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羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, October 10, 2010

Assemblée parlementaire de l’OSCE : Une délégation de parlementaires algériens prend part aux réunions de Palerme


La réunion d’automne de l'Assemblée parlementaire de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), à laquelle prend part une délégation parlementaire algérienne des deux chambres, s’est ouverte à Palerme.
La réunion d’automne de l'Assemblée parlementaire de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), à laquelle prend part une délégation parlementaire algérienne des deux chambres, s’est ouverte à Palerme.
Cette rencontre, qui s’étalera jusqu’à demain, planche sur différents thèmes tels "la lutte contre le crime organisé transfrontalier et la corruption", "la coopération dans les domaines économiques et des infrastructures de bases en Méditerranée" et "la coopération culturelle et environnementale".
A l’ouverture des travaux, en présence de quelque 56 délégations, le président du parlement régionale de Sicile, Francesco Cascio, a qualifié d’"important" le choix de la ville de Palerme pour abriter cette session du fait, a-t-il dit, qu’"elle traite notamment, de la question de la criminalité transnationale et la corruption, avec un accent particulier à la région méditerranéenne". Pour lui, les problèmes de la sécurité dans la région du bassin méditerranéen, ne peuvent trouver de solution sans la prise une charge concrète des questions de développement, mais aussi des tensions et conflits régionaux, en allusion à la situation au Moyen-Orient. Il s’est, du reste, "félicité" de la présence à Palerme, de l'Autorité nationale palestinienne, soulignant que le "forum méditerranéen fournira une contribution utile" dans ce cadre. Evoquant la paix et la stabilité du monde, il a mis en valeur le rôle des pays de l’OSCE et les partenaires de cette organisation à "promouvoir un dialogue ouvert et une coopération qui permettrait de faire face de manière adéquate ces défis difficiles qui s'imposent à nous", a-t-il souligné. Francesco Cascio a estimé que la réflexion sur la sécurité dans le monde ne peut mettre de côté "toutes ces questions de notre temps, relatifs à la dégradation de l'environnement, la rareté des ressources naturelles comme l'eau, la faim dans le monde, la répartition inégale des richesses, le développement économique, très inégal, une croissance démographique incontrôlée qui stimule la migration". "En fait, a-t-il ajouté, tous ces facteurs jouent dans une certaine mesure, un rôle dans les politiques de sécurité, faisant savoir en outre, que pour "atteindre ces objectifs, il y a lieu d’assurer le plein respect des libertés fondamentales et du droit" qui sont, selon lui, "les bases d'une société multiculturelle solide, fondée sur des valeurs transnationales, à même d’atténuer les tendances racistes et xénophobes". Le président du parlement de Sicile a rappelé, par ailleurs, que la convention des Nations unies relative à la lutte contre la criminalité transnationale signée en 2000 à Palerme, visait à "promouvoir, prévenir et lutter plus efficacement contre ces crimes qui menacent la sécurité internationale et le progrès global". Dans ce cadre, il a estimé que "dix ans après la signature de la Convention des Nations unies, cette réunion est une occasion pour faire le point sur l'engagement des pays signataires quant à sa mise en £uvre, mais aussi sur les éventuelles actions à prendre pour renforcer la législation de lutte contre ce fléau.
La délégation algérienne est conduite par le vice-président du Conseil de la nation, M. Abderrezak Bouhara, signale-t-on.

Publié dans : OSCE

Le Président Bouteflika appelle à une réforme urgente du système de l'action arabe commune


Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a prononcé, hier à Syrte, une allocution à l'occasion du sommet arabe extraordinaire qui se tient à Syrte (Libye).
Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a prononcé, hier à Syrte, une allocution à l'occasion du sommet arabe extraordinaire qui se tient à Syrte (Libye). En voici la traduction APS :

“Au nom de Dieu le Clément, le Miséricordieux,
Que le Salut de Dieu soit sur le plus noble des messagers, ses proches et ses compagnons jusqu'au jour du Jugement dernier.
Excellence Colonel Maâmar El Gueddafi, Guide de la Révolution libyenne,
Majestés, Excellences, Altesses,
Excellence, Monsieur le secrétaire général de la Ligue arabe,
Mesdames et messieurs,
Je voudrais, tout d'abord, féliciter mon frère, le Guide Maâmar El Gueddafi pour sa présidence de cette session extraordinaire du sommet arabe, et lui exprimer mes vifs remerciements pour l'accueil généreux et l'hospitalité qui nous ont été réservés et pour la bonne gestion des travaux de ce sommet qui nous réunit à nouveau dans notre deuxième pays frère, la Jamahirya libyenne.
Mes remerciements vont également au Secrétaire général de la Ligue arabe, M. Amr Moussa pour ses efforts louables consentis au service des causes arabes.

Votre Excellence,
Majestés, Excellences, Altesses,
Mesdames, messieurs,
Notre session extraordinaire se tient dans une conjoncture arabe et internationale particulière qui fait que la décision de sa convocation soit, en elle-même, une décision pertinente et clairvoyante.
En effet, la conjoncture extrêmement sensible que traverse notre Nation arabe est caractérisée par les derniers développements de la cause palestinienne et les achoppements contre lesquels butent les négociations de paix en raison de l'obstination de l'occupation israélienne qui s'entête à poursuivre sa politique de construction de colonies faisant fi du droit légitime du peuple palestinien à l'édification de son Etat indépendant.
Au plan international, il s'agit de dossiers inhérents à la position des pays arabes vis-à-vis des mutations en cours, aux plans régional et international, dans leurs volets politique et économique ainsi qu'en ce qui concerne la réforme des Nations unies et du Conseil de sécurité.
Ces défis et ces questions aussi épineuses les unes que les autres, soient-elles urgentes ou inscrites aux long et moyen termes, nous interpellent. C'est pourquoi la convocation de notre sommet était inéluctable.
De ce fait, mon pays adhère pleinement à l'initiative appelant à une réforme urgente du système de fonctionnement de la Ligue arabe pour mieux composer avec notre environnement externe et y influer de manière à servir les intérêts de notre Nation et les aspirations de nos peuples, qu'il s'agisse de notre environnement immédiat ou de l'ordre mondial fort de ses ensembles et de ses alliances.
Je demeure convaincu que la réforme institutionnelle, objet de notre rencontre, est à même d'ouvrir grand la voie à l'instauration d'une politique arabe de voisinage jouissant de potentialités humaines et matérielles nécessaires à la réalisation de ses objectifs de la meilleure manière qui soit.
Tout en saluant l'amorce de ce processus de réforme que nous accueillons avec enthousiasme et optimisme, nous tenons à souligner l'impératif d'engager des réformes axées sur une évaluation objective du bilan de l'action arabe commune qui tienne compte aussi bien de ses point forts que de ses failles.
Nous préconisons, pour ce faire, de méditer les expériences internationales et régionales qui ont fait leurs preuves en la matière, notamment au niveau africain et dans le cadre de l'Union européenne, et ce dans un continuel souci de moderniser les méthodes de notre action commune à même d'assurer la réalisation des objectifs escomptés à un rythme plus soutenu en écartant les douloureuses erreurs du passé.
L'Algérie veut souligner, de prime abord, la nécessité de poursuivre et de consacrer les réformes initiées précédemment, à leur tête la création du Parlement arabe permanent en adoptant le critère de représentativité proportionnelle basée sur la densité de la population de chaque pays membre.
Il s'agit, en effet, d'un pas qualitatif et important sur la voie de la démocratisation de la vie socio-politique des pays arabes et d'un moyen idoine de relancer le processus d'édification d'une société arabe consciencieuse et responsable imprégnée des principes de la bonne pratique démocratique qui respecte ses valeurs culturelles et civilisationnelles arabo-musulmanes.
Nous ne manquerons pas de souligner, aussi, l'impératif de représenter toutes les franges de la société arabe y compris l'élément féminin.
Nous soulignons, dans le même ordre d'idées, l'importance de promouvoir le rôle du Conseil de paix et de sécurité et de soutenir ses moyens matériels et technologiques afin de lui permettre d'accomplir au mieux son rôle et de gérer les cas de tensions et de conflits de manière à empêcher leur recrudescence en leur apportant le règlement adéquat.
Compte tenu de la situation dans laquelle se trouvait ce conseil et vu les résultats concrets réalisés par son homologue dans le cadre de notre expérience africaine, nous estimons qu'il est inévitable de revoir sa composante et de l'élargir de manière à lui permettre d'assumer efficacement son rôle.
De même pour le Conseil économique et social qui a pour mission la cristallisation des aspirations du citoyen arabe et leur défense lors des sommets économiques et sociaux mondiaux et auprès des institutions de l'ONU et des institutions internationales y relevant.
En second lieu, l'Algérie est optimiste quant à toutes les nouvelles propositions visant la dynamisation de l'action arabe commune et soutient en particulier la proposition soulignant la nécessité de renforcer les moyens du secrétariat vu ses charges croissantes et en prévision de l'élargissement de ses missions futures notamment celles engendrées par les réformes actuelles. Ce qui implique notre appui à la proposition du secrétariat général visant la création d'un nouveau poste pour seconder le délégué général.
Dans le même contexte et pour les mêmes motifs, nous suggérons la mise en place du mécanisme de la troïka au niveau de la présidence annuelle de la Ligue pour soutenir la présidence du sommet dans l'accomplissement de ses missions à tous les niveaux en vue d'assurer le contact entre les présidences successives, de préserver la mémoire de l'action commune et des ses décisions et de concrétiser les objectifs et les politiques adoptées.

Votre Excellence
Majestés, Excellences, Altesses
Mesdames, Messieurs
L'efficacité de l'action arabe commune se mesurant au niveau de la rationalité des décisions et des politiques tracées et de l'efficience des méthodes adoptées pour leur application, nous exhortons, en troisième lieu, nos frères dans les pays membres et au sein du secrétariat général à faire preuve de pragmatisme et de réalisme dans la définition des prérogatives des conseils ministériels et des commissions proposées conformément aux priorités de l'action arabe commune et de ses grandes orientations stratégiques et ce, pour éviter tout chevauchement qui pourrait entraver la réalisation de nos aspirations à des positions cohérentes et à une vision globale qui devrait caractériser nos décisions et stratégies.
Nous soulignons également la nécessité de préserver la cohésion entre les différents organes de la Ligue actuels ou en cours de création, d'éviter d'alourdir la charge de la structure institutionnelle escomptée et de veiller à une mobilisation rationnelle et justifiée des ressources de la Ligue.

Votre excellence,
Majestés, Altesses,
Mesdames, messieurs,
Je voudrais saisir cette occasion pour saluer le contenu du document du secrétaire général de la Ligue sur une politique arabe de voisinage, qui reflète une vision perspicace et clairvoyante d'un rôle arabe plus efficace et influent, notamment dans la relation avec les pays voisins, avec lesquels nous partageons souvent des défis et des intérêts communs.
La politique arabe de voisinage repose indéniablement sur un minimum de constantes et d'objectifs arabes communs incontestables et inaliénables.
Il s'agit principalement de la nécessité de trouver une solution juste et définitive à la question palestinienne, de recouvrer tous les territoires arabes occupés, de réaliser la sécurité régionale et globale pour les pays et les peuples arabes et d'y œuvrer sérieusement en vue d'éloigner toute source de tension ou toute menace à la paix, en déployant tous les moyens possibles, pour faire de la région arabe et celle du Moyen-Orient, une région exempte d'armes de destruction massive et en particulier d'armes nucléaires et en veillant au respect et à la promotion des valeurs culturelles, civilisationnelles et religieuses de la Nation arabe dans le cadre du dialogue des civilisations et des religions.
Concernant les mécanismes de mise en œuvre, je ne vois la nécessité d'une nouvelle structure institutionnelle autonome. Il s'agit plutôt d'une politique de voisinage qui doit adhérer complètement aux politiques de la Ligue pour qu'elle soit adoptée par toutes ses structures, qu'il s'agisse du secrétariat, de conseils ou de commissions.
Tels sont, avec concision, les principes communs sur lesquels doit reposer toute politique arabe unifiée de voisinage pour être une politique à contenu, justifiée, reconnue et crédible pour nos peuples, nos voisins et nos alliés.
En dépit de notre extrême enthousiasme pour cette initiative, nous privilégions la circonspection et une mûre réflexion sur ce qu'un tel projet, grand et ambitieux, requiert comme étude, examen et analyse. Voilà pourquoi nous recommandons particulièrement de prendre le temps nécessaire et de fournir l'effort indispensable pour analyser tout ce qui peut en résulter comme engagements politiques, juridiques et pratiques qui nous lieraient avec les pays voisins et tout ce qui peut en découler comme divisions inutiles entre frères.

Votre excellence,
Majestés, Altesses
Mesdames, messieurs
Le nouveau processus de réforme institutionnelle de la Ligue que nous espérons voir arriver en tête des priorités de tous les pays membres et bénéficier de leur extrême attention ainsi que du suivi minutieux et continu du secrétariat général, est à même de garantir, à terme, le climat propice pour asseoir les fondements d'une politique arabe unifiée de voisinage qui serve les intérêts de notre Nation et réalise nos objectifs.
Au terme de mon allocution, je vous réitère, Monsieur le président, mes remerciements, en mon nom personnel et au nom de la délégation m'accompagnant, pour toute l'attention dont vous avez fait montre depuis notre arrivée sur cette terre généreuse et accueillante, priant le Tout-Puissant, de sanctionner les travaux de notre session, de succès et de guider nos pas au mieux des intérêts de notre Nation.
Je vous remercie pour votre attention.”

Mr Mohamed Yahiaoui : “Nous avons la tête, plus que jamais, pleine de projets


LE THÉÂTRE RÉGIONAL DE BATNA ORGANISE, À PARTIR DE DEMAIN, LE MOIS DU MONOLOGUE
Le directeur du TR Batna raconte dans cet entretien l’expérience de son théâtre dans la région, tout en revenant sur l’événement qui commencera demain et qui s’étalera jusqu’au 10 novembre prochain.

Liberté : Après avoir donné un sacré coup de jeune à cette vieille bâtisse arrachée à la destruction et l'oubli et l'avoir transformée en belle architecture, le Théâtre régional de Batna, dont vous êtes le directeur, est en train d'égrener une série de réussites et de distinctions aux manifestations théâtrales ces dernières années. Quel est le secret de ces réussites en série?
Mohamed Yahiaoui : Le mérite de ces réussites revient essentiellement aux efforts et aux abnégations du personnel technique, artistique et administratif du Théâtre régional de Batna et, bien sûr, aux subventions financières octroyées par le ministère de la Culture au TRB. Ensuite, bien sûr, les succès ont suivi d'eux-mêmes grâce à l'audace, à l'inventivité, au rythme soutenu et à une ouverture d'esprit et de recherche, qui fait qu'au fond, notre théâtre rebondit assez bien.

Quel est votre avis sur le niveau général du théâtre à Batna ?
Sincèrement, cette question je la voyais venir ! À mon tour, je la pose de nouveau aux gens de la presse, aux spectateurs, aux spécialistes et aux critiques du théâtre pour nous donner sincèrement leur avis sur le niveau du théâtre atteint à Batna. Nous sommes conscients que, sans critiques, sans aucune évaluation de notre art théâtral par des spectateurs, des gens de la presse et des critiques du théâtre, nous risquons fort de ne pas évoluer, même de nous égarer, de régresser et de nous émousser. Nous sommes de ceux qui considèrent que la critique est d'une grande importance dans l'évolution du théâtre. C'est pourquoi nous invitons les critiques qui souhaitent échanger leurs vues avec les nôtres sur la question du domaine du théâtre de se rapprocher de nous dans le but de poser les jalons d'une investigation commune.

Parlez-nous de ce mois du monologue et de ses objectifs ?
Nous sommes de ceux qui croient que le théâtre est un lieu de vie, et ma responsabilité à la tête de ce théâtre régional m'oblige toujours à lui donner vie, à lui consacrer tous les moyens financiers et humains pour son amélioration et son développement. C'est pourquoi, nous avons décidé d'organiser ce mois du monologue au double objectif d'encourager ce genre théâtral, qui est à l'état embryonnaire à Batna, et de permettre au public de se distraire et de rire. Nous avons la tête plus que jamais pleine de projets et nous sollicitons l'aide de tout le monde pour les concrétiser.

Quels sont vos autres projets au sein du TR Batna ?
Le rêve pour lequel j'œuvre est de faire du théâtre une cité ouverte aux dramaturges, aux comédiens, aux metteurs en scène, à tous les amateurs du théâtre et à ses partenaires pour insuffler une dimension populaire au théâtre. La qualité n'est pas le produit du hasard et ne tombe pas du ciel. Il faut, pour y parvenir, une vision, de la persévérance et de l'audace.


Place au monologue !
Trente-deux monologuistes en provenance de quatorze wilayas planteront leur chapiteau au Théâtre régional de Batna dès demain, et ce, jusqu’au 10 novembre prochain. Ces monologues amèneront certainement au théâtre un public qu'on y voit rarement d'habitude. Les figures marquantes ayant contribué à façonner le monologue et à lui donner sa forme actuelle présenteront, pendant un mois, des spectacles humoristiques haut en couleur, et qui feront, sans l’ombre d’un doute, la joie de tant de Batnéens.

KOUBA Alger youtube


Kouba est une ancienne bourgade qui a été absorbée par l'expansion de la ville d'Alger, la capitale de l'Algérie.

De bourgade, Kouba s'est rapidement développée sous la colonisation française puis plus encore à la faveur de la formidable expansion démographique qu'Alger a connu après l'indépendance de 1962.

Elle compte une population de 141 900 habitants (2005)

C'est aujourd'hui un quartier d'Alger à part entière constitué principalement de maisons, de villas et d'immeubles ne dépassant pas les cinq étages. Quelques cités-dortoirs et une résidence étudiante, dite du Vieux Kouba, parsèment néanmoins le paysage. Elle possède aussi un club de foot Le RCK (Read Chabab Kouba)

Le charmant bourg de Kouba est placé en avant de l'Atlas dont il est séparé par la riche plaine de la Mitidja, planté sur un des derniers mamelons des collines du Sahel, à 127 mètres d'élévation.

Il occupe le centre du golfe que ferme, à droite, le Cap Matifou et, à gauche, la ville d'Alger. Par devant, des pentes douces, parsemées de villas et ombragées d'arbres toujours verts, descendent vers le rivage. Au-delà c'est l'immense étendue d'une mer bleue, la Méditerranée.

Kouba est certainement un des plus beaux villages du département d'Alger. La vue s'étend sur la merveilleuse baie d'Alger dont le panorama est véritablement admirable, sur la plaine de la Mitidja et sur les montagnes du Tell. On peut, par de nombreuses routes se diriger vers les centres environnants : Birmandrais, Birkadem, le Gué de Constantine et Hussein-Dey.

Le climat y est excellent, dépourvu d'humidité et très recherché, pendant la saison chaude, par les Algérois. Kouba peut également rivaliser, pour la saison d'hiver, avec les plus fameuses stations hivernales. En raison des nombreux avantages signalés ci-dessus, Kouba, par sa situation, son panorama, ses abords merveilleux, pouvait prétendre à devenir un centre climatique et touristique de premier ordre, bien fait pour captiver l'attention et la sympathie des visiteurs.

Les villes d'Algérie - Ghardaïa - غردايةyoutube


Ghardaïa (en tifinagh , en arabe : ولاية غرداية) est une oasis située au centre de l'Algérie; elle est le chef-lieu de la wilaya de Ghardaïa. C'est la capitale de la Vallée du Mzab. La ville est peuplée de 170 000 habitants. La ville fait partie du patrimoine mondial et elle est considérée comme site touristique en Algérie
.La wilaya de Ghardaia (Tarerdayt-en Mozabite) se compose des 7 villages les plus anciens : Tajnint (El Ataf) At Bunur (Abou Noura) Taγerdayt(Ghardaia) (chef-lieu de wilaya) At Igden (Beni Isguen) At Mlichet (Malika) Beryan (Berriane) (Gourara)
Ghardaïa tire son nom du mot amazighe tagherdayt (Tarerdayt). Aujourd'hui capitale du Mzab. Sa date supposée de sa fondation est 1228. C'est une cité (Aγerm) de type ksourien, son architecture traditionnelle a largements inspiré l'œuvre de Le Corbusier.

le toponyme « Ghardaïa », comme d’ailleurs ceux de la région amazighe du Mzab (Tajnint « El Atteuf », At Mlichet « Melika », At Izğen « Beni Isguen », At Bunur « Bounoura », Bergan « Berriane » et Iger'r'ar'en « Guerrara »), n’est en effet, depuis la période coloniale française, que la déformation de la forme amazighe authentique « Taγerdayt » que l’on doit pas confondre avec taγerdat/taγerdayt, féminin de « aγerda = souris ». Ces ressemblances existent bel et bien en langue amazighe, dans toutes ses variantes.

Ce toponyme « Taγerdayt » que porte la métropole de la région du Mzab, pour des raisons qu’il serait long d’évoquer ici, a bien entendu une forme et un sens en rapport avec la langue de l’établissement humain qui l’occupe depuis la nuite des temps. Par ailleurs, il serait insensé et inconcevable qu’une forme toponymique (Ghardaia) soit officialisée, alors que ce toponyme est depuis toujours prononcé « Taγerdayt » par toutes les populations amazighophones de ladite région en disant exclusivement : ad z'wiγ γel Tγerdayt (je me rends a Taγerdayt), usiγ-d s Tγerdayt (je suis venu de Taγerdayt), etc ...

Selon une hypothèse solide à laquelle est parvenu H. DABOUZ, le toponyme Taγerdayt, signifiant « cuvette/dépression » se décompose comme suit : • « ta---t » (indices du féminin singulier, dans tamazight) • gher (découlant de iger/ager signifiant champ) • adday (partie inférieure, bas, dessous).

Ce qui va en harmonie avec la topographie et le sens de « cuvette/dépression ». Par ailleurs, en tamazight d’Adrar Nfusa, en Libye, le mot Taγerdayt est bien attesté. Il donne le sens de « terre située au bord de l’oued ».

Premier Salon International des Energies Renouvelables et de la Maîtrise d’Energie : 150 exposants sont attendus


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
À quelques jours de son ouverture, le 1er Salon international des énergies renouvelables et de la maîtrise d’énergie (Siereme), qui se tiendra du 11 au 15 octobre prochains au Palais des expositions des Pins-Maritimes, a déjà reçu confirmation de participation de plus d’une centaine d’opérateurs aussi bien nationaux qu’étrangers..

La société organisatrice Batimatec Expo continue à recevoir chaque jour de nombreuses intentions à cette importante manifestation, accompagnée par l’Aprue, et placée sous le haut patronage du chef de l’État. Environ 150 exposants, parmi lesquels une trentaine d’étrangers, sont attendus, selon cette même source, qui met en relief le thème particulièrement porteur des énergies renouvelables devant lequel s’ouvrent d’intéressantes perspectives de développement à travers le monde..

L’industrie des énergies renouvelables alternatives aux produits fossiles et les technologies visant à rationaliser leur utilisation connaissent, en effet, un développement sans précédent qui préfigure une refonte des modèles de croissance de plus en plus soucieux de la préservation de l’environnement. L’Algérie, qui ne peut échapper à cette nouvelle démarche développementale, devrait, d’ores et déjà, s’y préparer en engageant des actions multiformes parmi lesquelles la communication et le marketing visant à promouvoir les énergies alternatives devraient figurer en bonne place..

Le salon Siereme, qui donnera l’occasion aux opérateurs concernés (industriels, promoteurs immobiliers, maîtres d’ouvrages publics et privés, auto-constructeurs, universitaires, chercheurs…) de prendre connaissance des innovations en matière d’utilisation et de préservation d’énergies renouvelables, a précisément été conçu à cet effet. Un espace important sera alloué gratuitement aux petites entreprises et artisans du secteur des énergies renouvelables afin de les encourager à participer au salon, nous apprend le P-DG de Batimatec Expo..

Un appel a également été lancé en direction des inventeurs qui pourront, à cette occasion, présenter et promouvoir leurs produits et découvertes. Quelques intentions de participer seraient déjà parvenues au bureau des organisateurs. De nombreuses ambassades auraient également pris attache avec les organisateurs du salon dans le but d’offrir à certaines de leurs entreprises l’occasion de présenter des produits et équipements innovants utilisant ou produisant des énergies renouvelables..

Liberté.

Mr Andreas Hergenröther est depuis 2004 le directeur général de la Chambre algéro-allemande de commerce et d’industrie AHK Algérie



Le directeur général de la Chambre algéro-allemande de commerce et d’industrie (AHK Algérie), Andreas Hergenröther, quitte l’Algérie après la fin de son mandat. Six ans après sa nomination en tant que coordinateur des relations économiques entre l’Algérie et l’Allemagne, il se dirige bientôt vers les pays du Golfe en tant que délégué de l’économie allemande des AHK d’Arabie saoudite, du Yémen et d’une partie du Bahreïn. Désigné en 2004 en tant que coordinateur des relations économiques entre les deux pays alors qu’il n’y avait aucune structure ou association d’entrepreneurs algéro-allemande, M. Hergenröther a décidé de créer l’Association pour la promotion des relations économiques algéro-allemandes devenue en 2005 AHK Algérie (Chambre algéro-allemande de commerce et d’industrie).

Cette plate-forme qui ne comptait pas plus de 43 membres au début, regroupe actuellement plus de 700 membres allemands et algériens. Un chiffre qui la classe deuxième plus grande chambre de commerce allemande dans le monde après la AHK Egypte. Hier, à travers son message d’adieu aux journalistes, lors d’une conférence de presse au siège de l’AHK à Alger, M. Hergenröther a qualifié son parcours en Algérie de « très positif » au regard du nombre croissant des adhérents à la Chambre et de la croissance des relations économiques entre l’Algérie et l’Allemagne. Pour étayer ses propos, il a souligne que 250 entreprises allemandes ont leur propre structure en Algérie, et les exportations allemandes vers l’Algérie ont évolué de manière constante en atteignant 2,74 milliards de dollars en 2009. Concernant les investissements allemands en Algérie, il a considéré qu’ils sont nombreux et durables. Il a cité comme preuve les entreprises installées en Algérie tels que Lind, Henkel, E.On, Siemens, ZF et Knauf. Selon lui, cela prouve que les entreprises allemandes affiliées à l’AHK « croient réellement à un partenariat durable et bénéfique pour les deux côtés ».

Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com
D’après le Jeune Indépendant

Sahara - Algérie Youtube


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Le Sahara algérien est un désert au sud de l'Algérie. L'Algérie se situe dans le nord de l'Afrique. Le Sahara est un désert chaud et sec. En été, il fait environ plus 50 degrés dans la journée. En hiver, il peut faire moins 5 degrés en altitude.


Beaucoup de gens pensent que le désert est très sableux mais en fait il contient beaucoup de cailloux. Mais il y a aussi de grosses dunes de sable jaunes, roses ou orange.



Dans le Sahara il y a une montagne qui s'appelle le Hoggar. Son sommet le plus haut est le mont Tahar, il fait environ 3 000m. Le Hoggar est un massif volcanique.

Dans les déserts on trouve aussi de l'eau. On peut en trouver dans les puits, dans les gueltas et les oasis. Les gueltas sont des endroits en montagne qui sont protégés du soleil (par une falaise par exemple) et où on trouve toujours de l'eau. On trouve aussi des oueds, mais il n'y a pas de l'eau en permanence à cet endroit : il n'y en a que quand il pleut. Dans les gueltas et les oueds, il y a beaucoup de plantes et aussi des animaux.


On trouve aussi des sols salés avec dessous de l'argile avec lequel on peut faire des poteries.



Le Sahara était bien avant une mer. Il n'y a pas très longtemps, le Sahara n'était pas si chaud et il y avait beaucoup de plantes et d'animaux. Par exemple, il y avait des girafes. Pour le savoir, les gens ont trouvé des dessins d'animaux sur les pierres. Cela s'appelle des peintures rupestres.Dans le désert, il n'y a pas beaucoup de vie. Mais on trouve quand même des plantes. On trouve beaucoup d'acacias, de thora thora et de tamaris.

Les acacias ont beaucoup d'épines. Il ne faut jamais aller les voir de trop près, les habits pourraient s'attacher aux épines. Les Touaregs se servent beaucoup d'acacia pour faire du feu.
Le tamaris a besoin de très peu d'eau par rapport aux autres arbres.
Le Thora Thora est toxique, il ne faut jamais s'en servir pour faire du feu ni le manger. On trouve aussi des oliviers en montagne.


On trouve aussi beaucoup de gros buissons avec des épines. Si on a la diarrhée, on peut prendre une tisane d'armoise.

Dans les gueltas, on trouve beaucoup de plantes, par exemple, le laurier rose
On trouve aussi des animaux :

Par exemple, des gazelles (on peut chasser les gazelles, mais elles courent très vite. On les chasse en voiture pendant au moins 15 minutes puis elles sont épuisées. Des chasseurs chassent les gazelles en tirant avec des fusils. Les Touaregs eux, les épuisent, puis les égorgent avec un couteau)

On trouve aussi des ânes, des mouflons (en montagne), des gerboises (des sortes de souris avec une longue queue et qui se déplacent en sautant), des lapins, des oiseaux (en particulier le moula moula qui est noir avec un peu de blanc sur les ailes et une bande blanche sur la tête et qui porte bonheur) et des insectes (des scarabés, des fourmis, des criquets, des scorpions, des mouches). Certaines fourmis font environ 2 centimètres.

Les criquets se réunissent parfois pour manger les plantes sur leur passage et après il ne reste plus rien pour les animaux et les gens.

Les Touaregs ont aussi des troupeaux de chèvres, de chameaux (des dromadaires mais tout le monde les appelle des chameaux), de moutons.
La plupart des habitants du désert sont des Touaregs.

Ils n'habitent pas toujours au même endroit : ce sont des nomades.

Leur habit s'appelle la "djellaba", c'est une sorte de grande tunique. Pour se protéger du soleil et des tempêtes de sable, les Touaregs portent sur la tête un bout de tissu appelé un "chèche". Ils peuvent être jaunes, bleus, verts et même couleur sable. Il y a aussi des chèches pour les jours de fête. Ils sont faits en lin, avec un tissage spécial, ils peuvent être bleus ou violet ou indigo et perdent leur couleur.
C'est la raison pour laquelle on appelle parfois les Touaregs les hommes bleus.

Ils mangent de la chorba, c'est de la soupe avec des pâtes ou de la semoule, des légumes et de la viande. Ils mangent aussi du mouton et des chèvres. La graine de couscous sert à faire la taguéla, une galette de blé cuite dans le sable sous le feu
La guerba est une espèce de très grosse outre faite de peau de chèvre attachée devant les voitures. La peau est tannée à l'aide d'écorces d'Acacia femelle. La guerba sert à conserver l'eau bien au frais.

Ils boivent beaucoup de thé. Il y a trois thés (on les appele les numéro 1, numéro 2 et numéro 3). Le premier thé est très fort, le deuxième un peu moins fort et le troisième pas du tout. Le thé est très sucré.

Les Touareg sont musulmans, celat veut dire qu'ils ne mangent pas de porc et ne boivent pas d'alcool.

Aujourd'hui les Touaregs vivent de l'élevage, du commerce et du tourisme. Les Touaregs gardent des troupeaux d'animaux. Ils ont aussi des jardins (potagers) dans les oasis. Ils sont aidés par des serviteurs tout noirs venant du sud (Mali, Niger). Ils vendent des petits sabres, des petites boites et des bijoux.