阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, March 17, 2011

Le chef de l'état Mr Nicolas Sarkozy entendu géopolitique


Libye : une intervention imminente ?
Les Nations Unies ont voté jeudi soir le recours à la force contre l'armée du colonel Kadhafi. Le régime se dit prêt à respecter un cessez-le-feu sous conditions. La France plaide pour une intervention immédiate.

A l'issue de trois jours d'âpres négociations, le Conseil de sécurité de l'ONU a autorisé dans la nuit de jeudi à vendredi le recours à la force contre le régime de Mouammar Kadhafi, mesure aussitôt saluée par les insurgés libyens sous la menace d'un assaut contre leur fief de Benghazi.

Aussitôt après l'annonce de la décision de l'ONU, à Benghazi, des centaines d'habitants de la ville ont laissé exploser leur joie dans ce bastion des rebelles. "Nous n'avons plus peur, nous avons eu assez peur pendant 42 ans. (...) Je n'ai plus peur de l'aviation et de l'artillerie de Kadhafi qui a tué tellement de bons Libyens", a expliqué Saad, un ingénieur de 47 ans, dans le vacarme de tirs de joie, de feux d'artifices et de coups de klaxons.

La Libye se dit prête au dialogue

Tandis qu'à Tripoli, le vice-ministre des Affaires étrangères Khaled Kaaim indiquait que son pays était prêt à un cessez-le-feu contre l'insurrection, mais que cette résolution menaçait l'unité du pays et constituait un "appel aux Libyens à s'entretuer". Peu avant le vote à l'ONU, le colonel Kadhafi avait annoncé que les forces gouvernementales allaient attaquer dans la soirée de jeudi Benghazi dans un message sonore retransmis par la télévision libyenne. Mais plus tard dans la nuit, CNN a affirmé avoir reçu un appel d'un des fils de Kadhafi, Seif Al-Islam, selon qui le colonel aurait changé de tactique pour des raisons humanitaires et ne prévoyait plus d'entrer dans Benghazi dans l'immédiat mais de prendre position autour.


En votant en faveur d'un recours à la force contre les troupes pro-Kadhafi, le Conseil de sécurité de l'ONU ouvre la voie à des frappes aériennes après plus d'un mois d'une insurrection réprimée dans le sang. La résolution autorise "toutes les mesures nécessaires" pour protéger les civils et imposer un cessez-le-feu à l'armée libyenne. Elle prévoit aussi une zone d'exclusion aérienne pour empêcher l'aviation du colonel Mouammar Kadhafi de pilonner ses opposants. Le texte a été adopté par 10 voix sur les 15 membres du Conseil de sécurité. La Chine, la Russie, l'Allemagne, le Brésil et l'Inde se sont abstenus.

La France pour une intervention rapide

Le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, avait averti, avant le vote, qu'il restait peu de temps pour intervenir: "Chaque jour, chaque heure qui passe alourdit le poids de la responsabilité qui pèse sur nos épaules. Prenons garde d'arriver trop tard", avait-il dit. Le ministre allemand des Affaires étrangères Guido Westerwelle a prévenu qu'aucun soldat allemand ne participera à une intervention militaire en Libye, qui comporte des "risques et des dangers considérables". En revanche, le ministre australien des Affaires étrangères a espéré que la résolution n'arrivait pas "trop tard", ajoutant que "si la zone d'exclusion aérienne était imposée" l'Australie pourrait "envisager une participation". Le Canada va de son côté fournir six avions de chasse CF-18 pour la mise en oeuvre de la résolution, selon des médias canadiens.

Le président américain Barack Obama a lui appelé jeudi soir Nicolas Sarkozy et le Premier ministre britannique David Cameron pour coordonner une stratégie sur la Libye après la résolution. L'Union européenne a salué la décision de l'ONU et s'est dite prête à la "mettre en oeuvre", dans la limite de ses compétences. Au niveau de l'Otan, les représentants des 28 pays membres examineront vendredi les conséquences de cette résolution, selon un diplomate de l'Otan.

Le régime de Kadhafi toujours menaçant

Un porte-parole du ministère libyen de la Défense avait auparavant indiqué que toute opération militaire étrangère allait "exposer tout le trafic aérien et maritime en Méditerranée au danger"."Tout élément mobile civil ou militaire sera la cible d'une contre-offensive libyenne", a-t-il ajouté. Sur le terrain, les forces loyales au colonel Kadhafi ont poursuivi ces derniers jours leur reconquête de l'Est. Elles ont tenté jeudi de bombarder des positions de la rébellion à Benghazi, selon les insurgés qui affirment avoir abattu deux avions. La télévision libyenne a affirmé que les forces gouvernementales s'étaient emparées de Misrata, mais un porte-parole de l'opposition a démenti. De violents combats avec les rebelles y avaient fait au moins 22 morts mercredi, selon la rébellion. Par ailleurs, la ville de Zuwaytinah (150 km au sud de Benghazi) est "contrôlée par les forces armées qui sont aux portes de Benghazi", selon la télévision d'Etat. Mercredi, les troupes du régime avaient affirmé avoir repris Ajdabiya, dernier verrou des rebelles à 160 km au sud de Benghazi. Dans l'Ouest, les rebelles se préparaient jeudi à une offensive des forces gouvernementales à Zenten (145 km au sud-ouest de Tripoli), selon un témoin.

Alors que la révolte, qui a débuté le 15 février, s'est transformée en guerre civile au prix de centaines de morts, près de 300.000 personnes ont fui le pays. La Croix-Rouge internationale a retiré son personnel de Benghazi, disant être "extrêmement inquiète de ce qui arrivera aux civils".

le 18 mars 2011 à 06:28

Le chef de l'état Mr Nicolas Sarkozy présidentielle de 2012



Le chef de l'état Mr Nicolas Sarkozy le meilleur candidat pour défendre les couleurs de la droite et du centre" à la présidentielle de 2012,

Europe UE réseaux sociaux



par Pierrick Aubert, ZDNet France
Réseaux sociaux : l'UE souhaite renforcer la protection des données privées
Réglementation - Dans un discours sur la protection des données privées, la commissaire européenne Viviane Reding a souhaité renforcer le contrôle sur les pratiques des services en ligne, et en particulier les réseaux sociaux. Une proposition législative devrait voir le jour cet été.

Au coeur des débats depuis l'explosion des sites de socialisation, la collecte des données sur internet suscite l'intérêt des politiques . Aux Etats-Unis ou en Europe, ils appellent à un renforcement des droits des internautes et affichent clairement leurs intentions de réguler la marchandisation des données privées sur Internet.

Viviane Reding a rappelé à Bruxelles ce mercredi les enjeux liés à la collecte automatique des données personnelles sur les réseaux sociaux. Pour la commissaire européenne à la Justice, leur contrôle est devenu un enjeu majeur . Elle estime qu'une entreprise américaine comme Facebook, comptant des millions d'utilisateurs dans le monde entier, devrait ainsi se plier aux règles internationales.

Une nouvelle réforme ?


Suite au traité de Lisbonne, l'Europe est en mesure d'étendre les règles de protection des données au domaine pénal. Une telle réforme permettrait ainsi d'établir des règles globales applicables au monde du numérique. Viviane Reding a conclu son discours en expliquant que : « pour être efficace, la protection des données a besoin d'être renforcée dans les 27 Etats membres».

Lors de son intervention sur la protection des données privées, la commissaire européenne à la justice a évoqué en quatre points les droits fondamentaux dont doivent disposer les internautes.

4 piliers

La première idée ne date pas d'hier puisqu'il s'agit du droit à l'oubli. En modernisant la loi, l'Europe se doit de « clarifier le fait que les gens ont le droit, et non pas la possibilité, de retirer leur consentement à l'exploitation de leurs données ». De l'autre côté, les entreprises devront prouver leur besoin de conserver des données privées. La commission européenne estime que des compagnies telles que Google et Facebook doivent accepter le droit à l'oubli numérique.

Autre sujet clé : la transparence. Les utilisateurs de réseaux sociaux se doivent d'« être informer des raisons de la collecte d'informations personnelles ». Viviane Reding souhaite ainsi clarifier les modalités auxquelles souscrit l'internaute lors de son inscription à un réseau social.

Il en va de même pour les réglages par défaut. Le projet avancé cette semaine réclame un changement majeur de la logique actuelle. En effet, aujourd'hui les réseaux sociaux laissent à leurs utilisateurs le soin de verrouiller les données qu'ils ne souhaitent pas partager. L'Europe, qui juge ces pratiques injustes et déraisonnables, propose le cheminement inverse en précisant que rien ne devrait être autorisé sans le consentement explicite et préalable des utilisateurs.

Enfin, le dernier point abordé concerne directement le traitement des informations et l'application des règles dans les pays où des utilisateurs sont présents. Il s'agit donc d'obliger les entreprises à se plier aux lois en vigueur en fonction de la localisation géographique des internautes. Pour renforcer la loi, l'Union Européenne se doit, sans exception, d'être habilitée à enquêter et engager des poursuites contre les entreprises dont les services ciblent les consommateurs de l'UE.

Proposition législative cet été

« Alors que les réseaux sociaux et les services de partages de photos ont apporté d'importants changements à notre manière de vivre, les nouvelles technologies ont également suscité de nouveaux défis », estime Viviane Reding, « les paramètres privés sont souvent trop complexes pour les internautes de base ». La vice présidente de la commission européenne a souhaité renforcer la coopération entre les autorités de protection des données des différents Etats membres. Elle présentera d'ailleurs une proposition législative cet été.

Le porte parole de la commission européenne Matthew Newman a déclaré que « ces dispositions feraient de l'Union Européenne la première juridiction disposant d'un droit à l'oubli ».

Bruxelles timoré jusqu'à présent selon Article 29


Néanmoins le président de la CNIL, Alex Tûrk, a à plusieurs reprises déjà témoigné de la complexité des relations avec ces entreprises étrangères. A l'occasion d'un entretien en 2010, ce dernier faisait même part de ses craintes de voir les règles européennes en matière de protection de la vie privée être revues à la baisse.

La volonté politique affichée par la commissaire européenne devra donc être étayée par des actes concrets. Or, pour l'heure, Bruxelles semble avoir bien peu apporté son soutien à l'Article 29, le groupe fédérant les CNIL de l'Europe des 27.


« J'ai rencontré les responsables de l'UE pour leur dire qu'il est inadmissible que le G29 ne dispose pas d'un budget autonome pour pouvoir fonctionner, entendre les experts, organiser des auditions, faire des contrôles, etc. Je me suis battu pendant deux ans sans jamais rien obtenir » s'insurgeait Alex Türk. Viviane Reding a-t-elle décidé de changer la donne ?

Le chef de l'Etat Mr Nicolas Sarkozy soutien au PME



(Boursier.com) -- Lors de la première réunion organisée mercredi par le réseau "Oséo Excellence", une communauté de 2.000 entrepreneurs de PME et ETI créée début 2010 par Oséo, le président de la République Nicolas Sarkozy a annoncé le déblocage de fonds supplémentaires pour soutenir ces petites entreprises.

Le chef de l'Etat a ainsi annoncé qu'Oséo bénéficierait d'une enveloppe supplémentaire de un milliard d'euros afin de poursuivre l'action du Contrat de Développement Participatif. Créé en 2009, le CDP, alors doté d'un milliard d'euros, a permis aux dirigeants d'entreprises de renforcer leurs fonds propres sans ouvrir leur capital. Déjà 1.000 prêts de ce type ont été accordés, a rappelé le président.

Nicolas Sarkozy a par ailleurs demandé au Fonds Stratégique d'Investissements (FSI) de poursuivre son soutien au PME stratégiques. A cet effet, il ajoutera 400 millions d'euros de participations supplémentaires.

D'après un sondage réalisé par Oséo Exellence auprès de ses membres, les entrepreneurs se sont exprimés sur les autres moyens nécessaires à leur développement. Parmi eux figurent la baisse du coût du travail (allègement charges sociales notamment), le maintien des aides publiques à l'innovation, la réduction de l'impôt sur les sociétés et une réglementation stable.

Rappelons que l'établissement financier public Oséo a été créé en 2005, sous tutelle du ministère de l'Economie, afin de financer l'innovation et la croissance des PME. L'Etat s'est d'ailleurs appuyé sur cette organisme au moment de la crise afin de soutenir son plan de relance des petites et moyennes entreprises.

Algerie au Salon “Le monde à Paris france


L’Algérie au Salon “Le monde à Paris”
Poste par faycal

L’Algérie participe du 17 au 20 mars à la 36e édition du salon “Le monde à Paris (MAP/France) avec l’objectif avoué de repositionner le produit touristique algérien sur les marchés internationaux et européens, indique mercredi le ministère du Tourisme et de l’artisanat dans un communiqué. Le repositionnement du produit touristique algérien vise à drainer le plus de touristes possible vers l’Algérie. Le thème général de cette édition “les fêtes et festivals”, qui a été choisi parce qu’il représente un atout exceptionnel pour la valorisation d’une destination, constitue une opportunité pour l’Algérie de promouvoir ses différentes fêtes et ses festivals en tant que patrimoine authentique et originel, considère-t-on de même source.

APS

Mr le President Sarkozy Japon



Mr le President Sarkozy souhaite se rendre au Japon «dès que possible» en tant que patron du G8-G20 pour témoigner «la solidarité la plus complète et la plus totale» de la France.

Mr le Président Nicolas sarkozy LIBYE incontestablement le plus intègre




La position de l'UE sur la Libye suscite de vives critiques au Parlement
[Fenêtre sur l'Europe]

Venu présenter les conclusions du Conseil extraordinaire sur la Libye et la récente proposition de stratégie pour la région méditerranéennes devant les présidents des groupes politiques du Parlement européen le 16 mars, le président de l’UE, Herman Van Rompuy, a recueilli de vive critiques portant sur l'impuissance de l'UE face à la crise libyenne.


Si le Colonel Kadhafi prend Bengazi cela sera un véritable massacre. Alors, que faisons-nous pour les aider maintenant ?, a ainsi demandé le belge Guy Verhofstadt au nom des libéraux. "Nous envoyons des ‘fact-funding missions’ et cela me rend malade", a déploré le député

le chef de l'etat Mr Nicolas Sarkozy encourage les PME familiales


Sarkozy encourage les PME familiales de croissance

Plus de la moitié des 2000 entrepreneurs à qui s'est adressé Nicolas Sarkozy estime que la meilleure solution pour renforcer la compétitivité serait une baisse du coût du travail.

Nicolas Sarkozy s'est adressé ce mercredi en fin d'après-midi à 2000 dirigeants de PME de croissance réunis au Grand Palais à Paris par l'établissement financier public Oséo, le bras armé de l'État pour soutenir les entreprises pendant la crise et pour les aider à grandir.

Ces 2000 PME qui appartiennent à la communauté Oséo Excellence ont toutes réussi une croissance à deux chiffres de leurs effectifs et de leur chiffre d'affaires ces dernières années. Présentes aussi bien dans la mécanique que dans les biotechnologies, les services ou les industries, elles réalisent ensemble plus de 46 milliards d'euros de chiffre d'affaires et emploient près de 315.000 salariés. Elles ont aussi déposé 7600 brevets.

Éloge d'un capitalisme
Le président de la République, qui a fait de la croissance des PME une de ses priorités majeures et qui a créé Oséo, a fait l'éloge «du capitalisme à la française, du capitalisme familial, du capitalisme réactif, du capitalisme qui se soucie d'innovation et d'emplois». «Nous avons un objectif, renforcer votre compétitivité et votre capacité d'exportation.» Le chef de l'État a annoncé qu'Oséo bénéficierait d'une enveloppe supplémentaire de 1 milliard pour promouvoir les contrats de développement participatifs qui permettent aux entreprises d'ouvrir leur capital sans perdre leur liberté d'action.

Interrogés chaque mois depuis le début de l'année 2010, plus de 65% des 2000 entrepreneurs de la communauté Oséo Excellence estiment que la meilleure mesure pour renforcer leur compétitivité serait une baisse du coût du travail. Plusieurs d'entre eux proposent que la baisse des charges sur les salaires s'accompagne de la baisse des aides à l'embauche.

Ces chefs d'entreprise sont également favorables à une simplification des contraintes administratives. Ils demandent, par exemple, que le bulletin de paie soit réduit à cinq lignes en ne distinguant plus les charges patronales et les charges salariales. Ils défendent un allégement de l'impôt sur les sociétés sur les résultats reportés afin de renforcer les fonds propres. Constatant que les coûts administratifs et fiscaux sont trop lourds, ils proposent de payer les différentes charges et taxes en une ou deux fois.

Ils regrettent que les systèmes d'aides à l'export, à l'investissement et à l'emploi soient trop dispersés. Enfin, ils défendent une stabilité des règlements, législations et mesures fiscales.