阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, March 30, 2010

Conférence de l'Audiovisuel de la Méditerranée



30/03/10 - 14H36 - AFP
© AFP/Archives - Olivier Laban-Mattei

Conférence de l'Audiovisuel de la Méditerranée: quatre projets présentés
Quatre projets seront présentés lors de la 17ème conférence annuelle de l'audiovisuel de la Méditerranée qui se tiendra pour la première fois à Paris du 8 au 11 avril, a annoncé mardi Emmanuel Hoog, président de la Conférence et PDG de l'Institut national de l'audiovisuel.
Parmi les projets présentés lors de la Conférence permanente de l'audiovisuel méditerranéen (Copeam), une Université de la Méditerranée. Son objectif sera de former les cadres et professionnels de l'audiovisuel. Des partenariats ont déjà été signés, notamment avec des universités en Algérie, en Espagne, en France, au Liban, au Maroc, en Tunisie et en Italie, mais aussi en Grèce, à Chypre, en Palestine et en Israël.
"Ce n'est pas un projet Nord/Sud mais un projet Sud/Sud où le Nord sera à l'écoute", a expliqué Ana Vinuela, responsable du pôle enseignement de l'Ina, lors d'une conférence de presse.
Courant 2010, une plate-forme dédiée à cette université sera créée, en 2011 seront mis en place des séminaires et universités d'été. Entre 2011 et 2012 seront lancés des Masters spécialisés.
Autre projet: la création d'un portail gratuit en arabe, français et anglais d'archives audiovisuelles des pays du pourtour méditerranéen. Il pourra être consulté à partir de 2011.
Le cahier des charges de la chaîne de la Méditerranée, porté par la Copeam depuis 1999, sera très discuté du 8 au 11 avril. Le principe de lancement de cette chaîne a de nouveau été validé il y a un an, lors de la conférence annuelle de la Copeam au Caire.
Le quatrième projet porte sur un renforcement d'échange des informations (magazines, documentaires, information) entre les pays. D'ici mai, les membres de la Copeam prévoient d'échanger notamment 40 magazines et neuf documentaires.
Lancée en 1996 au Caire, la Copeam regroupe 26 pays et 130 entreprises publiques de l'audiovisuel.

Turquie -news


Algerie centre national pour les autistes



Dr Ould Abbès l'a affirmé
Un centre national pour les autistes sera opérationnel d'ici un mois



Le ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale établie à l'étranger a procédé, hier, au Palais des expositions des Pins maritimes d'Alger, à l'inauguration du Salon international de l'enfant qui se tient sous l'égide du département du Dr Ould Abbès et du ministère de l'Environnement, du Tourisme et de l'Aménagement du territoire. En fait, ce salon qui est à sa troisième édition du SIE s'est axé, cette fois-ci, sur le changement et l'amélioration sur tous les plans, à savoir le choix de la date du déroulement du salon qui coïncide avec les vacances scolaires de printemps à partir du 29 mars au 3 avril 2010. Cette année, le SIE 2010 a choisi le vert, et la protection de l'environnement et le développement durable seront à l'honneur. Selon les organisateurs de ce salon l'intérêt est de pousser l'enfant à réfléchir à la thématique de l'eau et de l'environnement, et de le sensibiliser à la nécessaire solidarité et participation de chacun pour la protection de cette précieuse ressource. Aussi d'essayer de développer le dialogue enfant-adulte pour favoriser les prises de conscience, expliquer les responsabilités, et rappeler les droits et obligations de chacun. Par ailleurs, cette grande fête annuelle, dédiée aux enfants, a connu une participation de quarante-cinq exposants entre Algériens et étranger pour une superficie de 3 300 m2. Il faut aussi rappeler que les deux précédentes éditions du Salon international de l'enfant (SIE) ont connu un immense succès (plus de 210 000 visiteurs entre professionnels et grand public et une quarantaine d'exposants nationaux et étrangers). En outre, ce salon se tient également sous le signe de la créativité et de l'épanouissement ; il comportera un programme très riche avec plusieurs espaces éducatifs encadrés par des professionnels. Toutes les activités sont conçues de manière à réaliser les objectifs premiers de cette manifestation, à savoir former, informer et initier les enfants à l'esprit et aux valeurs de l'éco- citoyenneté. Le salon ambitionne de créer pour les enfants un espace où ils seront à la fois les spectateurs, acteurs, animateurs et critiques, et ce dans le cadre de plusieurs ateliers thématiques portant notamment sur l'environnement, la prévention routière, les droits de l'enfant, la santé, ou encore les arts. Par ailleurs, au cours de sa visite, le ministre n'a pas manqué de lancer un appel aux écrivains, auteurs et aux éditeurs locaux d'écrire notre propre histoire, notre culture, nos contes de fées algérienne. "Je veux une production algérienne dans le fond, la forme et le contenu, notre objectif est d'encourager l'écriture et la production locale", a-t-il dit. Dans le même ordre d'idées, il a estimé que les efforts consentis par l'Etat sont énormes notamment à l'égard des handicapés. En allant plus loin dans son argumentation afin de répondre à certaines questions concernant ces efforts, Ould Abbès a tenu à rappeler que "dans le monde il y a 700 millions d'handicapés, recensés par l'ONU sur une population de 6 milliards d'habitants ce qui fait environ 12% de la population mondiale, ainsi il dira qu'en Algérie il y a 36 millions d'habitants et on a au moins de 2 millions d'handicapés ce qui veut dire qu'on est moins de la moyens mondiale". En outre, il dira que "nous avons construit 443 centres pour les handicapés, sourds-muets,ainsi que les (SDF) en Algérie avec un encadrement de 27.000 entre enseignants et cadres. Résultat on a eu 106 parmi eux qui ont obtenu le bac" avant d'ajouter que "nous dépassons les pays arabes de plus d'un pas en matière de la prise en charge de l'handicapé et de la prévention diagnostique précoce, mais le problème qui se pose c'est les accidents de circulation". En outre, il a affirmé que l'Algérie a mis en œuvre une loi qui préserve les droits de l'enfant et de l'handicapé en 2002 avant même que l'ONU le fasse en 2007. A l'issue de cette rencontre Ould Abbès a dévoilé à la presse que d'ici un mois, un centre national pour les autistes sera opérationnel. A noter, aussi, au programme de cette nouvelle édition, qu'il aura des expositions-ventes à des prix réduits, tombola, concours du plus beau bébé et concours du petit journaliste.Moumen Larabi

Tikjda BOUIRA



BOUIRATikjda aura son festival

En consacrant Tikjda site touristique de la wilaya de Bouira, le premier pas est franchi et l’avenir de cette région ne peut être que radieux.
«L’année 2010 sera celle de la jeunesse et de la culture». Cette affirmation est du wali de Bouira, M.Ali Bouguerra, à l’occasion de la présentation du bilan d’activité de l’exercice 2009, devant les élus APW lors de la première session ordinaire. Voulant allier la parole aux actes, le premier responsable de la wilaya a confié l’organisation du premier festival intitulé «Festival de Tikjda» à une commission présidée par M.Reghal Omar, directeur de la culture. Le choix du site n’est pas inopportun. La quiétude retrouvée, l’autoroute réalisée, les infrastructures bâties... Tikjda est un site structurant, en mesure de relancer le tourisme mais reste attaché à l’identification de la wilaya. En cette période de vacances scolaires, ils sont des centaines à rallier ce site venant de diverses régions du pays. Les chaînes montagneuses qui s’étendent et délimitent le territoire de la wilaya de Bouira, le «Djurdjura» par le nord, «Chréa» par l’est «Dirah» par le sud et «Zbarbar» par l’ouest, sont très favorables au développement du tourisme en général et de montagne, en particulier. De ces chaînes montagneuses, le Djurdjura reste une référence nationale comme l’a affirmé le ministre de l’Environnement lors d’un passage à Bouira. Cette chaîne de montagnes qui chevauche sur trois wilayas, Tizi Ouzou, Bouira et Béjaïa, constitue indéniablement un écosystème botanique, faunistique et climatique, qui lui procure une grande valeur et suscite même des réflexions scientifiques qui lui ont valu le classement de réserve naturelle la plus vaste du pays et de patrimoine mondial par l’Unesco. Ces caractéristiques sont à l’origine de l’idée de ce festival où on annonce déjà la participation du chantre de la chanson kabyle, Lounis Aït Menguellat, l’un des pionniers du raï belabéssien Amarna, plusieurs chebs, les maîtres du chaâbi comme Mourad Djaâfri et éventuellement le ténor du raï, Bilal... L’opération est au stade des contacts avec les grandes figures de la musique nationale. En marge de cette animation ambiante, les visiteurs auront aussi l’occasion d’apprécier la nature puisque la direction du Parc national du Djurdjura concoctera un programme de randonnées, d’expositions. Sur le plan sportif aussi les associations locales des sports de montagne saisiront l’occasion pour tenter de faire aimer les activités en montagne comme le ski, la randonnée pédestre, l’escalade, l’alpinisme... Même si cette région de par son importance stratégique a subi durant une décennie la barbarie intégriste, elle a continué à vivre et se régénérer comme pour dire que la vie l’emporte toujours sur la mort. Parmi les principaux sites que renferme le Djurdjura et qui sont considérés comme les plus importants, nous trouvons, en premier lieu, Tikjda, un site classé patrimoine universel par l’Unesco. Il se distingue par sa richesse biologique scientifiquement très intéressante, à laquelle s’ajoutent des paysages d’une beauté inégalée. Tikjda fait partie du Parc national du Djurdjura dont l’espace s’étend tout le long du versant sud et est estimé à 8000 hectares. Le Parc national du Djurdjura (aura vingt ans en juillet), a été créé suivant décret 83/460 du 23 juillet 1983. Il concerne 18 communes, 10 au Nord de la wilaya (département) de Tizi Ouzou, et 08 à Bouira au sud. Il est situé à 140 km au sud-est d’Alger, et à 50 km parallèlement à la mer Méditerranée. A une altitude de 1470 mètres, la forêt de Tïkjda abrite de nombreuses espèces animales et végétales dont certaines sont protégées parce que menacées de disparition, à l’exemple de l’aigle royal, du singe magot et du pin noir (Pinus Nigra) qui est un arbre pérenne du Djurdjura. Tikjda est aussi, de par sa géomorphologie, le lieu le plus favorable en Algérie pour la pratique des sports de montagne, notamment le ski et l’alpinisme. Le parc national du Djurdjura est à la fois une très grande réserve naturelle qui s’étale sur 18.550 hectares, et une réserve inestimable de biosphère qui fait de lui le lieu le plus convoité par les écologistes, les scientifiques et les amoureux de la nature à l’état pur.Avec ses massifs hauts et imposants, ses gorges sauvages et profondes, le parc est un lieu rêvé pour le bivouac, nanti en avifaune dont les espèces qui y vivent sont très rares et nécessitent une protection. En fait, les prédispositions au tourisme sont réelles, pourvu que les parties concernées se mettent à l’oeuvre, et encore, pour peu qu’on donne l’initiative aux professionnels dans le domaine du tourisme. Le recours à un festival s’inscrit dans cette optique surtout que les infrastructures hôtelières manquent. Le Cnlst, Epic relevant du ministère de la Jeunesse et des Sports, l’auberge, structure de l’EGT Centre, le chalet du Kef inexploité, l’Ecole de ski reconvertie en siège de la garde communale... restent les seules structures d’accueil. La venue d’investisseurs capables d’édifier des merveilles dans cet espace qui peut s’étendre jusqu’à 20.000 hectares si on intègre les autres sites qui font la fierté de la région est souhaitée. Aïn Zebda est un autre site situé dans la commune d’Aghbalou sur le versant est, à 1 450 mètres d’altitude et s’étale jusqu’aux frontières des wilayas de Tizi Ouzou et Béjaïa. Aïn Zebda représente également une multitude de possibilités pour le développement de l’activité touristique. Tala Rana, un autre site climatique situé dans la commune de Saharidj, un peu plus à l’est, d’une altitude de 1400 mètres, se particularise par les mêmes caractéristiques que ceux du site de Tikjda, c’est-à-dire qu’il renferme une forte et dense forêt de cèdres, de chênes et de pins. Tala Rana est habitée par une faune et une flore bien préservées grâce à l’abondance de l’eau au milieu du site, qui porte le nom de Tala (source), et à sa préservation des risques de pollution. Le site de Tala Rana est aussi une partie du Parc national du Djurdjura, situé juste au-dessous de Tamgout, appelée communément Lalla Khadidja, le point le plus culminant du Djurdjura qui s’élève à 2308 mètres d’altitude. Cette géographie paradisiaque confère une beauté particulière à la région que les visiteurs auront la possibilité d’apprécier très prochainement à l’occasion du premier festival de Tikjda. Avant cet événement, personne ne sait si c’est le courage ou la volonté qui ont fait défaut pour prendre des décisions déterminantes dans le but de déclencher définitivement un irréversible processus de l’activité touristique. En redonnant à Tikjda son statut de site touristique de la wilaya de Bouira, comme l’est «Djemila» pour Sétif, «Timgad» pour Batna..., à travers un festival, le premier pas est franchi et l’avenir de cette région ne pourra être que radieux.
Abdenour MERZOUK

Transgreen Désertec Energie





Le projet Transgreen va t'il concurrencer Désertec ? Dans le cadre du "plan solaire méditerranéen", la France aurait l'intention de créer un consortium en charge de développer un vaste réseau de lignes électriques sous la mer Méditerranée.
L'objectif de ce réseau sera de transporter la future électricité solaire produite en Afrique vers l'Europe, ont indiqué des sources proches du dossier.Le Plan Solaire Méditerranéen lancé dans le cadre de l'Union Pour la Méditerranée (UPM) le 13 juillet 2008, vise à accroître l’utilisation des énergies renouvelables et à renforcer l'efficacité énergétique dans la région. Il prévoit la construction de capacités additionnelles de production d'électricité, notamment solaire, dans les pays du pourtour méditerranéen pour une puissance totale de 20 Gigawatt à l'horizon 2020. Une partie de cette électricité (5 GW) est destinée à être exportée vers l'Europe.Transgreen n'entrerait pas selon ses promoteurs, "en concurrence" avec le projet allemand Desertec, un consortium qui compte déjà 17 partenaires, dont l'américain First-solar, l'italien Enel ou encore le français Saint-Gobain. Desertec vise à créer d'ici 40 ans un vaste réseau d'installations éoliennes et solaires en Afrique du nord et au Moyen-Orient, afin de fournir jusqu'à 15% de la consommation d'électrité de l'Europe.Le lancement du projet Transgreen devrait être annoncé lors d'une réunion des ministres de l'Energie des 43 pays de l'Union pour la Méditerranée (UPM) prévue le 25 mai au Caire