阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, April 29, 2010

Le premier label de macarons en Algérie, Louzieh Macarons





Goûtez aux premiers macarons algériens !
Vous en rêviez, ils l’ont fait ! Le premier label de macarons en Algérie, Louzieh Macarons, fait sensation auprès des fins gourmets. Couleurs, arômes, goût… Tout y est pour vous faire craquer.
Des effluves de cacao vous emportent dès l’entrée de la boutique où s’étalent des dizaines de gâteaux rose bonbon, jaune citron, orange mangue et mandarine ou vert menthe. Vous craquez pour les macarons ? Vous allez saliver de plaisir dans la nouvelle boutique Louzieh Macarons qui vient d’ouvrir à Hydra. « L’idée est venue un beau jour où une parente m’a offert des macarons à son retour de Paris, raconte Karima Moussaoui, la gérante. Avec mon mari, lassés de guetter un ami ou un parent de retour de voyage, nous avons décidé de lancer notre propre label, le premier en Algérie. » Et c’est ainsi que Karima et son mari – alors dans la finance ! – se lancent dans des formations pour apprendre à cuisiner des macarons.
Après bien des tests, le macaron prend forme… « Nous avons commencé par les macarons parisiens composés de deux coques et une ganache au milieu, poursuit-elle. Nous sommes actuellement à quinze parfums (chocolat, framboise, cassis, menthe, réglisse, citron, pistache, abricot, fraise, ananas, noix de coco, rose, orange, café, caramel, vanille). Et nous passerons très bientôt à des entremets aux macarons dont une surprise, le bavarois pistache sur parfait au chocolat. » Certains clients qui entrent pour acheter des gâteaux traditionnels, louzia ou djouzia, découvrent ainsi un tout nouveau gâteau. « Certains connaissent ceux de Nancy, quelque peu différents des macarons parisiens, que ce soit dans la forme (ils ressemblent davantage à des cookies) ou dans les parfums. »
Mais à quoi ressemble un macaron réussi ? « Il possède un aspect brillant, des coques bombées à collerette régulière (la partie inférieure de la coque), et c’est le plus difficile à obtenir ! », avoue Karima. Profitant du prestige de la rue, les Moussaoui comptent ouvrir à moyen terme un deuxième point de vente à Sidi Yahia, puis d’autres entre El Mouradia, Kouba et Rouiba.
Par Faten Hayed

La Casbah algérienne Exposition universelle Shangai


Chine : La Casbah algérienne demain... à Shangai !
Meilleure ville, meilleure vie. » Sur ce thème crucial pour l’Algérie, la nouvelle Exposition universelle s’ouvre demain à Shangai. Et pour sa 7e participation à un tel événement, l’Algérie a choisi de présenter La Casbah d’Alger. Visite guidée.
Demain s’ouvre à Shanghai, la ville la plus peuplée de Chine avec ses 20 millions d’habitants, l’Exposition universelle, la plus grande jamais organisée. On attend entre 70 et 100 millions de visiteurs. L’expo se tient sur 5,28 km2 au bord de la rivière Huangpu (rivière Jaune), qui traverse Shanghai, située dans l’est de la Chine avant de se jeter, au nord, dans l’embouchure du Yangsté (fleuve Bleu), le plus long fleuve d’Asie avec ses 6300 km. Avec le dynamisme de la Chine, Shanghai est aujourd’hui le plus grand port du monde. Il surclasse depuis quelques années ceux de Rotterdam, de Hong Kong et de Singapour.
A partir de demain, 180 pays vont exposer leur patrimoine et leur savoir-faire sous le thème « Une meilleure ville pour une meilleure vie ». Un thème qui n’est pas fortuit, car en 2009, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, la population des villes a dépassé celle de la campagne. Un nouveau défi à relever.
20 minutes de circuit
Le centre-ville de la mégapole chinoise a été complètement rénové pour accueillir la manifestation. Des records ont été battus en architecture et urbanisme. On a rivalisé en innovations et en ingéniosités. Des tours de plus de 500 m et 400 km de voies d’autoroute, 10 lignes de métro et un train à sustentation magnétique. Le pavillon algérien, situé dans la zone C de l’expo, occupe une surface de 1000 m2. Le thème du pavillon, dont l’aménagement et la décoration ont été confiés à la société PICO International, basée à Shanghai, est calqué sur La Casbah d’Alger pour rester dans le thème général de l’Expo.
La Casbah, qui est, comme chacun le sait, un joyau architectural d’essence à la fois méditerranéenne, africaine et arabo-musulmane, a inspiré bon nombre d’architectes dont les plus célèbres et les plus talentueux. Les visiteurs du pavillon pourront ainsi se promener dans les ruelles de La Casbah en découvrant au fur et à mesure les nombreuses facettes de l’Algérie. Le circuit de visite est en effet jalonné de niches audiovisuelles qui offrent au visiteur de découvrir et d’apprécier l’architecture, le mode de vie, les valeurs humaines, culturelles, économiques et sociales de notre pays.
A l’entrée, pendant l’inévitable file d’attente, Ghardaïa sera projetée en images. Au bout de la promenade, dans les ruelles animées de La Casbah reproduite en images et en son, les visiteurs déboucheront sur une terrasse occupée par un écran géant sur lequel défilent des images des différentes contrées du pays, de leurs traditions, de leur habitat, des activités des hommes… Le circuit qui dure 20 minutes se termine par une exposition de produits artisanaux proposés à la vente.

Journées culturelles algériennes à Moscou



Un programme chamarré
Mme Toumi et M. Goloutova ont, d’abord, inauguré une exposition d’art contemporain algérien au Musée central de l’histoire de la Russie contemporaine situé sur l’avenue Tverskaïa en plein cœur de Moscou, qui a permis au public d’apprécier les œuvres de neuf artistes peintres algériens dont plusieurs sont de jeunes talents. Le commissaire de l’exposition, M. Nouredine Ferroukhi, a donné à cette occasion à la délégation ministérielle, des explications sur les thématiques traitées par chacun de ces artistes, aussi bien les noms connus, comme Kheira Slimani et Mostafa Nedjaï, que les jeunes peintres comme Mehdi Djalil et Hassen Drissi. Mme Toumi et son hôte ont ensuite animé une conférence de presse à l’annexe du théâtre Mally au cours de laquelle ils ont mis en exergue l’importance de cette manifestation qui marque la reprise des échanges entre les deux pays dans le domaine culturel. La ministre algérienne de la Culture a rappelé, à ce propos, que «la dernière manifestation culturelle algérienne en Russie remonte à 1989» et qu’«après cette interruption pour des raisons que tout le monde connaît, l’Algérie et la Russie dont les relations d’amitié sont très anciennes, œuvrent résolument à redynamiser les échanges dans les différents domaines culturels comme les arts plastiques, la musique, la danse, le ballet, le cinéma, le live». La ministre a annoncé, dans ce contexte, que les deux parties ont convenu d’organiser prochainement une «semaine du film algérien» au cours de laquelle seront présentés les derniers films algériens, comme Hors-la-loi de Rachid Bouchareb qui est en compétition au Festival de Cannes. Elle a, également, annoncé qu’un accord devrait être signé mercredi entre les deux parties au siège du ministère russe de la Culture et s’est déclarée convaincue que cet accord permettra de relancer les échanges culturels entre les deux pays sur des bases solides. Elle a, dans ce contexte, espéré voir le centre culturel russe d’Alger, fermé depuis de longues années, ouvrir à nouveau ses portes grâce à cet accord. La ministre, qui s’est félicitée des efforts déployés par la partie russe pour assurer la réussite de cette manifestation, a assuré que «la partie algérienne est de son côté disposée à accueillir en 2011 une manifestation culturelle russe en Algérie et s’engage à oeuvrer à réunir toutes les conditions pour sa réussite». De son côté, M. Goloutova a, particulièrement, mis l’accent sur la nécessité de renforcer les relations d’amitié et de coopération entre les deux pays, notamment dans le domaine culturel. «Nous allons signer avec la partie algérienne un accord qui nous permettra d’agir dans ce sens, de même que nous allons discuter des questions relatives à l’organisation d’une semaine culturelle russe en Algérie», a-t-il dit. «Je tiens, également, à féliciter la partie algérienne qui ne ménage aucun effort pour que ces activités ne se limitent pas à la capitale Moscou, en programmant également des manifestations à Saint-Pétersbourg», a-t-il souligné. Mme Toumi et M Goloutova ont, ensuite, annoncé l’ouverture officielle des Journées culturelles algériennes qui se tiennent sous le thème «Alger-Moscou à travers l’art». La troupe du Ballet national algérien, à travers les danses et les costumes de différentes régions, a fait voyager des Aurès au Tassili, l’assistance nombreuse et avide de découverte, avant que le chanteur Djamel Laroussi et Zahouania ne subjuguent un public qui, tombé sous le charme de leur musique, les a gratifiés d’une longue «standing ovation». La manifestation devrait se poursuivre mercredi par un concert à la salle «Kino Aktior», avec les chanteurs, Akil, Zahouania et Djamel Laroussi ainsi qu’avec le groupe Madar. Des manifestations similaires sont, également, prévues demain à Saint-Pétersbourg, l’autre berceau de la culture en Russie.Agence
29-04-2010

Energies renouvelables Algerie



La politique des petits pas
On parle même d’une proportion de 15% à 30% d’électricité solaire à l’échéance 2040, c’est à dire entre 4 000 et 12 000 mégawatts. Pour l’immédiat, cette année, devrait entrer en production la centrale électrique hybride (gaz naturel, solaire), installée à Hassi R’mel. Elle produira 180 MW d’énergie électrique (dont 25% de solaire) qui sera achetée par Sonatrach.A plus petite échelle, M. Ahmed Chikouche, directeur de l’Unité de développement des équipements solaires, implantée à Bou Ismail, a, tout récemment, cité quelques autres réalisations : une centrale à Gara Djebilet de 10 KW, une centrale de 10 KW dans l’Assekrem, Hoggar, pour l’Office national de la météorologie. Il a mis l’accent sur le programme ambitieux développé avec la Gendarmerie nationale : éclairage externe, équipements de postes de surveillance, équipement de l’Ecole des officiers de Zéralda. Il a annoncé des produits nouveaux comme le réfrigérateur solaire, l’utilisation de l’énergie solaire pour le dessalement d’eau de mer et diverses autres applications comme les transmissions, le pompage d’eau, le développement de systèmes hybrides solaire-éolien-diesel. Côté financement : une enveloppe de 1 milliard DA a été dégagée par l’Etat dans le programme national de la recherche consacrée au développement des énergies renouvelables ; un Fonds pour les énergies nouvelles a été institué, alimenté à partir du prélèvement de un pour cent de la fiscalité pétrolière. Dans le domaine de l’énergie renouvelable, les autorités algériennes ont déjà fait savoir que le partenariat en matière de développement des énergies renouvelables doit consister en un véritable transfert de technologie. L’Algérie ne veut pas être dépendante de l’industrie étrangère. Une usine produira, dès 2012, des panneaux solaires représentant annuellement 50 mégawatts. Cette usine est installée sur le site de la société Rouiba Eclairage. En parallèle, Sonatrach a été chargée de mener un travail de réflexion en vue de la réalisation d’une usine de traitement de quartz pour produire du silicium de grade solaire destiné à la fabrication de panneaux photovoltaïques. L’Algérie dispose d’énormes gisements de quartz. Une véritable industrie nationale du solaire pourrait voir le jour dans un avenir très proche. Le silicium est actuellement importé.En 2012, également, la première ferme éolienne d’Algérie implantée sur 30 hectares à Adrar, d'une capacité de 10 mégawatts, commencera à produire de l’électricité qui sera intégrée dans le réseau d'électricité de la wilaya d'Adrar. M’hamed Rebah
29-04-2010M’hamed Rebah

Algerie renouveau rural




Développer les zones agricoles et les régions frontalières



Présidant un atelier sur "la lutte contre la désertification dans les régions sahariennes", Noureddine Redjal directeur central au ministère de l'Agriculture et du Développement rural a indiqué mardi que le programme du renouveau rural prôné par le ministère se fixe des objectifs visant le développement des régions rurales et l'amélioration des conditions de vie de leurs populations. Il a souligné dans ce sens que ce programme vise l'organisation des terres agricoles, entre autres, les oasis de l'Atlas saharien, ainsi que la mise au point d'une stratégie de développement des régions frontalières et la fixation des populations rurales par la création d'exploitations agricoles. "Un investissement de 17 milliards DA a été consacré aux opérations retenues au titre de ce programme devant toucher, à horizon 2020, neuf wilayas du Sud et 5 autres semi-sahariennes", a précisé le même responsable, ajoutant que la mise en œuvre du programme, au titre de l'actuel quinquennat, s'opère par étapes, en vue d'optimiser les ressources financières existantes. Dans son intervention, le directeur du commissariat au développement de l'agriculture en régions sahariennes (CDARS), Hannachi Slimane, a indiqué qu'une série d'opérations ont été retenues, en coordination avec le secteur des forêts, pour la lutte contre la désertification. D'un montant de plus de 2 milliards DA, ces opérations consistent, a-t-il expliqué, en la réhabilitation des palmeraies, l'extension des cultures maraîchères et la revivification des espaces semi sahariens. Une trentaine d'opérations, pour un coût de plus de 12 milliards DA, avaient été réalisées ces dernières années en régions sahariennes, a rappelé M. Hannachi. Ces opérations, qui ont généré 13.000 emplois temporaires, ont été axées sur la réalisation de puits agricoles et pastoraux, l'aménagement de périmètres agricoles et 11.000 Ha de terres agricoles et l'amenée de l'électrification sur un linéaire de 100 km.Notons que près de 12 000 projets de programme de développement rural intégré (PPDRI) sont prévus jusqu'à l'horizon 2014, dont plus de 2.000 sont en cours de réalisation à travers le pays. Ces programmes se fixent, entre autres, comme objectif de programme de développement rural intégré (PPDRI) sont prévus jusqu'à l'horizon 2014, dont plus de 2.000 sont en cours de réalisation à travers le pays. R.A.

Projet Grenelle II : dernier acte législatif le 4 mai





Projet Grenelle II : dernier acte législatif le 4 mai Le projet de loi Grenelle II qui a fait l'objet de 2500 amendements est le 5ème et dernier acte parlementaire du Grenelle marquant la fin de la transcription législative du Grenelle Environnement et de la loi Grenelle I.
Ce projet de loi, adopté par le Sénat le 8 octobre dernier sera examiné en séance publique par l'Assemblée nationale à partir du 4 mai prochain.Ce volet législatif se décline avec la mise en oeuvre de six chantiers majeurs. Il présente des mesures liées à la lutte contre le réchauffement climatique (dans les secteurs du bâtiment, de l'urbanisme, des transports, de la maîtrise de l'énergie, etc.), à la préservation de la biodiversité, au développement d'une agriculture durable, à la prévention des risques et la protection de la santé, à la mise en oeuvre d'une gestion durable des déchets ou encore à l'instauration d'une gouvernance adaptée à cette mutation écologique.Une partie est consacrée au chantier de l'énergie avec comme objectif de réduire "radicalement" les émissions de gaz à effet de serre, au travers de la généralisation de l'affichage des performances énergie-carbone, du maintien de la France au premier rang des pays européens producteurs d'énergies renouvelables, ou encore du développement de nouveaux carburants issus de végétaux ou de déchets organiques. En effet, le projet de loi propose des mesures en faveur de la réduction de la consommation énergétique et de la prévention des gaz à effet de serre :
instauration, au niveau régional, des « schémas du climat, de l'air et de l'énergie » dont le but est notamment de valoriser le potentiel régional d'énergies renouvelables et de développer l'efficacité énergétique ;
instauration d'un schéma régional de raccordement au réseau d'énergies renouvelables (afin d'accélérer le raccordement des sources d'énergies renouvelables au réseau national d'électricité) ; http://www.enerzine.com/604/9610+projet-grenelle-ii---dernier-acte-legislatif-le-4-mai+.html

Reussir Magazine Afrique


Alger Création d’un Conseil maghrébin de la coopération douanière




Afrique - Création d’un Conseil maghrébin de la coopération douanièrePublié le 29 avril 2010 à 18h16
(PANA) - Les directeurs généraux des douanes des pays de l’Union du Maghreb arabe (UMA) ont décidé, à l’issue de leur réunion mercredi à Rabat, de créer un Conseil maghrébin de la coopération douanière qui sera basé à Alger, a appris la PANA, jeudi auprès du secrétariat général de l’UMA, à Rabat.
L’UMA, organisation sous-régionale, dont le traité constitutif a été signé le 17 février 1989 à Marrakech, comprend le Maroc, l’Algérie, la Libye, la Tunisie et la Mauritanie.
Ce conseil constituera un « mécanisme de consolidation de la coopération douanière maghrébine visant à contribuer à la relance des échanges commerciaux entre les pays membres et la simplification des procédures douanières pour les opérateurs économiques dans l’espace maghrébin », précise un communiqué du secrétariat général de l’UMA.
Les directeurs généraux ont également convenu d’adopter au moins 8 chiffres lors de l’encodage des marchandises, tout en veillant au respect des engagements des pays maghrébins vis-à-vis de l’Union européenne.
En outre, ils ont décidé d’ériger le Centre de formation douanière de Casablanca (sud de Rabat) en institut régional agréé auprès de l’Organisation mondiale des douanes et qui sera chargé de la qualification des douaniers des pays maghrébins.
Une réunion maghrébine sur l’harmonisation des procédures douanières sera tenue en juin à Alger, alors qu’une autre sur la lutte contre la contrebande dans les pays de la région sera abritée par Tripoli.

Expo Shanghai : l'Algérie va promouvoir son patrimoine architectural et culturel



Expo 2010 à Shanghai : l'Algérie va promouvoir son patrimoine architectural et culturel
L'Algérie, un des premiers pays à s'engager à la réussite de l'exposition universelle 2010 à Shanghai, va promouvoir son patrimoine architectural et culturel et ses atouts touristiques, a annoncé mercredi le gouvernement algérien.L'Algérie y sera représentée par un pavillon individuel de 1.000 m2 qui se singularise par une architecture de type à la fois Casbah et Ghardaïa. "Le pavillon national fait ainsi une large part à la promotion du patrimoine architectural et culturel et aux atouts touristiques indéniables qui constituent une des plus grandes richesses du pays et qu'il importait de mettre en valeur", souligne un communiqué des services du Premier ministre algérien.L'Algérie a été un des premiers pays à s'engager à la réussite de l'exposition universelle qui doit se dérouler à Shanghai du 1er mai au 31 octobre 2010, "au regard des liens historiques qui l'unissent au pays d'accueil et des rapports d'amitié qu'entretiennent les peuples algérien et chinois", note le communiqué.La décision de participer à cette "grande exposition" a été prise par le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, et confirmée par voie diplomatique aux autorités chinoises dès le mois d'avril 2006, indique le communiqué."C'est au niveau des services du Premier ministre que sont gérées depuis près de deux années la préparation et l'organisation de la participation nationale à cet important événement planétaire. L'opération a mis à contribution, autour du Commissaire de l'Algérie à cette exposition universelle, une commission nationale composée des représentants des institutions et des secteurs directement concernés par le thème, ce à l'effet d'assurer à la présence algérienne toute la réussite qui en est attendue", ajoute le communiqué.L'Expo de Shanghai 2010, qui réunira plus de 240 pays ou régions et des organisations internationales, ambitionne d'accueillir jusqu'à 100 millions de visiteurs. Elle s'articulera autour du thème "Meilleure ville, meilleure vie" que chaque pavillon participant saisira comme leitmotiv pour "mettre en valeur son histoire, ses conceptions architecturales, son économie, ainsi que ses atouts commerciaux, culturels, et touristiques", conclut le communiqué. ● - Exposition universelle de Shanghai

1ère Journée de l’Energie des Régions d’Europe



1ère Journée de l’Energie des Régions d’Europe : la subsidiarité énergétique en marche à Bruxelles
[Fenêtre sur l'Europe]
L’Assemblée des Régions d’Europe (ARE), le Ministère de l’environnement, la protection de la nature et du transport du Land Baden-Württemberg (D) ainsi que GE Energy ont inauguré aujourd’hui la Journée de l’Energie des Régions d’Europe.
Symbole de l’essor croissant de la dynamique interrégionale au service du développement durable, et témoin de l’essor de la subsidiarité énergétique au niveau européen, cet événement vient couronner un an de collaboration inédite entre acteurs publics et privés dans le domaine de l’énergie. Deux jours pour apporter aux Régions d’Europe "l’Energie de demain"Première édition d’un rendez-vous annuel unique en son genre à Bruxelles, cette rencontre représente une étape clé dans le renouveau des politiques énergétiques régionales. Il illustre l’apport de la dynamique interrégionale alors que les négociations internationales sur le climat peinent à déboucher sur un accord contraignant. Pendant deux jours, 300 décideurs politiques régionaux et experts européens de l’énergie se sont rassemblés pour discuter du rôle des Régions dans l’élaboration de politiques de protection de l’environnement et présenter les bonnes pratiques régionales en la matière. Véritable vitrine des réponses apportées par les Régions aux défis énergétiques actuels et à venir, cet événement s’inscrit dans la droite ligne des actions menées à Belfort, puis à Copenhague par l’ARE et GE Energy en 2009. La Journée de l’Energie des Régions d’Europe a deux visées principales :- Apporter des réponses régionales aux défis énergétiques en Europe et des recommandations concrètes sur 3 paramètres clés : l’efficacité énergétique, la sécurité d’approvisionnement et la réduction des émissions de CO2 ,- Soutenir l’émergence d’une démocratie participative régionale face aux enjeux énergétiques et environnementaux.Tanja Gönner, Ministre de l’environnement du Land Baden-Württemberg (D), Michèle Sabban, Présidente de l’Assemblée des Régions d’Europe, Johannes Hahn, Commissaire européen chargé de la politique régionale, Ricardo Cordoba, Président de GE Energy Europe de l’Ouest & Afrique du Nord, Steve Howard, Président du Climate Group et Knud Andersen, Vice-président de la chambre des régions, Congrès des pouvoirs locaux et régionaux du Conseil de l’Europe, comptent parmi les personnalités présentes à cet événement.D’après Michèle Sabban : "Cette journée marque une étape importante dans l’action menée par l’ARE sur les questions liées à la transformation énergétique de nos territoires. Dès 2006 une 'déclaration des régions européennes pour l’efficacité énergétique et le développement des sources d’énergie renouvelables’ avait été produite, qui dessinait les contours de notre action présente. Nous sommes convaincus que les régions doivent désormais se voir octroyer les moyens de prendre en main leur avenir de manière responsable et autonome, surtout sur la question de la production d’énergie, qui concerne directement la vie quotidienne des citoyens et l’avenir des populations et constitue en tant que tel un axe crucial de toute stratégie de développement local." Ricardo Cordoba a également commenté : "Nous sommes fiers de participer, aux côtés de l’ARE, à la prise de conscience du rôle-clé des régions dans le développement et la mise en œuvre de politiques énergétiques efficaces et pertinentes, décisives et salvatrices pour notre futur à tous."Pour Tanja Gönner "Les régions sont des moteurs puissants pour la protection du climat. Il est très important qu’elles s’allient à la Communauté européenne afin de parvenir à enrayer le réchauffement de la planète."L’un des temps forts de cette journée a résidé dans la présentation d’un Livre Blanc sur l’action de l’ARE dans le domaine de l’énergie et du changement climatique. Ce document propose un panorama dynamique des différentes initiatives mises en place par l’ARE pour soutenir les régions d’Europe dans l’élaboration de mesures d’atténuation et d’adaptation au changement climatique. En 2009, l’ARE s’est attachée à proposer aux décideurs politiques régionaux un panel encore plus varié d’outils leurs permettant de répondre efficacement aux défis posés au niveau régional. Au travers d’audits énergétiques, de projets européens comme MORE4NRG et PRESERVE, de conférences thématiques et de partenariats novateurs avec une variété d’acteurs considérable, l’ARE jongle entre expérience de terrain, recherche et analyse, montrant son approche pragmatique des besoins de ses membres. Au-delà, son rôle est éminemment politique, c’est pourquoi le Livre Blanc résume également les recommandations de l’ARE pour des stratégies climatiques plus efficaces. Cette journée a également été l’occasion de révéler les résultats complets de l’enquête exclusive menée par l’ARE auprès de 67 régions d’Europe pour évaluer leurs besoins et attentes en matière de politique énergétique durable. Les premiers enseignements étaient qu‘un élargissement du champ de compétences des autorités locales, accompagné d’incitations financières adaptées, leur permettrait de répondre aux défis énergétiques globaux en tirant le meilleur parti de leurs potentiels locaux. C’est grâce à l’utilisation créative de leurs ressources endogènes telles que la neige, la paille, la force de vague ou la liqueur noire (sous-produit du processus de traitement du bois), que les régions contribuent à l’enrichissement et à la diversification de leurs portfolios énergétiques ainsi qu’au renforcement de leur autonomie en matière d’approvisionnement énergétique.Cette enquête a également permis de constater que 92 % des régions qui avaient participé à l’enquête considéraient l’énergie comme l’une de leurs priorités-clés pour les années à venir et 77 % d’entre elles ont d’ores et déjà mis en place une stratégie énergétique. Ceci permet d’instaurer une approche horizontale de la politique de l’énergie et d’intégrer les préoccupations du développement durable dans les nombreuses activités sectorielles telles que l’aménagement du territoire, le transport, le tourisme ou l’agriculture. Les résultats de cette enquête sont à mettre en perspective avec les conclusions du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), qui indique dans son Quatrième Rapport d’évaluation que 50 à 70 % des mesures d’atténuation et d’adaptation au changement climatique devront être mises en place à l’échelle régionale dans les prochaines années.Étude complète de l’ARE sur les politiques énergétiques régionales: http://www.aer.eu/fr/themes-majeurs/energy-policy.html ‘Livre Blanc’ des activités de l’ARE sur l’énergie et le changement climatique : http://www.aer.eu/fr/themes-majeurs/energy-policy.html