il s'agit de prendre en charge les préoccupations des employeurs, consistant essentiellement en l'allégement des charges sociales pour réduire le coût de la création de nouveaux emplois. Dans le cadre de développement des dispositifs publics de promotion de l'emploi, en matière de chiffres, selon, le ministre de la Solidarité nationale et l'Emploi, le budget de l'Etat, mobilisé dans ce domaine, est passé de 12,3 milliards de dinars en 1999 à 23,1 milliards de dinars en 2005. Le budget arrêté en 2006 est de 38 milliards de dinars dont 9,3 milliards de dinars pour le financement du volet emploi du programme spécial des wilayas du sud et des Hauts-Plateaux.
Nacéra C.