阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

retrouver ce média sur www.ina.fr

commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, September 30, 2008

Union Méditerranée une chance pour L"europe









Union pour la Méditerranée
Une chance de rebond pour l'Europe sur le plan international
Publié le : 30.09.2008 13h36




L'Union pour la Méditerranée est non seulement un "impératif politique et stratégique", mais également une opportunité pour l'Europe, qui, à travers ce momentum reconstruit, pourrait retrouver une influence qu'elle a en partie perdue au sein de la communauté des nations, a affirmé André Azoulay, conseiller de S.M. le Roi et Président de la Fondation "Anna Lindh".

"Quand on parle de l'Euro-Méditerranée, on ne peut occulter les dossiers les plus difficiles auxquels est confrontée la communauté internationale", a souligné M. Azoulay dans une interview diffusée, mardi, par Euronews, chaîne d'information en continu basée à Lyon.Il a cité, à ce propos, la paix qui reste en devenir entre Palestiniens et Israéliens, la situation en Irak, celle qui prévaut actuellement en Afghanistan, mais aussi les relations entre la grande civilisation arabo-musulmane et le monde occidental chrétien.Au sujet de la crise au Proche-Orient, M. Azoulay a relevé que le monde entier reconnaît, aujourd'hui, la légitimité et l'absolue nécessité d'avoir un Etat palestinien dans toute son identité retrouvée, et dans tous ses droits reconstruits et ceci dans un consensus international rarement égalé.Parlant du rôle et de la place de la Fondation Anna Lindh dans la construction de l'UPM, M. Azoulay a insisté sur la nécessité de remplacer la culture de l'octroi par la logique de la parité et de placer les hommes et les femmes "dont on veut dessiner le futur" au centre de ce projet. Il faut, a-t-il souligné, que ces hommes et ces femmes soient investis de cette ambition idéologiquement, politiquement, culturellement et socialement.Il faut qu'ils se sentent également concernés et pris en compte, a conclu M. Azoulay, qui s'exprimait à l'issue du Conseil des gouverneurs de la Fondation Anna Lindh, réuni à Bruxelles pour prendre connaissance du plan triennal (2008-2011) qu'il a lui-même présenté à cette instance.



Par MAP

Stevie Wonder Youtube


George Micheal youtube


Radio canal Paris


Chine environnement du travail



La Chine promet un meilleur environnement de travail aux experts étrangers
Le Premier ministre chinois Wen Jiabao s'est engagé à fournir de meilleures conditions de travail et de vie aux experts étrangers servant la Chine.
Wen a fait cette remarque lors d'une rencontre avec 50 spécialistes étrangers et leurs familles au Grand Palais du Peuple lundi, pendant laquelle il a accordé le prix d'Amitié de l'année à ces experts au nom du gouvernement chinois.
La Chine a tenu les Jeux olympiques de Beijing avec succès, achevé sa troisième mission spatiale habitée et maintenu la tendance positive de la croissance économique après avoir surmonté des catastrophes dont les tempêtes de neige hivernales et le séisme, a indiqué Wen.
Tous ces succès et accomplissements ont été attribués aux efforts collectifs du peuple chinois, ainsi qu'aux soutiens et préoccupations des experts et amis étrangers, a-t-il ajouté.
Le Premier ministre a souligné aux experts que la Chine poursuivrait sa politique de réforme et d'ouverture qui s'avérait être la bonne voie pour conduire le pays à la prospérité, cette année marquant le 30e anniversaire de son initiation.
Selon Wen, les gouvernements chinois de tout niveau s'efforceront de créer de meilleures conditions de travail et de vie pour les experts étrangers en Chine et de protéger leurs droits et intérêts légaux pour réaliser leurs idéaux professionnels.
Le prix d'Amitié est le prix le plus important attribué par le gouvernement chinois aux experts étrangers qui ont fait des contributions exceptionnelles à la construction économique et au développement social de la Chine.
Les 50 gagnants du prix de l'année 2008 proviennent de 19 pays incluant l'Australie, l'Autriche, le Canada, Cuba et d'autres pays. Ils travaillent dans l'agriculture, l'enseignement, la santé, l'ingénierie, et d'autres spécialités.
Le gouvernement a accordé le prix à 999 experts étrangers venant de 58 pays depuis 1991.

Récifs coraliens dans le monde protection





Sauver les récifs coralliens dans le monde
[Date: 2008-09-29]
Les récifs coralliens, souvent regorgeant de vie marine, sont parmi les écosystèmes les plus fragiles. Un récif en bonne santé peut héberger des milliers d'espèces, mais ces écosystèmes sont malheureusement soumis à des contraintes très fortes, qui mettent leur survie en danger. Une équipe internationale de chercheurs, dirigée par l'université de Newcastle au Royaume-Uni et la Wildlife Conservation Society aux États-Unis, a déterminé les points sur lesquels doivent porter les initiatives de conservation, si l'on veut sauver les récifs coralliens. Au niveau mondial, les récifs coralliens sont menacés de toutes parts. Une élévation d'à peine un ou deux degrés peut entraîner le blanchiment des coraux ou intensifier les effets de maladies infectieuses, avec pour résultat la destruction de grandes zones du corail. Certaines techniques de pêche, comme l'usage de la dynamite, sont également responsables de la destruction des récifs de corail. C'est pourquoi l'on a défini des zones de non-pêche, destinées à protéger à la fois les poissons et le récif qui est leur habitat. Cependant, cette dernière étude montre qu'il faut revoir et mettre à jour la localisation de ces zones. Une équipe internationale de chercheurs, originaires d'Australie, des États-Unis, de France, du Royaume-Uni et de Suède, s'est attachée à réaliser l'une des études les plus vastes en la matière. Elle a étudié des zones de non-pêche couvrant 66 sites sur 7 pays, dans l'océan Indien. L'étude a été publiée par la revue PLoS ONE. Les chercheurs ont découvert que les zones de conservation sont aujourd�hui mal situées, laissant certains récifs coralliens vulnérables aux effets des changements climatiques. Selon Nick Graham, l'auteur principal, de la School of Marine Science and Technology de l'université de Newcastle, il est urgent d'agir: «Il nous faut adopter une approche totalement nouvelle, et nous devons agir sur-le-champ». L'étude a montré que l'on devait conserver telles quelles les zones de non-pêche actuellement définies, mais qu'il fallait en créer d'autres pour protéger d'autres récifs. «Notre étude a montré qu'un bon nombre des zones de non-pêche sont mal situées. Il faut en définir de nouvelles, centrées sur des zones qui échappent aux effets du changement climatique ou se remettent bien de son impact. Mais il faut changer d'objectif, en augmentant la résistance du système dans son ensemble, ce qui veut dire qu'il faut réduire autant que possible les menaces d'origine locale», poursuit M. Graham. Pour assurer la survie des récifs coralliens, il faut aussi mettre en place un système global de gestion de l'écosystème. «Les coraux meurent lorsqu'ils subissent un stress. Il faut donc réduire sur l'ensemble de la zone l'impact direct des hommes, comme la surpêche, la pollution et la sédimentation», conclut M. Graham. «En supprimant toutes ces autres causes, nous donnerons au corail les meilleures chances de se remettre et de survivre aux changements de température qui pourraient résulter du réchauffement planétaire.»
Pour de plus amples informations, consulter: Université de Newcastle: http://www.ncl.ac.uk/ Une vidéo concernant les coraux en Méditerranée est disponible à l'adresse suivante: ici. Conseil International pour l'Exploration de la Mer (ICES) http://www.ices.dk/

Politique spatiale Européenne





Le Conseil Compétitivité est résolu à faire avancer la politique spatiale européenne
[Date: 2008-09-29]
Le 26 septembre, le Conseil Compétitivité a adopté une résolution visant à faire progresser la politique spatiale européenne. La résolution a défini quatre domaines prioritaires: l'espace et l'évolution du climat, l'espace et la sécurité, l'exploration spatiale et la contribution de l'espace à la stratégie de Lisbonne. Les États membres ont notamment souligné l'importance de la mise en oeuvre réussie et rapide de Galileo (le système de navigation par satellite de l'UE) ainsi que du projet GMES (surveillance mondiale de l'environnement et de la sécurité). Suite à l'adoption en 2006 du septième programme-cadre (7e PC) et de son nouveau domaine thématique concernant l'espace, l'UE a fait du domaine spatial l'une des bases de la réalisation d'une société européenne fondée sur la connaissance. L'accord-cadre entre la Communauté européenne (CE) et l'Agence spatiale européenne (ESA) est entré en vigueur en mai 2004, et le «Conseil Espace» a adopté en mai 2007 une résolution définissant la base politique de l'espace pour l'Europe. La CE, le directeur général de l'ESA ainsi que les États membres de l'Union européenne et de l'ESA, surveillent et évaluent ensemble la mise en oeuvre de cette politique. La résolution adoptée vendredi fait suite à divers évènements: le lancement réussi et la validation en orbite du satellite GIOVE-B, qui a effectué la démonstration de nouvelles technologies critiques pour le système Galileo; la démonstration dans le cadre du Forum GMES à Lille de services GMES pré-opérationnels; et l'adoption par le Parlement européen et le Conseil du règlement portant sur le développement des programmes GNSS européens, qui clarifie la gouvernance publique de la mise en oeuvre de Galileo. La mise en service du système Galileo et du programme GMES dans les plus brefs délais reste par ailleurs une priorité absolue. Galileo est un système de positionnement par satellitecomparable au GPS des États-Unis. L'initiative GMES, axée sur les utilisateurs, est conçue pour optimiser l'utilisation des capacités, services et centres d'observation (spatiale ou non) de la Terre situés en Europe. Par leur capacité d'observation mondiale et leur couverture à long terme, les programmes spatiaux conviennent parfaitement pour fournir des données scientifiques essentielles dans le domaine de la recherche sur le réchauffement planétaire. Le Conseil souligne que les changements climatiques posent des défis qui concernent l'ensemble de la planète, et qu'il faut donc poursuivre et élargir les programmes spatiaux européens afin qu'ils «puissent apporter les preuves fondamentales nécessaires pour prendre les décisions en matière de politique de l'environnement». Le Conseil a reconnu la contribution à cet objectif du programme Planète vivante de l'ESA, des missions spatiales nationales dans le domaine des sciences de la Terre, d'EUMETSAT et du composant spatial GMES, mais a appelé la communauté scientifique, la CE, l'ESA et EUMETSAT à mettre en commun de manière plus efficace les données concernant le changement climatique et résultant d'observations spatiales européennes et GMES. En outre, il a invité la Commission à évaluer les besoins de la recherche (et à apporter les moyens nécessaires) pour bénéficier de davantage de puissance de calcul et d'un accès complet à des données standardisées. La récente résolution adoptée par le Conseil souligne le besoin d'assurer la sécurité des atouts spatiaux de l'Europe, qui sont devenus indispensables à l'économie, ainsi que l'importance de développer la capacité de l'Europe à «suivre et surveiller son infrastructure spatiale et les débris spatiaux». Elle met également en évidence la nécessité de «définir les modalités et les moyens d'améliorer la coordination entre les programmes spatiaux civils et militaires dans le cadre d'accords sur le long terme», et «d'admettre la dépendance de l'Europe envers des fournisseurs extérieurs pour certains composants et technologies spatiales critiques, de définir des stratégies d�atténuation pour en garantir la disponibilité, et de prendre des mesures pratiques afin de continuer à réduire cette dépendance». Le Conseil considère que l'Europe doit envisager l'exploration spatiale «dans le cadre d'un programme mondial, sans monopole ni appropriation par un seul pays», et a souligné le besoin d'une planification stratégique à long terme de cette exploration. Le Conseil a salué le lancement du laboratoire Columbus de l'ESA ainsi que la réussite des démonstrations du véhicule automatisé de transfert «Jules Verne», en les qualifiant de «véritables projets de développement pour la technologie européenne, et d'éléments essentiels pour s'assurer que l'Europe puisse accéder à la Station spatiale internationale ISS». Le Conseil considère que pour placer l'Europe en tête de l'exploration spatiale, des mesures d'investissement soutenues sont nécessaires. Il a souligné «l'importance de l'exploration spatiale pour inciter les jeunes Européens à embrasser une carrière scientifique et technologique». En ce qui concerne la contribution de l'espace à la stratégie de Lisbonne, le Conseil a attiré l'attention sur le fait que l'exploitation des résultats de la recherche spatiale en matière de hautes technologies peut contribuer à atteindre les objectifs de Lisbonne, au point d'apporter de nouvelles opportunités et des solutions innovantes pour divers services, dans toute l'Europe. En retour, ceci contribuera à réaliser «les ambitions de l'UE en matière d'économie, d'éducation, de société et de l'environnement, ainsi que les attentes de ses citoyens». La résolution explique que les utilisations de l'espace, comme les télécommunications par satellite, les systèmes EGNOS et Galileo, et le programme GMES, «devraient engendrer d'importants débouchés commerciaux sur le marché mondial, notamment pour les PME, grâce au développement de services en aval à valeur ajoutée». Pour optimiser la valeur que les États membres de l'UE peuvent tirer de ces atouts spatiaux, la résolution souligne la nécessité «d'un cadre réglementaire approprié, de l'accès continu aux fréquences radio pour les utilisations spatiales, et du développement de normes dans les domaines concernés». La résolution signale que les grands problèmes qui restent à régler sont de promouvoir une approche cohérente de la coopération internationale en matière de programmes spatiaux, d'assurer un accès ouvert et équitable aux avantages des activités spatiales (en matière de politiques publiques, de données scientifiques, de développement technologique, d'activités industrielles et de services), de garantir un accès continu, autonome, fiable et rentable à l'espace, dans des conditions abordables, de promouvoir le développement d'un cadre réglementaire approprié pour faciliter la création rapide de services en aval innovants et compétitifs, et d'organiser la gouvernance de l'espace conformément à la résolution du quatrième Conseil Espace et aux ambitions politiques de l'UE et de l'ESA. La résolution attire l'attention sur la nécessité de développer «pour l'UE les instruments et les méthodes de financement adéquats, en tenant compte des particularités du secteur spatial, du besoin de renforcer sa [...] compétitivité et de la nécessité d'une structure industrielle équilibrée». Le renforcement de la coopération avec les pays en voie de développement est également considéré comme un domaine d'action prioritaire. L'Union européenne et l'ESA sont des acteurs majeurs du domaine spatial, et leur intention est de faire de l'Europe une grande puissance spatiale sur la scène internationale. La résolution adoptée vendredi par le Conseil souligne que toutes les activités de l'Europe dans le domaine spatial contribuent exclusivement à un usage pacifique de l'espace, ainsi qu'à «la promotion d'une coopération internationale dans l'exploration et l'utilisation de l'espace extra-atmosphérique». Enfin, la résolution reconnaît que les programmes spatiaux européens soutiennent «les efforts continus du Comité des Nations Unies pour l'utilisation pacifique de l'espace (COPUOS) en matière de gestion et des prévention des débris spatiaux».
Pour de plus amples informations, consulter: Agence spatiale européenne: http://www.esa.int/ Conseil de l'Union européenne:

Placebo Youtube


Alphaville Youtube


Annie Lennox Youtube


Placebo David Bowie Youtube


Mick Jagger Youtube


Solaire rendez-vous avec Lunel


Placebo Youtube


novembre 1989 Mur de berlin


Space X Fusée privéd





SpaceX : Une première fusée privée en orbite terrestre
(En savoir +)
"Falcon 1", le lanceur à propulsion liquide de la compagnie privée américaine SPACEX (Space Exploration Technologies) a réussit dimanche, à atteindre l'orbite terrestre pour la première fois.
"Space Exploration Technologies Corp. (SpaceX) annonce que le vol 4 de la fusée Falcon 1 a été lancé avec succès et a atteint l'orbite terrestre", indique un communiqué publié lundi. Le deuxième étage de la fusée est en orbite elliptique autour de la Terre entre 500 et 700 km d'altitude et contient une charge utile de 165 kg.Le Falcon 1 est une petite fusée de deux étages haute de 21 mètres, mise au point par SpaceX, une société fondée en 2002 par Elon Musk **.La prochaine fusée Falcon 1 devrait transporter le satellite malaisien "RazakSat". En cas de nouveau succès de lancement, le modèle Falcon 9 - plus puissant - effectuerait son premier vol au 2e trimestre 2009.
** En juin 2002, Musk fonde Space Exploration Technologies (SpaceX), dont il est l’actuel CEO et Chief Technology Officer. La fortune de Musk est estimée à 328 millions de dollars. SpaceX développe et produit des véhicules de lancement spatiaux, en mettant l’accent sur des coûts réduits et une grande fiabilité.

Consommation energie Public Bruxelles







Bruxelles réduit la consommation de l'éclairage public
(src : Europa)
Les Etats membres de l'UE ont approuvé vendredi deux propositions de règlement de la Commission européenne visant à réduire la consommation d'électricité en Europe.
Le premier règlement porte sur les équipements utilisés pour l'éclairage des bureaux, l'éclairage industriel et l'éclairage public. Il vise les produits d'éclairage généralement utilisés dans les bureaux et pour l'éclairage public et industriel: lampes fluorescentes, lampes à décharge à haute intensité et leurs ballasts et luminaires.
Les Etats membres attendent de cette mesure qu'elle réduise la consommation de ces équipements de 15%, alors que les prévisions européennes indiquent une augmentation de 260 TWh par an d'ici à 2020. Les économies annuelles se chiffreraient à 38 TWh, selon les chiffres avancés par Bruxelles (ce qui correspond approximativement à la consommation annuelle d'électricité de la Roumanie) et devraient faire baisser les émissions de CO2 d'environ 15 millions de tonnes chaque année.
Le deuxième règlement concerne les appareils servant à convertir les signaux de télévision numériques en signaux analogiques, appelés «décodeurs numériques simples».
La radiodiffusion étant actuellement en train d'abandonner l'analogique au profit du numérique dans l'UE, les ventes de ces équipements grimperont en flèche dans les prochaines années, de même que leur consommation d'énergie.
Les limites de consommation d'énergie fixées dans le règlement permettront de ramener la consommation de 14 TWh à 5 TWh d'ici à 2014, lorsque l'utilisation des décodeurs simples sera à son maximum.
Pour 2020, la Commission estime que lorsque ces équipements disparaîtront du marché à mesure que les anciens téléviseurs seront remplacés par de nouveaux postes adaptés à la radiodiffusion numérique, on devrait économiser 47 TWh – un chiffre supérieur à la production annuelle d'électricité d'origine nucléaire de la Finlande et de la Slovaquie réunies.
La mesure se traduira également par une réduction d'environ 30 % du coût de ces équipements sur la durée de leur cycle de vie.
Les règlements proposés vont maintenant être soumis au Parlement européen, dans le cadre de sa mission de contrôle. Leur adoption formelle par la Commission est prévue en janvier 2009. Dans les prochains mois, d'autres mesures d'écoconception viendront couvrir des groupes de produits supplémentaires, tels que les lampes utilisées pour l'éclairage domestique.De plus amples informations sur l’écoconception sont disponibles sur le site qui y est consacré (en anglais).