阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, July 02, 2011

États‑Unis Algérie Sahel partenariat régional


Hadjer Naili, à New York
Washington veut encourager un partenariat régional entre l’Algérie et les pays du Sahel
Les États‑Unis ont dévoilé, ce jeudi 30 juin, leur nouvelle stratégie de lutte contre le terrorisme. La stratégie n’est pas si nouvelle en soi mais tente plutôt de formaliser la politique en matière de lutte anti‑terroriste adoptée depuis deux ans et demie sous l’Administration Obama. En revanche, le document dévoilé par Mr John Brennan, le conseiller antiterrorisme à la Maison Blanche, lors d’un discours à l’Université Mr Johns Hopkins à Washington, prend en compte de récents facteurs tels que l’après‑Oussama Ben Laden et les soulèvements au Moyen‑Orient et au Maghreb.

Les États‑Unis craignent de voir Al Qaida profiter du vide politique dans certains pays arabes pour s’imposer. Mr John Brennan a expliqué que les États‑Unis vont soigneusement choisir entre différentes approche : offensive, défensive ou diplomatique. L’objectif est de cibler Al Qaida là où l’organisation est la plus vulnérable, a expliqué Mr Brennan ajoutant que les opérations ciblées de drones au Pakistan allaient se poursuivre.

La Maison Blanche entend renforcer sa coopération avec les pays où Al Qaida tenterait de trouver refuge, tels que l’Afghanistan, le Pakistan et la Somalie mais aussi des pays d’Afrique du Nord, comme l’Algérie.

Dans son document, la Maison Blanche mentionne que la présence d’Al Qaida au Maghreb Islamique, fortement implantée en Algérie dans un premier temps, se fait aujourd’hui davantage ressentir au sud de la région, à savoir le Mali et les pays frontaliers du Sahel. Washington cherche ainsi à encourager un partenariat régional entre l’Algérie et les pays du Sahel tels que la Mauritanie, le Niger et le Mali pour lutter contre AQMI.

Le conseiller à la sécurité nationale et à la lutte anti terroriste s’est toutefois réjoui de la mort du leader d’Al Qaida et d’autres leaders du réseau. Cela « nous permet pour la première fois d’envisager la fin du noyau dur d’Al Qaida dans les années à venir », s’est enthousiasmé John Brennan. Il a rappelé que les informations retrouvées à l’intérieur de la villa dans laquelle Oussama Ben Laden a passé ses derniers jours ont révélé que le leader lui‑même « avait clairement senti qu’Al Qaida perdait de son influence dans les cœurs et les esprits ».

« Nous continuerons à être clairs et précis avec notre ennemi. Nous continuerons à utiliser tous les outils à notre disposition et les appliquerons de manière judicieuse », a déclaré mr John Brennan. Al Qaida, ainsi que « ses affiliés et supporters » resteront la cible principales des opérations américaines a‑t‑il poursuivi.

La Maison Blanche s’inquiète également de voir Al Qaida prendre le contrôle dans les pays arabes traversés par une vague de révolutions populaires, notamment au Yémen où est fortement implanté le réseau Al Qaida dans la Péninsule arabique, considéré comme « la plus active des branches », selon John Brennan.

Autre nouveauté de ce document : la possibilité d’une menace terroriste venant de l’intérieur du territoire américain. Ces dernières années, les États‑Unis ont en effet arrêté plusieurs ressortissants ou résidents américains sur le point de commettre un attentat. Mr John Brennan a rappelé le cas de l’Americano‑Pakistanais Faisal Shahzad qui a tenté de faire exploser un véhicule piégé en plein Times Square en mai 2010. Il y a aussi eu les cas de Najibullah Zazi, originaire du Pakistan, arrêté en 2009 pour avoir préparé des attaques suicides dans le métro new yorkais, ainsi que le cas de Umar Farouk Abdulmutallab, Nigérian résidant aux États‑Unis, qui a tenté de faire exploser un avion de la compagnie American Airlines à destination de Détroit, le 25 décembre 2009.

« C’est la première fois que la stratégie de lutte antiterrorisme se concentre sur la capacité d’Al Qaida et ses réseaux affiliés à encourager des individus résidant sur le sol américain pour nous attaquer de l’intérieur », a expliqué John Brennan. Dans ce contexte, il a appelé à une forte collaboration avec les musulmans américains pour aider à combattre la montée de l’extrémisme local aux États‑Unis. « Les musulmans ne sont pas une partie du problème mais une partie de la solution », a‑t‑il déclaré, rappelant que les États‑Unis n’étaient pas en guerre contre l’Islam.

Algerie France Madame Zhor Drif Bitat



Algérie : Des élus du conseil de la nation en France
A l’invitation du groupe d’amitié « Algérie-France », une délégation du conseil de la nation se rendra ce Lundi en France. La délégation Algérienne sera Présidée par Madame Zhor Drif Bitat.

cadres algériens reçoivent le MBA à la Sorbonne



Ils sont cadres à Sonatrach, Sonelgaz, BNP-Paribas ou même Emploitic.com et forment la 6e promotion MBA de la MDI Business School d'Alger, premier établissement privé d’enseignement supérieur de gestion en Algérie. Dans un amphi de la prestigieuse université parisienne Panthéon-Sorbonne, ils ont reçu mercredi leur diplôme, couronnement de dix-huit mois d'intenses efforts. Les étudiants de MDI étaient là avec ceux de l'université Saint-Joseph de Beyrouth, un établissement célèbre et plus que centenaire qui a vu passer sur ses bancs nombre de personnalités libanaises (chefs d'État, ministres, écrivains, journalistes), et ceux de l'Analysis Institute of Management de l'île Maurice. Le diplôme est le fruit d'un partenariat entre ces universités et Paris-Dauphine, la plus cotée en France dans la filière gestion et l'IAE (Institut d'administration de l'entreprise) de Paris. Solennelle, la cérémonie a été parrainée par le président de Wataniya Télécom Algérie (Nedjma), Joseph Ged, qui a loué “la réussite algérienne”, encourageant les cadres installés en France à aller travailler en Algérie qui “a besoin de vous”. Dans son allocution, M. Ged a même formulé l'espoir que le “printemps des peuples” arabes puisse apporter plus de “stabilité” et de “démocratie” dans les pays qu'il illumine de ses rayons de liberté. Interrogé ensuite par Liberté,
M. Ged a qualifié de “success story” l'aventure de MDI, l'établissement dirigé par Brahim Benabdeslem et qui fête cette année ses 15 ans dans un pays où les sociétés étrangères peinent à trouver les cadres qualifiés tant la formation universitaire n'est pas adaptée au monde de l'entreprise. Nedjma, a rappelé
M. Ged, a d'ailleurs mis en place son propre institut de formation qui a assuré plus de 65 000 heures d'enseignement depuis 2004. Pour autant, “l'Algérie est capable de s'affirmer dans n'importe quel secteur”, juge-t-il. Pour preuve, la réussite de Nedjma qui a réalisé en 2010 un taux de croissance de 50%, le plus fort de la zone Mena.“Ce n'est pas le fruit du hasard” mais celui “des cadres algériens dont je suis particulièrement fier”. Sur les 2 000 salariés de sa société, l'équipe dirigeante est formée pour moitié d'Algériens et pour moitié d'expatriés. Dans d'autres proportions, le site Emploitic.com est un autre exemple de réussite. Alors que l'Algérie est à la traîne sur l’Internet, le site est devenu, avec une moyenne de 2 000 connexions jour, la référence en matière d'offres et de recherche d'emploi pour les cadres. Il compte aujourd'hui une trentaine de collaborateurs, selon Lila Aït Hamlet, responsable de l'équipe commerciale, qui a suivi la formation MBA en marketing et management de la distribution. Par : A. O LIBERTE