Wednesday, October 20, 2010
l'Algérie est un pays magnifique
Par : Nabila Saïdoun
Le ministre du tourisme l’a déclaré à partir de la wilaya de M’Sila Cap sur la location gérance des hôtels”
De la visite d’inspection de Smaïl Mimoune, ministre du Tourisme et de l’Artisanat, effectuée hier dans la wilaya de M’sila, émane des questions sensibles traduisant un malaise qui mine le secteur et auquel il faudra vite remédier. Quel devenir pour ces infrastructures hôtelières, dont la majorité se trouve dans un état de délabrement avancé ?
Force est de constater que l’opération de privatisation, enclenchée depuis quelques années, n’a pas donné le résultat escompté, et ce, pour de multiples raisons dont la résistance du personnel de ces mêmes infrastructures qui a fait que l’opération en question s’est soldée par un échec cuisant.
“Certaines personnes semblent être allergiques au mot privatisation”, reconnaîtra le ministre, préférant désormais opter pour la formule “location gérance”. Ce qui serait en soi un préalable à la privatisation dans un cadre plus mûr et nullement en contraction avec la privatisation qui resterait une optique inéluctable. Mais pour l’instant les pouvoirs publics préfèrent appréhender, semble-t-il, ces opérations de privatisation d’une autre manière, ce qui expliquerait le démarrage de plusieurs chantiers de rénovation et le déblocage des budgets nécessaires tant réclamés. L’hôtel El-Kaïd de Boussâada, investi dans la rénovation, en avait bien besoin et son voisin Kerdada, qui appartient à la chaîne El-Djazaïr, pourrait s’améliorer davantage. le développement de la qualité et l’amélioration des prestations sont des valeurs sur lesquelles a insisté le ministre lors de cette visite qui a enregistré le lancement de l’année pédagogique hôtelière et de tourisme. celle-ci s’est effectuée à partir de l’école hôtelière de Boussâada. L’occasion pour le premier responsable du secteur, qui s’est enrichi de l’artisanat (appartenait aux PME-PMI), de dicter quelque peu sa feuille de route. Il compte, entre autres, jouer la carte de l’artisanat pour booster le tourisme. L’artisanat tout, comme le patrimoine immatériel, peut en effet constituer un point attractif autour duquel pourrait se développer divers chapitres de coopération avec des partenaires étrangers.
Dans son discours à l’attention de nombreux étudiants, qui représentent l’avenir du secteur, le ministre a expliqué la pertinence de s’adapter à la réalité actuelle qui fait du touriste un client très exigeant.
“L’abondance du produit touristique donne le choix au touriste d’être très exigeant. Ceci a fait émerger de nouvelles prestations personnalisées. S’il est satisfait, il pourra en convaincre dix autres de son entourage. Dans le cas contraire, ce sont 100 personnes qui peuvent être influencées par son avis négatif”, a-t-il déclaré.
“Qu’il s’agisse de spécialistes, de voyagistes, de journalistes ou d’investisseurs, tout le monde s’accorde à dire que l’Algérie est un pays magnifique où l’on développe toute sorte de produits touristiques. Mais cette richesse naturelle, à elle seule, n’est pas suffisante pour construire une destination et relancer le tourisme ; ce qui a d’ailleurs nécessité l’élaboration d’un plan spécifique.” La formation se présente, par ailleurs, comme une pierre angulaire accompagnée de la modernisation et de la mise à niveau de certaines écoles dont celle de Tizi Ouzou et ses annexes à Tlemcen, ainsi que le centre d’hôtellerie et de tourisme de Boussâada, grâce à une enveloppe financière de 130 millions de dinars.
Libellés :
l'Algérie est un pays magnifique
Avec 248 milliards de dollars : L’Algérie éligible au transfert de technologie pour l’attractivité de son marché
Des représentants du ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements et des experts de l’OMPI, invités d’El Moudjahid
l Des représentants du ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, et ceux de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), ont été les invités d’El Moudjahid.
Cette invitation entre dans le cadre d’une conférence-débat, consacrée à la propriété intellectuelle a fait l’objet d’intenses consultations entre le ministère de l’Industrie et l’OMPI durant la visite de représentants de cette organisation dans notre pays, cette semaine.
M. Ahmed Zaïd, chef de division des politiques d’innovation au ministère de l’Industrie, M. Hakim Taousar, directeur général de l’INAPI et M. Ali Jazaïry, responsable de l’innovation et des transferts technologiques au sein de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), sont intervenus dans le cycle de communications.
Une évaluation des besoins et un accord-cadre
M. Ahmed Zaïd a situé, dans son propos, les objectifs poursuivis à travers la visite d’experts de l’OMPI en Algérie. L’Algérie, relève le représentant du ministère, a un large espace de coopération avec l’OMPI. Il a évoqué la tenue en décembre prochain d’une rencontre sur la propriété intellectuelle où seront associés tous les secteurs. Il y aura une évaluation des besoins. M. Ahmed Zaïd a rappelé que durant le séjour de la délégation de l’OMPI, un accord-cadre a été signé, qui élargit encore davantage le partenariat entre l’Algérie et l’Organisation mondiale. Il a évoqué aussi la question du dépôt des demandes de protection des brevets et marques, modèles qui pourront à l’avenir se faire à partir du pays de la protection.
La promotion des ressources humaines est capitale
L’orateur a souligné toute l’importance qui est accordée à la promotion des ressources humaines. Ainsi, dans le cadre de la constitution de centres dédiés à la technologie dans notre pays, il y aura la formation de cadres qui auront à exploiter les banques de données existant à travers le monde. Un centre-pilote va gérer le réseau. Il est vrai, note M. Ahmed Zaïd, que nos universités ont de nombreux projets mais qui ne sont pas diffusés.
Les centres de développement technologique vont émerger
L’orateur a parlé également de centres de développement technologique dont l’un, dédié à la mécanique, existe déjà et un autre concernant l’agroalimentaire est en voie de finalisation. S’agissant du séjour de la délégation de l’OMPI en Algérie, il y a eu un séminaire interrégional qui a vu la présence de 21 pays.
Des communications ont porté sur le rôle de la propriété intellectuelle, sur l’innovation et le transfert de technologie, sur les marques, les dessins et les modèles, etc. Des expériences des pays présents ont été présentées. Le représentant du ministère de l’Industrie a souligné que dans la recherche de solutions aux problèmes soulevés, il fallait toujours tenter de trouver un juste milieu. C’est le cas actuellement pour le médicament, qui nous amène à réfléchir sur le type de protection à adopter.
Un projet-pilote régional
S’agissant du projet-pilote régional, il concerne, pour l’aire géographique qui nous concerne, l’Algérie, la Tunisie, le Maroc, la Jordanie et l’Egypte. Il y aura des bureaux de transferts de technologie. Des projets sont à l’étude avec des phases d’évaluation, allant du début de formulation du projet, de l’évaluation des besoins, la définition et l’adoption du mandat.
Il y aura un plan d’action pour la détermination des paramètres organisationnels des bureaux de technologie, la politique institutionnelle du bureau technologique, les salaires des travailleurs, l’acquisition des équipements pour le bureau technologique, la formation, le développement des capacités opérationnelles du bureau technologique). La formation sera assurée par des experts de l’OMPI.
Innovation, promotion des compétences locales
Les résultats escomptés à travers la mise en place de ces bureaux vont à l’amélioration de l’innovation, à la promotion des compétences locales. Cela vise aussi à assurer une meilleure productivité pour les produits locaux et une meilleure collaboration entre institutions sur le plan régional, à travers un travail en réseau.
Il y a engouement pour ce type de projet, note le chef de division des politiques d’innovation au ministère de l’Industrie. Le privé va être connecté en matière de recherche. Actuellement, il existe un véritable fossé entre la recherche et l’innovation. C’est pour cela que des initiatives sont prises à travers le partenariat avec l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle pour donner plus de probabilités de succès aux politiques d’innovation.
Développement de la recherche, formation, marketing
Concernant les bureaux technologiques, ils permettront le développement de la recherche, la formation, le cheminement de l’idée de marketing liée à la propriété intellectuelle, la gestion, l’octroi de licences, les négociations pour l’octroi des licences. C’est important d’avoir toutes ces formations, relève M. Ahmed Zaïd.
L’INAPI aura des annexes régionales
Intervenant à son tour, M. Taousar, directeur général de l’Institut national de la propriété industrielle, souligne dans son intervention que nous avons l’ambition d’élever l’institut à un niveau supérieur. Il ne faudrait pas, dit-il, qu’on s’arrête à une sorte d’organisme dépôt, comme c’est le cas actuellement. L’institut doit être réactif, aller vers les universités, les centres de recherche. L’INAPI est un organisme qui doit avoir un rôle névralgique dans ce type de dispositif. L’orateur a rappelé l’existence d’une loi sur l’innovation qui peut être un atout pour l’institut, intégré dans la vision ainsi décrite.
Un premier centre d’appui va voir le jour
La mise en place, dit-il, d’un premier centre d’appui avec l’assistance de l’OMPI constitue pour nous une base de départ. C’est le signe d’une politique plus dynamique. Elle permettra des mises à jour, une numérisation de l’information et sa mise à disposition aux utilisateurs.
L’INAPI doit jouer un rôle important dans différents domaines : le domaine juridique, l’examen des marques, le développement des NTIC, etc.
Un répertoire de marques au ministère de l’Agriculture
M. Hakim Taousar a souligné que le ministère de l’Agriculture a constitué un répertoire de marques protégées. Il faut accompagner ces actes. Intervenant de nouveau, M. Ahmed Zaïd note que dans le plan de développement de l’INAPI, il est prévu l’ouverture d’annexes régionales. Actuellement seules trois annexes existent à Oran, Constantine et Sétif.
Il y a également d’autres mesures qui sont prévues comme la création d’un Fonds d’aide aux inventeurs et aux chercheurs. 10 à 15% des recettes de l’institut, iront à ce Fonds.
Algérie-OMPI, un partenariat durable
M. Ali Jazaïry, représentant de l’OMPI, a rappelé pour sa part tout l’intérêt du partenariat institué entre l’OMPI et l’Algérie, partenariat élargi à la sphère régionale. Le séjour de la délégation de l’OMPI a été profitable. Il a permis la signature d’un accord-cadre entre l’Algérie et l’OMPI. L’innovation, rapporte l’orateur, sous ses différentes formes à fortiori dans une économie de la connaissance, est le résultat de tout un processus. Il y a une problématique de propriété intellectuelle qui reste (brevets, logiciels) qui reste posée et qu’il convient de traiter par des politiques d’incitation. L’évolution des sociétés fait émerger des attentes en matière de développement technologique qu’il faut, là aussi, prendre en charge.
Les appellations d’origine bénéficient de protection
Dans le débat, M. Hakim Taousar, directeur général de l’INAPI, souligne à propos des produits protégés, suite à une question, que l’Algérie a un texte qui protège les appellations d’origine.
L’orateur fait remarquer qu’il y a eu par exemple avec le ministère de l’Agriculture un certain nombre de réunions, pour la datte il n’y a pas moins de 45 panoplies relève l’orateur, ce qui démontre la complexité de la tâche. Certaines dattes ne peuvent être cultivées qu’en Algérie, dit-il. Il y a un travail qui se fait aussi au ministère de l’Agriculture pour l’huile d’olive et d’autres produits. Le directeur général de l’INAPI, propose la création de circuits de distribution et de commercialisation.
Un moyen pour dynamiser les initiatives
Pour M. Ali Jazaïry, répondant aux questions des participants, la propriété intellectuelle n’est pas un moyen de bloquer des initiatives, mais bien un catalyseur pour le transfert de technologie. Il cite le cas de la Silicon Valley où de petites compagnies jouent un rôle moteur dans la création, l’innovation, le développement technologique.
Pour l’orateur, situant la problématique de la propriété intellectuelle élargie à un pays, celle-ci joue un rôle important dans la croissance économique. La Silicon Valley est formée de petites compagnies (d’une vingtaine de personnes chacune). Ces compagnies vont alors s’intégrer chacune à une problématique (circuits intégrés, etc.)
La Silicon Valley, moteur de l’économie américaine
M. Ali Jazaïry relève que la silicon Valley a été le moteur de l’économie américaine, au cours de la dernière décennie. 85% des nouveaux produits ont été développés par de petites compagnies. L’orateur cite le cas des Emirats Arabes Unis qui souhaitaient créer une technopôle à l’image de la Silicon Valley. L’expérience n’a pas eu de succès vu l’absence de petites compagnies et de thèmes adaptés à la situation et à l’environnement du pays.
C’est une fois un thème fédérateur, trouvé (énergie solaire) que l’expérience a eu des résultats avec à la clé une collaboration sur le plan international. Il y a eu alors une incidence économique considérable, relève l’orateur.
S’adapter aux réalités du marché
S’agissant de transfert technologique, M. Zaïd, représentant du ministère de l’Industrie, relève qu’en Algérie il y a un défaut d’expertise, rappelant que les usines sont reçues clés en mains. Le transfert de technologie peut s’opérer à travers l’octroi de licences, les IDE en direction des entreprises locales et à travers aussi la promotion des ressources humaines. Il cite le cas de la Chine qui, dans ses négociations avec Airbus, prévoit, à terme, le montage d’avions en Chine même.
En ce qui concerne la formation, M. Ahmed Zaïd relève que celle-ci est capitale, notamment dans différentes filières (commerce international, droit des affaires, langues, etc.) Dans cette perspective, la rédaction des contrats s’avère importante (langue dans laquelle est rédigée le contrat). L’orateur relève qu’une seule université forme à l’innovation, celle de Ben-Aknoun.
Une académie de l’innovation verra le jour
Il est envisagé la création d’une académie de l’innovation, dans laquelle il y aura de la formation. M. Taousar Hakim, répondant aux questions, relève que les droits rattachés à la propriété intellectuelle sont complexes (brevets, marques, appellation d’origine, ou origine géographique, dessins industrielles, etc.).
Il y a pour certains produits un problème de labellisation, dit-il. Il souligne que dans certains pays, l’existence d’un réseau de coopératives a permis de faire avancer grandement les choses et de profiter aux producteurs.
Mutualisation des moyens
Il y a eu la mutualisation des acquis (marques, etc.), tout cela est défini dans le cadre d’un cahier des charges. La qualité est garantie si le produit est bien labellisé, c’est un travail qui doit être mené.
Il faudra alors revoir la base juridique, par exemple dans le domaine agricole. Pour M. Ahmed Zaïd, les coopératives qui ont partagé les brevets, les droits des brevets sont celles qui ont pu capitaliser au rayon des Success story.
Des pôles d’excellence
A propos de la mise en place de technopôles, le chef de division des politiques d’innovation au ministère de l’industrie souligne qu’il existe dans notre pays un schéma d’aménagement du territoire qui prévoit la création de pôles d’excellence.
Pour l’industrie, il y a des propositions en cours. Il faut savoir, insiste le représentant du ministère de l’Industrie, que la création de technopôles ne se décrète pas, mais peut être le résultat d’un plus au moins long processus.
Bordj Bou-Arréridj et Sétif en pôle position
Bordj Bou-Arréridj et Sétif vont être érigées en pôles d’excellence. M. Ahmed Zaïd assure que dans ces régions industrielles des privés ont développé des entreprises performantes, c’est ce type d’embryons qui vont favoriser l’émergence de technopôles, suggère-t-il.
Le rôle de l’Etat sera de mettre en place des centres de développement technologique (mécanique pour la région de Constantine, sidérurgie pour la région de Annaba).
L’idée est aussi de fédérer dans l’effort, des wilayas qui auront à mettre en commun leurs projets pour leur donner une plus grande consistance.
Les consciences sont déjà prêtes, relève M. Ahmed Zaïd qui reconnaît que la tâche n’est pas facile.
Il faut mettre les gens en place et les adosser à des centres d’appui à la technologie.
M. Taousar Hakim, directeur général de l’INAPI en réponse à des questions, confirme la création d’annexes régionales autour de la maison-mère.
Rapprocher l’INAPI des utilisateurs
L’objectif, dit-il, est de créer des réseaux pour rapprocher, de l’INAPI, les entreprises, les inventeurs, les chercheurs. La première mission est de faire connaître les modalités de protection en matière de propriété intellectuelle.
34 programmes de recherche listés
M. Ahmed Zaïd, relève que 34 programmes de recherche sont prévus, dédiés au développement économique en concertation avec tous les secteurs, en liaison avec les services du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Il y a un conseil sectoriel permanent destiné à transmettre les projets au ministère de l’Enseignement supérieur. Ces projets soumis au comité de recherche qui siège au niveau de l’Enseignement supérieur pourront, après étude et avis, favoriser le financement des projets.
Développer des avantages comparatifs pour prospérer
Pour M. Ali Djazaïry, il n’y a pas de recettes miracles, les régions doivent disposer d’avantages comparatifs pour prospérer, et le développement doit se faire du bas vers le haut.
Il y a des exemples de technopôles à travers le monde où la réussite a été au rendez-vous. A une question sur le transfert technologique lié au poids économique du pays concerné, M. Ahmed Zaïd, relève que, s’agissant de l’Algérie, l’enveloppe de 248 milliards de dollars prévue dans le cadre du programme quinquennal fait du marché algérien un marché particulièrement attractif. S’agissant du poids de la norme en matière de commerce international, celle-ci a un poids énorme, c’est vrai. Elle constitue parfois une contrainte. Mais la norme change aussi, elle évolue. A ce propos, M. Taousar relève que l’IANOR en charge de la normalisation a été associé au travail réalisé par l’INAPI avec le ministère de l’Agriculture. A une question sur l’examen des marques, M. Taousar note qu’il y a le système déclaratif, l’examen de fond, l’opposition en 1966, l’Algérie a adopté le système déclaratif. En 2003, il a été pris option sur le système d’examen au fond des demandes. On pense aller au système de l’opposition.
S’agissant de l’examen des brevets, l’Algérie a opté pour l’examen de forme et compte passer à l’examen de fond. C’est un travail qui reste délicat à entreprendre. Il exige à moyen terme, trois à quatre années d’efforts.
La contrefaçon est liée au commerce informel
Sur les produits et marques, notamment celles qui portent à confusion, elles ne sont pas toutes déposées. La contrefaçon est liée au commerce informel. On distingue pour cela les marques notoires et les marques ordinaires. Comment faire alors face au phénomène de la contrefaçon, se pose la question M. Taousar.
Pour M. Ali Jazaïry, certaines grandes marques ferment l’œil sur des produits contrefaits, pensant que se développera un besoin pour les produits véritables au fur et à mesure que le pays en question se développera.
T. M. A.
Les arts plastiques algériens à l’honneur aux Etats-Unis
Plusieurs œuvres d’artistes d’origine algérienne vivant au Canada s’exposent jusqu’au 16 novembre prochain à la galerie McCoy de Merrimack College, une université située au nord de Boston dans l’Eta du Massachusetts.
Le vernissage de cette exposition a eu lieu samedi dernier en présence de nombreux membres de la communauté algérienne vivant aux Etat-Unis, particulièrement dans la région de la Nouvelle Angleterre, l’Etat de New York et celui du New Jersey.
Elle prend place dans le cadre du festival culturel algérien qu’a organisé l’université à l’occasion de son festival d’automne.
Le Merrimack College a une relation particulière avec l’Algérie. Etant une université augustinienne, ses dirigeants cherchent depuis quelques temps à multiplier les ponts entre ses étudiants et l’Algérie, pays de Saint Augustin, l’un des pères de l’Eglise latine.
Le thème de l’origine et des racines marque cette exposition empreinte d’attachement à l’Algérie. Attachement lucide, loin de toute nostalgie.
Plusieurs plasticiens sont allés dans ce sens en choisissant les œuvres à présenter au public hétéroclite.
Nylda Aktouf qui revendique des racines multiples qu’elle appelle multi-racine est allée chercher son coin d’Algérie dans un jardin qu’elle a découvert à Québec, la capitale de la province canadienne du même nom.
Hamida Mehel adepte d’un art No Name, qui libère le public de toute contrainte que peut imposer le titre donné à une œuvre voit le monde en fusion. Fusion de cultures, d’origines…
Ali Kichou qui se distancie de plus en plus de la peinture et expérimente de nouvelles techniques a exposé un portrait original de Taos Amrouche et une autre œuvre appelée Dhagui (Ici) ou il affirme que le tiers monde n’est pas là ou on pense.
Nadia Ait-Said, qui travaille sur le temps, est de père Algérien et de mère Québécoise. « L’Algérie a produit des identités multiples et j’en fais partie » affirme celle qui se dit en paix avec ses origines diverses.
Mouloud Boukhira qui a aussi fait une présentation sur l’architecture de l’Islam a exposé un tableau au titre révélateur : Casbah décomposée. Il est rejoint, en écho, par le photographe Azzedine Mekbel qui a réalisé quelques photos sur la décrépitude actuelle de la Casbah.
Le peintre-céramiste Yacine Brahami, est allé chercher la beauté dans les jardins de l’école nationale des beaux arts d’Alger. Le résultat est tout « simplement » beau et apaisant.
De son côté Mhamed Saci qui a eu la chance de voir un de ses tableaux orner la couverture du catalogue de l’exposition, a présenté plusieurs tableaux figuratifs dont un sur la baie d’Alger. Il a usé aussi des symboles. Hadjira Preure rend hommage à la femme à travers deux portraits : Hadda et Dihia. Khadidja Seddiki qui vit en France a présenté des tableaux ou elle mixe peinture et tissage. La photographe québécoise Marlene-Luce Tremblay a exposé quelques photos de son dernier séjour algérien ou elle a exposé aussi en 2008. D’autres œuvres d’artistes algériens étaient présentes mais sans leurs créateurs.
M’hamed Issiakhem était aussi présent à travers une conférence de Miloud Chennoufi, docteur en sciences politiques et enseignant au Collège royal des forces canadiennes à Toronto. Une conférence qui a retenu l’attention et ému les présents tant par l’impressionnante vie de Issiakhem que par le talent de l’orateur.
La culture ne se résumant certainement pas aux seuls arts plastiques, les étudiants du Merrimack College avaient aussi droit à une très belle soirée musicale à laquelle ont assisté, entre autres, le recteur du Merrimack College et Abdallah Baali, l’ambassadeur d’Algérie aux Etats-Unis. Les organisateurs ont eu l’intelligence de programmer une soirée ou la musique andalouse, la variété algéroise, la chanson kabyle et le raï se sont succédés sur scène pour faire découvrir les différentes facettes de la musique algérienne.
La troupe des Amis de la musique andalouse de Montréal (AMAM) et bien que performant avec un effectif réduit de 8 musiciens et choristes a charmé les présents malgré l’acoustique du lieu.
Hadjira Preure, accompagnée de son fils Takfarinas a puisé dans les chants de Taos Amrouche, une découverte pas uniquement pour les Américains.
La piste de danse a été littéralement envahie par les danseurs au passage du chanteur montréalais Cheb Fayçal.
L’un des organisateurs de cet événement Brahim Zenagui, fondateur de l’Association algéro-américaine de la nouvelle Angleterre a affirmé qu’il compte organiser, l’année prochaine, un festival qui s’étalera sur deux ou trois jours. Pour l’édition en cours, il a eu l’aide de Belgacem Rahmani (chargé de cours aux HEC de Montréal), Nylda Aktouf, Bousmaha Seddiki (organisateur d'evenements artistiques).
Samir Ben
Maison de l'algerie
BAB-EL-OUED youtube
Bab El Oued (la Porte de la Rivière) est un quartier populaire d'Alger, capitale de l'Algérie. Le quartier de Bab El Oued est délimité au nord-est par le front de mer (boulevard Mira), à l'ouest par la commune de Bologhine et la colline de Bainem, au sud-ouest par la commune de Oued Koriche (Frais-Vallon) et à l'est par la Casbah. Situé en contrebas de la colline de Bouzareah.
Célèbre par sa « Place des Trois Horloges » et par son « marché Triolet », c'est aussi un quartier d'ateliers et de manufactures. Le quartier comptait 99 152 habitants en 2000[2] et est le chef lieu d'un daïra du même nom.
Algerie Quantités d'acquis et de nouveautés socio-économiques
La voie nationale qu'encourage le président Abdelaziz Bouteflika, et qui consiste à permettre à l'opinion publique d'être convenablement informée et à s'"instruire" des grands axes du développement économique, social et culturel, constitue un progrès certain dans la confiance sous un "vocable" démocratique qui façonne une meilleure pédagogie des populations et que se manifeste à leur égard, dans la prise en charge, un nouveau modèle et un genre extraordinaire de transformation de la société en parallèle avec les exigences du XXIe siècle dont plus singulièrement la capacité de faire face aux retombées négatives de la mondialisation qui s'ouvre encore sur un "tissu" égoïste et expansionniste sans bornes.
Pour l'Algérie, l'essentiel et que toutes ces conséquences sont prises en considérations et que toutes les voies du progrès sont assurées par un programme politique élaboré sous une "lumière" qui éclaire toutes les régions à travers un développement décent qui répond à ce que veut et aspire le peuple. Pour parvenir avec précaution à tous les objectifs du programme présidentiel, il n'est pas mauvais, bien au contraire, que s'exprime la société civile à l'intérêt général. Le président Abdelaziz Bouteflika a toujours souligné que le citoyen algérien est désormais adulte, on doit lui dire la vérité et l'informer sur son présent et sur son futur. Avec la connaissance de ces grands objectifs, les citoyens ont la sensation très vive et justifiée d'être réellement pris en charge par l'Etat, et que le pays évolue beaucoup plus facilement d'abord dans le sens de ce qu'ils sont capables déjà d'accepter comme changement. D'autre part, il y a un raisonnement sur des possibilités et des opportunités plus importantes qui permettent de développer de nouveaux enjeux.
Le développement national hors slogans et anathèmes y gagnera.
En effet, la période 2010/14 réserve au peuple quantités d'acquis et de nouveautés socio-économiques. Que le citoyen se rassure, en référence à cette politique, ses intérêts ne s'en trouveront pas bouleversés. Les innovations ont choisi un ensemble coordonné, où les dépenses publiques proposent une audace pour les populations. Il faut certes beaucoup d'imagination, de rigueur, de talent, pour respecter cette ligne politique sans tomber dans le conformisme.
La loi de finances 2010, puis celle à venir de 2011, encore, ont su renouveler, loin de toutes contraintes budgétaires, la préservation d'une politique de bonne gouvernance qui a déjà fait ses preuves. Telle est pour le moment l'interprétation commune qui, du reste, consolide un bien grand virage de la stratégie en question. Pour rester dans cette ligne, il faut une cohésion sociale forte.
Dans ces conditions, le mot d'ordre de la nécessité d'un rééquilibrage de tout l'édifice national prend un caractère de plus en plus pernicieux.
B. Chellali
Algerie 3,5 milliards d'euros pour la mise à niveau des entreprises
Alors que Meda 1 et 2 ont été un échec
Le président du Conseil national consultatif pour la promotion de la PME, Zaïm Bensaci, a dressé un bilan peu reluisant des programmes de mise à niveau Meda 1 et Meda 2. Pour lui, les objectifs assignés n'ont pas été atteints et il est donc " nécessaire de revoir ce qui a été fait et engager de nouvelles mesures pour éviter les erreurs du passé ". Invité, hier, de la chaîne III de la Radio nationale, le président du CNCPME s'est montré à la fois optimiste sur la teneur du nouveau programme de mise à niveau initié par le gouvernement non sans donner quelques orientations pour sa réussite. Zaïm Bensaci estime que le montant dégagé par le gouvernement pour cette opération, attendue par ailleurs par les opérateurs économiques, est " très important, de ce fait il n'est plus permis un nouvel échec ". Selon lui, la mise à niveau des PME coûtera " 3,5 milliards d'euros sur cinq ans ".
Du jamais vu et l'invité de la radio le reconnaît dans ses propos, affirmant la détermination de l'exécutif à " asseoir une politique basée sur l'encouragement de la production nationale et en finir avec les importations ". Du coup, c'est la gestion de ces fonds qui inquiète et Zaïm Benbsci en est conscient et appelle à plus de transparence. La mission sera d'ailleurs confiée au Comité national de la mise à niveau qui comprend parmi ses membres le ministre de l'Industrie. Ce comité sera " installé prochainement, au plus tard avant la fin de l'année en cours ", a-t-il précisé. Des réunions sont déjà organisées pour peaufiner la composition humaine de ce comité. Dans son intervention, le président du CNCPP a beaucoup insisté sur l'importance de cette opération qui sera une occasion pour remettre sur les rails les entreprisses algériennes. Il s'agit de les faire bénéficier des aspects délaissés jusque-là, "comme le management " a-t-il dit, ajoutant que l'objectif n'est pas " quantitatif mais qualitatif ". En d'autres termes, le nombre de PME qui en bénéficieront importe peu face au défi d'avoir des entreprises compétitives. Zaïm Bensaci citera ainsi les exemples de réussite de nos voisins et appelle même les responsables du secteur à " s'inspirer de ces modèles ". Comme priorité, il a mis en avant la nécessité de " revoir la connexion entre l'entreprise et l'université et ce, dans le but de créer des start-up car la PME reste le fer de lance de toute économie "-a-t-il déclaré. La structure de nos entreprises doit être également revue car aujourd'hui la " majorité de nos PME sont familiales et l'ouverture de leur capital est plus qu'indispensable car cela leur permettra d'acquérir du savoir-faire ", a-t-il ajouté. Il en est de même pour le volet sous-traitance qui " n'est pas assez développé chez nous ". Zaïm Bensaci estime que dan le domaine de l'énergie, par exemple, la sous-traitance peut apporter le plus qui manque à notre économie.
Abdelghani M.
l’UPM fin novembre
3 questions à
l’ambassadeur d’Espagne en Egypte, Antonio Lopez Martinez, qui vient d’achever sa mission dans le pays.
« Nous ne voulons pas que l’UPM soit l’otage du processus de paix »
Al-Ahram Hebdo : Barcelone devrait accueillir, fin novembre, le Sommet de l’Union Pour la Méditerranée (UPM). Sa tenue est-elle sûre et peut-on espérer que ce sera une occasion pour mettre réellement l’UPM sur les rails ?
Antonio Lopez Martinez : L’UPM est née du processus de Barcelone et ce processus ne marchait pas si mal que cela, au contraire, je crois qu’il avait juste besoin d’être renforcé. On a eu l’idée de créer l’UPM et on ne peut donc pas se permettre que ce soit un échec, parce qu’un échec de l’UPM signifie un échec du processus de Barcelone. Il faut donc tout faire pour lancer véritablement l’UPM et l’Egypte est très bien placée pour cela, tout comme la France et l’Espagne. On a besoin d’instances et d’institutions méditerranéennes, pour que nous puissions parler des choses et des projets qui nous unissent. En juin dernier, date initialement prévue pour le Sommet de l’UPM, on n’a pas voulu séparer les choses, c’est-à-dire l’UPM et le processus de paix, mais il faut oser le faire. Il ne faut pas laisser l’UPM se contaminer par le processus de paix.
— Mais le blocage du processus de paix et la position israélienne continuent d’entraver le démarrage réel de l’UPM et certains pays du sud de la Méditerranée menacent de ne pas se rendre à Barcelone si ce blocage continue …
— Nous œuvrons à ce que le sommet ait lieu comme prévu. Nous ne voulons pas que le scénario de juin dernier se répète. Il est nécessaire d’isoler les problèmes et d’aller de l’avant, sinon on risque de ne plus avoir ni de processus de paix, ni d’UPM.
Le président français, Nicolas Sarkozy, a lancé une initiative pour réunir, dans un mini-sommet, les dirigeants de la région, et ce avant le Sommet de Barcelone qui se tiendra les 20 et 21 novembre prochain. Il y aura aussi des réunions ministérielles entre les chefs de la diplomatie espagnol, égyptien et français en préparation à la rencontre de Barcelone. Nous ne voulons pas que l’UPM soit l’otage du processus de paix.
En ce qui me concerne et dans le cadre de mon nouveau poste de sous-secrétaire des affaires extérieures et de coopération au ministère espagnol des Affaires étrangères, j’aurai quelques responsabilités dans la préparation du sommet, notamment en ce qui concerne le protocole.
— Un des fondements de base de notre position à ce sujet est la nécessité de parvenir à une paix durable et juste dans le respect des deux parties. Il est vrai qu’il y a, en ce moment, une direction-clé de la part de l’administration américaine. Cela n’empêche toutefois pas le Quartette, ou l’Europe, d’avoir leur fonction. Personne n’a démissionné de ses fonctions même si les Etats-Unis jouent un rôle plus actif et plus musclé. L’Europe est toujours là, de même que les pays méditerranéens. Notre intérêt pour le processus de paix ne s’est jamais estompé. Le chef de la diplomatie espagnol, Miguel Angel Moratinos, a récemment effectué une mission qui l’a conduit en Israël, en Syrie et dans les territoires palestiniens. Il a aussi eu des entretiens avec le ministre égyptien des Affaires étrangères, Ahmad Aboul-Gheit, en Belgique concernant le processus de paix et dans le cadre des préparatifs du Sommet de Barcelone. C’est pour dire que nous sommes tous très près de ce qui se passe au Proche-Orient .
Propos recueillis par
Aïcha Abdel-Ghaffar
l'adhésion de la Bulgarie à l'Union européenne (UE) ... en particulier en matière de développement des PME/PMI,
Mme Akharbach s'entretient avec le ministre bulgare de l'économie, de l'énergie et du tourisme
Mme Akharbach s'entretient avec le ministre bulgare de l'économie, de l'énergie et du tourisme
Rabat - La Secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Mme Latifa Akharbach, a eu des entretiens, lundi à Rabat, avec le ministre bulgare de l'Economie, de l'énergie et du tourisme, M. Traytcho Traykov, en visite de travail au Maroc à l'occasion de la tenue de la 9ème session de la commission économique intergouvernementale Maroc-Bulgarie.
Lors de cette entrevue, la Secrétaire d'Etat a rappelé que le dialogue politique entre le Maroc et la Bulgarie a gagné en profondeur et en constance, au cours des dernières années, marquées notamment par l'adhésion de la Bulgarie à l'Union européenne (UE) en 2007 et par l'accès du Maroc, en 2008, au statut avancé dans sa relation avec l'UE.
Les deux parties ont convenu que les perspectives de construction d'un partenariat économique maroco-bulgare sont également fort prometteuses, eu égard la volonté politique conjointe et à la complémentarité des potentiels économiques des deux pays.
Mme Akharbach a appelé à une implication plus active des milieux d'affaires des deux pays dans les efforts visant à instaurer des rapports privilégiés entre le Maroc et la Bulgarie, en particulier en matière de développement des PME/PMI, de promotion des investissements et d'échange d'expériences dans le domaine de la diversification des ressources énergétiques et de développement de l'offre touristique.
En matière de coopération régionale, Mme Akharbach a regretté que le Maghreb, marché potentiel de 100 millions de consommateurs, soit encore loin d'offrir toutes les opportunités d'échanges et d'investissements avec les pays de l'UE, en raison essentiellement du blocage coupable de l'intégration maghrébine pour des considérations d'agenda politique d'un seul pays.
La Secrétaire d'Etat a souligné que cet obstructionnisme contrarie les attentes des citoyens maghrébins, les perspectives de croissance et de développement des pays du Maghreb et les ambitions économiques des pays de l'Europe vis-à-vis de la région maghrébine.
Elle a plaidé en faveur d'un plus grand intérêt et d'une action plus soutenue pour le Maghreb par l'UE, dont les intérêts stratégiques impliquent l'émergence d'un voisinage maghrébin prospère, paisible et intégré.
Cette entrevue s'est déroulée en présence de l'ambassadeur de Bulgarie à Rabat, Mme Katya Todorova, en marge de la tenue, les 27 et 28 septembre, des travaux de la 9ème session de la commission économique intergouvernementale Maroc-Bulgarie, coprésidée par M. Traykov et le ministre de l'industrie, du commerce et des nouvelles technologies, M. Ahmed Reda Chami.
Dernière modification
27/09/2010 13:54.
Maison de l'Algérie
Communiqué de Presse Maison de l'Algérie
La relation entre la France et l'Algérie est exceptionnelle de
fait, fondée sur des liens humains profonds enracinés dans
les sociétés française et algérienne.
C'est ainsi que l'Association "Maison de l'Algérie"
(www.maisondelalgerie.org) est née d'une volonté de la
société civile française et algérienne pour fonder ce
foyer afin de mobiliser les énergies et les ressources de
part et d’autre, fédérer les acteurs et impulser une
dynamique de projets et d'ambitions communs.
A cet effet, l'Association "Maison de l'Algérie" vise à
encourager, soutenir et assurer la promotion de projets
économiques, sociaux, touristiques, culturels, artistiques,
universitaires et technologiques dans un esprit de
réciprocité entre les deux sociétés civiles française et
algérienne.
Alors quelle meilleure occasion qu'un partenariat avec le
Grand Salon du Mariage Oriental quise tiendra les 13 & 14
novembre 2010 pour officialiser l'ouverture de cette Maison
de l'Algérie.
La Présidente Naima Iratni
et son équipe
Monsieur Yves Jalabert
Monsieur Patrick Le berrigaud
Monsieur Yassine Cherif Mosteghanemi
Algerie appui à la politique économique du pays
Par : Khaled R.
Dans son allocution prononcée à l’occasion de la célébration du second anniversaire de HSBC Algérie, Simon Cooper a laissé entendre que HSBC appuie l’actuelle politique économique du pays : “Nous comprenons les priorités du gouvernement algérien : développement de l’industrie locale, promotion des industries de substitution aux importations, en vue d’assurer l’équilibre de la balance commerciale et création d’emplois durables pour les Algériens. Nous comprenons les priorités de la politique économique du pays en termes de limitation de l’actionnariat étranger dans les entreprises algériennes (allusion à l’obligation pour la partie algérienne de détenir 51% du capital des entreprises locales). Par ailleurs, le patron de HSBC Middle East a souligné que l’Algérie a ce grand avantage de développer son économie et, partant, de construire son avenir avec une position favorable : une très solide situation macroéconomique et les avantages de sa large main-d’œuvre qualifiée, et ses réserves de pétrole et une position géographique aux portes de l’Europe. Enfin, il a souligné que HSBC veut accroître son rôle d’acteur bancaire sur le marché algérien en finançant la croissance et l’expansion des opérations des entreprises algériennes en vue d’un développement économique soutenu du pays.” à noter que HSBC Algérie, doté d’un capital de 11,3 milliards, emploie 12O salariés, essentiellement des cadres algériens.
Algerie loi de finances 2011
De nouvelles dispositions concernant le droit de préemption dans la loi de finances 2011
Un groupe de travail composé d’experts du ministère des finances ont entamés l’élaboration projet de la loi de finance 2011, qui aura pour objectif entre autre de renforcer le recours au droit de préemption par le gouvernement concernant les prises de privation et l’acquisition de sociétés étrangères activant en Algérie, les lois régissant l’activité des sociétés étrangères et de revoir les mesures qui ont un impact négatifs sur les activités des sociétés nationales.
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