阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, August 29, 2010

Alger année 1890 Youtube

Algerie-Focus.com Mehdi TAJE Youtube




Mehdi Taje, diplômé de Paris V et du Collège de défense de l’OTAN à Rome poursuit un doctorat à l’Université de Paris la Sorbonne sur « la géographie politique de l’espace sahélien : d’une analyse de la conflictualité à une recherche prospective ». Expert en géopolitique et en méthodologies de la prospective et de l’anticipation, il enseigne ces disciplines à l’Université de Tunis, à l’Institut de Défense Nationale (IDN, Tunis), à l’Institut des hauts commis de l’Etat à l’ENA (Tunis) et à l’Ecole Supérieure des Forces de Sécurité Intérieure. Parallèlement, M. Taje est expert auprès de l’Institut Tunisien des Etudes Stratégiques (ITES). Depuis début 2010, M. Mehdi Taje est spécialiste des questions africaines à l’Irsem (Institut de recherche stratégique de l’Ecole Militaire de Paris), membre du think thank la « République des idées » (Rassemblement Constitutionnel Démocratique, Tunisie) et membre du comité scientifique du Forum Internationale de Réalités. Il a également apporté son expertise auprès de grands groupes industriels français et tunisiens. Enfin, M. Taje est l’auteur d’une monographie sur la géopolitique du théâtre sahélien (NDC Occasional Paper, n°19, décembre 2006) et de nombreux articles balayant de larges champs géographiques (espace sahélien, Afrique, théâtre méditerranéen, Asie, terrorisme, etc.) au sein de revues françaises et tunisiennes.

A travers ses travaux sur le Sahel et l’Afrique, M. Taje aspire à développer une nouvelle analyse de la conflictualité de ces espaces en s’appuyant sur l’approche systémique et géopolitique.

Suivre ses chronique sur: www.realpolitik.tv

Des centaines de milliers de Pakistanais fuyaient vendredi un district du sud du Pakistan youtube,


Le mot « Pakistan » est un néologisme. Le nom signifie « pays des purs » (de l'ourdou : pâk signifiant « pur » et stân signifiant « pays », avec un i de liaison). Mais c'est aussi un acronyme formé avec le nom des provinces du pays : le Pandjab, l'Afghania (actuelle province de Khyber Pakhtunkhwa), le Kashmir, l'Indus-Sind et le Baloutchistan, donnant ainsi une étymologie populaire et néanmois hasardeuse au nom, puisque le « Bengale oriental », appelé par la suite « Pakistan oriental » (futur Bengladesh) n'y est pas mentionné alors qu'il représentait plus de la moitié de la population du futur état lors de son indépendance en 1947

Unesco Casbah d'Alger



Dans l’un des plus beaux sites maritimes de la Méditerranée, surplombant les îlots où un comptoir carthaginois fut installé dès le IVe siècle av. J.-C., la Casbah constitue un type unique de médina, ou ville islamique. Lieu de mémoire autant que d’histoire, elle comprend des vestiges de la citadelle, des mosquées anciennes, des palais ottomans, ainsi qu’une structure urbaine traditionnelle associée à un grand sens de la communauté.

La Casbah d'Alger a été inscrite sur la Liste du patrimoine mondial à la 16e session du Comité, en décembre 1992.

La Casbah proprement dite (forteresse) et toute la vieille ville d'el- Djazaïr située entre ce fort et le bord de mer.

En 1516, le corsaire turc Khaïr al-Din installe sa capitale à Alger. Il en fait une ville fortifiée en construisant d'imposants remparts, qui sont à l'origine de la Casbah. Six portes assurent la liaison entre la vieille ville, le port et le reste du pays. L'accroissement de la ville se traduit par un développement des espaces bâtis, notamment de maisons à étage. Même si, à l'époque, les Ottomans sont présent le long d'une grande partie du littoral algérien, le pouvoir turc intervient peu dans les affaires locales d'Alger. Le bey Khaïr al-Din fait prospérer la ville en combinant la force militaire et le développement du commerce. La ville est prospère jusqu'au XVIIe siècle. Dans la ville se conjuguent alors les traditions turques et arabes.

Aux alentours de 1920, naît un vériTABLE intérêt pour la sauvegarde de la vieille ville. Les premières études pour la sauvegarde du site de la Casbah d'Alger sont conduites dans les années 70. Un plan d'aménagement de la Casbah est mis en oeuvre à partir de 1981. Il porte en particulier sur le bâti de la période 1816-1830 pour mettre en valeur la ville à l'époque de l'influence ottomane, 1816 étant la date à laquelle le centre politico-administratif fut transféré à la citadelle ; ce déplacement a entraîné un nouveau flux de population vers la haute ville. Il a été notamment suivi d'un plan d'action-programme prioritaire en 1985 et d'un plan directeur d'aménagement et d'urbanisme en 1992. Le plan de restauration actuellement en cours correspond parfaitement aux besoins de la vieille ville : il s'agit notamment de restaurer et de réhabiliter le tissu historique. en plus de sa richesse artistique, la vieille ville est un précieux témoin de l'histoire de l'Algérie.

La Casbah s'étend en effet sur 45 hectares et témoigne d'une forme urbaine homogène dans un site original et accidenté (118 mètres de dénivellation). La richesse de la ville se traduit par les décorations intérieures des habitations, souvent ordonnées autour d'une cour carrée centrale faisant atrium. Les rues tortueuses et pentues constituent aussi un élément caractéristique de la vieille ville. elle abrite également douze mosquées dont la mosquée Djamâa el-Kébir du XIe siècle. La citadelle qui abritait plusieurs palais résidentiels et édifices religieux o? siégeait le pouvoir algérien avant 1830 fait l'objet depuis 1985 d'un vaste plan de restauration.
Source : Centre du patrimoine mondial de l'Unesco

Algerie SITES HISTORIQUES la restauration en point de mire


SITES HISTORIQUES

Parmi les priorités de la direction de la culture de Bouira, figure le volet restauration des sites historiques de la wilaya.

Aux quatre points cardinaux de l’Algérie, de nombreux sites historiques de grande dimension représentant des pans entiers de notre histoire collective, se trouvent malencontreusement dans un état de dégradation avancé et n’inspirent que désolation à leur vue. Il y a donc matière à interpeller les esprits épris de la sauvegarde de ces joyaux architecturaux et pourquoi pas de leur protection en attendant le lancement des travaux de restauration. A ce titre, une enveloppe de 41 milliards a été consacrée à la réhabilitation des portes et de la muraille de Sour. Les quatre portes célèbres Bab Essebt, Bab Edzaïr, Bab Sétif et Bab Boussaâda témoignent du passage des Ottomans dans cette ville où même De Gaulle aurait passé une nuit. En plus de rénover les vestiges historiques, il a été fait part de la construction dans cette région des Hauts-Plateaux du Centre, d’un musée dans la ville de Sour El Ghozlane. Un théâtre de verdure est en réalisation et connaît un taux d’avancement appréciable. Chaque commune bénéficie d’une salle de lecture où et selon la densité de la population, d’une bibliothèque communale.
La localité du chef-lieu de daïra peut se targuer d’abriter les meilleurs lieux historiques tant en importance qu’en nombre. Elle comporte des vestiges romains représentant une valeur inestimable, des traces de fragments de forts, de murailles et surtout de forums et temples, du temps où la ville s’appelait Auzia.
Il est vrai aussi qu’il ne subsiste de l’antique ville que quelques inscriptions latines et des gravures de valeur, bien que dans un état de destruction avancé, il est possible de sauver ce qui reste. Pour cela, il est question de restaurer les murailles d’Auzia et d’autres sites archéologiques, tels que le vestige du fort romain de Hadjra Ezzerga un autre fort situé au coeur d’une forêt verdoyante aux sources d’eau à Bordj Okhris, le fort romain d’El Hakimia. Il y a un autre lieu hautement symbolique qui se trouve non loin de Sour El Ghozlane et dont il est plus qu’indispensable de restaurer, pour la mémoire, il s’agit du tombeau du valeureux chef guerrier berbère Massinissa tué, en ce lieu, après des années de lutte et de résistance contre l’occupant romain. Le chef-lieu de wilaya dispose, lui aussi, de vestiges qui retracent son aura à travers des décennies et des millénaires. Le fort ottoman, El Medersa, la mosquée Ben Badis...sont autant de vestiges qui marquent chacun une époque de l’histoire de toute une région. «La réhabilitation de ces sites se veut une action pour leur redonner leur lustre d’antan».
En parallèle, et pour ne pas rester en marge, la direction de la culture vient de lancer les travaux pour la réalisation d’un théâtre de plein air d’une capacité de 3 700 places.

Abdenour MERZOUK

La sous-traitance est peu développée en Algérie


Par : Meziane Rabhi
500 entreprises seulement sont recensées dans la filière
Le programme Optimexport organise, le 19 septembre prochain au siège d’Algex, un panorama sectoriel à l’international, consacré à l’activité de la sous-traitance.

“D’actualité, cette journée d’information intervient à quelques semaines de la deuxième participation algérienne au Salon international de la sous-traitance industrielle (MIDEST 2010), qui va se dérouler à Paris-Nord Villepinte, du 2 au 5 novembre 2010, avec la collaboration de notre partenaire, la Bourse de sous-traitance et de partenariat Ouest BSTO”, souligne le programme Optimexport. Ce dernier, dans son blog, explique, qu’avec “l’avènement des techniques de production basées sur la robotique et les technologies intégrées, et face aux exigences de produits de qualité, l’activité mondiale de sous-traitance industrielle connaît un développement certain”. De nombreuses entreprises qui préfèrent se concentrer sur leur corps de métier, ont ainsi recours à des intervenants extérieurs qui disposent de compétences adaptées pour réaliser des travaux ou des ouvrages. “En 2008, le total de l’offre de sous-traitance dans le marché européen est évalué à 435,15 milliards d’euros et quelque 260 000 entreprises européennes ont une activité de sous-traitance industrielle. Face au ralentissement de l’activité générée par la crise de 2009, les entreprises ont dû s’adapter en investissant dans de nouveaux services, en se diversifiant, en misant sur l’innovation, voire sur un recentrage de leurs activités”, relève-t-on. Parce que certains métiers de la sous-traitance sont très concurrencés en Europe, l’anticipation a permis à de grands sous-traitants de consolider leur positionnement sur des champs de compétence. Dans certains secteurs tels que l’industrie automobile, où l’Europe se positionne en leader avec 35% de la production mondiale, les grands groupes spécialisés et les géants mondiaux tentent de maintenir leurs flux d’investissement et de profiter de la relocalisation, notamment en Turquie, au Maroc ou en Tunisie. “En Algérie, le développement de la sous-traitance reste encore insignifiant et seules quelque 500 entreprises sont recensées dans la filière”, note Optimexport. Intervenant à la Radio nationale en juillet dernier, M. Bensaci Zaïm, le président du Conseil national consultatif pour la promotion de la PME (CNC/PME), qui a estimé le marché de la sous-traitance à 3,5 milliards de dollars, n'a pas manqué de relever les potentialités importantes à développer dans divers secteurs d'activité tels que l'énergie, la pétrochimie, la métallurgie, l'industrie mécanique ou agroalimentaire. Cependant, faute d'une réglementation de l'activité et d'une culture d'évolution collective, l'activité de sous-traitance ne connaît pas l'essor voulu. Il faut souligner qu’à l’exception des rares entreprises nationales qui sous-traitent localement certaines de leurs activités, la plupart des groupes industriels confient une partie de leurs plans de charge aux entreprises étrangères, et ce, au détriment du savoir-faire local et de sa valorisation.
Dans de nombreux secteurs, les professionnels plaident pour une intégration des entreprises nationales dans les contrats concédés aux partenaires étrangers et ce pour un transfert de savoir-faire, la création d’emplois et l’accroissement de la productivité. Cette tendance est déplorée par les pouvoirs publics qui appellent au développement de l’esprit entrepreneurial et à une coopération nationale pour résister au recours systématique à l’importation de la pièce de rechange ou à la prestation étrangère par les donneurs d’ordre algériens. “Elle indique surtout la nécessité d’adosser cette activité à une véritable stratégie qui permettrait le développement et la valorisation des performances en matière de sous-traitance nationale capable d’accaparer des parts de marché à l’international”, suggère Optimexport.

Conjuguons nos amours et aimons là, cette Algérie, ce « Cœur du Maghreb classique »




Le dernier numéro du « Petit Futé » apparait comme un pamphlet contre l'Algérie. S’il contient quelques douloureuses vérités que personne ne voudra ici nier, il comporte également une attaque sournoise contre ce pays et surtout contre sa population. Par moment, le propos frise le racisme. Ces excès ne peuvent en aucune manière être tus ni tolérés. Une réponse sereine, collective et appropriée devrait remettre les choses à l’endroit. Il est évident que cette dérive du Petit Futé dessert les intérêts bien compris de l’Algérie tout en mettant en exergue les mérites supposés de ses voisins. On devrait dire que c’est de bonne guerre dans ce honteux marchandage que toute bonne morale se devrait de réprouver. Mais il est de certaines affirmations qui relèvent de la calomnie lorsqu’appliquées à tout un peuple et à ses fondamentaux. Car s’agissant des nos valeurs séculaires, il ne peut plus être permis à quiconque de se référer à des élucubrations moyenâgeuses et d’en faire une chronique du temps présent. Le glissement n’est pas que sémantique, il est cynique et sert une cause entendue, que de nombreux médias, surtout français, ne cessent de répandre afin de nuire au rapprochements humains que de nombreux Algériens, tentent avec abnégation de construire à travers le mur de la honte qu’une droite revancharde ne cesse d’ériger afin que ce pays mille fois meurtri ne parvienne jamais à reconstruire une société de tolérance, de convivialité et de bonne intelligence. Celle là même que n’ont cessé de réclamer les plus lucides enfants de cette terre. Qui se trouvent être aussi bien de substance berbère, juive, arabe, française et d’autres encore. Car par-delà les contingences religieuses et ethniques, il a toujours été possible de construire un socle commun sans lequel ce pays n’aurait aucune histoire à opposer à ses détracteurs. C’est pourquoi, cette dernière salve venimeuse d’un petit serpent sournois devrait aider à rassembler tous les enfants d’Algérie, ceux biologiques, qui sont nés sur cette terre et qui continuent de l’aimer et de s’en réclamer et ceux d’adoptions, qui la connaissent à travers son fabuleux et multiethnique peuple, dont ils ne cessent d’admirer la bravoure, la jovialité, la bienséance, l’hospitalité et la fierté. L’Algérie, ce « Cœur du Maghreb classique » selon le beau titre du très beau livre de Gilbert Meynier, n’est jamais aussi forte que lorsqu’elle est assiégée. Au lieu de ruer comme nous le faisons parfois sans retenue sur ce petit futé et sur ses attaques perfides, prenons l’engagement solennel que désormais tout ce qui touche à ce pays nous concerne. Faisons en sorte que plus aucun Algérien ne se sente oublié ou abandonné par son pays. C’est à partir de là que nous entamerons notre nouveau chemin vers l’opulence et vers la félicité. Faisons un effort sur nous-mêmes et sachons réparer ce que la bêtise humaine a si mal conçu. Au lieu d‘aimer individuellement l’Algérie, conjuguons nos amours et aimons là ensemble et en communion. Rendons-lui ce beau visage éclatant en lui épargnant nos paresses. A chacun de nos gestes souvenons-nous que le petit futé est à l’affut. Du statut d’ennemi public numéro un que d’aucuns lui fourbissent, faisons-en le redresseur de nos torts. Pour ce faire, un seul objectif : que chacun dans son action quotidienne partout en Algérie et à travers le monde, sache être digne et relevons le défi afin que ce petit futé se déjuge sans insultes ni contraintes. Pour conclure, un proverbe Djidjélien :

S’il t’insulte une fois, c’est pour lui, à la seconde fois c’est pour toi (idha sebbek mara yna3al bouh d’houa, idha sebbek maratayni, yna3al bouk denta ». Faisons en sorte qu’il n’y aura plus une autre fois. Nous avons dans les caisses du trésor public 286 milliards de dollars pour le faire. Il nous manque une trentaine de ministre, une cinquantaine de wali, 150 ambassadeurs, plus de 1500 maires, 30.000 universitaires, 500.000 fonctionnaires et 35 millions de citoyens ! Avec toute cette armada, ce n’est pas un petit futé qui viendra nous donner la leçon ! Nous serons trop grands pour lui ! Mais cela passe par la reconnaissance de nos travers.

Aziz Mouats Université de Mostaganem

Nouvelles mesures sur la participation algérienne dans les banques étrangères



Nouvelles mesures sur la participation algérienne dans les banques étrangères


Le gouvernement a mis en place une série de mesures, qui seront une sorte de phase transitoire qui s’étendra sur trois ans pour la régulation du marché financier et bancaire, concernant la participation d’actionnaires algériens à hauteur de 51% dans toute nouvelle banque s’implantant en Algérie. Les banques du secteur public, les compagnies d’assurance et le fond national d’investissement seront prioritaires dans la prise d’actions.
Le fait qu’une compagnie internationale d’assurance telle qu’ « AXA » ait accepté les conditions algériennes d’association avec les banques publics et le fond national d’investissement et d’être actionnaire à moins de 50%, a semble-t-il encouragé les pouvoirs publics à imposer ses nouvelles mesures.

L’Algérie organisera un colloque international sur le droit des peuples à la résistance



Il sera organisé en septembre prochain et verra la participation de 200 personnalités
L’Algérie organisera un colloque international sur le droit des peuples à la résistance


Le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), M. Mahrez Lamari a annoncé la tenue les 25 et 26 septembre à Alger d’un colloque internationale sue le droit des peuples à la résistance.
M Lamari a en effet déclaré en marge de la clôture des travaux de l’université d’été des cadres de la république arabe sahraouie démocratique, que ce colloque qui sera organisé par le comité verra la participation de plus de 200 personnalités et représentants d’organismes internationaux officiels ou indépendants, de la société civile et politique ainsi que des défenseurs de droits de l’homme.
Parmi les principaux thèmes qui seront débattus lors de cet événement « le droit des peuples à l’autodétermination », « le droit à la liberté et à la dignité », « le respect des droits de l’homme » et « le droit des peuples à la résistance ».

6es Rendez-vous économiques de la Méditerranée


Par : Rubrique Radar
MARSEILLE
Les 6es Rendez-vous économiques de la Méditerranée se tiendront cette année le 4 décembre prochain à Marseille. L’évènement organisé par le Cercle des économistes en collaboration avec l’Institut de la Méditerranée/Femise et la mission interministérielle de l’Union pour la Méditerranée, a pour thème central “Les nouveaux enjeux de sortie de crise pour les pays du Sud de la Méditerranée et l’ensemble du partenariat”. La rencontre est aussi soutenue par des institutions financières internationales comme la Banque mondiale et la Banque européenne de développement. Ces “RDV Med” aborderont aussi la question des “Activités, croissance, modèle social :
une nouvelle donne”. “Tous les pays sont confrontés à ces questions, mais les pays méditerranéens particulièrement. La façon dont la sortie de crise sera conduite au niveau de la grande région euroméditerranéenne présente un enjeu décisif qui aura des conséquences de très long terme en Méditerranée du Sud et dans l’ensemble de l’UE”, note le Cercle des économistes.

Algerie programme Présidentiel et développement



Programme présidentiel et développement : L’effort accru de l’Etat pour le social et l’économie
L’activité politique nationale qui n’a pas connu de ralenti depuis le début du mois de ramadhan avec la série d’auditions des membres du gouvernement par le Président Abdelaziz Bouteflika a été marquée, en outre, par la tenue du Conseil des ministres qui a approuvé, sous la présidence du Chef de l’Etat, le projet d'ordonnance portant loi de finances complémentaire 2010.

L’activité politique nationale qui n’a pas connu de ralenti depuis le début du mois de ramadhan avec la série d’auditions des membres du gouvernement par le Président Abdelaziz Bouteflika a été marquée, en outre, par la tenue du Conseil des ministres qui a approuvé, sous la présidence du Chef de l’Etat, le projet d'ordonnance portant loi de finances complémentaire 2010. Au menu de ce Conseil des ministres une décision sociale de grande importance avec la mobilisation d’un crédit additionnel de 608 milliards de dinars pour assurer le financement de plusieurs actions d’importance décidées par l’Etat, notamment : le nouveau régime indemnitaire des fonctionnaires pour l’année 2011, avec effet rétroactif à partir du 1er janvier 2008, la couverture de la demande en matière d’élargissement des infrastructures scolaires au cours de la même période, la satisfaction des dépenses liées au redéploiement en cours dans le corps de la garde communale, et, enfin, le soutien promis par le gouvernement aux clubs de football accédant au professionnalisme.
Ce chapitre budgétaire comporte donc une dose de social particulière avec la prise en charge des préoccupations de certains corps de fonctionnaires de divers secteurs. Il constitue, également un acte de solidarité avec des régions qui comme Bordj Bou-Arréridj ont été affectées par des catastrophes naturelles. C’est là une attention qui s’inscrit dans l’esprit de la politique globale de solidarité nationale mise en œuvre depuis 1999 par le Président Bouteflika et qui a été appliqué à la suite des inondations de Bab el Oued, des séismes de Aïn Témouchent ou de Boumerdès.
Ce ne sont-là que quelques mesures attendues que le Conseil des ministres a annoncées dans son communiqué, mais qui, en fait, concerne d’autres secteurs qui avaient besoin d’un nouvel effort financier de l’Etat. C’est le cas des subventions apportées par le loi de finances complémentaire à la bonification au bénéfice des acquéreurs de logements ou de nouvelles subventions au Fonds national de promotion des arts et lettres et le Fonds de développement de l'industrie cinématographique. Les 608 milliards de dinars de crédits additionnels affectés à ces nouvelles tâches élèvent le montant global consacré par l’Etat au budget pour l’exercice 2010 s'élèveront à 6.468 mds de dinars.
Grâce à l’importance de ce budget, l’Etat a pu engager des actions efficaces dans le courant de l’année, à la fois pour relancer l’activité économique et sociale dans des secteurs porteurs de croissance et créateurs d’emplois comme l’agriculture qui a connu une impulsion sans précédent, mais, également, pour accentuer la lutte contre les différentes formes de fraudes économiques et les comportements qui sont de nature à perturber le climat d’équilibre social mis en place depuis une décennie.
Le Président Bouteflika a animé la vie politique nationale durant cette période de ramadhan qui a souvent servi dans le temps la paralysie et l’inertie dans le monde du travail. Ce mois aura été depuis le début particulièrement chargé d’activités politiques pour maintenir le rythme de fonctionnement des institutions nationales qui devrait être celui de toute l’année.
B. H.

Mr le Président de la République abdelaziz bouteflika une stratégie et des objectifs clairs


La feuille de route du Président : Une stratégie et des objectifs clairs
Depuis le début du mois béni de Ramadhan, le Président de la République a reçu en audition plusieurs ministres de différents secteurs. Il faut souligner que ces auditions, qui datent déjà de plusieurs années, sont entrées dans les traditions politiques du pays


Depuis le début du mois béni de Ramadhan, le Président de la République a reçu en audition plusieurs ministres de différents secteurs. Il faut souligner que ces auditions, qui datent déjà de plusieurs années, sont entrées dans les traditions politiques du pays. Ce sont des événements à caractère politique, économique, social et culturel indéniables et marquant la vie nationale.
Les auditions sont attendues chaque année avec un grand intérêt. L’opinion publique nationale, mais aussi les opérateurs économiques sont avides de connaître la situation générale du pays à travers l’analyse des différents secteurs. Durant tout un mois, les exposés des ministres concernant les activités de leurs départements respectifs constituent, en effet, une source très précieuse d’informations.
Les auditions ont aussi pour finalité de renforcer la transparence et l’efficacité de l’activité de l’exécutif. Il ne faut pas omettre de souligner que depuis 2001, le pays est engagé dans un processus de développement continu et ambitieux. Ce programme, qui s’étale jusqu’à l’horizon 2014, va nécessiter une enveloppe de plus de 475 milliards de dollars, dont 285 uniquement pour la période 2010-2014.
Le processus de développement représente tous les engagements pris par le Premier magistrat devant la nation. Des engagements basés sur une stratégie et une vision. L’on comprend dès lors son souci de veiller constamment à leur respect. Justement, ces auditions représentent un moment fort pour évaluer la mise en œuvre du programme présidentiel.
Chaque département ministériel est concerné pour sa part par la réalisation du programme. C’est donc l’occasion pour le Président de la République de connaître l’état d’avancement des projets en cours et les perspectives. Dans le même temps, il peut apprécier l’efficacité des moyens engagés pour leur réalisation. C’est la raison pour laquelle l’exposé du ministre représente un outil d’analyse pertinent, car il répond globalement au souci du Président de la République. C’est sur cette base qu’il oriente, donne des instructions et trace les perspectives d’avenir.
En réalité, tout en faisant le point sur les activités de l’exécutif, il lui fixe également une feuille de route pour l’avenir. C’est ce qui explique que les auditions sont un moment fort de l’actualité nationale.
Il est important de souligner que ces auditions coïncident pratiquement avec la rentrée sociale, politique et économique. Ainsi, le gouvernement sera mieux préparé pour l’entamer en disposant d’un cadre de travail et d’une feuille de route.
C. A.

Histoires oranaises





Quand Oran n’était qu’une petite plage
Les géographes et chroniqueurs du XIe siècle, comme El Idrissi, El Bekri, et plus tard l'Andalou Hassan El-Ouazzan (Léon l'Africain), rapportent que le site primitif d'Oran est une petite plage où les bateaux pouvaient être tirés, le soir, sur le rivage, non loin d'un ravin arrosé de façon permanente en eau douce, susceptible d'alimenter une faible population et des jardins potagers.

Dans ses travaux de recherche, le Dr Saddek Benkada, un historien émérite de la ville d'Oran, signale qu'il n'y avait pas de port mais une petite plage avec un mauvais débarcadère. Les navires qui ravitaillaient la ville s'abritaient sous le fort de Mers El-Kebir. Pour être plus précis, l'ensemble se composait de la mer et d'une plage, de la montagne dominante, d'un plateau encadré par deux ravins : Ras El-Aïn, à l'ouest, le Ravin Blanc à l'est, d'un arrière-pays immédiat, de larges plateformes étagées, coupées de ravins et faciles à gravir. Cette position est située à un carrefour de routes de terre, venant de l'ouest par la rive nord de la Grande Sebkha, du centre (Mascara) par les vallées convergentes de Oued Sig et Oued Habra, et de l'est du plateau mostaganémois par le pied du Sahel d'Arzew et la baie de la Macta, nous rappellent ces mêmes sources.

Ce concours de voies terrestres très faciles est resté très important dans un pied du Sahel où la circulation était uniquement pédestre et équestre, jusqu'à l'orée du 19e siècle, où les populations furent très mobiles à cause de différents facteurs liés aux émigrations politiques, aux migrations saisonnières, aux invasions venues de la mer, comme du continent. La présence de matériaux les plus divers offrait des possibilités de construction, comme la pierre à bâtir à partir du calcaire ou du tuf, faciles à tailler, de l'argile susceptible de fournir des briques et des tuiles qu'on trouvait à Mers El-Kebir et à Aghbal, est-il relevé dans les documents de la Société de géographie et d'archéologie de la province d'Oran. Il y a aussi le bois du maquis qui couvrait le djebel Murdjadjo et le massif de djebel Ak'har (montagne des Lions).

L’attention des romains

Ces zones fournissaient des perches de Thuya, un bois imputrescible pour les poutres des terrasses et du diss, pour la couverture légère des toits. «Le cadre naturel -mer, montagne, plateau, maquis- n'est pas sans beauté et sans variété : le spectacle des yeux aidait au choix du site urbain», signalait Robert Tinthoin, géographe, ancien membre de cette société savante, dans une étude consacrée au «Peuplement musulman d'Oran». Cependant, il y a lieu de rappeler que l'agglomération oranaise n'entre dans l'histoire écrite qu'au 10e siècle, quand elle fut fondée (902-903) par des marins andalous, alliés à des tribus locales semi-nomades. Bien qu'aucun document épigraphique ne le confirme, le site d'Oran se compose de sa colline, son «Accra» du pic d'El-Haïdour -poste de surveillance merveilleux et de correspondance par feu, du cap Falcon à la pointe de l'Aiguille, d'Est en Ouest- et de sa petite plage, au débouché du ravin de Ras El-Aïn où marins puniques, à l'image des célèbres raïs Dali Mami ou Kheireddine Baba Arroudj (Barberousse) trouvaient abri et escale, comme le font prévaloir les recherches archéologiques sur la côte occidentale plus sauvage.

A une époque plus lointaine, les criques du port de Mers El-Kebir, mieux abritées, avaient attiré l'attention des Romains, sous le nom de Portus Divini (Port divin), par rapport à Portus Magnus (Grand port) de Bethioua. Les matériaux anciens qui gisent encore sous les constructions urbaines actuelles témoignent de l'ancienneté de l'occupation humaine dans cette zone portuaire. De fait, si le port de Mers El-Kebir a conservé sa fonction durant des siècles, grâce à sa protection naturelle contre les vents, la vocation portuaire d'Oran s'est effacée durant une longue période. Après sa fondation au 11e siècle, Oran a connu, il est vrai, une période de lustre aux 13e et 14e siècles, comme organisme officiel du royaume de Tlemcen, avec une population, considérable pour l'époque, de 25 000 habitants, en liaison avec le port de Mers El-Kebir et en relation avec l'Espagne, Gênes, Venise, Pise (Italie) et Marseille (France).

Sous l'occupation espagnole (1509-1792) - simple Presidio - avec la position maritime de Mers El Kebir, Oran fut à la fois garnison militaire, bagne, poste puissamment fortifié, petite cité de marchands, de couvents et d'églises, de 3 000 habitants. Elle dut son importance à sa position, face à Carthagène (Espagne), fermant la Méditerranée occidentale aux incursions de corsaires de la Régence d'Alger, comme les célèbres et puissants Raïs Dali Mami ou Khireddine Baba-Arroudj, devenus les maîtres de la course en haute mer pour barrer la route et s'emparer du butin et des richesses que transportaient les voiliers de commerce des puissances européennes. Oran est devenue cité ottomane de 1708 à 1732, quand elle fut libérée par Bey Bouchelaghem et de 1792, lorsque le bey Mohamed El-Kebir mit fin à l'occupation espagnole, jusqu'au mois de janvier 1831, date du débarquement du corps expéditionnaire français dans la ville sans que le Bey Hassan, le dernier représentant de la Sublime Porte, opposa de la résistance.

Algerie la pollution de 650 plages menace les ressources halieutiques de disparition


source
echoroukonline.com


Le Comité national des marins pêcheurs a tiré la sonnette d’alarme sur la situation du secteur de la pêche et de la pisciculture en Algérie notant la diminution de la production de 400 à 187 tonnes par an, tous types de poissons confondus, durant les trois dernières années.

Cette situation inquiétante requiert les efforts des autorités, à commencer par le ministère de la pêche et des ressources halieutiques afin de redresser la situation.

Hocine Bellouti, président du Comité national des marins pêcheurs, affilié à l’Union Générale des Commerçants et des Artisans Algériens, a déclaré à Echorouk, que le ministère du commerce a décidé d’importer 200 mille tonnes de poisson congelé, depuis quelques jours, pour assurer les besoins durant le mois de Ramadhan et combler un déficit évalué à plus de 220 mille tonnes, une solution conjoncturelle, explique-t-il, en s’étonnant, néanmoins, qu’un pays de 1284 kilomètres de côtes ait à affronter un pareil problème.

Notre interlocuteur a précisé que le secteur de la pêche est en grand danger depuis 2005, et si le problème persiste, dans 40 ans, il ne restera plus aucun poisson sur les côtes algériennes à cause des zones industrielles qui déversent leurs déchets toxiques dans la mer.

Par exemple, oued Annaba à l’est, qui passe par 7 wilayas et oued El-Harrach, au centre, charrient les déchets des usines vers la méditerranée. «650 plages équivalent à 650 plages polluées», a ajouté Bellouti.

Dans ce contexte, Hocine Bellouti considère que les causes de la rareté du poisson sont imputables à la non-application de la loi et que la responsabilité en incombe au ministère de la pêche et des ressources halieutiques qui doit réprimer les contrevenants utilisant de la dynamite et ne respectant pas la période de 5 mois nécessaires à la reproduction et au développement du poisson.

Le ministère du commerce a aussi la responsabilité de contraindre les commerçants à écouler un certain volume de poisson et interdire la vente de sardines de moins de 11 centimètres de long, en application du décret exécutif s’y rapportant. Bellouti préconise d’affecter une police des mers afin de contrôler les côtes et les activités des pêcheurs.

Notre interlocuteur a en revanche salué le projet du ministère de la pêche relatif à l’élevage du poisson au niveau des barrages et qui commence à donner des résultats