阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, November 05, 2009

Euromed Algerie





Euromed : Faire de l’Algérie une destination phare à l’international
[Fenêtre sur l'Europe]
Le salon International du Tourisme et des Voyages (SITEV) se tiendra les 01 et 02 décembre 2009 au Palais de la Culture – Plateau des Anassers BP 105 Kouba Alger. Son objectif est mettre en relation des réceptifs locaux et des professionnels internationaux du secteur du tourisme afin de promouvoir les destinations touristiques en Algérie, et en particulier la zone du Sud Saharien.
Le SITEV attend une centaine d’exposants parmi lesquels des tour-opérateurs, des agences de voyages, des banques et des compagnies d’assurances, etc. Le salon sera officiellement inauguré le 01 décembre par le Ministre de l’Aménagement du Territoire, de l’Environnement et du Tourisme, Mr Chérif Rahmani, qui profitera de ce rendez-vous fortement attendu pour réaffirmer sa volonté de faire du tourisme en Algérie un véritable levier de développement durable pour le pays. Avec plus de 1,6 million de visiteurs en 2006, l’Algérie est considérée comme la quatrième destination du continent africain (source : article du 22 mai 2007 dans afrikeco.com). Son ambition : hisser le pays au niveau des standards internationaux par un développement des infrastructures (hôtellerie, transports, etc.) d’ici 2015. Le SITEV illustre ainsi le dynamisme de l’Algérie qui souhaite partager ses richesses avec le reste du monde et faire du tourisme une réelle source de développement économique. Le tourisme algérien est d’une grande diversité : le littoral encore préservé, ses sources thermales, le Sahara et ses oasis, et ses cités antiques avec ses peintures rupestres offrent toute une palette de découvertes et de plaisirs pour les touristes du monde entier. Cette année, à l’occasion du SITEV, l’ONT s’est donné pour mission de davantage faire connaître le Sahara, représentant 84% de la superficie d’Algérie et ses destinations d’exception (Timimoun, Djanet, Tamarasset, etc.).

Copenhague un train vert



Climat : Un train vert pour Copenhague
[Fenêtre sur l'Europe]
Plus de 400 personnes engagées dans les négociations sur les changements climatiques, des personnalités du monde des affaires ainsi que des écologistes se retrouvent à bord du train "Climate Express. Ce train doit les mener à Copenhague afin de demander aux dirigeants mondiaux d’arriver à un accord juste, ambitieux et contraignant permettant de lutter contre les changements climatiques lors de la rencontre au sommet sur le climat organisée au Danemark par les NU.
Achim Steiner, Directeur Exécutif du Programme des Nations-Unies pour l’Environnement sera à bord du train ainsi que Franny Armstrong, productrice et réalisatrice du film "L’âge des stupidités ("The Age of Stupid"), Luo Hong, photographe de la faune et de la flore et Héros du climat du PNUE , Apa Sherpa , témoin du WWF en matière de changements climatiques et détenteur du record mondial du plus grand nombre d’ascensions du Mont Everest, Yoshio Ishida, Président de l’UIC et Vice-président des Chemins de fer japonais ( East Japan railways), Jean-Pierre Loubinoux, Directeur Général de l’Union Internationale des Chemins de fer (UIC).Ils seront accompagnés de dirigeants du monde ferroviaire ainsi que par des représentants des médias, des personnalités du monde des affaires et de la société civile. Le Climate Express quittera Bruxelles pour Copenhague le 5 décembre et constituera le dernier maillon du projet "Un train pour Copenhague" mené par l’Union Internationale des Chemins de fer (UIC) avec le soutien de la campagne des NU Scellons l’accord cellons(Seal the Deal) et l’appui du WWF, organisation mondiale de protection de la nature. Cette conférence "sur rail" a pour objectif de mieux faire connaître l’influence que peuvent avoir les transports sur les changements climatiques ; c’est aussi donner aux voyageurs de ce train une occasion unique d’aborder les problèmes climatiques cruciaux pour l’avenir dans le cadre d’ateliers et de tables rondes organisés sur différents aspects de la mobilité durable permettant de voir comment ces questions peuvent être traitées dans le cadre d’un accord portant sur l’après 2012 . Les prochains accords climatiques de Copenhague doivent aider à la mise au point de systèmes de transport durables intelligents. Le transport ferroviaire est l’une des meilleures formes de transport en termes de développement durable car il constitue un système de transport public collectif à faible production de carbone garantissant la sécurité et une bonne efficacité spatiale. Ce voyage en Climate Express se fera sans production de CO2 puisque la traction sera générée par de l’énergie renouvelable. Le même trajet en avion pour le même groupe de voyageurs entrainerait la production de 114,9 kg de CO2 par personne. Pour plus d'informations sur le voyage : http://www.traintocopenhagen.org/Twitter à l’adresse suivante : http://twitter.com/Trn2Cpnhgn

Caetano Veloso - Sampa Youtube


Projet «DESERTEC



Projet «DESERTEC» : Le Sahara, une réserve d'électricité inépuisable pour l’Europe

Initiative industrielle unique en son genre, destinée à développer, à partir des déserts du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord (MENA), un approvisionnement en énergie solaire, le projet Desertec est en passe de connaître enfin un avenir. En effet, les statuts de la société DII GmbH ont été signés vendredi dernier à Munich par le groupe des membres fondateurs composé de douze sociétés et de la Fondation DESERTEC. L’entreprise DII est chargée ainsi, de réaliser une analyse approfondie et de mettre en place une structure pour les investissements destinés à l’approvisionnement de la région MENA et de l'Europe en électricité produite à partir des sources d’énergie solaire et éolienne. Ce projet d’envergure exige toutefois un financement à la hauteur de ses ambitions avec un coût estimé à 400 milliards d'euros pour la mise en œuvre d'un réseau électrique jusqu'en Europe. Des études effectuées par le Centre Aérospatial Allemand (DLR) montrent que les centrales thermiques solaires pourront, surtout dans les régions désertiques, couvrir dans les 40 ans à venir plus de la moitié des besoins énergétiques nécessaires sous forme d’électricité de la région EUMENA (Europe, Moyen Orient, Afrique du Nord) d’une manière économique. Aussi, à partir de 2020, l'électricité solaire pourrait même devenir l'option énergétique la plus abordable. D'ici 2050, les importations en provenance d'Afrique du Nord pourraient couvrir environ 15% de la demande nationale allemande en électricité. Particulièrement sûre et disponible, cette ressource renouvelable apporterait une excellente contribution au mix énergétique global. De nouvelles infrastructures haute tension seront nécessaires pour relier l'Europe aux zones ensoleillées d'Afrique longues de 4000km. Si la technologie actuelle propose des lignes à courant continu de 600kV, la prochaine génération passera à 800kV et sera caractérisée par une réduction des pertes et des coûts. Selon DESERTEC, comme les lignes de transmission modernes en Courant Continu Haute Tension (CCHT) permettent de transporter le courant avec des pertes inférieures à 3% par 1.000 km de distance, plus de 90 % de l'humanité dans des rayons jusqu'à 3 000 km pourraient en profiter. Toujours selon les calculs du DLR, les coûts estimés pour la construction de 20 lignes de 5 GW chacune s’élèveraient au total à environ 45 milliards d’euros. Depuis l’annonce de sa création en juillet, DII a reçu le soutien d’un très grand nombre d’institutions politiques et gouvernementales dans la région MENA et en Europe. Il est ainsi prévu par exemple que DII collabore étroitement avec le Plan Solaire Méditerranéen (PSM), une initiative lancée en 2008 par la présidence française du Conseil de l’Union européenne dans le cadre de l’« Union pour la Méditerranée ». Le Plan Solaire Méditerranéen vise à la création d’un nouvel équilibre dans les relations nord-sud basé sur le développement de projets énergétiques durables. Les deux initiatives – initiative politique pour le PSM et initiative privée pour DII – partagent des objectifs similaires et peuvent donc s’apporter un soutien mutuel. Plusieurs entreprises se sont associées pour créer DII : ABB, ABENGOA Solar, Cevital, la Fondation DESERTEC, Deutsche Bank, E.ON, HSH Nordbank, MAN Solar Millenium, Munich Re, M+W Zander, RWE, SCHOTT Solar et Siemens. Dans un avenir proche, d’autres sociétés de différents pays rejoindront DII en tant qu’associées ou partenaires, afin d’élargir la base du soutien apporté par les pays de la zone EUMENA. Les bureaux de DII seront situés à Munich.Dans la perspective de l’important Sommet de l’ONU sur le climat qui se tiendra à Copenhague, cette initiative du secteur privé démontre que l’exploitation des potentiels d’affaires est conciliable avec des objectifs de développement durable.Les déserts de notre planète reçoivent en 6 heures plus d'énergie solaire que n'en consomme l'humanité en toute une année. C'est pourquoi, la raison d'être du projet Desertec reviendrait à savoir "comment transformer économiquement cette énergie rayonnante en énergie utilisable et transportable jusqu'aux consommateurs », estiment ses concepteurs. De ce fait, le projet prend une envergure universelle : «Théoriquement, un millième de la superficie des déserts suffirait à couvrir la demande mondiale en électricité», ont estimé les experts. Que dire de plus ?Amel Zemouri

Barcelone, capitale de la Méditerranée




Barcelone, capitale de la MéditerranéeDNES en Catalogne, Malika ALAMI

· Un forum pour consolider le pilier économique de l’UPM· Les élus de la ville anticipent le projet par des initiatives locales La ville de Barcelone veut jouer un rôle moteur dans le projet de l’Union pour la Méditerranée (UPM). Lundi dernier a démarré dans le chef-lieu de la Catalogne, la 6e édition du Forum de développement économique de l’Afrique du Nord dans le cadre de la troisième semaine méditerranéenne des leaders économiques. Une rencontre organisée par la Chambre de commerce de Barcelone et l’IEMed (Institut européen de la Méditerranée). Au rendez-vous, notamment des opérateurs économiques des pays du Maghreb. Au-delà, bien sûr, d’encourager des échanges d’expériences dans le but de susciter des opportunités d’investissements, il est question d’impliquer les acteurs économiques dans la concrétisation de l’UPM. Pour Julien Aubert, responsable des affaires économiques et financières de la co-présidence française de l’UPM, «la mission assignée à cette rencontre est claire: il s’agit de soutenir et consolider le pilier économique de l’UPM et son secrétariat permanent à Barcelone». La réunion ministérielle qui s’est tenue il y a exactement un an à Marseille, suite au sommet fondateur de Paris (juillet 2008), avait dégagé un consensus selon lequel le siège de l’UPM serait à Barcelone. Dans cette ville, c’est le «Palais de Pedraldes» qui a été retenu pour accueillir le siège du secrétariat de l’Union. Pour l’heure, le texte des statuts du secrétariat a été avalisé par les ambassadeurs des pays membres. «Malgré les crises, -je pense au drame de Gaza- la France s’est démenée pour une mise en œuvre rapide. Et aujourd’hui il est question de s’entendre ensemble, à 43, sur les noms des futurs pilotes de la structure UPM», indique Aubert. De son avis, la perspective d’un lancement de ce secrétariat début 2010 est forte. En attendant, il est question de continuer à mobiliser la communauté financière internationale en faveur de la Méditerranée, car l’UPM devrait avant tout être le vecteur de projets concrets. A ce sujet, la Banque européenne d’investissement (BEI), la Banque allemande de développement ainsi que l’Agence française de développement ont annoncé une initiative commune qui pourrait conduire en temps utile à des engagements de financement totalisant 5 milliards d’euros de prêts. Une enveloppe qui sera dédiée au financement des énergies renouvelables dont le Plan solaire méditerranéen, un des projets de l’UPM. Dans ce chantier d’ordre énergétique, la Banque mondiale a, pour sa part, annoncé son engagement d’investir 750 millions de dollars du Fonds de technologie propre. Par ailleurs, la France envisage d’organiser une réunion en 2010 avec la participation notamment d’institutions multilatérales concernées ainsi que plusieurs fonds privés pour discuter du financement des projets de l’UPM. Rappelons que les buts de l’organisation sont, outre le volet énergétique, également d’ordre environnemental. Ainsi, la dépollution de la Méditerranée et l’autoroute de la mer sont au cœur du projet, à l’inverse des sujets moins consensuels tels l’immigration, la nature des régimes politiques des Etats membres, le conflit israélo-palestinien qui ont été écartés. Mais l’UPM, c’est aussi des projets économiques et industriels, sans oublier la protection civile et le secteur de l’éducation. Au cœur de ce dernier, il est question particulièrement de mettre en place entre autres un projet d’Erasmus Méditerranéen ainsi qu’un espace numérique ouvert de formation en Méditerranée.

Métro Alger



Le métro d'Alger est un projet qui date des années 1970 prévu pour parer à l'explosion démographique et au besoin de transport collectif qui en résulte. Lancé dans les années 1980 il a été ralenti du fait de difficultés financières et de l'insécurité dans les années 1990. Le projet a été relancé en 2003.
La première phase de la ligne 1 «Haï el Badr » - « Tafourah-Grande poste», 8,6 km, 10 stations, est actuellement en construction. La mise en service commercial est prévue pour le dernier trimestre 2009.
Il constitue, avec le métro du Caire, le seul métro lourd du continent africain.

Climat le Président Barack Obama Copenhague



Aujourd'hui (mardi 3 novembre), Européens et Américains ont rendez-vous à Washington pour un nouveau sommet au cours duquel ils aborderont une fois de plus la question de la lutte contre le réchauffement climatique

Si beaucoup se montrent pessimistes concernant la conclusion d’un accord à Copenhague, Barack Obama n’a pas perdu tout espoir. Lundi 2 novembre, il a dit espérer que la conférence internationale sur le changement climatique aboutirait sur un accord important. Malgré tout, il reconnaît que tous les problèmes ne pourront pas être réglés à ce moment-là.
« Nous sommes confiants : si tous les pays voient dans la conférence de Copenhague une chance unique, nous pouvons parvenir à un accord important, non pas un accord qui résolve tous les problèmes, mais qui constitue une avancée importante et crée les conditions de nouveaux progrès à l'avenir », a déclaré le président américain à la suite d'un entretien avec le Premier ministre suédois Fredrik Reinfeldt.
A quelques semaines de Copenhague, les négociations semblent être au point mort. Pour atteindre l'objectif d'une limitation à deux degrés Celsius, Fredrik Reinfeldt estime qu’il est indispensable pour l’Union européenne et les Etats-Unis de coopérer.
Hélène Toutchkov

Madame Vaira Vīķe-Freiberga Un parcours au service de la science



Elle enseigne à l'Université de Montréal en qualité de professeur de psychologie de 1965 à 1998. Les matières qu'elle enseigne sont la psychopharmacologie, la psycholinguistique, les théories scientifiques, les méthodes expérimentales, le langage et le processus cognitif. Durant cette période, elle a été membre et dirigeante de nombreux comités canadiens académiques, institutionnels et gouvernementaux, tant disciplinaires qu’interdisciplinaires, ainsi que d’organisations scientifiques nationales et internationales, où elle a acquis une expérience administrative considérable. Elle est titulaire de nombreux prix et distinctions honorifiques pour ses travaux dans le domaine des sciences humaines et sociales, dont la Médaille Pierre-Chauveau (1995) ainsi que la prestigieuse Bourse Killam (1993).
En même temps, elle poursuit des recherches sur la sémiotique, la poétique et la structure compositionnelle des textes de chansons folkloriques lettonnes (Dainas.) Durant cette période, elle est devenue l’auteur de sept livres et d’environ 160 articles ou chapitres de livres et au-delà de 250 discours ou communications scientifiques ou générales ­- publiés en anglais, français ou letton. Elle a livré de nombreuses entrevues à la radio‚ à la télévision et dans la presse en langues différentes.
En 1998, Vaira Vīķe-Freiberga retourne en Lettonie pour diriger l'Institut de Lettonie, une organisation visant à promouvoir le pays.

Madame Vaira Vīķe-Freiberga



Vaira Vīķe-Freiberga (1er décembre 1937 à Rīga) est une femme politique lettonne et européenne. Elle fut présidente de la Républiquede Lettonie de 1999 à 2007, réélue en 2003. Elle a contribué à enraciner la démocratie au sein de son pays et s'est engagée fermement en faveur de l'intégration européenne complète, rapide et exemplaire de la Lettonie au sein de l'Union européenne. En décembre 2007, les chefs d'État et de gouvernement de l'Union européenne la nomment vice-présidente du groupe de réflexion sur l'avenir de l'Europe 2020-2030. Ce groupe doit proposer des recommandations pour l'avenir du projet européen à l'horizon 2020 dans le cadre institutionnel du traité de Lisbonne lors d'un Conseil européen extraordinaire qui se tiendra sous présidence espagnole au premier semestre 2010.
En 2005, elle est classée comme la 48e femme la plus puissante au monde par le magazine Forbes

Ses parents sont des réfugiés de la Seconde Guerre mondiale. Fuyant l’occupation soviétique, sa famille quitte la Lettonie le 1er janvier 1945, et ils deviennent des réfugiés en Allemagne. Ils vivent ensuite dans différents pays : Allemagne, Maroc et Canada. Vaira Vīķe commence ses études à Daourat du nom d'un barrage en construction au Maroc sous Protectorat Français. Son père y avait trouvé un poste sur le chantier. Après l'école primaire de Daourat, elle rejoindra le Collège de Jeunes Filles Mers-Sultan à Casablanca, actuellement lycée "El Khansaâ" du nom d'une très célèbre poétesse arabe. C'est au sein de cet établissement que l'ex-présidente effectuera ses études secondaires de 1950 à 1954. Avec le letton et l'allemand, le français devient sa "troisième langue maternelle" . L'enseignement de la culture et de la langue française qu'elle y a reçu ainsi que la culture méditerranéenne la marquent profondément et contribuent à développer chez elle une empathie pour la diversité culturelle qui sera au cœur de sa réussite politique..

Âgée de 16 ans, en 1954 elle suit sa famille au Canada où elle est brièvement employée de banque avant de suivre des études supérieures. Elle est diplômée de l'Université de Toronto. Durant ses études elle travaille comme enseignante dans une école privée de jeunes filles et traductrice d’espagnol, puis prend un poste à temps plein de psychologue-clinicienne à l’Hôpital psychiatrique de Toronto (1960–61). Elle reprend ses études à l'Université McGill et obtient un doctorat en psychologie (1965).

Disney environnement





Disney a annoncé mardi un investissement de près de 7 millions de dollars dans des projets de conservation de forêts en Amazonie, au Congo et aux États-Unis.
Chaque année, 130.000 km2 de forêts disparaissent à travers le monde, soit une superficie équivalente à 10 fois la région Ile-de-France.
Les incendies et le déboisement des forêts tropicales sont responsables de près de 20% des émissions de gaz à effet de serre - soit plus que les émissions cumulées des moyens de transports en service sur la planète.Selon Disney, ce programme de préservation des forêts doit être considéré comme un projet pilote qui pourra être étendu dans les années à venir.
Depuis l'année dernière, Disney s'est également engagé à planter près de 3 millions d'arbres dans les forêts tropicales - façade Atlantique - du Brésil et dans des zones ravagées par le feu sur les collines environnantes de Los Angeles.Dans le cadre d'un programme interne visant à réduire son impact sur les écosystèmes, le groupe de divertissement a annoncé en mars dernier vouloir réduire d'ici à 2012 la moitié de ses émissions de carbone provenant des combustibles fossiles et réaliser à terme "zéro émission" sur l'ensemble de ses sites.

Parlement européen Crise financière



Parlement européen : Première réunion de la commission « Crise financière »
[Fenêtre sur l'Europe]
La commission spéciale « Crise financière » du Parlement européen prévient qu'une nouvelle crise se prépare.
Lors de sa première réunion le 4 novembre, la plupart des députés ont estimé que la commission spéciale, chargée pendant une grosse année d'étudier les causes et les conséquences de la crise, devrait aller plus loin et suggérer des actions sur le long terme.

Energie : L'Union européenne ACP



Energie : L'Union européenne veut aider l'accès à l'énergie dans les pays ACP
[Fenêtre sur l'Europe]
L'Union européenne accorde une aide de 200 millions d'euroes pour améliorer l'accès à l'énergie dans les pays ACP
La Commission européenne a annoncé, hier, le lancement de la deuxième phase de la Facilité ACP-UE pour l'énergie financée sur le 10 e Fonds européen de développement (FED) pour la période 2009-2013.Après une première phase de mise en œuvre réussie, l'Union européenne et le Groupe des États ACP sont convenus de consacrer 200 millions d'EUR pour financer la poursuite des activités destinées à améliorer l'accès des populations pauvres à des services énergétiques compatibles avec le développement durable et peu coûteux, ainsi que de contribuer à la lutte contre le changement climatique en s'efforçant de trouver des solutions qui privilégient les énergies renouvelables et de prendre des mesures d'efficacité énergétique.Dans la plupart des pays d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique, seuls 10 % de la population rurale ont accès à des services énergétiques modernes et compatibles avec le développement durable. Par ailleurs, l'utilisation de combustibles traditionnels, qui provoquent une pollution de l'air à l'intérieur des bâtiments, peut entraîner des problèmes de santé et des décès. Elle est également à l'origine d'une dégradation de l'environnement à cause du déboisement dû à une mauvaise exploitation des ressources naturelles utilisées pour ces combustibles.La nouvelle Facilité pour l'énergie s'attaque à ces problèmes en cofinançant des projets destinés à améliorer l'accès des populations rurales pauvres des pays ACP à des services énergétiques de meilleure qualité. Dans le cadre de la lutte contre le changement climatique, elle accordera la priorité aux projets qui favorisent l'utilisation de sources d'énergie renouvelable, telles que les systèmes solaires, les parcs éoliens, l'énergie hydraulique, la biomasse (biocarburants et biogaz) et les systèmes géothermiques, ainsi que l'efficacité énergétique dans les bâtiments publics et privés, par exemple en encourageant le remplacement des ampoules énergivores par des ampoules plus performantes.Créée en 2004, la Facilité pour l'énergie est un instrument de financement pour la mise en œuvre de l'initiative de l'Union européenne en faveur de l'énergie pour l'éradication de la pauvreté et le développement durable (EUEI). Lancée en 2002 lors du Sommet mondial sur le développement durable, qui s'est tenu à Johannesburg, cette initiative a confirmé l'attachement de l'UE à la réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement. La Facilité pour l'énergie est également un instrument de mise en œuvre du partenariat stratégique UE-Afrique dans le secteur de l'énergie, qui s'inscrit dans la stratégie commune UE-Afrique et le plan d'action adoptés à Lisbonne en décembre 2007.