阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, April 21, 2010

Algerie L’AMBASSADRICE ET CHEF DE LA DÉLÉGATION DE L’UE, À L’EXPRESSION


Nous sommes disposés à réviser certaines clauses
Dans cet entretien accordé à L’Expression, la chef de la délégation de l’Union européenne (UE) à Alger, Son Excellence Mme Laura Baeza, revient sur l’Accord d’association signé en 2005 entre l’Algérie et l’Union européenne. Se référant à une étude d’évaluation, elle présente un bilan chiffré des investissements européens en Algérie.L’Expression: Le ministre des Finances a établi, à partir de Crans Montana, un constat négatif sur l’Accord d’association entre l’Algérie et l’Union européenne. Quels sont vos commentaires? Pourquoi les investissements européens n’ont jamais été consistants?Mme Baeza: Selon ce que j’ai pu lire dans la presse, le ministre des Finances a exprimé «sa déception» sur le fait que les «flux d’investissements européens sont en deçà des attentes de l’Algérie» alors que l’Accord d’association était censé les renforcer. Je tiens à vous préciser que selon les chiffres dont nous disposons, grâce à l’étude d’évaluation de l’accord, les investissements européens ont été pratiquement multipliés par 5 en l’espace de quatre ans (2005/2008). Ils sont passés de 234 millions d’euros en 2005 à 1,14 milliard d’euros en 2008.Plus significatif encore, les investissements européens, avec l’entrée en vigueur de l’Accord d’association, ont suivi une progression remarquable en doublant deux fois entre 2005 et 2006 puis entre 2006 et 2007. Là aussi, il y a un autre élément qui mérite d’être souligné, ce sont les investissements européens, qui étaient concentrés en 2005 dans le secteur des hydrocarbures à plus de 70%, sont diversifiés et ne représentent que 30%. Nous pouvons donc affirmer qu’il y a eu un effet positif de l’accord en ce qui concerne l’augmentation des investissements européens. Au niveau du commerce, je cite à titre d’exemple les exportations algériennes hors hydrocarbures vers l’Union européenne, qui représentaient 1,23 milliard de dollars en 2008 contre 912 millions dollars en 2007, soit une augmentation de 35%.C’est une conséquence de la mise en oeuvre de l’Accord d’association qui a permis, notamment aux produits industriels algériens d’être exportés en exonération totale des droits de douane vers les 27 pays de l’Union. Mais, il faut rappeler que si le marché européen est le plus grand du monde, il reste tout de même un marché très exigeant avec des règles et des normes sanitaires, phytosanitaires et de qualité très strictes à respecter. Les entreprises algériennes, qui se sont adaptées à nos normes, ont été en mesure d’exporter vers l’UE. Avec la crise économique et financière en 2009, il est tout à fait normal d’observer un phénomène de baisse sensible des investissements, qui ne concerne pas seulement les Européens et qui touche tous les pays. C’est du domaine public, les investisseurs sont très sensibles à la conjoncture mais également aux facilités qu’ils rencontrent sur place. Il faut rappeler que les décisions d’investir à l’étranger sont du ressort des entreprises privées et non des institutions étatiques.Pensez-vous que les critiques formulées par le gouvernement algérien traduisent une volonté de geler cet accord? Une telle éventualité (gel) est-elle possible?L’Accord d’association est un accord international. Et l’Algérie est réputée auprès de la communauté internationale pour le respect de ses engagements. Nous ne ressentons pas du tout «cette volonté du gouvernement algérien de geler l’Accord».Je peux vous affirmer que la mise en oeuvre de l’Accord d’association se déroule le plus normalement du monde. Les différentes réunions de hauts fonctionnaires au niveau des divers comités ad hoc et groupes de travail se tiennent régulièrement. La préparation du 5e Conseil d’Association, prévu pour juin prochain, avance bien. Comme vous le savez, une importante délégation interservices de la Commission européenne, dirigée par M.Tomas Dupla Del Moral, s’est rendue à Alger il y a à peine deux mois, durant laquelle elle a rencontré les responsables algériens. Elle a été reçue par le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, qui a souligné que l’Accord d’association est «non seulement bien compris, mais respecté, telle est la volonté de l’Algérie». L’Accord d’association est un choix stratégique pour les deux parties.Maintenant, après cinq ans de mise en oeuvre de l’Accord, c’est le bon moment pour faire un bilan. Cela n’a rien d’anormal d’autant que la conjoncture internationale est marquée, depuis deux ans bientôt, par une grave crise économique et financière mondiale. Des dispositions sont prévues dans l’Accord pour lui donner la possibilité d’évoluer et de mieux s’adapter au nouvel environnement. Une clause du texte prévoit la possibilité de réviser la liste des produits agricoles et agroalimentaires, si nécessaire, cinq années après l’entrée en vigueur de l’Accord, c’est-à-dire cette année. Nous sommes disposés à le faire. De même, il est également prévu de poursuivre les négociations dans le domaine des services. Je dois ajouter que tant l’Union européenne que l’Algérie, chacune à son niveau, tentent de faire face à cette crise qui est l’une des plus graves que le monde ait connues depuis celle de 1929.Outre les remarques sur les investissements, le gouvernement reproche à l’Union européenne de n’avoir pas respecté ses engagements concernant la mise à niveau des entreprises. Qu’en est-il en réalité?Je tiens à rappeler qu’avant la signature de l’Accord d’association, nous avions mis en place, avec les autorités algériennes, une série de programmes d’accompagnement au profit des PME afin d’améliorer l’environnement entrepreneurial et les aider à devenir plus compétitives pour les préparer à faire face à la concurrence étrangère née de l’ouverture progressive du marché local.Nous avons donc mis en place le projet intitulé, «Appui aux petites et moyennes entreprises». Doté de 60 millions d’euros dont 57 (environ 5,7 milliards de dinars) de contribution de l’Union européenne, il a permis la mise à niveau de près de 500 entreprises. Cette mise à niveau a concerné la quasi-totalité des secteurs d’activités avec un accent plus particulier pour les secteurs de l’agroalimentaire, de la chimie, des matériaux de construction et de la mécanique/métallurgie. Par ailleurs, près de 4500 personnes issues des milieux des PME, des banques et des consultants ont pu bénéficier des 300 actions de formation élaborée dans ce cadre. Enfin, face aux difficultés rencontrées par les PME pour accéder au crédit bancaire, l’Union européenne a mis à disposition un «Fonds de couverture de garantie» de 20 millions d’euros afin de promouvoir le concept de garantie financière pour les crédits aux PME/PMI, dans le milieu bancaire et son acceptation et utilisation effective par les banques et les entreprises. Ces fonds ont été confiés à deux organismes algériens: le Fonds de garantie (Fgar) et la Caisse de garantie des crédits d’investissement pour les PME (Cgci).C’est ainsi, grâce au projet, qu’à partir de 2006 le Fgar et la Cgci ont démarré leurs activités de garanties financières aux PME/PMI proposant des couvertures de garantie à une cinquantaine de PME algériennes dans une première phase pilote. Après la fin du projet PME, il a été décidé de rétrocéder les 20 millions d’euros du «Fonds de Garantie» au Fgar et à la Cgci pour qu’ils continuent d’être utilisés exclusivement à garantir les crédits d’investissements, d’extension et de développement octroyés par les banques et les établissements financiers en faveur des PME/PMI algériennes privées. Ce programme s’inscrit dans le cadre des réformes engagées par les autorités algériennes visant à accompagner les PME/PMI, notamment industrielles. Il leur permettra de devenir des entreprises compétitives et capables de soutenir la concurrence (aussi bien nationale qu’internationale) et la croissance économique du pays. Malgré un démarrage un peu lent (signé en 1999, il n’a été mis en oeuvre qu’en 2002), ce programme a rencontré un vrai succès auprès des PME et à la demande du gouvernement algérien, nous venons de lancer un PME II avec une enveloppe financière de 4 milliards de dinars (40 millions d’euros) qui vise à poursuivre et approfondir les efforts autour de quelques filières sélectionnées.Neuf mois après l’introduction des nouvelles mesures économiques par la LFC, quel bilan peut-on faire de la coopération entre l’Algérie et l’Union européenne?Toutes les mesures récentes de contrôle du commerce extérieur et de l’investissement ont suscité un vif débat au sein des entreprises nationales, mais aussi parmi les sociétés internationales installées en Algérie.Vous savez que, comme en sport, les politiques purement défensives permettent de gagner du temps mais rarement de gagner. Au moment où l’Algérie se plaint de ne pas attirer les IDE, ces mesures restrictives ont beaucoup de chance de décourager davantage les investisseurs étrangers potentiels qui n’ont pas été touchés de plein fouet par la crise financière et qui cherchent un environnement juridique favorable et stable. C’est un signal peu encourageant et l’Union européenne l’a clairement indiqué aux autorités algériennes, à plusieurs reprises. Néanmoins, nous comprenons que la crise économique a incité les autorités algériennes à adopter des mesures extraordinaires à caractère conjoncturel, notamment pour équilibrer la balance commerciale. Ces mesures ont donné les résultats escomptés à cet égard, mais elles ont également eu un impact négatif sur la disponibilité de certains produits, essentiellement importés sur le marché algérien.
Propos recueillis par Nadia BENAKLI

Aït Menguellet et Yahiatène : En concert à Paris le 2 mai




La chaîne de télévision BRTV, installée à Paris et qui émet en clair à partir de 15h, organise un grand gala le 2 mai prochain au Palais des sports de Paris.
Cette manifestation artistique unique réunit deux légendes pour un grand concert : le poète-chanteur Lounis Aït Menguellet et l’inusable et monument de la chanson algérienne, Akli Yahiatène. Cet événement, qui réunira ces deux grands piliers de la chanson algérienne d’expression kabyle, sera aussi une occasion d’offrir de nombreuses surprises au public, ont annoncé les organisateurs. Depuis quelques jours, BRTV diffuse des programmes culturels consacrés à ces deux artistes de renom. Dernièrement, l’écrivain Yasmina Khadra, le poète Ben Mohamed, le compositeur Kamel Hamadi, entre autres, ont apporté leurs témoignage sur ces deux illustres artistes. C’est ainsi que Berbère Télévision diffusera ce vendredi, 23 avril, à 20h (21h à Paris), une émission spéciale, dédiée à Lounis Aït Menguellet, au cours de laquelle il reviendra sur son parcours, témoignera sur le Printemps berbère et évoquera son arrestation et sa détention en 1985. Ce sera aussi l’occasion pour les téléspectateurs de découvrir le nouvel album que l’artiste présentera pendant cette émission.
Par Saïd Gada

Salon international du médicament et de l'équipement médical à Alger



60 exposants au rendez-vous



Le 13e Salon international du médicament et de l'équipement médical (Simem) qui s'étalera du 21 au 24 avril, a été inauguré hier à Alger au palais de la culture Moufdi Zakaria (Alger). Plus d'une vingtaine de pays participent à cette manifestation regroupant quelque 60 exposants, soit une soixantaine de stands, a indiqué le responsable de l'entreprise organisatrice du salon, Mustapha Chaouche. Destiné aux professionnels, le salon couvre les différents aspects du secteur de la santé, notamment les équipements et instruments médico-chirugicaux, l'imagerie médicale, le mobilier hospitalier, les équipements et réactifs de laboratoire, les consommables, les fluides médicaux, les produits pharmaceutiques, le matériel de stérilisation ainsi que certains services spécialisés. Des équipements dotés de technologies de pointe ont été exposées à l'exemple de l'automate pour l'analyse de l'hémoglobine glyquée par chromatographie. Des équipements d'imagerie médicale n'utilisant pas de clichés, mais une imprimante numérique ont également constitué la curiosité des visiteurs du salon où le matériel exposé représente les avancées technologiques réalisées dans ce domaine. La nouveauté de cette année sur le plan de l'organisation, consiste en l'aménagement d'un espace "Canal-Santé", au niveau duquel des exposants proposeront quotidiennement (de 14h à 16h) des communications et présenteront des équipements à l'intention des visiteurs et de la presse. Pour cette 13ème édition, 179 firmes de 27 pays y seront présentes ou représentées à travers la soixantaine de stands aménagés à cet effet. L'objectif de cet événement est de présenter une large gamme de nouveaux matériels de dernière technologie, faire connaître les avancées dans le domaine, faire connaître la production nationale, faciliter les conclusions de partenariats. L'accès est réservé aux professionnels, en revanche les étudiants dans les différents branches médicales pourront également visiter le salon. Sur le plan de l'organisation générale, une nouveauté est à souligner cette année. Il s'agit de l'espace " Canal-Santé " au niveau duquel quotidiennement de 14h à 16h, des exposants proposent des communications et présentations d'équipements à l'intention des visiteurs et de la presse. Ainsi, plusieurs thèmes intéressants seront présentés sous forme de conférences tels, " l'hygiène dans les laboratoires ", " les nouveaux matériels de l'imagerie médicale", et d'autres également. Entre 500 et 600 experts seront présents pour donner quelques informations et explications sur le fonctionnement des appareils. Enfin, un espace sera offert aux associations d'aide aux malades. Il faut dire que ce salon-référence jouit d'une grande crédibilité internationale, et se démarque des autres événements dédiés à la santé en Algérie, par sa longévité, la qualité de ses participants et la maîtrise de son organisation. Pour cette 13ème édition, 179 firmes seront donc présentes. Le pavillon France, moitié moins important que l'an dernier, pour des raisons conjoncturelles connues (11 exposants au lieu de 22), continue à bénéficier du label UBIFrance. 17 autres compagnies et laboratoires français sont représentés par leurs partenaires algériens, ce qui fait, cette année encore, de la France, le pays le plus présent au Simem (15,64%). Les équipements et produits européens viennent également de l'Allemagne (23 firmes), de l'Italie (12), de l'Autriche et de l'Espagne (4 chacun), ainsi que de Hollande, de Belgique, de Suède, d'Angleterre, de Hongrie, de Finlande, de Suisse, de Slovaquie et de Tchéquie (1 à 5 représentants chacun). La Chine renforce sa présence avec 6 firmes exposant elles- mêmes leurs équipements (contre 3 l'an dernier) et 4 firmes en partenariat avec des Algériens, soit 10 compagnies représentées. Les autres produits annoncés viennent du Japon (6 marques), des USA (5), de l'Inde (5), du Brésil (3), de Corée, d'Argentine, du Liban, du Pakistan et de Turquie (1 à 4 marques chacun). La participation des entreprises algériennes (fabricants et importateurs) reste dominante avec une quarantaine d'exposants.Klilya B.

Une coopération artistique franco-algérienne | Blog BNP Paribas | Pour un monde qui change

Une coopération artistique franco-algérienne Blog BNP Paribas Pour un monde qui change

Maroc Casablanca inaugure son «Davos africain»




500 opérateurs conviés les 29 et 30 avril au Forum Afrique Développement Pour la première édition du Forum Afrique Développement qui se tient à Casablanca les 29 et 30 avril prochains, Attijariwafa bank, organisateur de cette rencontre d’affaires, a placé la barre très haute. Au moins un demi-millier de chefs d’entreprise (des PME essentiellement) sont attendus à ce rendez-vous ainsi qu’une brochette de responsables d’organisations régionales dont le gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest et son homologue de l’Afrique centrale. Deux avions ont été spécialement affretés pour acheminer les hommes d’affaires vers Casablanca au départ de deux hubs, l’un en Afrique de l’Ouest et l’autre en Afrique centrale. Sept secteurs-clés ont été ciblés: chimie-parachimie-pharmacie, agro-industrie, BTP immobilier, transport et logistique, IMME.
Les Chinois en embuscadeL’organisateur insiste sur l’aspect pratique de l’événement. D’où la multiplication des rencontres B to B de manière à ce que les opérateurs qui participeront au forum en repartent avec des propositions concrètes, voire des opportunités, insiste le PDG du groupe Attijariwafa bank. Mohamed El Kettani, qui place ce rendez-vous dans la continuité de l’activité de son groupe dans les pays africains, suit heure par heure les préparatifs du forum. Son rêve secret c’est de le transformer en un «mini-Davos» africain. «Les hommes d’affaires du continent se connaissent à peine; après avoir longtemps regardé du côté européen, ils se tournent aujourd’hui vers la Chine», observe-t-il. La Chine justement avec ses deals sophistiqués avec les gouvernements et ses produits bon marché, est un redoutable concurrent sur le continent, notamment dans l’infrastructure. Mais les entreprises marocaines, l’ONEE né de la fusion ONE et Onep au Cameroun et au Sénégal, Somagec en Guinée équatoriale ont déjà prouvé qu’elles pouvaient avoir des arguments dans ce domaine. La compétition n’est pas qu’avec les entreprises de l’empire du Milieu. Les pays émergents lorgnent sur le continent où ils voient des possibilités d’affaires. Il y a quelques semaines Singapour avait abrité un forum similaire, mais en plus grand, à celui que Casablanca accueillera. L’évènement s’est tenu quelques mois après le sommet nippon-africain qui était axé sur la coopération économique. Côté marocain, on veut donner le maximum d’éclats à la rencontre car bien plus que sa connotation business, ce rendez-vous est aussi une façon pour les opérateurs économiques marocains et bien au-delà, de montrer leur nouvelle «fibre» africaine. Plusieurs membres du gouvernement sont annoncés: les ministres de l’Economie et des Finances, du Commerce extérieur. Taieb Fassi Fihri, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, ouvrira la rencontre.Pour espérer prendre une part du gâteau dans la course à la reconstruction de l’Afrique, il va falloir se positionner. Les entreprises marocaines, et à leur tête les banques, ont accéléré ces dernières années leur déploiement en Afrique subsaharienne. Le PDG d’Attijariwafa bank, qui présentait jeudi dernier la vision africaine de son groupe, est optimiste: «les PME/PMI sont demandeuses de services adaptés, elles ne demandent qu’à être écoutées». Abashi SHAMAMBA

Alger Réunion de concertation sur le Schéma directeur d'aménagement




Réunion de concertation sur le Schéma directeur d'aménagement



Une réunion de concertation autour du Schéma directeur d'aménagement de l'aire métropolitaine (SDAAM) d'Alger avec les wilayas concernées à savoir Alger, Blida, Tipaza, Boumèrdes, a été organisée par le ministère de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme. Il s'agit de la mise en débat des résultats des travaux de la "MissionII" relative aux diagnostics, problématiques et scénarios de l'aire métropolitaine d'Alger. Selon la même source, l'objet de cette rencontre de concertation s'inscrit dans le cadre de "larges concertations avec l'association des cadres représentant des administrations centrales et ceux représentant le niveau local, ainsi que l'ensemble des acteurs concernés qui ont déjà émis leurs observations sur l'approche méthodique et les propositions de délimitation de l'aire d'études". La réalisation des travaux et études devant conduire à la rédaction du Schéma directeur d'aménagement de l'aire métropolitaine d'Alger a été confiée au groupement de bureaux d'études CNERU-IAURIF, précise le communiqué. Au cours de cette rencontre, les acteurs concernés et impliqués dans l'élaboration du SDAAM d'Alger se sont prononcés sur les propositions du groupement de bureaux d'études, à savoir les diagnostics, les problématiques, les enjeux et les premières orientations de l'aire métropolitaine d'Alger. Ce Schéma directeur a été institué en vertu de la loi 01-20 du 12 décembre 2001 relative à l'aménagement et au développement durable du territoire, rappelle-t-on. Il s'agit d'un nouvel outil de planification spatiale qui répond à la complexité des territoires métropolitains et à leur problématique. Il mettra en oeuvre, dans l'espace métropolitain, les orientations du Snat (Schéma national de l'aménagement du territoire), des Schémas directeurs des grandes infrastructures et des services collectifs d'intérêt national, tout comme il fournira un cadrage pour l'élaboration des PDAU (plans de développement et d'aménagement urbains). Rappelant que trois métropoles algériennes sur quatre étant portuaires, le communiqué du ministère relève que celles-ci ont développé des services internationaux spécifiques au transport maritime, mais cela "reste insuffisant" et "le tertiaire supérieur reste encore trop limité", notamment en ce qui concerne la recherche, l'intermédiation financière, le conseil aux entreprises, ainsi que les services liés à l'information et à la communication.R.R.

MondialEXPO » en Tunisie Viadeo



L’événement professionnel incontournable de l’année 2010 : le forum international des réseaux d’affaires « MondialEXPO » en TunisieDate : 19/04/2010 à 21:35:26Site de l'événement : http://www.mondialexpo.com/Le forum se tiendra le 29 et le 30 Avril 2010 prochain à l’hôtel Barcelo Gammarth Tunis, sous le thème « Rencontres d’affaires entre les principaux acteurs de l’espace Européen, Maghrébin et Méditerranée».MondialEXPO est organisé sous le patronage du Ministère des Technologies de la Communication, avec le soutien du Ministère du Commerce et de l’Artisanat et le partenariat du Ministère de l’Enseignement Supérieur. De même, l’association Euro Arabian Developpement fera le déplacement de France avec en tête son président et un nombre important d’hommes d’affaires.Pour l’édition 2010, le comité d’organisation a décidé de choisir L’Algérie comme pays invité d’honneur et sera représenté par les délégations de ces chambres de commerce et d’industrie.Visiteurs :Plus de 3000 professionnels de différentes nationalités seront attendus : des experts nationaux et internationaux, des chefs d’entreprises, des cadres, des organismes publics…Nous avons déjà 1371 confirmations de visite.Différents secteurs clés et à forte valeur ajoutée seront présents:Textile, TIC, Infrastructures, BTP, Energie, Logistique, Environnement, Industrie pharmaceutique, Aéronautique, Automobile, Biotechnologies, Electronique, Chimie, Agriculture, Agroalimentaire, Tourisme et Services.Couverture Médiatique :Le forum jouit d’une couverture médiatique concentrée par la presse française, Belgique, tunisienne, marocaine, algérienne, africaine, arabe, canadienne,…participant ainsi à promouvoir le forum à l’échelle internationale.Au Programme du forum :- Une salle d’exposition répartie en des stands représentants des entreprises locales et étrangères ainsi que des organismes publics.- Un espace consacré aux rendez vous d’affaires BtoB : Les chefs d’entreprises et preneurs de décisions tunisiens, algériens, français, marocains, africains, arabes…attendus pourront, dans le cadre d’un programme de rendez-vous personnalisé, explorer les possibilités de transferts et échanges de savoir-faire, initier des accords commerciaux, des partenariats industriels, technologiques ou financiers... - Une série de conférences et d’ateliers invitant les participants à s’informer, communiquer, partager et réfléchir sur des différentes thématiques, à titre d’exemples :• la communication communautaire des réseaux sociaux : Pour la première fois en Tunisie, le leader de la communication communautaire professionnelle online sur l’Europe et le Maghreb « Viadeo » accordera en exclusivité une animation d’une conférence sur les réseaux d'affaires en la personne de la directrice de la production du « Viadeo » et avec la participation du fondateur du « Viadeo ».• Les entreprises françaises et l'Afrique : perspectives et environnement des affaires : le CIAN «Conseil français des investisseurs en Afrique» présent dans une cinquantaine de pays à travers les 1.000 établissements de ses adhérents, sera au rendez-vous par la présence de son secrétaire général et le Coprésident de la Commission Maghreb.• Le commerce international : Classe export France nous accordera le privilège d’animer une conférence par le Directeur du Développement de Classe Export France Mr. Jean Noël GARCIN.• La franchise : deux conférences organisés par le fondateur d'AC Franchise, membre du collège des experts des fédérations française, marocaine et suisse, membre de la liste d’arbitrage de la cour d’appel de Paris et le co-fondateur de l’IFCN (International franchise consultant network et de franchisekey.com).• L’entreprenariat et la création d’entreprise : animé par le président et le vise président de la fédération française des auto-entrepreneurs.• Table ronde : les perspectives de développement international des entreprises visant la conquête du marché français et de l’Europe occidentale : animé par Mr Hatem Bouchiba Conseiller export agrée auprès du Ministère du Commerce et de l’Artisanat en Tunisie, Président Directeur Général de CEF ESPACE Conseil France, formateur des cadres export et Consultants, 14 ans d’enseignement universitaire dans des grandes écoles tunisiennes et françaises.• Développement commercial : représenté par la fondatrice et directrice de DevCOM le forum du développement commercial, marketing et communication, fort de son succès en France et Belgique et qui souhaite désormais s’exporter plus largement et notamment en Méditerranée. Directeur du forumContact :Forum «MondialExpo2010»Adresse postale: Imm. Nour City Bur B17 centre urbain nord- Tunis- Tunisie Tél : 00 216 71 949 402, Fax : 00 216 71 948 217Mobile : 00 216 22 378 500 E-mail : contact@mondialexpo.comSite Web: www.mondialexpo.com