阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, May 23, 2010

Algerie wali de Sétif encourage les investissements


Le wali de Sétif encourage les investissements
“Samha Samsung est une fierté pour la région”
Par : Ali Farès

Nous souhaitons plein succès à ce projet qui entre dans un cadre de stratégie globale de la wilaya. Il est important aujourd’hui de banaliser l’investissement, sachant que le projet Samha Samsung a été lancé grâce aux encouragements de la wilaya qui a toujours soutenu les bonnes initiatives”, a déclaré le wali de Sétif.
Noureddine Bedoui, qui a tenu tout d’abord à lever les équivoques au sujet de son absence, lors de l’inauguration par le P-DG du groupe Cevital de l’usine Samha Samsung, précisant qu’il avait des engagements importants, a déclaré à Liberté qu’il salue vivement cet investissement faisant la fierté de la région. “Nous avons attribué des terres par voie de concurrence et d’appels d’offres à des investisseurs sérieux. Ceux qui n’ont pas de dossiers conformes accompagnés de permis de construire et de garantie financière ne sont pas acceptés. Des décisions seront prises et les dossiers non conformes seront rejetés avant cet été. Les terrains récupérés seront mis à la disposition des investisseurs capables. L’usine Samha Samsung, qui a été récemment inaugurée, est une fierté pour la région. Ce projet structurant a permis dans un premier temps de créer plus de 2000 emplois, un effectif qui passera à 3000 emplois quand l’usine atteindra sa vitesse de croisière. Nous souhaitons plein succès à ce projet qui entre dans un cadre de stratégie globale de la wilaya. Pour lever des équivoques, je dirais qu’il est important aujourd’hui de banaliser l’investissement, sachant que le projet Samha Samsung a été lancé grâce aux encouragements de la wilaya qui a toujours soutenu les bonnes initiatives”, a affirmé le wali. À noter que l’usine emploie pour le moment près de 1 000 travailleurs dont 310 ingénieurs issus de différentes spécialités, une trentaine de cadres, un manager dirigeant, six managers confirmés et 27 managers intermédiaires. Un chiffre appelé à augmenter dans les prochains mois pour atteindre 1 700 emplois. Le nombre d’emplois directs et indirects est estimé à environ 3 600 postes. Au plan des capacités, l’usine, 5e au monde, produit 1,5 million d’appareils électroménagers par an. Le produit made in Algeria s’exportera dans quelques mois vers différents pays d’Afrique et d’Europe avec notamment les gammes de réfrigérateurs deux portes.En chiffres, l’usine, située dans la zone industrielle, a une superficie de 10 hectares dont 40 000 m2 bâtis. L’investissement est de 600 milliards de centimes. La production est de 400 réfrigérateurs/j, 400 machines à laver/j, 600 climatiseurs/j, 800 TV CRT/j et 600 LCD/

Algerie Italie PME-PMI : Alger et Rome tissent un partenariat modèle


Les travaux des “ Journées d’étude parlementaires sur le rôle des PME-PMI dans le développement économique et social, expériences italienne et algérienne ”, organisés sous l’égide du président de l’APN et du président de la Chambre des députés italienne ont débuté hier à Djenane El Mithak. Cette rencontre de deux jours qui réunit des membres de gouvernement, des parlementaires, des opérateurs économiques publics et privés des institutions bancaires, des associations d’investisseurs des deux pays offre, selon M. Abdelhamid Si Afif, président de la Commission des affaires étrangères, de la coopération et de l’émigration, “ une opportunité aux parlementaires algériens et italiens, en tant qu’acteurs actifs dans le processus de développement par l’adoption de stratégies et de politiques créatrices d’un environnement favorisant les interactions entre les différents acteurs pour contribuer à renforcer le développement de la coopération entre les deux pays grâce à la réalisation de la complémentarité et le renforcement des liens d’amitié, d’entraide et d’intérêt mutuel s’inscrivant dans l’esprit du traité d’amitié, de bon voisinage et de coopération signé en 2003 entre l’Algérie et l’Italie, matérialisé par la conclusion de nombreux accords sectoriels, instruments et protocoles venus renforcer l’assise juridique d’une coopération que les autorités des deux pays entendent privilégier en l’élevant au rang de partenariat stratégique”.M. Si Afif rappellera les liens traditionnels d’amitié, de solidarité et de coopération entre l’Algérie et l’Italie tout en notant l’importance des échanges commerciaux entre les deux pays qui connaissent une progression constante. L’orateur estime que ces échanges peuvent prendre un nouvel essor à la faveur de l’ambitieux programme quinquennal 2010-2014 décidé par le Président Bouteflika dont l’un des objectifs porte sur la création de 200.000 PME à l’horizon 2014. Cette rencontre constitue également une opportunité pour des contacts entre les opérateurs des deux pays pour définir ensemble des plans d’action, des stratégies et des perspectives d’avenir afin d’établir un partenariat gagnant-gagnant qui serait un modèle de coopération entre le Nord et le Sud de la Méditerranée, a souligné M. Si Afif. Pour sa part, M. Mustapha Benbada, ministre de la PME et de l’Artisanat mettra en relief la politique d’appui et de soutien visant à promouvoir la petite et moyenne entreprise initiée par le gouvernement depuis la fin des années 80. La mise en place des structures d’appui, de dispositifs et de programmes de développement de la PME ont grandement favorisé l’épanouissement de la PME, le secteur étant constitué aujourd’hui de plus de 455.000 entreprises employant plus de 1.300.000 salariés alors qu’en 2001, le nombre de PME était d’à-peine 179.000. Tout en rappelant les réalisations positives dans le cadre du partenariat et de la coopération entre les deux pays dans le sillage de la signature du mémorandum d’entente dans le domaine de la PME signé en 2006, le ministre a plaidé pour une implication plus volontariste et la prise d’initiatives hardies pour développer des projets structurants porteurs de transfert technologique et de savoir-faire. Succédant à M. Benbada, M. Gennaro Malgieri, chef de la délégation italienne, coordinateur des relations de la Chambre des députés avec les pays arabes et méditerranéens notera que la délégation italienne de haut niveau qui participe à ces journées d’étude traduit l’importance que porte la partie italienne au renforcement du partenariat et de la coopération entre les deux pays, notamment dans le domaine de la PME, un secteur où l’Italie est connue pour son expérience, l’importance de son tissu industriel, son niveau technologique. Pour l’Italie, l’Algérie est un partenaire d’une importance fondamentale, a souligné M. Malgieri.L’orateur a estimé que cette initiative constitue un pas supplémentaire pour renforcer la coopération et mettre en place un nouveau cadre au plan politique économique et social favorisant le développement de la PME. M. Malgieri a plaidé pour la création d’un nouvel espace civilisationnel en Méditerranée, tout en soulignant la nécessité d’abattre les nombreux murs qui séparent les deux rives. Il faut rechercher ce qui nous unit et non pas ce qui nous sépare, dira M. Malgieri. Pour sa part, M. Mohamed Seghir Babès, président du CNES a estimé que cette initiative parlementaire conjointe constitue une opportunité pour sceller un véritable pacte partenarial et coopératif entre les deux pays. L’orateur a fait savoir que le comité ad hoc mis en place il y a 6 mois pour étudier la problématique du développement de la PME est sur le point de publier ses recommandations.M. Brahim

Un engagement fort pour une industrie pharmaceutique algérienne performante


Laboratoires pharmaceutiques Salem
Un engagement fort pour une industrie pharmaceutique algérienne performante

Les laboratoires pharmaceutiques Salem sont une PME pionnière, fondée en 1994, à l’ouverture du secteur de l’industrie pharmaceutique en Algérie, par Rachid Salem, pharmacien diplômé des facultés de pharmacie d’Alger et de Poitiers en 1970. Cet ancien chef du service de biologie clinique au CHU de Sétif et pharmacien d’officine de 1973 à 2004 à Sétif a réussi l’exploit de vente de 9 millions d’unités vendues en 2009. Avec un effectif composé de 40 personnes et un chiffre d’affaires de 420 millions de DA en 2009, les laboratoires Salem s’imposent depuis sur le marché national. Les laboratoires disposent de trois sites, il s’agit de celui d’El-Eulma, composé à son tour de cinq unités de fabrication et trois lignes de conditionnement, entièrement automatisées, pour une capacité installée d’environ 20 millions unités par an. Un site spécialisé dans les formes sèches (gélules, comprimés) et semi-pâteuses (suppositoires, ovules). Le second site est celui de Sétif en cours de construction sur un terrain de 20 000 m2 à la zone Industrielle de Sétif. Une usine modulaire, validée sur plan, selon les recommandations de l’AFSSAPS et de la FDA, qui sera spécialisée dans les formes sèches (gélules, comprimés, sachets) nécessitant une grande technicité, formes topiques et semi-pâteuses.Enfin, le site d’Alger dont les négociations sont en cours pour l’acquisition d’un laboratoire algérien concurrent sera bâti sur une superficie de 10 000 m2, pour la fabrication de spécialités comme les formes sèches (gélules, comprimés, sachets) et liquides. Les laboratoires Salem sont ainsi l’un des leaders de la distribution de proximité de médicaments en Algérie, ce qui fait d’eux un partenaire reconnu dans cette industrie. Enfin, l’atout majeur des laboratoires Salem reste l’intégration des compétences hautement qualifiées et de développer des liens inter-humains franco-algériens forts au sein du groupe. La devise des laboratoires Salem est son engagement fort pour une industrie pharmaceutique algérienne performante.

Partenariat Algerie Maroc Tunisie .pour la croissance verte




Production propre
Partenariat maghrébin pour la croissance verte
Première conférence régionale réunissant des entreprises marocaines, algériennes et tunisiennes


Après quatre années d'activités communes, le Réseau des entreprises maghrébines pour l'environnement (REME) a organisé dernièrement à Casablanca sa première conférence régionale.
Une rencontre initiée par la Coopération technique allemande (GTZ), en collaboration avec la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), la Chambre algérienne du commerce et de l'industrie (CACI), l'Union tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat (UTICA) et l'appui des ministères de l'Industrie et de l'Environnement des trois pays. «Nous avons les mêmes problèmes et donc les solutions se ressemblent. Nous pouvons participer à la réalisation du Grand Maghreb grâce à l'environnement», a lancé Said Mouline, directeur général de l'Agence nationale de développement des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique et président du REME, lors de cette conférence. Les organisateurs de cette rencontre ont voulu être plus proches de la réalité avec la projection du célèbre film «Home» de Yann Arthus Bertrand, pour marquer les esprits et montrer les dégâts causés par l'actuel mode de production basé sur les énergies fossiles, tout en incitant les décideurs à opter pour les technologies propres.«Les technologies vertes sont devenues un moyen de compétitivité. L'entreprise gagne en économie d'énergie et en image», a souligné M. Mouline. Dans ce sens, le REME a récompensé des chefs d'entreprises maghrébins précurseurs dans ce domaine. Ainsi, le premier Prix de la coopération internationale a récompensé l'association marocaine «Al Jisr» pour son projet de solidarité numérique relatif à la collecte du matériel informatique usager pour le revaloriser et le distribuer aux écoles publiques. Cette réunion, qui vise également à promouvoir un échange durable entre les responsables du côté maghrébin et des experts internationaux de l'environnement, a été l'occasion pour Rym Ben Ammar Guizani, responsable du Centre internationale des technologies de l'environnement de Tunis, de faire part aux participants des acquis de son pays comme «l'instauration d'un diagnostic obligatoire pour les entreprises polluantes et la mise en place d'une gestion de la filière plastique, pneus usagers et gravat». Quant à l'Algérienne Boya Ait Si Mohamed, du Centre national des technologies de production propre, elle a indiqué que plus d'une centaine d'entreprises ont souscrit à des contrats de performance environnementale et que, par ailleurs, quelque 1.800 délégués à l'environnement ont été désignés dans des entreprises. S'agissant de la promotion des technologies «vertes», il existe au Maroc un dispositif pour encourager les patrons à s'engager dans la production propre à travers notamment la Commission environnement de la CGEM qui a initié la Responsabilité sociales des entreprises (RES), l'ISO environnementale, etc. Des secteurs, telle la filière hôtelière, ont adopté une Charte de tourisme durable. Autre composante de cette politique: le Fonds de dépollution industrielle (FODEP), soutenu par l'Allemagne et destiné à financer les projets de dépollution pour les entreprises industrielles et artisanales. Sur ce registre, nous pouvons citer également l'appui du Conseil national de l'environnement. Par ailleurs, le Centre marocain de production propre a, lui aussi, encouragé les procédés technologiques innovants comme le «Chemical leasing», un procédé qui propose des solutions concrètes pour la gestion rationnelle des produits chimiques. Le Maroc est aussi engagé dans le «Greco initiative», un projet des Nations unies qui encourage la compétitivité verte en Méditerranée. Selon ce programme, la moitié des entreprises ayant réalisé un investissement dans les technologies propres ont récupéré leur argent en moins de six moins.
Des lauréats maghrébinsLe Réseau des entreprises maghrébines pour l'environnement (REME) a récompensé plusieurs patrons. Le 1er Prix de la coopération internationale est décerné à l'association marocaine «Al Jisr» pour son projet de collecte des ordinateurs usés pour les revaloriser et les distribuer aux écoles. Le deuxième Prix est gagné par le tunisien GMG Ksar Said pour sa gestion durable des zones industrielles. Le 3e Prix est décerné au marocain Ecotechno, de l'Ecole nationale de l'industrie minérale pour le traitement et la valorisation des déchets d'équipement électronique et électrique. Pour la catégorie ‘'Ecoproduit'', le 1er Prix a récompensé l'algérien Algal + pour sa valorisation des déchets, le 2e Prix est décerné au marocain Eco Fertil pour la revalorisation des déchets verts. Le 3e Prix est revenu au tunisien Abou Walid Group pour la valorisation des grignons. Pour ce qui est de la catégorie ‘'management'', le 1er Prix est revenu au tunisien El Mawassir (Groupe Chaabi en Tunisie) pour la fabrication de tuyaux, le 2e Prix également au tunisien PEC pour son projet de parc éolien et le 3e Prix est revenu au marocain Mghreb Steel pour le traitement des surfaces.


Sous-traitance et médiation




Début mai 2010, donneurs d'ordres et sous-traitants industriels pourront saisir "leur" médiateur
Lors de la clôture des états généraux de l'industrie, constatant le déséquilibre existant dans les relations entre donneurs d'ordres et sous-traitants, le président de la République avait annoncé la création du poste de médiateur de la sous-traitance. Le ministre chargé de l'industrie vient de désigner le président de l'Agence pour la création d'entreprises (APCE) en qualité de premier médiateur. Début mai 2010, les sous-traitants et donneurs d'ordres pourront le saisir.L'intervention du "médiateur inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance" aura pour objectif d'améliorer les relations entre donneurs d'ordres et sous-traitants industriels. Elle pourra revêtir deux formes :- une médiation collective dès lors que plusieurs demandes convergentes lui seront adressées. Le médiateur aura pour première fonction de recevoir les signalements anonymes de comportements abusifs, de les regrouper. Lorsque ces signalements convergeront suffisamment, il pourra se tourner vers le donneur d'ordre (ou le sous-traitant concerné) pour lui demander d'améliorer ses pratiques. Afin de lui conférer une meilleure efficacité, le médiateur devra veiller à ce que son action soit largement acceptée par les donneurs d'ordre. Il veillera à ce que son action s'inscrive en dehors de toute procédure contentieuse ou juridique. Il s'agit bien d'une stricte fonction de médiation. - une médiation individuelle dès lors que l'entreprise plaignante en exprime la demande. Dans le cas où le plaignant en exprime la volonté, le médiateur pourra par ailleurs jouer un rôle de médiation directe pour rechercher une solution rapide pour une entreprise en situation critique. Le médiateur pourra jouer un rôle de soutien et de mise en cohérence à l'occasion des travaux en cours ou à venir dans les différentes filières industrielles, notamment dans la cadre de la Convention nationale de l'industrie. Il contribuera notamment à faire évoluer les décisions prises par les comités stratégiques et à faire évoluer les chartes de bonnes pratiques. Le médiateur de la sous-traitance travaillera avec un réseau de médiateur locaux et de Tiers de confiance. Il rendra un rapport annuel au ministre chargé de l'industrie.
Site du médiateur de la sous-traitance : http://www.mediateur.industrie.gouv.fr/index.php

Les relations entre donneurs d'ordres et sous-traitants



La CGPME formule des propositions pour soutenir les sous-traitants
Par Françoise VINCENT, 03/05/2010
Équilibrer les relations entre donneurs d'ordres et sous-traitants, tel est l'objectif des préconisations de la CGPME formulées le 28 avril.Après la récente nomination d’un médiateur de la sous-traitance par le gouvernement, la CGPME entend aller plus loin. Pleinement consciente de la dépendance économique qui fragilise actuellement encore de trop nombreuses PME-PMI, la CGPME a formulé des propositions pour assainir les relations entre donneurs d’ordres et sous-traitants. Dans cet objectif de sécurisation des relations contractuelles, la Confédération générale des petites et moyennes entreprises estime qu’il convient d’apporter des améliorations au cadre juridique existant.
Sécuriser les relations contractuellesElle préconise d’abord de matérialiser le contrat de sous-traitance par écrit: ce document est fondamental dans la mesure où il a force de loi entre les parties. Autre mesure: elle prône également l’instauration d’un délai de préavis en cas de rupture anticipée du contrat, ainsi que la mise en place d’un régime favorable de TVA au profit du sous-traitant. La Confédération souhaite par ailleurs que l’entrepreneur principal soit incité à communiquer le contrat de sous-traitance au maître d’ouvrage. Enfin, elle demande le renforcement de l’information des maîtres de l’ouvrage et des entrepreneurs principaux sur les obligations qui leur incombent, et mais également du contrôle sur les administrateurs judiciaires des donneurs d’ordres.
Un pan entier de l'économieLa sous-traitance est vitale pour les PME et les zones géographique dans lesquelles elles se trouvent. En 2007, 6650 entreprises du secteur de l’industrie manufacturière ont été sous-traitantes: 92,6% d’entre elles étaient des PME employant de 20 à 249 personnes. Pour ces entreprises, la sous-traitance industrielle représente 64,5% de leur chiffre d’affaires. À noter que les PME sont largement sous-représentées en matière d’exportation. Ainsi, près de 70% des entreprises françaises de plus de 250 salariés sont exportatrices, contre seulement 22% des PME de 10 à 249 salariés et 2% de TPE.

Journée mondiale de la biodiversité 2010


PARIS
Une Journée mondiale de la Biodiversité pour compter les points en moins
Tout va plus vite que prévu et dans le mauvais sens: en dépit des engagements internationaux, la biodiversité sur terre s'érode à un rythme jamais éprouvé depuis l'apparition de l'espèce humaine

Une journée mondiale, célébrée samedi, une Année internationale (en 2010) et même un sommet de chefs d'Etat et de gouvernement, prévu en septembre à New York, n'incitent guère à la fête tant les soustractions l'emportent sur les gains.
"Malheureusement, les statistiques indiquent que la biodiversité est en train de plonger", notent les Nations unies dans un rapport publié à l'occasion de la Journée de samedi, qui marque l'adoption en 1992 de la Convention sur la diversité biologique (CBD) à Rio.
Ce rapport reprend les grandes lignes du document publié le 10 mai par l'ONU évoquant une tendance irréversible au-delà d'un certain seuil. Mais ce qui pourrait être selon certains scientifiques la 6è grande extinction de l'histoire de la planète prive déjà l'humanité de services et d'outils précieux.
Ainsi, 1,6 milliard d'humains dépendent du bois et des produits forestiers, alors que 13 M d'hectares de forêt disparaissent chaque année. Plus d'un milliard dépendent aussi du poisson pour leur nourriture, mais celui-ci aura disparu dans 40 ans en l'absence de restructuration profonde de la pêche, assurait lundi Pavan Sukhdev, économiste indien qui dirige l'Initiative pour une économie verte du Programme de l'ONU pour l'environnement (PNUE).
Pire, on ne sait pas ce qu'on perd, relève le président du Museum d'Histoire naturelle de Paris, Gilles Boeuf: "Peut-être que l'espèce qui a disparu hier (...) contenait un puissant actif anti-tumoral. On ne l'aura pas".
Tout confondu, des mammifères aux virus ou aux bactéries, végétales et animales, 1,9 million d'espèces sont à ce jour connues et décrites, or la Terre en abriterait 10 à 30 millions au total. Pour cet expert, qui évoque un rythme de perte "foudroyant", la moitié risquent d'être perdues d'ici la fin de ce siècle.
"On évalue le rythme actuel de perte d'espèces (...) à plus de 100 fois celui de l'extinction naturelle", insiste également l'ONU, qui désigne la perte ou la destruction d'habitat naturel comme la première cause du désastre annoncé. En cause, le développement des villes, la conversion des terres à l'agriculture, la surexploitation des ressources naturelles et l'introduction d'espèces exotiques envahissantes.
En 2002, les gouvernements du monde entier se fixaient pour objectif - ambitieux mais vague - "d'enrayer de façon significative" la perte de biodiversité d'ici 2010. Le but est loin d'être atteint, reconnaît le patron de la Convention Biodiversité, Ahmed Djoghlaf.
"Il est temps que chacun change d'attitude: le scénario +business comme d'habitude+ n'est plus acceptable", souligne-t-il en espérant un réel engagement des dirigeants lors de leur sommet à New York en septembre, en marge de l'Assemblée générale de l'ONU.
"C'est comme si vous alliez chez le médecin et qu'il vous annonce que la moitié de votre corps est malade: nous en sommes là avec l'état de la planète", souligne la directrice générale de l'Union internationale pour la nature (UICN) Julia Marton-Lefèvre

Algerie développement rural miser sur la communication




Miser sur la communication



Dans le cadre du programme de renforcement des capacités humaines et d'assistance technique (PRHAT), le ministère de l'Agriculture et du développement rural organise, les 24 et 25 mai 2010, à Djelfa, un séminaire national sous le thème : "Vulgarisation agricole et assistance technique : médias et réseaux de communication ". Ce séminaire, auquel prendront part les spécialistes et professionnels de la communication et de la vulgarisation agricole, vise à identifier des éléments d'approche de la vulgarisation dans le contexte de la politique de renouveau agricole et rural, l'apport des médias, les méthodes d'animation et de vulgarisation, les aspects des transferts technologiques, la valorisation de recherche, les systèmes d'information et de documentation agricole, les réseaux de communication, les savoirs endogènes et empiriques des agriculteurs. Quelque 12 000 projets de proximité sont à réaliser au titre du programme de développement rural intégré du plan quinquennal 2010-2014. Ces opérations contribueront à l'amélioration du cadre de vie des populations rurales et à la promotion du monde rural de façon générale. Ces projets ruraux devront profiter directement à près de 7 millions de personnes et généreront un million d'emplois permanents et temporaires. Il faut savoir que les sociétés rurales doivent aujourd'hui s'adapter à un monde en évolution rapide et s'insérer dans des circuits économiques complexes. A cet effet, il leur est nécessaire de poursuivre les efforts tant pour assurer leur sécurité alimentaire, gérer et protéger les ressources et leurs territoires, qu'améliorer leurs conditions de vie, de santé, d'éducation et valoriser et conserver leurs patrimoines culturels, matériels et immatériels. Pour relever ce défi, la communication en zones rurales constitue un facteur stratégique. Les communautés rurales doivent disposer d'instruments appropriés qui leur permettent d'accéder aux informations et aux savoirs utiles, d'entretenir un débat entre eux et avec leurs partenaires, d'échanger leurs expériences, leurs savoirs leurs techniques et leurs pratiques. Aussi, la problématique qui se pose aujourd'hui est telle que les nouvelles mutations qu'a connues le monde agricole et rural en Algérie, induisent une nouvelle perception de vulgarisation et une orientation du monde d'intervention des médias avec l'implication de réseaux d'information et de communication dans l'approche. Ces nouvelles constituent des éléments de réflexion sur l'orientation à donner à la vulgarisation en tant que processus de communication. Il s'agit de percevoir les principes, les approches, les méthodes et d'identifier les outils pour une formulation efficiente d'une politique de vulgarisation dans laquelle les médias, les réseaux d'information et de communication destinés aux populations rurales doivent jouer un rôle moteur.Dalila T.

Banque africaine de développement



La Banque africaine de développement (BAD) est une banque multinationale de développement créée en 1964. 53 pays africains en sont membres et elle est soutenue par 24 pays européens, sud et nord américains et asiatiques.
Elle est chargée de promouvoir le développement économique et le progrès social dans les pays africains. Son siège est à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Les activités de la BAD ont été relocalisées temporairement à Tunis (Tunisie) depuis septembre 2003, après les troubles générés en Côte d'Ivoire par la tentative de coup d'État de 2002.
Le groupe de la Banque africaine de développement comprend aussi le Fond africain pour le développement, crée en 1972, et le Fond Spécial du Nigéria (FSN), créé par le Nigeria en 1976.
Le nouveau président de la Banque, le Rwandais Donald Kaberuka, a été élu le 21 juillet 2005. Il était jusque là le ministre des Finances du Rwanda. Il entame un mandat de cinq ans. Son prédécesseur était Omar Kabbaj qui a dirigé la BAD entre 1995 et 2005.

Algerie la BAD s’intéresse à la PME algérienne



Le président du Conseil national consultatif pour la promotion de la PME (CNC/PME) Zaïm Bensaci a reçu, ce jour, à Alger, la représentante résidente de la Banque africaine de développement (BAD) en Algérie, Mme Assitan Diarra-Thioune. Après une brève présentation du conseil, le président du CNC/PME a évoqué la réflexion menée par le comité ad hoc «développement et renforcement des capacités des PME » ainsi que les différents instruments mis en œuvre par les pouvoirs publics (Fonds de garantie des PME, Caisse de garantie des crédits à l’investissement des PME notamment) pour accompagner les chefs d’entreprise. De son côté, Mme Diarra-Thioune a esquissé les différentes activités du Groupe de la BAD et présenté les différents mécanismes d’accompagnement de la PME. Elle a rappelé les possibilités offertes en matière d’octroi de dons dans le cadre des activités d’assistance et de conseil que la Banque développe. Mme Diarra-Thioune a souligné lors de cette rencontre la ferme volonté de la BAD de contribuer davantage aux efforts de développement économique et social de l’Algérie et de promouvoir des relations de coopération et de partenariat entre les deux institutions. Pour sa part, M. Bensaci s’est félicité de l’ouverture récente d’un bureau de la Banque africaine de développement à Alger qui, selon lui, ouvre de nouvelles perspectives pour le financement de la PME algérienne.

Algerie 4e Journées euro-maghrébines de la communication publicitaire




La publicité, une force au service de l'entreprise



Les 4e journées euro-maghrébines de la communication publicitaire auront lieu les 31 mai et 1er juin prochains à l'hôtel El-Aurassi d'Alger, sous le patronage du Secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre chargé de la communication. Ces journées euro-maghrébines verront la participation de plusieurs experts algériens et étrangers, qui présenteront diverses communications liées au domaine de la publicité et de la communication, d'une manière générale. Pour sa quatrième édition les journées investiront durant 48 h donc les murs de l'hôtel Aurassi et se déclinera, grâce au partenariat avec les Medias, Liberté, le Maghreb , le soir d'Algérie la télé algérienne, la compagnie Aigle Azur, MediAlgeria, Djazair, MMC DDB Emedias DZ et autres agences de communication. Rendez-vous annuel incontournable du monde de la communication. Ces journées se dérouleront du 31 mai au 1er juin 2010. Elles sont organisées par RH. International Communication. Le thème retenu pour cette édition est " La publicité au secours de l'économie " Il s'agit, selon Rachid Hessas organisateur de l'événement de mettre en valeur à travers un débat exceptionnel le rôle économique de la communication qui reste une évidence, que chacun peut constater quotidiennement, et à la fois un mystère, parfois source de malentendus. Mais la publicité peut aussi perdre de sa valeur dans un environnement où les agences non expérimentées travaillent sans références internationales. Les somites internationales venues de partout, vont provoquer cette idée qui fait qu'aujourd'hui la publicité est souvent mal comprise par ceux qui la pratiquent au quotidien. Les thèmes riches en repères seront développés de la naissance de la pub à son impact sur l'économie. La quatrième édition est aussi un espace qui permettra de mesurer toute l'importance qui est accordée à cet outil de communication par les divers acteurs de la vie économique. La question trouvera sa place tout naturellement dans cette grande toile où l'on comprendra mieux qui est derrière son organisation pour ne pas dire son encadrement, encadrement s'il y a. Chibani Saïd, consultant en communication, provoquera un sujet qui est d'actualité et qui concerne la "communication publique et technique de la publicité. Il invitera les dirigeants à survoler " l'apprentissage de la mise au point de plans de communication et le recours aux professionnels de la communication et de la publicité. Le couple communication publique - techniques de la publicité peut donner de bons résultats : les pouvoirs publics pourront mieux "vendre", faire passer leurs projets et gagner plus d'adhésion à leurs actions. Le gain n'est pas que pour les pouvoirs publics, La transparence les met aussi sous le contrôle de l'opinion publique, des médias, des associations. La conférence de Madame Anne Saint Dreux directrice de la maison de la pub qui vient pour la première fois en Algérie va inviter l'assistance à un petit voyage dans le temps elle nous fera découvrir que nos "ancêtres communicants " ne manquaient ni d'astuces ni d'inventions pour séduire le consommateur, tandis qu'une observation de certains messages actuels nous permettra de constater que, décidément, la réclame n'est parfois pas bien loin. Jacques Bille vice-président et membre de l'International Advertising Association va faire rappeler que. la publicité est un instrument au service de l'économie. Communications commerciales et marketing sont donc parties actives de toutes les économies, dans lesquelles elles contribuent au processus de développement, à la fois au niveau national et à celui des entreprises. Notre confrère Abrous directeur de publication Liberté va poser une question de grande portée “Les quotidiens”, est-ce une formule gagnante pour les annonceurs ? Les quotidiens sont à la fois en pleine effervescence et en plein bouleversement. Ils sont un des médias préférés des annonceurs, au second rang des investissements publicitaires En somme comment se compare-t-on au Maroc - à la Tunisie et même à l'Europe ? De qui peut-on tirer des leçons? Interviendra David fray sur le thème "Je veux une régie publicitaire. La publicité en ligne est un moyen permettant aux webmasters de rentabiliser financièrement leur site internet et de leur permettre de couvrir les coûts d'hébergement et de noms du domaine. Dans un autre sujet les acteurs de la communication ; un débat que proposera Riad Ait Aoudia de Meidalgeria. Un sujet qui invitera les participants à se situer par rapport à l'actualité à ce qui se bâtit pour que l'operateur s'implique dans le développement de toute nouvelle stratégie ; Gasmi docteur et enseignant chercheur en sciences de gestion, proposera à l'assistance l'instrumentalisation des valeurs de l'entreprise auprès de ses clients. Voilà un autre mode de gestion qui démontre que la communication joue un rôle central, mais elle peut être contrariée par certains écarts qui risquent de surgir entre ce que l'entreprise souhaite et le client perçoit. Les Futures perspectives de la Télévision privée européenne, un thème d'une excellence remarquable et colle à l'actualité. M. Ross Biggam directeur général de l'association des télévisons commerciales d'Europe expliquera comment naissent ces chaînes et leur impact sur la communication. Très attendue, la télévision algérienne à travers un thème qui va permettre de connaître ses stratégies et ses objectifs son intervention permettra sans nul doute de situer le caractère de ses différentes stratégies, lui succédera le directeur général de l'ARPP Stéphane Martin qui manifeste un grand intérêt à ces journées. Il est parmi les nationaux à chacune des manifestations son souci est de contribuer à mieux construire les meilleures stratégies de communication télévisuelle : "L'autodiscipline publicitaire : entre liberté et responsabilité. L'exemple de la publicité télévisée" est le thème qu'il proposera ; Agences de demain, quels périmètres et quelle configuration … pour quels enjeux annonceurs ? c'est Luc Laurentin auteur du livre "No Pub" rappelera qu'hier les choses étaient simples, chaque métier (Pub/MS/PR/Event…) avait son univers, ses références, son savoir, chacun se "battait" avec des confrères clairement identifiés et les annonceurs savaient qui était qui. Aujourd'hui, les enjeux des entreprises, la violence des marchés, la technologie et les attentes des clients ont bouleversé la donne…quel peut être le profil de l'agence de demain … ? Rôle et mission d'une association des agences de communication. Une chaude actualité qui va intéresser l'ensemble des acteurs de la communication agences, annonceurs, étudiants et autres institutions. Il sera animé par Benoit Hary président de DraftFCB (France) et de la délégation "Image" de l'Association des Agences Conseils en Communication (AACC - France) "Demain, une organisation professionnelle pour les annonceurs : Un enjeu économique et de responsabilité" Une nécessité si réellement l'on veut accompagner la publicité vers son terrain de réussite clôturer ces journées par un tel thème c'est lancer un appel à tous pour sauver la profession. Un débat sera ouvert sur toutes les questions qui dominent ces journées. K. B.