阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, July 15, 2008

New York éoliene environnement plbd








de new York renforce sa capacité éolienne
(src : GE )
General Electric (GE) consacrera 100 millions de dollars au développemnt de 3 parcs éoliens dans l'Etat de New York.
Leur construction a débuté le mois dernier, nous apprend le groupe dans un communiqué.
Il s'agit des parcs suivants :
The Noble Chateaugay Windpark (106.5 Megawatts), Franklin County
The Noble Altona Windpark (97.5 megawatts), Clinton County
The Noble Wethersfield Windpark (126 megawatts), Wyoming County
Les turbines disposent d'une capacité unitaire de 1,5MW, pour une puissance totale de 330 MW. Ce qui selon GE représente l'alimentation de 110 000 foyers.
Lors de leur mise en service, elles devraient permettre d'augmenter la capacité éolienne installée de l'Etat de New York de 47 %.
Au total, GE est investi dans 76 parcs éoliens dans le monde, pour une capacité totale de 4 000 MW. Ce projet fait partie de son plan d'investissement de 6 milliards de dollars consacré d'ici 2010 aux énergies renouvelables.
L'Etat de New York s'est pour sa part fixé un objectif de 25% de son électricité consommée provenant d'énergie renouvelable d'ici 2013.

Algerie Energie plbd



Algérie: le monde a besoin d'une révolution énergétique globale
ALGER - Le monde a besoin d'une révolution énergétique globale afin de changer le mode consommation et de production de l'énergie, a estimé mardi à Alger le directeur exécutif de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) Nobuo Tanaka.
"Nous avons besoin d'une révolution énergétique globale pour changer la façon de produire et d'utiliser l'énergie", a indiqué M. Tanaka lors d'une conférence sur les perspectives de l'AIE concernant le marché pétrolier mondial à l'horizon 2013, au ministère de l'Energie.
M. Tanaka a préconisé plus d'investissements dans le domaine de l'énergie, plus d'efficacité énergétique de la part des pays consommateurs, plus de diversifications des ressources énergétiques et plus de transparence dans les marchés pétroliers.
M. Tanaka est en visite de travail de deux jours depuis depuis lundi en Algérie

Google 82% des demandes plbd consultant



Les internautes français plébiscitent encore et toujours Google On ne dit plus "faire une recherche" mais "aller sur Google"



Où les internautes français recherchent-ils ? Et combien de fois en moyenne font-ils des recherches quotidiennement et mensuellement ? L'institut comScore tente de répondre à ces questions, en nous révélant qu'au mois de mai 2008, 26 millions de Français ont effectué 2,9 milliards de recherches, soit 113 recherches par mois, ou 3,6 recherches par jour en moyenne.Concernant les sites de "recherche", comScore n'a pas ciblé son enquête sur les sites spécialisés (Google, Live, Yahoo, etc.) mais sur tous les grands portails où les internautes sont susceptibles d'opérer diverses recherches, ce qui explique la présence de Pages Jaunes (2,7 % de PDM), notamment.

On retrouve donc les habituels Google (82 % de parts de marché), Microsoft (2,4 %), Yahoo (2,1 %) et AOL (1 %). La présence d'Orange (1,4 %) n'est pas non plus étonnante, comme celles de Skyrock (1,5 %) et d'eBay (2,2 %).Le Groupe Spir Communication, qui pour rappel compte des sites particulièrement visités comme 20minutes.fr, leboncoin.fr, topannonces.fr, mobiljob.com, etc. se situe quant à lui à la sixième place, avec 1,6 % de PDM.Facebook, grâce à sa version française, ne cesse de se développer, avec 0,8 % de PDM, contre 0,6 % un mois plus tôt, et cela devrait s'accentuer dans les mois à venir.Ces données excluent les surfs via cybercafé et par appareil mobile (téléphone, PDA, etc.) et concernent donc principalement les internautes au travail ou à domicile, précise comScore.

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Fondation Shuman union med plbd






MéditerranéeLancé par le président français Nicolas Sarkozy, le projet d'Union pour la Méditerranée, qui a pour volonté de renforcer et d'approfondir la coopération entre les deux rives de la mer Méditerranée, a été inauguré le 13 juillet, à l'occasion du Sommet qui a réuni, à Paris, 43 États, les institutions communautaires et les organisations régionales. Partant du constat que les écarts de développement se creusent entre les deux rives, aggravant ainsi les risques d'instabilité dans l'ensemble de la région, le Président français et l'ensemble des participants européens et méditerranéens ont initié une nouvelle dynamique en faveur du partenariat en Méditerranée. S'appuyant sur les acquis du Processus de Barcelone, 3 principes fondent le projet d'Union pour la Méditerranée : une mobilisation politique des chefs d'État et de gouvernement tous les 2 ans ; une gouvernance égalitaire incarnée par une co-présidence nord-sud et un secrétariat permanent paritaire ; une priorité donnée aux projets concrets de dimension régionale

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Union pour la MéditerranéeLes opérateurs veulent du concret

· Aller bien au-delà de la plateforme politique · Mettre en place un agenda de travailL’Union pour la Méditerranée (UPM) suscite beaucoup d’attentes surtout dans les pays de la rive Sud. Mais pour nombre d’opérateurs économiques, le secteur privé doit y jouer un rôle moteur. Car, «l’investissement est un important vecteur d’intégration régionale, laquelle représente un facteur de prospérité et de paix dans la zone Euromed», aime à répéter le président de la CGEM, Moulay Hafid Elalamy. En tout cas, les acteurs économiques s’accordent à dire que de nouveaux instruments de soutien du secteur privé des pays de la rive Sud sur la base d’un partenariat plus solidaire, avec les PME de l’Union européenne, sont une nécessité absolue pour créer plus de prospérité et plus d’emplois dans l’espace Euromed. A ce titre, la création annoncée dès 2009 d’une agence privée-publique pour soutenir le développement des PME, sous l’égide de la Banque européenne d’investissement (BEI), devrait être une des premières réalisations concrètes répondant aux attentes des opérateurs, en plus des instruments d’accompagnement annoncés ici et là (cf. www.leconomiste.com).Il n’empêche que d’une rive à l’autre, les attentes des opérateurs sont les mêmes. Contactée par L’Economiste, la présidente du Medef (Mouvement des entreprises de France), Laurence Parisot, rappelle que «les patronats des pays riverains de la Méditerranée n’ont de cesse, depuis un bon moment déjà, d’appeler à la mise en œuvre d’une stratégie économique forte et cohérente dont l’objectif est la liberté des échanges, la prospérité des peuples et la durabilité du patrimoine méditerranéen». D’ailleurs, “l’Appel de Marseille”, à l’occasion de rencontres du Med Business Days des 3 et 4 juillet, procède de cette démarche. Les patronats des deux rives de la Méditerranée avaient demandé aux chefs d’Etat de la région de fixer un agenda de travail. Car, au-delà de la portée politique de l’Union, les opérateurs eux veulent du concret. Seul gage à leurs yeux pour accroître les échanges entre l’Union européenne et les pays de la Méditerranée, ou encore multiplier par 3 les IDE d’ici 2020, comme le prévoient les conjoncturistes.

MarocInfoCom Euromed plbd


la Commission union pour la Méditerranée pollution plbd



La Commission veut mettre sur pied un projet de dépollution de la mer Méditerranée pour éliminer 80% des sources de pollution de la Méditerranée d’ici 2020. Autre objectif, la construction d’autoroutes de la mer entre les deux rives ainsi qu’entre les pays du Maghreb pour favoriser le commerce notamment. Bruxelles soutient aussi le renforcement de la coopération euro-méditerranéenne en matière de protection civile, d’autant plus importante que le bassin méditerranéen est exposé à un risque grandissant de catastrophes naturelles lié au réchauffement climatique. Enfin, la Commission aimerait développer rapidement un plan solaire méditerranéen pour exploiter les atouts du secteur en termes d’énergie renouvelables.

Chine Afrique Commerce plbd




Le commerce et les investissements chinois en Afrique bénéficient à tous

2008-07-15 09:13:36

LONDRES, 14 juillet (Xinhua) -- Le commerce et les investissements chinois en Afrique bénéficient non seulement aux Africains, mais également aux Européens et aux Etats-Unis, a annoncé un chercheur britannique.
Bill Durodie du Royal Institute of International Affairs, s'est exprimé à ce propos samedi dans son discours lors de la conférence intitulée « Bataille pour la Chine », qui vise à présenter un portrait équilibré de la Chine en Occident.
La Chine apporte des financements à l'Afrique sous forme d' investissements directs ou de prêts, ce dont ne sont pas vraiment prêts les pays occidentaux.
Les pays africains qui affichent une croissance de 5 à 6 % par an depuis une décennie ont besoin de nouvelles routes, de centrales électriques et de produits manufacturés. Les investissements chinois permettent à ces pays africains de construire des routes, des chemins de fer, des hôpitaux et des écoles, a-t-il indiqué.
Contrairement à d'autres dans la région, a-t-il fait remarquer, les Chinois ont la réputation de payer rapidement et bien. Les Chinois, « avec leurs politiques d'investissement sans attachement, ont été tellement bien accueillis sur le continent. Les prêts chinois sont accordés avec peu de demandes, de conditions de référence, de conditions requises pour prévenir des risques et des impacts sur l'environnement. Mais ils font en sorte que les choses soient faites. »
Tout en reconnaissant les problèmes rencontrés dans la course du commerce et des investissements chinois en Afrique comme peuvent avoir d'autres pays, il a souligné que les critiques formulées par les pays occidentaux à l'encontre du nouveau rôle et de l'impact de la Chine sur l'Afrique est un signe de l'incapacité de ces pays à considérer que l'Afrique est capable de résoudre ses propres problèmes et l'obsession de l'Occident à considérer la Chine comme nuisible

Algerie Allemagne 15 juillet








La Chancelière Angela Merkel demain à Alger15/07/2008 - Lu 37 fois
Trois jours après le lancement officiel à Paris de l’Union pour la méditerranée (UPM), la chancelière allemande Angela Merkel a choisi de traverser cette mer pour se rendre en Algérie.
Elle y séjournera deux jours comme pour signifier que les rapports bilatéraux sont plus concrets que les grands projets d’union à projection lointaine. Berlin avait pesé de tout son poids au sein de l’Union européenne (UE) pour modifier le projet français de l’Union pour la méditerranée, devenu depuis UPM. L’Allemagne, qui tente de porter un regard moins indifférent vers le Sud, entend donner un exemple à travers le renforcement de la relation avec l’Algérie, considéré comme « un pouvoir régional en Afrique et dans le monde arabe

Plus de Paix consultant



Une Union pour la Méditerranée censée « mener vers plus de paix »

L'Union pour la Méditerranée (UPM) a été officiellement lancée dimanche, à Paris, lors d'un sommet réunissant plus de quarante pays, a annoncé le président français Nicolas Sarkozy à la fin des travaux qui ont lancé les premières pistes. Quelques avancées restent néanmoins nécessaires.
« Nous en avions rêvé, l'Union pour la Méditerranée est maintenant une réalité », s'est enthousiasmé le président de la République, dimanche soir. Une réalité, malgré « un dernier moment de blocage entre les Israéliens et Palestiniens qui a fait que le texte doit être encore un peu corrigé », a expliqué Bernard Kouchner, le ministre français des Affaires étrangères.
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Plus de quarante dirigeants d'Europe et de la rive sud du bassin méditerranéen ont participé au premier sommet de l'UPM, dont ceux d'Israël et de la Syrie notamment (voir aussi la Question d'actu page 35) . Ce sommet constitutif a officiellement lancé six projets autour de la dépollution de la Méditerranée, les autoroutes de la mer, la protection civile, l'énergie solaire, la création d'une université euro-méditerranéenne et le développement des entreprises. « Nous sommes certains que de nouvelles
pages dans cette coopération s'ouvriront qui pourront nous mener vers plus de paix », a commenté le coprésident de l'Union pour la Méditerranée, le chef d'État égyptien Hosni Moubarak.« On sait parfaitement ( ) qu'il y a encore beaucoup de travail, qu'il faut maintenant se mettre d'accord sur la localisation du secrétariat général – Le Maroc, la Tunisie, l'Espagne et Malte sont candidats – , la nationalité du titulaire, le lieu du prochain sommet, les financements des projets », a concédé Nicolas Sarkozy.
La déléguée générale de la Palestine auprès de l'Union européenne, Leïla Chahid, a néanmoins mis en garde contre le risque de « mettre la charrue avant les boeufs » en lançant l'UPM sans qu'un État palestinien soit créé. D'autres craignent que l'UPM ait le même avenir que la déclaration de Barcelone (1995), qui jetait les bases d'un partenariat global euro-méditerranéen et jamais suivie d'effets.