阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, December 26, 2009

Le 30e anniversaire de la fusée Ariane youtube


http://www.youtube.com/watch?v=jB0KQslEU1g
Les fusées Ariane sont une famille de lanceurs civils européens de satellites. Le programme Ariane est lancé en 1973 par l'Agence spatiale européenne afin de donner les moyens à l'Europe de mettre en orbite ses satellites sans dépendre des autres puissances spatiales. Ce projet avait été précédé d'un échec avec la fusée fusée Europa. La première version, Ariane 1, effectue son vol inaugural depuis la base de Kourou (Guyane française) le 24 décembre 1979. Elle est rapidement remplacée par des versions plus puissantes, Ariane 2, Ariane 3 et Ariane 4 qui effectuent leur premier vol respectivement en 1984, 1987 et 1988. Pour faire face à l'augmentation de la masse des satellites, le lanceur est complètement refondu donnant naissance à la version Ariane 5 capable de placer près de 9,5 tonnes en orbite de transfert géostationnaire dont le premier vol a eu lieu en 1996.
La fusée a rapidement pris une part de marché importante dans le domaine des lancements des satellites de télécommunications en orbite géostationnaire, qui est un secteur en plein essor dans les années 1980. En 2009, le lanceur Ariane, qui est tiré de 5 à 7 fois par an ces dernières années, détient environ 50% des parts de marché. La base de lancement des fusées Ariane située à Kourou en Guyane française (Centre spatial guyanais), permet au lanceur de disposer d'un avantage important face à ses concurrents grâce à sa proximité de l'équateur.
Ariane est initialement issue des travaux de l'agence spatiale française, le CNES. La politique spatiale française, pour des raisons à la fois politique et industrielle, a de tout temps été plus attaché au développement d'un lanceur européen que ses partenaires au sein de l'Agence spatiale européenne. Les industriels français conservent encore aujourd'hui une part prépondérante dans la conception et la fabrication des fusées Ariane avec des participations significatives d'autres pays européens comme l'Allemagne (nombreuses contributions sur la propulsion, le corps des fusées), l'Italie (propulsion), la Suède, la Belgique, les Pays-Bas et la Suisse. Le lancement des satellites par la fusée Ariane est commercialisé par la société Arianespace, filiale créée en 1970 par le CNES et les principaux industriels impliqués dans le programme

Skype visites virtuelles



Mise en place de « visites virtuelles » dans les maternités Skype, le logiciel gratuit de téléphonie sur Internet, met en place des actions, afin de permettre aux jeunes parents de communiquer depuis la maternité, vers l’extérieur

Algerie autoroute Est-ouest



Autoroute Est-ouest : Le projet sera entièrement réceptionné dans les délais

Le projet de l’autoroute Est-Ouest sera "réceptionné dans sa totalité en 2010, en conformité avec les délais contractuels", a affirmé jeudi à Chelghoum Laïd (Mila), le ministre des Travaux publics, M. Amar Ghoul. Le ministre qui s’exprimait en marge de la cérémonie d’ouverture à la circulation d’un tronçon de cet ouvrage reliant, sur 17 km, les villes de Tadjenanet et de Chelghoum Laïd, a souligné que l’autoroute Est-Ouest "constitue un acquis de grande importance, non seulement en raison des services qu’elle apporte, mais également pour le savoir-faire acquis par les cadres et les travailleurs algériens qui ont pris part à sa construction". Le tronçon en question constitue le premier segment à être inauguré sur la partie Est du projet autoroutier qui s’étend sur 399 km et traverse la wilaya de Mila sur un linéaire de 53 km, a-t-on expliqué. M. Ghoul, faisant part de sa "satisfaction" quant au rythme de réalisation de l’autoroute, à l’ouest comme au centre du pays, a révélé que le prochain tronçon qui sera inauguré dans la partie orientale du projet est celui reliant Bordj Bou-Arréridj à Constantine. Se félicitant du fait que le tronçon inauguré ait été réalisé "selon les normes internationales", le ministre des Travaux publics a également saisi cette occasion pour lancer un appel aux usagers qui doivent, a-t-il dit, "contribuer, par leur comportement sur la route, à sa préservation". Selon les explications fournies sur place par des responsables de l’Agence nationale des autoroutes, le tronçon inauguré comprend un échangeur principal situé près de Tadjenanet, reliant à la RN 5, en plus de 7ouvrages d’art, 38 ouvrages hydrauliques, 6 passerelles et d’autres structures accessoires. Le tronçon dont le certificat de conformité aux normes techniques internationales et contractuelles a été accroché sur place, permet de supprimer le goulot d’étranglement situé entre Tadjenanet et Chelghoum Laïd qui constituait un important "point noir" pour la circulation à ce niveau où transitent quelque 20.000 véhicules par jour, selon des estimations compétentes. Le ministre des travaux publics a également inauguré, au cours de cette visite, deux maisons cantonnières implantées dans les communes de M’chira et de Tadjenanet, saisissant l’occasion pour souligner l’importance de telles structures dans la préservation des réalisations. Il a appelé dans ce contexte les responsables concernés à recruter des jeunes possédant des qualifications en mécanique pour prendre en charge le dépannage et les travaux légers de maintenance des engins de travaux publics. Selon des responsables locaux, la wilaya de Mila a besoin de 4 autres maisons cantonnières pour la prise en charge de l’entretien des axes routiers qui connaissent actuellement des travaux de modernisation pour un budget de 24 milliards de DA. M. Ghoul a par ailleurs inauguré, à Tadjenanet, le dédoublement sur 5 km de la route qui la relie aux limites administratives de la wilaya de Sétif, au niveau de la RN5, ainsi que l’évitement de la ville sur 4 km, ouvert depuis peu à la circulation. Le ministre a ensuite inauguré, à M’Chira, un tronçon de 17 km de la RN 100, reliant cette localité à Chelghoum Laïd, ainsi que le chemin de wilaya n° 48 assurant sur 11 km la jonction entre M’chira et les limites administratives de la wilaya d’ Oum El Bouaghi. Au niveau de ce dernier point, il a invité les responsables de son secteur à prendre les mesures nécessaires pour que cet axe soit classé route nationale "en raison de ses qualités techniques

El-Oued rencontre sur le tourismede la jeunesse



Une troisième rencontre nationale sur "le tourisme de la jeunesse" se tiendra à compter de lundi à El-Oued, a-t-on appris jeudi auprès de la direction de la jeunesse et sports (DJS) de la wilaya. Initiée sous le signe ''j'aime ma patrie'', cette rencontre vise, selon la DJS, la valorisation des rôles des établissements de la jeunesse et du mouvement associatif, ainsi que la généralisation des activités touristique et pédagogique en milieu juvénile. La valorisation du patrimoine socioculturel et touristique du pays, l'échange entre jeunes et la prospection de nouveaux talents pour représenter l'Algérie dans des manifestations nationales et internationales, font partie des objectifs assignés à cette rencontre d'une semaine, a-t-on précisé. Ce regroupement juvénile qui prévoit la participation des représentants de 32 wilayas, sera mis à profit pour l'examen de questions liées au tourisme de la jeunesse et les voies et moyens de son développement, ainsi que l'éventuelle organisation d'un salon national du tourisme. Organisée avec le concours de la ligue des activités en plein air et échanges de jeunes, cette manifestation aura pour cadre la médiathèque de Chott, à El Oued. Elle prévoit la participation également de l'Agence nationale de loisirs de la jeunesse, la Fédération algérienne des auberges de jeunes, l'Association nationale de l'information et de la communication en milieu de jeunes et l'Association nationale des échanges entre jeunes, a conclu la DJS d'El-Oued.

Illizi fête de la Sebeiba à Djanet




Célébration de la fête de la Sebeiba à Djanet



La ville touristique de Djanet, située à 420 km au sud du chef-lieu de la wilaya d'Illizi vit depuis jeudi soir au rythme de la fête annuelle de la Sebeiba. Cette manifestation à laquelle prennent part de nombreuses troupes et associations locales versées dans la musique et le chant de la région de Djanet, vise, selon les organisateurs, la préservation du riche patrimoine immatériel de cette région du Tasiili Ajjers. Coïncidant avec le lancement de la nouvelle saison touristique dans le grand sud, ce festival de quatre jours a également regroupé des visiteurs nationaux et des touristes étrangers, venus célébrer les fêtes de fin d'année dans le Tassili. Outre la cérémonie d'ouverture présidée par les autorités locales, et qui a été marquée par un défilé de troupes folkloriques locales, sous le rythme de la musique touarègue de alliouane, le programme de cette manifestation prévoit une exposition sur la Sebeiba à la bibliothèque communale, l'animation d'une journée d'étude maghrébine sur le patrimoine culturel et immatériel prévue à l'institut national de la formation professionnelle de Ifri (Djanet). Des visites guidées à travers les ksour d'El Mihan, Azelouaz et Adjahil, par l'Office du parc national du Tassili (OPNT), figurent au menu de cette manifestation qui prévoit également l'animation par des troupes locales, de soirées musicales et artistiques. Selon le président de l'association "Sebeiba" à Djanet, Gacem Tabagou, la "Sebeiba" est une rencontre qui permet, selon l'histoire, de célébrer un pacte de paix entre les tribus de la région. Les habitants de la ville de Djanet, célèbrent la "Sebeiba", une fête annuelle puisant son origine dans l'histoire ancienne des Touareg du Tassili Ajjers, qui se tient depuis le premier jour de l'an de l'hégire (Moharrem) pour durer jusqu'à l'Achoura, à l'initiative de l'Office du Parc national du Tassili (OPNT) et la commune de Djanet, a indiqué la même source. Tout comme à Tamanrasset, où toutes les tribus du Hoggar sont réunies autour de leur Aménokal, chef spirituel, pour célébrer la traditionnelle "Ziara", visite au mausolée de Moulay Abderrahmane, la Sebeiba de Djanet permet aux deux tribus locales de se retrouver le jour de l'Achoura de chaque année pour célébrer un pacte de paix conclu par leurs aïeux depuis des millénaires. Ce traité de paix entre les Oraren et les Tar'Orfit signifiait la fin de l'une des guerres fratricides les plus longues dans l'histoire des tribus Ajjers, a souligné M.Tabagou. Cette manifestation, qui regroupe les deux ksour qui dominent la ville de Djanet, se traduit par des joutes amicales entre les habitants et des danses exécutées sur un rythme émouvant des tambourins, tandis que des guerriers, en grand apparat, exhibent les étoffes sacrées qui rappellent leur origine tribale et leur unité face à l'ennemi. Dans chaque camp, on s'entraîne, on lustre et aiguise les armes d'apparat, on prépare les costumes de guerre aux couleurs bigarrées, on espionne aussi l'adversaire. Le jour de la "Sebeiba", on rejoue le dernier acte : les guerriers se retrouvent face à face et, sur fond de youyous lancés par les femmes, ces derniers se toisent, se défient et se provoquent sous les sons des bendirs... Au moment où la tension atteint son paroxysme, les sages interviennent pour arrêter les parades guerrières des deux tribus et finissent, après de longues négociations, par reconduire le pacte de paix signé par leurs ancêtres. R.R

Priorité aux entreprises algériennes




La nouvelle politique économique choisie par le gouvernement a été au centre de la rencontre qui a regroupé, jeudi, une délégation du Forum des chefs d'entreprise (FCE), conduite par son président, Réda Hamiani, avec le Premier ministre Ahmed Ouyahia. La volonté d'accorder une place particulière au renforcement des capacités de production de l'entreprise algérienne a également été évoquée par les deux parties. Selon le Premier ministre, les entreprises nationales vont bénéficier d'une mise à niveau vigoureuse. Cette mise à niveau va concerner 20 000 PME/PMI sur cinq ans. Une enveloppe importante a été dégagée pour cette opération. Les PME seront également concernées par les gros contrats liés à la dépense publique. Il est prévu, dans ce contexte, une politique de coopération entre les groupes étrangers bénéficiaires de ces contrats et des entreprises locales. Pour les contrats de moyenne importance, la priorité est donnée à l'entreprise algérienne dans les appels d'offres. Une autre rencontre est prévue, dans ce contexte, avec le ministre des Finances, en janvier prochain, pour étudier avec ses services les aménagements qui peuvent être accordés à l'entreprise algérienne par rapport au financement des importations de matières premières et de pièces de rechange, avec le souci de faciliter au maximum la mise en œuvre de ces instruments de crédit. "Il y a une volonté de se mettre autour d'une table pour discuter et trouver les meilleures solutions aux entreprises. Dans le cadre de cette volonté de concertation, le Premier ministre a invité le FCE à participer activement à cette politique de proximité avec les pouvoirs publics, en intégrant le cadre actuel de la Tripartite qui, à l'avenir, prendra en charge l'ensemble des préoccupations des entreprises en associant toutes les structures et acteurs concernés : Premier ministère, ministères, syndicats et organisations patronales", expliquera, Hamiani, dans un entretien avec le quotidien électronique "toutsurlalgerie". Concernant les dernières mesures de la LFC 2009, le Premier ministre demeure catégorique, notamment, sur celles relatives à la structure de l'investissement et la lettre de crédit pour le paiement des importations qui seront, selon Ouyahia, maintenus. "Mais des consignes seront données aux banques, douanes et autres structures pour que l'entreprise algérienne ne soit pas bloquée" dira Hamiani. "Le Premier ministre a insisté sur l'emprise de l'économie pétrolière sur le mode de fonctionnement de notre économie en souhaitant une prise de conscience urgente de l'ensemble de la société civile, y compris les chefs d'entreprise, sur la nécessité de diminuer progressivement le poids et l'influence de cette rente pour la substituer par une véritable création de richesses émanant des entreprise" conclut Hamiani. D'autre questions ont été, par ailleurs, débattues, lors de cette rencontre, liées notamment à l'environnement économique, tels que le foncier industriel, le financement des entreprises, l'ouverture commerciale et l'investissement d'une manière générale. Lotfi C.