PATRICK LE BERRIGAUD EUROPE fédérale/UNION POUR LA MEDITERANNEE consultant ingenieur conseil
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16 avril 2009 - 5ème Rencontres Franco-Brésiliennes de la ... Forum Européen des Brevets, Patinnova 2009, Inventeur de l'année ... de la section Affaires Commerciales – Délégation de la Commission Européenne au Brésil
500 représentants de 37 pays d'Amérique Latine sont réunis au Brésil dans le cadre d'une édition régionale du Forum Economique Mondial. A l'ordre du jour: trouver des solutions à la crise financière. A l'ouverture des réunions, le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a appelé les économies mondiales les plus développées à coordonner une action pour combattre la crise mondiale du crédit. M. Lula a aussi mis en garde contre le fait que le protectionnisme pourrait apporter une euphorie temporaire mais ménerait à une longue dépression à moyen et long terme. Luiz Inacio Lula da Silva Président brésilien "Le protectionnisme est comme une drogue. Il offre une aide immédiate, mais qui plonge peu après sa victime dans une longue dépression. Une conclusion rapide du tour de pourpalers commerciaux de Doha serait une démonstration extraordinaire de notre volonté de renverser le protectionismeAlvaro Uribe Président colombien "Nous pensions que la crise n'avait pas affaibli le secteur privé. Mais nous devons repenser l'usage du capital. Il doit être un facteur de croissance sociale, et non de spéculation, de corruption ou de profit excessif." Alvaro Uribe pense qu'il est temps maintenant de reconstruire des modèles économiques qui prennent en compte la majorité de la population.
Une fois fonctionnel, le métro sera accessible tous les jours de la semaine entre 5 h et 23 h. Le trafic est organisé à raison d’un train toutes les deux minutes. Le projet tend de plus en plus à devenir une réalité, après trente ans de gestation. Les usagers de la première ligne de métro (Alger-Centre/Bachedjarah) devraient s’acquitter d’un ticket unique de 25 à 30 DA par personne pour pouvoir monter à bord. C’est en tout cas ce qu’avance l’Entreprise du métro d’Alger (EMA) sur son site internet, nouvellement lancé, en citant le directeur général adjoint. «Pour une meilleure sécurité, l’accès au métro se fera uniquement avec une carte magnétique contenant toutes les informations concernant son titulaire : nom, prénom, adresse… La vente des tickets à l’unité ou d’abonnements anonymes ne sera pas disponible, au moins durant les premiers temps de mise en service du métro», a-t-on ajouté. A l’entreprise, nous n’avons pas pu confirmé ces détails. «Les tarifs sont toujours à l’étude», a-t-on indiqué. En plus des tarifs, l’EMA donne sur son site internet des précisions s’agissant de la gestion de cette infrastructure. Ainsi, le métro sera ouvert de 5 h à 23 heures, autrement dit une plage horaire de 18 heures d’exploitation par jour et tous les jours de la semaine. Ce choix des horaires n’est pas motivé officiellement, mais il semble qu’il est question de s’aligner sur les horaires d’exploitation du transporteur public Etusa. Sur certaines lignes, les bus de cet opérateur restent en circulation jusqu’à 23h alors que les bus appartenant au privé se font rares dès 19h. La disponibilité des moyens de transport durant la nuit est, toutefois, de nature à tenir le centre-ville animé. Pour le moment, les avenues d’Alger-Centre notamment se vident des promeneurs après 21 h. S’agissant des moyens techniques qui seront mis à l’œuvre, il est indiqué que le métro sera composé d’une flotte de 14 rames (trains). Chaque train, long de 108 m, est doté de six voitures (wagons). En tout, le métro est composé de 84 wagons. «Chaque voiture peut transporter jusqu’à 1216 personnes dont 208 assises», a-t-on précisé. Le trafic sera très important sur l’axe desservi par le métro. En fait, il est question de faire déplacer potentiellement quelque 41 000 voyageurs/heure entre la Grande-Poste et Haï El Badr de Bachedjarah, en passant par Khelifa Boukhalfa, la place du 1er Mai et par El Hamma. De plus, l’intervalle entre deux départs est fixé à 108 secondes, donc il y aura un train toutes les deux minutes. Les rames se déplaceront à une vitesse maximale de 70 km/heure et une vitesse minimale de 30 km/heure. Par ailleurs, l’EMA se projette dans l’après-mise en service. «Après le casse-tête de l’achèvement des travaux, les choses sérieuses commencent pour le métro d’Alger. A présent, les responsables du projet se penchent sur un dossier sensible : la sécurisation de ce moyen de transport souterrain», a-t-on souligné. A ce titre, la même source croit savoir que c’est la société française RATP qui conseille l’EMA. «Depuis quelques semaines, une équipe spécialisée de la RATP effectue des séjours réguliers à Alger pour mettre en place le système de sécurité du futur métro», a-t-on révélé. La sécurité du métro d’Alger sera gérée selon un modèle identique à celui du métro parisien : agents de sécurité sur le terrain et une surveillance vidéo. La DGSN a déjà formée une brigade spécialisée afin de s’occuper de la sécurité dans cette nouvelle enceinte. Pour rappel, le premier essai technique des trains du métro a été lancé lundi 6 avril en présence du ministre des Transports, Amar Tou. «Ces essais dynamiques vont se poursuivre dans l’attente de la livraison de la station de la Grande-Poste, et de là on passera à l’étape de l’exploitation commerciale du métro», a déclaré M. Tou à cette occasion. Le ministre n’a pas avancé de date précise concernant l’ouverture à l’exploitation de l’infrastructure. Auparavant, le même ministre avait déclaré que le métro serait inauguré en juillet 2009. Le métro sera exploité «sous forme d’un mandat de gestion» par RATP. Un marché a été déjà signé dans ce sens en août 2007 entre l’EMA et cette entreprise. source: le temps d’algerie
Seuls «les revenus modestes, les familles et les personnes du troisième âge » pourront bénéficier de la nouvelle tarification qui entrera en vigueur l’été prochain. Pour le moment, la mesure concerne uniquement les membres de notre communauté en France et en Espagne, selon le premier responsable d’Air Algérie. «C’est sélectif», a indiqué le président-directeur général de la compagnie nationale, Abdelwahid Bouaâbdellah, lors de son passage, ce matin, sur les ondes de la Chaîne III. Seuls «les revenus modestes, les familles et les personnes du troisième âge» pourront bénéficier de la nouvelle tarification qui entrera en vigueur l’été prochain. Plus explicite, M. Bouaâbdellah a souligné qu’il faut avoir «un revenu mensuel égal ou inférieur à 1 200 euros en France» pour espérer faire partie des bénéficiaires. S’agissant des personnes du troisième âge, elles doivent avoir 60 ans et plus «avec un revenu modeste». «Il faut être immatriculé, bien sûr, et avoir un revenu modeste. Pour les personnes du troisième âge, il faut qu’elles soient inscrites avec une situation du consulat du lieu de résidence», a encore précisé le premier responsable d’Air Algérie. Et de rappeler que la réduction varie entre 30 et 58 % du prix du billet. Pour le moment, seuls les membres de notre communauté en France et en Espagne, sont concernés par ce dispositif, a-t-il poursuivi.Outre la réduction des prix des billets d’avion, Air Algérie s’engage à acheminer les bénéficiaires vers leur lieu de résidence. «Pour une personne du troisième âge qui fait Paris-Alger et qui se dirige vers Tamanrasset, l’acheminement sera pris en charge par les pouvoir publics», a expliqué l’invité de la Chaîne III.Et de faire remarquer que «l’acheminement, les prises en charge et les nuitées pour les personnes âgées sont sur le budget du ministère de la Solidarité, de la Famille et de la Communauté nationale établie à l’étranger». Selon M. Bouaâbdellah, la réduction décidée par la compagnie qu’il préside relève du marketing. «On fait bénéficier en priorité notre communauté établie à l’étranger.» Cela ne risque-t-il pas d’affecter la santé financière d’Air Algérie qui connaît déjà quelques difficultés ? «Qui vous a dit qu’on connaît des difficultés ? Pas du tout. Nous sommes en équilibre», a-t-il rétorqué. A la question de savoir si les nationaux bénéficieront, pour leur part, de ces réductions à l’avenir, le P-DG d’Air Algérie a répondu en affirmant : «Cela dépend. Nous choisissons d’abord des corporations avec lesquelles nous avons des conventions, mais cela entre dans le cadre du marketing, ce n’est pas au cas par cas, ce n’est pas généralisé. Nous sommes une compagnie commerciale, nous devons faire des bénéfices pour financer notre développement, il n’est donc pas question de brader nos tarifs.». A propos des retards : «Il y a des retards qui sont dus à beaucoup de facteurs. A titre d’exemple, pour venir à l’aéroport d’Alger, il faut 2 heures. Et pour traverser les barrages de contrôle, il faut un bon bout de temps. Tout cela doit être revu dans le cadre d’une stratégie d’Etat. Nous avons discuté avec le ministère des Transports et je crois qu’il est d’accord pour faire des bretelles pour le tramway et le train vers les aéroports (…) On a gagné 3 points dans la ponctualité. Mais c’est vrai, le problème subsiste. Il s’accentue même ces jours-ci parce qu’on prépare l’été et vous savez qu’on a acheté des avions en un temps très rapproché, ils arrivent à des révisions obligatoires, on préfère faire passer la sécurité du passager avant tout autre chose, on s’excuse pour les retards, on n’a pas assez d’avions mais je pense que l’avis d’appel d’offres est au point final de l’évaluation, avec les 11 nouveaux avions, je pense que la situation s’améliorera.» source: infosoir
CONTANTINE - Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika a appelé jeudi les hommes du savoir, les intellectuels, les hommes de lettres et des arts, les journalistes et toutes les composantes de la société algérienne ainsi que sa jeunesse douée de conscience et de détermination à “oeuvrer à la réalisation de l’unité maghrébine” tel que l’a rêvée Ben Badis et que l’ont voulue les Chouhada. Dans son allocution à l’occasion de la tenue du 10e colloque de la fondation “Cheikh Abdelhamid Ben Badis”, lue en son nom par M. Mohamed Ali Boughazi, conseiller auprès de la présidence de la République, M. Bouteflika a souligné à l’adresse de ces intellectuels “nous oeuvrerons, dans la mesure du possible, à leur assurer les conditions favorables pour qu’ils trouvent la place qui leur sied dans leur pays et qu’ils s’associent aux générations d’avant-garde de l’Algérie dans l’édification du projet de société maghrébine que nous rêvons de réaliser ensemble.Dans tous les cas, l’occasion leur sera offerte de servir de façon positive le Maghreb arabe et de contribuer, d’une façon ou d’une autre, à son progrès”.L’érudit Ben Badis, a ajouté le président de la République “croyait en l’unité identitaire, linguistique, culturelle, religieuse, historique et en la communauté de destin des peuples des pays du Maghreb arabe”.Pour le Président Bouteflika, Cheikh Ben Badis “a consacré son temps et sa vie à la contribution aux espaces en relation avec les questions et le devenir du grand Maghreb à travers ses travaux intellectuels, culturels, religieux, littéraires, éducatifs ainsi que le militantisme politique et de libération avec les différents moyens dont il disposait et de par des positions fermes, les conférences, les cours et les écrits qu’il a réalisés car il considérait les pays du Maghreb arabe comme un seul pays et leurs populations un seul peuple”.Dans ce contexte, le Président Bouteflika a rappelé les propos de Cheikh Ben Badis qui avait affirmé que “lorsque nous visitons l’histoire, nous découvrons que ce Maghreb arabe est lié par des liens spirituels et matériels solides qui traduisent visiblement son unité. Nous ne parlons pas de l’histoire ancienne mais nous feuilletons une page de l’histoire moderne”.Le grand savant Ben Badis, a poursuivi le Président Bouteflika, “n’a cessé de défendre ces valeurs avec courage et force tout au long de sa vie avec des positions audacieuses et fermes avec lesquelles il avait fait face aux détracteurs de cette démarche parmi les enfants du Maghreb et du Machreq”.De la même façon, a estimé le président de la République, “Ben Badis a condamné avec vigueur l’administration française en Algérie, en Tunisie et au Maroc et son gouvernement de Paris pour son ingérence dans les affaires éducatives, religieuses, la liberté d’expression et les affaires internes etc…”.Pour Cheikh Ben Badis, a remarqué le Président Bouteflika, la réforme éducative, religieuse, sociale et politique dans ces pays signifie “la réforme de tous tandis que le sous-développement et l’inertie nuisent à la société”.Cheikh Ben Badis et ses compagnons, a poursuivi le président de la République, “enduraient les épreuves et oeuvraient avec sincérité et courage défiant le colonialisme et ses agents afin de secouer le peuple et le sortir de sa léthargie pour qu’il se soulève, brise les chaînes et libère son pays et les hommes avec le slogan que ne cessait de répéter Cheikh Ben Badis +les circonstances peuvent nous inciter à nous adapter mais ne peuvent, avec l’aide de Dieu, nous détruire+”.Après avoir souligné que le peuple a contribué à enrichir la pensée maghrébine, arabe, islamique et universelle, durant les époques anciennes, moyennes et modernes, le Président Bouteflika a estimé que “le fait de suivre l’époque ne signifie pas le rejet de notre passé et le reniement de nos illustres savants et de nos origines ou de minimiser notre rôle dans l’édification de l’unité du Maghreb arabe”.Le grand savant Ben Badis, a estimé le président de la République “était un défenseur de l’identité nationale et maghrébine dans ses dimensions linguistique et religieuse et au plan de l’appartenance civilisationnelle tout comme il luttait contre les fléaux sociaux conscient qu’il était que le plus grave fléau qui peut détruire une société et la réduire à néant est celui de l’ignorance notamment des questions politiques et d’appartenance civilisationnelle”, ajoutant que ces fléaux “sont générateurs de discorde, d’effritement, de division, de dénaturation, de paupérisation et de dépendance et destructeurs de l’entité de la Nation”.L’unité des peuples du Maghreb arabe à laquelle avait appelé Cheikh Ben Badis depuis le début du XXe siècle, a rappelé le Président Bouteflika, “ne relève pas des simples mécanismes, institutions, partis, médias, liberté d’expression, droits de l’homme et société civile dans chacun des pays du Maghreb (…) mais signifie une culture commune, diversifiée et riche qui transparaît dans les comportements quotidiens des individus et des groupes dans les pays du Maghreb arabe”.Ce comportement, a ajouté le Président Bouteflika, est visible “à travers le respect d’autrui, l’acceptation de la diversité et des différences, la conduite du dialogue par les voies pacifiques, en toute liberté, l’égalité devant la loi, la tolérance, la concertation, la justice, la dignité humaine, la préservation des droits fondamentaux, la jurisprudence et la garantie de la liberté d’expression et de la pensée”.Le président de la République a exhorté les enfants d’Algérie à “acquérir la science et la connaissance et à faire montre de patriotisme”. “L’amour de a patrie n’est-il pas un acte de foi et la quête du savoir une dévotion?”, s’est-il interrogé. Il a qualifié, dans le même contexte, les jeunes d’Algérie de “jeunes prometteurs porte-flambeaux de la paix, du rayonnement, de civilisation et ‘humanisme, de compétents, fidèles et sincères, dépositaires du message sacrifiant tout ce qu’ils possèdent pour la fierté et la dignité de l’Algérie”.Après avoir souligné les réalisations effectuées dans le pays dans différents secteurs depuis le recouvrement de l’indépendance nationale et les étapes considérables franchies sur la voie de l’édification du projet à la fois de l’Etat et de la société, le président de la République a affirmé que cela “nous incite à considérer avec beaucoup de considération et de fierté l’expérience actuelle de l’Algérie qui est le résultat de succès et d’échecs, d’épreuves et de défis, d’efforts considérables et de sacrifices colossaux qui ont abouti à l’étape que nous vivons avec grande conscience et sagesse et une ferme détermination à aller de l’avant avec fermeté et constance vers un avenir prospère”.Le président de la République a, dans ce contexte, salué les “acquis réalisés dans notre pays”, les considérant comme “une expérience riche et pionnière comparativement à de nombreux pays qui nous ont précédé dans ce domaine sans avoir subi les épreuves que nous avons endurées et durement vécues”.“Nous sommes conscients que c’est là une expérience qui doit être enrichie, approfondie et développée, une expérience qui mérite d’être soutenue et préservée pour atteindre les objectifs de progrès et de développement et afin de rester attaché à l’authenticité, aux constances, et aux racines tout en étant conscients de la nécessité de se hisser aux exigences de l’époque et de la modernité imposées par la mondialisation”. source: aps
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