阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, May 15, 2010

Algerie dialogue social un exemple à vulgariser» en Afrique


L’expérience algérienne dans le dialogue social, «un exemple à vulgariser» en Afrique
Les participants à la 33e session du Conseil général de l’Organisation syndicale de l’Unité africaine (Ousa) ont affirmé, hier, à Alger que l’expérience algérienne dans le dialogue social doit être considérée comme un «exemple à suivre et à vulgariser» par l’Ousa et le Bureau international du travail (BIT). «Nous soulignons que le dialogue social est un élément important. A cet égard, nous affirmons que l’expérience algérienne doit être considérée comme un exemple à suivre et à vulgariser par l’Ousa», lit-on dans la déclaration d’Alger ayant sanctionné les travaux de cette rencontre syndicale africaine qui a duré 4 jours. Le Conseil général de l’Ousa s’est félicité de la «volonté exprimée par les travailleurs africains et de leurs organisations syndicales de renforcer leur unité et leur solidarité pour relever les défis de nature politique et socioéconomique, en privilégiant le dialogue social, le tripartisme, la promotion du genre et de l’emploi des jeunes et l’inclusion de la diaspora dans les politiques de développement». C’est dans ce cadre, que la Déclaration d’Alger réaffirme la «détermination» de l’Ousa à «privilégier» la recherche et la mise en œuvre de solutions africaines basées sur «la solidarité, la coopération et l’intégration» pour faire face aux défis politiques et socioéconomiques auxquels le continent est confronté. Les participants ont exprimé leur préoccupation à l’égard de la poursuite des politiques néolibérales et des comportements «égocentriques» des pays du Nord et des institutions de Bretton Woods. Agence

Algerie Blida ville des roses




Blida veut redorer son blason



Blida veut renouer avec sa réputation de ville des roses. Au cœur de la Mitidja, et depuis sa fondation il y a au moins quatre siècles, la ville de Blida n'a cessé de traîner dans son long cheminement au voisinage des plaines fertiles de la Mitidja un parfum de rose. Plus qu'un titre, la Ville des roses a su développer des métiers traditionnels hérités depuis des générations par les familles blidéennes, dont certaines se sont spécialisées dans la distillation de l'eau de rose et des essences floristiques (Maa Z'har). Pour un habitant de la Mitidja, troisième plaine fertile à l'échelle mondiale, faut-il le rappeler, il est tout à fait naturel qu'y naissent des vocations pour les fleurs et les plantes, mais hélas, le métier périclite avec la disparition des derniers distillateurs, à l'image de Kheira Kerdjadj. La distillation de l'eau de rose s'étend sur toute la période de cueillette, allant de la mi-avril à la première quinzaine de mai. Selon une technique simple en apparence, cette eau florale provient de l'eau de condensation qui est récupérée de l'essencier de l'alambic, une sorte de vase de décantation en cuivre. La partie inférieure de l'alambic est soumise à une chaleur produisant de la vapeur qui va traverser les roses placées dans l'autre partie de l'alambic, laquelle vapeur condensée sera récupérée dans un récipient et se transformera en eau de rose. Kheira, blidéenne de souche, très "au parfum" lorsqu'elle parle de cette activité pour avoir passé toute sa vie parmi les fleurs, précise que l'alambic en question est mis sur le feu pendant au moins 4 heures, temps nécessaire à la vaporisation de l'eau et à sa condensation en vue de sa transformation en gouttelettes d'eau odorantes. Un litre d'eau de rose ou de fleurs distillées, selon ce procédé, coûte autour de 400 DA, selon les estimations. Des huiles essentielles de fleurs peuvent être également obtenues par ce même procédé dit de distillation ou d'hydro-distillation, mais en quantités bien plus infimes par rapport à l'eau de rose. Selon cette interlocutrice, l'opération de distillation doit se faire obligatoirement dans des récipients inoxydables, pour ne pas altérer la couleur des matières premières (les huiles essentielles). Une multitude d'applications. D'un point de vue nutritionnel, la rose est riche en vitamine C, une qualité qui lui assure une place de choix dans la cuisine algérienne en général et la cuisine blidéeene en particulier, et l'eau de rose entre comme ingrédient de base dans la composition de nombre de gâteaux et autres friandises auxquels elle donne un goût suave au parfum incomparable. Ses vertus médicinales sont également avérées en matière de traitement des migraines, étant utilisée comme calmant lorsqu'elle est associée à une boisson chaude (lait ou thé). Elle entre également dans la composition de plusieurs médicaments stimulants et tonifiants eu égard à sa teneur en vitamines et en sels minéraux, alors que de nombreuses familles l'utilisent pour assaisonner les mets. L'eau de rose est, par ailleurs, la dernière senteur que la mariée emportera avec elle en quittant le cocon familial pour rejoindre le domicile conjugal, selon une vieille tradition blidéenne qui veut que la mariée soit aspergée de cette eau au moment des grands adieux. Selon les initiés, la rose est le genre floral le plus utilisé dans la distillation, en raison de leur profusion à Blida. Viennent ensuite, le jasmin dans ses deux variétés blanche et jaune, le giroflier, le narcisse, la et bien d'autres. On se souvient même que les colons français organisaient, chaque début mai à Blida Place de la liberté, une sorte de festival des fleurs doublé d'un concours du meilleur véhicule fleuri. L'eau de rose a également une place de choix en cosmétologie où elle entre dans la composition de plusieurs crèmes, parfums et autres produits de beauté, mais son rôle tend à décliner avec la disparition progressive des derniers tenants de ses secrets de fabrication, selon une dame qui déplore la raréfaction de ce produit de beauté naturel. Néanmoins, les efforts des pouvoirs publics pour la réhabilitation de certaines manifestations, à l'exemple des Floralies de Blida, organisées annuellement tout le long du boulevard Laichi Abdellah de Blida, sont un signe que tout n'est pas encore perdu pour ce métier ancestral, né dans cette ville fondée au XVIe siècle par un homme au goût raffiné, amoureux des fleurs et des jardins, le Saint patron Sidi Ahmed Al Kebir. Pour sa pérennité, cette spécialité (distillation de l'eau de rose) propre à la ville de Blida gagnerait beaucoup à être introduite dans le cursus de la formation professionnelle, selon le voeu des Blidéens, du moins ceux d'entre eux qui célèbrent activement, en ce moment, le Mois du patrimoine.R.R.

Global Entrepreneurship Program



Le Global Entrepreneurship Program (GEP) est un nouveau programme du gouvernement américain axé sur le soutien et l'autonomisation des entrepreneurs dans les communautés musulmanes à travers le monde - et au-delà. Il le fera grâce à une mobilisation des partenaires, tant des États-Unis et dans le pays, ainsi que plusieurs programmes gouvernementaux des États-Unis dans les six domaines considérés comme essentiels à la création d'un écosystème .

Global Entrepreneurship Program




The Global Entrepreneurship Program (GEP) is a new U.S. Government program focused on supporting and empowering entrepreneurs in Muslim communities around the world – and beyond. It will do this by marshalling partners, both U.S. and in-country, as well as multiple U.S. government programs around the six areas considered to be essential to creating a successful ecosystem for entrepreneurs.
These six areas are: ‘Identify,’ ‘Train,’ ‘Connect,’ ‘Guide to funding,’ ‘Sustain,’ and ‘Celebrate’ entrepreneurs. The proposed program has twelve focus countries throughout the world, including seven Muslim majority countries. GEP will provide expertise, tools and support for entrepreneurs that will help them to develop and flourish – spurring innovation and creating jobs and economic opportunity.
Secretary Clinton's Announcement
During her speech at the Presidential Summit on Entrepreneurship on April 27. 2010, Secretary of State Hillary Clinton launched a number of new programs. The first and foremost of these was the Global Entrepreneurship Program, which she announced with the following: "Here are some of the outcomes of this summit, as to what the United States intends to do. First, we are launching the Global Entrepreneurship Program. That’s an initiative that will provide concrete support to new entrepreneurs, starting in Muslim-majority communities and eventually expanding to others worldwide. Through this program, we will work with the United States private sector partners and local businesses, along with civil society groups, to help create successful entrepreneurial environments. We will help sponsor business plan competitions to identify and support promising ideas. We will work to expand access to capital so entrepreneurs with a sound business concept will have access to credit to enable them to put their ideas to work. We will facilitate partnerships between business schools in the United States and educational institutions worldwide to share knowledge and help strengthen business education. We will support mentoring programs so someone starting out can benefit from the experience of someone who’s been down that road before. I’m pleased to announce the launch of the Global Entrepreneurship Program’s first pilot program, in Egypt, coordinated by a team of Entrepreneurs in Residence from USAID. We will soon launch our second program in Indonesia, and we plan to expand to a dozen countries within the next two years.
First Pilot in Egypt
In Egypt, as part of GEP, On the Frontiers Pioneers of Prosperity program is bringing its highly regarded business plan competition programs; the Small Enterprise Assistance Fund’s Centers for Entrepreneurship and Executive Development, CEED, will provide their training and alumni networking programs; Endeavor, will deepen their best-in-class high-impact mentoring with the addition of their new Mentor Capital program. In addition, GEP’s eight local Egyptian partners include the Egyptian Junior Business Association, Nile University, the American University in Cairo, Delta Financial, and the Egyptian Business Leaders Forum and others. The local partners will work with U.S. partners in every area from training to mentoring to seeding angel investor networks.
In Egypt, the Global Entrepreneurship Program will be managed by a team of "Entrepreneurs in Residence" funded by USAID. They will grow the partnership network and the programs and partnerships offered. In Washington, GEP will be managed as an interagency team, led by the State Department’s Bureau of Economic Affairs/Office of Commercial and Business Affairs. It will work together with several U.S. government agencies, principally the Department of State, Department of Commerce, USAID, OPIC, SBA, and the Millennium Challenge Corporation.
From Wikipedia, the free encyclopedia

Madame Hillary Clinton Promotion de l'entreprenariat une série d'initiatives



La secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, a annoncé, mardi soir, une série d'initiatives visant la promotion et l'amélioration du climat de l'entreprenariat dans les pays musulmans et dans le monde, à l'issue du Sommet de Washington sur l'entreprenariat.

Ce Sommet reflète la nouvelle approche de la politique étrangère que le président Obama a exposé l'année dernière dans son discours du Caire, et que nous avons continuellement mis en œuvre à travers des partenariats fondées sur le respect mutuel et la responsabilité partagée", a souligné Mme Clinton, qui s'adressait aux quelque 300 entrepreneurs et chefs d'entreprises ayant pris part à ce Sommet. "Nous avons développé des initiatives qui vont accompagner les travaux de ce Sommet et assister les entrepreneurs à travers le monde dans les mois et années à venir", a indiqué la chef de la diplomatie américaine.Mme Clinton a ainsi fait savoir que les Etats-Unis vont lancer une nouvelle initiative, baptisée "Global Entrepreneurship Program", qui va apporter une assistance concrète aux nouveaux entrepreneurs dans les pays à majorité musulmane, notamment en améliorant le climat entrepreneurial. Ce programme entend aussi élargir l'accès aux capitaux et aux crédits pour les entrepreneurs ainsi que le partage des expériences réussies. Une seconde initiative, a-t-elle ajouté, a aussi été lancée et qui porte sur des partenariats avec deux firmes basées dans la Silicon Valley, à même de permettre aux bénéficiaires d'accéder aux financements, à l'expertise et au savoir-faire technologique de ces institutions.Clinton a également annoncé un nouveau partenariat entre le Département d'Etat et Partners for a New Beginning (PNB, Partenaires pour un nouveau départ), initiative qui s'inscrit dans le cadre de l'effort de promotion d'un "nouveau départ" avec le monde islamique à travers notamment le transfert de savoir-faire et des technologies et le lancement de programmes d'assistance au profit des nouveaux entrepreneurs. Une quatrième initiative a également été annoncée par la secrétaire d'Etat, baptisée E-Mentor Corps, qui est un programme de mentorat en ligne désigné spécifiquement pour accompagner les jeunes et les nouveaux entrepreneurs, qui vont être assistés par un "mentor" expérimenté.Le Sommet sur l'entreprenariat, auquel le président Barack Obama avait appelé dans son discours du Caire en juin dernier, a été marqué par la participation de quelque 300 délégués représentant une soixantaine de pays, dont le Maroc.
Moyennes entreprisesLes petites et moyennes entreprises (PME-PMI) peuvent jouer un rôle fondamental dans la promotion des échanges commerciaux entre les Etats-Unis et les pays arabes et musulmans, a estimé, mardi, la directrice de l'administration US en charge des PME-PMI, Karen G. Mills. «Les PME-PMI ont la capacité de promouvoir de manière substantielle le commerce entre les Etats-Unis et les pays musulmans, et contribuer à augmenter la part des exportations de ces pays et créer ainsi davantage d'emplois», a expliqué à des journalistes, Mme Mills, en marge du Sommet sur l'entreprenariat qui s'est tenu lundi et mardi à Washington.





Algerie accord d’association avec l’UE



Accord d’association avec l’UE : l’Algérie plaidera pour plus d’équité
L’Algérie plaidera lors du 5e conseil d’association avec l’Union européenne, prévu le 15 juin à Bruxelles, pour une révision des clauses de l’Accord d’association à même de les rendre «plus équitables pour tous», a indiqué jeudi derner à Alger le ministre du Commerce El-Hachemi Djaâboub. «Nous allons voir dans quelle mesure nous pouvons demander la révision des clauses (de l’Accord d’association avec l’UE) pour qu’elles soient plus équitables entre l’Algérie d’une part et les états membres de l’UE d’autre part», a-t-il déclaré à des journalistes en marge d’une séance plénière de l’APN. «Nous avons constaté des anomalies et des imperfections dans l’application de cet accord. Chaque secteur a donc présenté son rapport sur cette mise en œuvre, au ministre des Affaires étrangères qui portera ces documents à Bruxelles». L’Algérie compte renégocier avec l’UE certaines clauses de cet accord lors du prochain conseil d’association, en vertu d’une clause dénommée clause de rendez-vous. Dans le volet commercial, les propositions de l’Algérie vont concerner notamment les contingents de produits exportés vers l’UE sans droits de douanes, avait déclaré récemment le ministre du Commerce, estimant que «les normes imposées pour ces produits sont inaccessibles pour les exportateurs algériens». Agence

Algérie-UE révision de l’accord de 2005



Négociations le 15 juin à Bruxelles, Algérie-UE : Révision de l’accord de 2005
Parmi toutes les questions épineuses à régler, il y a celle du rééquilibrage de la balance commerciale qui est en en faveur de l’Union européenne.
L’Algérie ira, le 15 juin, à Bruxelles pour soumettre au débat l’idée de revoir les clauses de l’Accord d’association conclu, en septembre 2005, avec l’UE. C’est une idée qui taraude depuis plusieurs mois l’esprit des responsables algériens en charge de ce dossier. Après avoir, à maintes reprises, critiqué le bilan de cet accord commercial et économique, plus que jamais négatif pour la partie algérienne, le ministre du Commerce commence à dévoiler les intentions du gouvernement, quitte à agacer, car ce qui est en jeu pour l’UE n’est pas négligeable : sa cohésion et sa stabilité financière et économique.
Selon Hachemi Djaâboub, ministre du Commerce, l’Algérie envisage de mettre à profit la tenue du 5e Conseil d’association avec l’Union européenne, prévu le 15 juin à Bruxelles, afin d’exposer ses desiderata. Parmi toutes les questions épineuses à régler, il y a celle du rééquilibrage de la balance commerciale hors hydrocarbures de l’Algérie, très déséquilibrée en faveur de l’Union européenne. « Nous allons voir dans quelle mesure nous pouvons demander la révision des clauses de l’Accord d’association avec l’UE pour qu’elles soient plus équitables entre l’Algérie d’une part et les Etats membres de l’UE d’autre part », a déclaré M. Djaâboub, approché par les journalistes dans les coulisses de la Chambre basse du Parlement. Sans l’ombre d’un doute, l’Algérie a perdu au change dans son accord signé avec l’Union européenne il y a maintenant cinq ans déjà. Pour 1 dollar exporté vers l’UE, l’Algérie importe pour 20 dollars.
L’écart est de taille. En outre, depuis septembre 2005, date de mise en œuvre de l’Accord d’association, les importations algériennes de l’UE ont augmenté de près de 80%, passant de 11,2 milliards de dollars en 2005 à 20,8 milliards de dollars en 2008.
Sur le plan agricole, à titre indicatif, les importations algériennes depuis la zone euro sont passées de 1,2 milliard de dollars en 2005 à 2,8 milliards de dollars en 2008. L’importation de produits industriels a atteint 17,7 milliards de dollars en 2008 contre 9,8 milliards de dollars en 2005. Les importations en provenance de l’UE constituent 55% des importations globales de l’Algérie. Pour ce qui est des contingents tarifaires accordés par l’Algérie dans le cadre de l’Accord d’association, ceux-ci ont été totalement consommés par les pays de l’UE, alors que l’Algérie n’en a consommé que 6 sur les 41 octroyés par l’UE à des taux très faibles qui ne dépassent pas les 10%.
Sur le plan des affaires, l’on a relevé une très faible présence des investisseurs européens en Algérie, notamment dans les secteurs hors hydrocarbures. Les Européens, eux, brandissent la carte de l’instabilité juridique et la détérioration du climat des affaires en Algérie. Le ministre du Commerce a reconnu que la partie algérienne « a constaté des anomalies et des imperfections dans l’application de cet accord. Chaque secteur a donc présenté son rapport sur cette mise en œuvre au ministre des Affaires étrangères, qui portera ces documents à Bruxelles ».
Mais pour la porte-voix de l’Union européenne en Algérie, Mme Laura Baeza, l’accès au marché européen « nécessite un travail d’adaptation pour les entreprises algériennes ». Elle a précisé, lors d’une récente sortie médiatique, que la non-consommation des contingents tarifaires accordés par l’UE à l’Algérie relève d’une « question de conformité aux standards européens ». En tout cas, l’Algérie entend renégocier avec l’UE certaines clauses de cet accord lors du prochain Conseil d’association, en vertu de la « clause de rendez-vous ». Les deux parties ont ainsi dévoilé leurs pièces à conviction, mais la question mérite d’être posée, car l’Algérie a été perdante sur toute la ligne.
Par Ali Titouche