阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, July 29, 2008

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Mediterranée environnement



La saison des méduses : la surpêche sur la sellette


Publié le mardi 29 juillet 2008 à 10:50
La hausse de la température de l’eau du fait du réchauffement climatique, la raréfaction des tortures de mer et les rejets dans le grand bleu ont entraîné une prolifération des méduses en Méditerranée. Le problème vient d’agiter les milieux scientifiques en France. Et l’inquiétude a prévalu faute de moyens de lutte à même de stopper cette brusque invasion animalière.Nos côtes tunisiennes n’en sont pas aussi exemptes. Généralement, c’est à partir de la mi-août que ces créatures gélatineuses et transparentes font leur apparition. Les Aoûtiens en savent quelque chose. Reste qu’avec le déferlement constaté au début de cet été en Méditerranée, et avec l’aggravation des phénomènes qui en favorisent le pullulement, il est fort à craindre que la saison des méduses ne soit d’ores et déjà avancée.Et comme dans tout phénomène qui nuit à l’homme, c’est celui-ci qui en est l’origine. Qui d’autre que l’être humain a provoqué le réchauffement climatique, a mené à l’extinction des prédateurs des méduses et a accentué la pollution du milieu marin. Autant dire que la Méditerranée est la mer la plus souillée et que 80 % des eaux usées qui y sont déversées ne sont pas traitées.Tout cela a mis l’écosystème marin sens dessus dessous. Selon les scientifiques, la température de l'eau en hiver en Méditerranée est passée de 13 °C à 14 °C. Ce réchauffement, joint à la disparition du thon et de la tortue de mer, principaux prédateurs des méduses et à la pollution grandissante du fait des rejets ménagers et industriels en milieu marin, nous laisse médusés devant autant de méduses.Sachant que ce phénomène qui peut paraître sans intérêt prend la communauté scientifique de court, ne serait-ce par le manque du nombre de spécialistes, connaissant bien cet animal et qui sont capables d’en démystifier l’irruption massive. Le commun des mortels craint les méduses pour leur piqûre lancinante qui provoque souvent de sévères réactions cutanées, très douloureuses mais généralement sans conséquences.Mais au-delà de leur côté désagréable et redoutable, les méduses peuvent être, selon certains scientifiques, profitables à l’homme, s’il daigne les manger. C’est qu’ils ont un apport important en minéraux et oligo-éléments. Faute de mieux, l’une des solutions qui peut en freiner la prolifération, c’est donc d’en faire une nourriture. Une idée un peu excentrique sur les bords et qui montre l’impuissance des hommes devant des phénomènes naturels peu communs que l’on a pas su prévenir à temps.
Gnet

Mer noir




Mer Noire : la grande oubliée de l’Union pour la MéditerranéeEurasie :: Lundi, 28 juillet 2008 . 17:28 t.u. :: Catherine Durandin

D’une mer à l’autre, bleue ou noire, toutes les deux porteuses de mémoires antiques gréco-romaine et ottomane, la Méditerranée va-t-elle supplanter la Mer Noire ? En cet espace, Russes, Turcs, Etats-Unis et dans une moindre mesure, UE, sont pourtant très présents…
Le président roumain Basescu était présent à la tribune d’honneur pour le défilé du 14 juillet sur les Champs Elysées. Très convaincu par le lancement du projet Union pour la Méditerranée, il a souligné, dès son retour à Bucarest, l’urgence pour les investisseurs roumains d’aller vers l’Afrique du Nord et, au-delà, vers l’Afrique. Etrange pour un président élu en 2004 sous les regards bienveillants de Washington qui s’est fait depuis le porte parole d’une Grande Stratégie Mer Noire…
Le grand projet Mer Noire selon Washington
Le projet d’une stratégie Mer Noire, en sa version occidentale militante, revient aux lobbys et think-tanks américains néoconservateurs dès 2003-2004. L’idée est de transformer les pays riverains, l’Ukraine puissance de plus de 50 millions d’habitants, en particulier, en vaste espace démocratique, sécurisé, stabilisé : une sorte de voisinage démocratique alors face à la Russie de Poutine, ambitieuse en sa volonté de restauration de puissance. Les acteurs “du soft power” américain, ONG, réseaux d’influence etc… ont été très actifs à Kiev, lors des élections de 2004 qui ont ouvert une voie incertaine à une sorte de “révolution” pro occidentale, dite “révolution orange”. Au- delà des enjeux politiques et idéologiques, se joue une forte concurrence énergétique : Moscou tient à conserver la mainmise sur Kiev, pays consommateur et de transit du gaz naturel russe vers les Balkans et l’Europe Centrale.
Les visées stratégiques sont lourdement présentes en Mer Noire : les Russes conservent la base maritime de Sébastopol qu’ils louent à l’Ukraine et entendent conserver. Les Turcs, membres de l’OTAN depuis 1952, souhaitent garder un droit de regard de puissance riveraine sur les Détroits de la mer Noire à la Méditerranée Orientale. En cette option, ils rejoignent Moscou qui s’oppose à une “otanisation” de la Mer Noire.
La Grande Stratégie Mer Noire de Washington a été très bien reçue à BucarestLa “Grande Stratégie Mer Noire” de Washington a été très bien reçue à Bucarest. Le président Basescu s’est fait le porte parole des visions américaines : colloques, Forum Mer Noire à Bucarest en juin 2005 (boudé par les Russes), entretien du chef de l’état roumain à Washington en juillet 2006 avec George W. Bush et les représentants des think tank tel que la “Jamestown Foundation” : la Mer Noire, à travers ces rencontres, est devenu une sorte de trou noir, insécurité, trafics de drogue… Et le rêve pour l‘avenir faisait de cet espace un lac de Genève bordé de démocraties libérales de Kiev à Tbilissi.
Des paroles aux actes
Cette mobilisation néo conservatrice a accompagné plusieurs étapes d’américanisation de la Mer noire : fin 2005, des accords bilatéraux ont été signés à Bucarest et à Sofia pour l’installation de bases militaires américaines en Roumanie et en Bulgarie. Ce projet s’intègre dans le redéploiement vers l’Est des forces américaines installées en Allemagne. Dès juillet 2007, la première base US proche du port roumain de Constantza fut opérationnelle. Trois autres sites doivent être aménagés. Ces bases ne transforment pas le paysage socio économique local : les militaires américains peu nombreux sont présents, sans leurs familles, sur de courts termes de service.
L’installation des bases US en Bulgarie se réalise dans un climat de relations renforcées et chaleureuses entre Sofia et Washington. Lors du sommet de l’OTAN d’avril 2008 qui s’est tenu à Bucarest, Washington suivi par la Roumanie a soutenu la future intégration de l’Ukraine dans l’OTAN, ce qui heurte Moscou.
Moscou veille
la Russie suit une ligne cohérente de puissance restaurée en Mer Noire
Les visions françaises détournent de l’intérêt à porter à la Mer Noire. Or, Bulgarie et Roumanie, avec leurs bases de projection militaire US, sont membres et de l’OTAN depuis 2004, et de l’UE depuis 2007. L’évolution de la Turquie, son avenir dans ou hors de l’UE, sa place et son rôle dans l’Union pour la Méditerranée, restent à définir. Incertitudes alors qu’Ankara conduit un dialogue régulier avec Moscou et avec l’Iran…
Pour tenter de faire bonne figure en ce contexte nouveau, Union pour la Méditerranée et présidence française de l’UE, Bucarest s’applique à inventer des ponts entre Mer Noire et Méditerranée. Cet effort traduit un malaise dont les fondements sont simples. D’un côté, les pays riverains de la Mer Noire tout comme l’UE ignorent ce que sera, avec une nouvelle présidence à Washington, le sort de la Grande Stratégie Mer Noire des Etats-Unis.
De l’autre, la Russie suit une ligne cohérente de puissance restaurée et condamne les avancées des Etats-Unis tant en Mer Noire que dans l’espace Centre européen (installation du système de Défense Anti Missile en république tchèque). En dernier ressort, la stratégie de l’UE reste vague, formulée autour du thème d’un plus d’engagement vers l’Est, d’un effort pour la Politique Européenne de Voisinage (PEV). Mais où sont les faits ?
Il sera intéressant de suivre, discours directs ou voix “off”, les réactions russes au grand projet méditerranéen français. Anecdote, vision ou esquives : que pense Moscou, accrochée à la Mer Noire, de la Méditerranée à la française ?
Source : Contre-feux

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Chine : nouvelle réglementation pour encadrer les entrepreneurs chinois à l'étranger

2008-07-29 14:16:29

BEIJING, 29 juillet (Xinhua) -- Les entreprises chinoises, qui entreprennent des contrats à l'étranger sans autorisation officielle, se verront infliger une amende maximale d'un million de yuans RMB (146 000 dollars), conformément à une nouvelle réglementation promulguée lundi par le gouvernement chinois.
Cette décision du Conseil d'Etat, signée par le Premier ministre chinois Wen Jiabao, prévoit des amendes de 500 000 à un million de yuans (RMB) à l'encontre des entreprises chinoises non reconnues comme "entrepreneur international".
"Les entrepreneurs chinois doivent sauvegarder les intérêts nationaux et protéger les droits légitimes de leurs employés envoyés à l'étranger. Ils doivent aussi respecter les lois des pays ou régions d'accueil", souligne le texte, qui prendra effet à partir du 1er septembre 2008.
Il accentue l'importance de respecter les coutumes locales, de protéger l'environnement régional et d'aider au développement des économies locales.
Selon la réglementation, les entreprises d'Etat sous administration du gouvernement central doivent faire acte de candidature auprès des institutions nationales chargées du commerce. Les autres sociétés doivent s'adresser aux administrations locales.
Les autorités commerciales chinoises doivent mettre en place un système d'évaluation des risques pour suivre de près les opérations des entrepreurs chinois à l'étranger, et les mettre en garde contre tous dangers et tous risques dans les pays ou régions où ils opèrent.
Les entrepreneurs doivent signer des contrats avec leurs employés envoyés à l'étranger, et leur fournir des conditions de travail et des salaires raisonnables, ainsi qu'une assurance contre les accidents.
Cette nouvellle réglementation interdit aussi aux sociétés de s'assurer d'un contrat international au moyen de corruption ou d'une autre pratique illégale.

Chine info actualitées étudiant




La Chine augmente le quota pour les étudiants étrangers financés par le gouvernement

2008-07-28 20:45:34

GUIYANG, 28 juillet (Xinhua) -- La Chine compte offrir des bourses d'études à 20 000 étudiants étrangers en 2010, soit le double par rapport à 2007, a annoncé lundi un officiel du Conseil des bourses d'études de Chine.
Le secrétaire général du conseil Liu Jinghui a fait cette remarque en marge de la semaine d'échanges éducatifs Chine-ASEAN. Il a ajouté que les bourses d'études accordées par le gouvernement chinois aux étudiants étrangers couvriraient aussi bien les frais scolaires que les frais de subsistance.
Liu a aussi prévu que la Chine accueillerait 500 000 étudiants étrangers d'ici 2020, y compris ceux venant étudier à leurs propres frais.
"La Chine prête une attention particulière à l'éducation et les étudiants étrangers sont très importants", a souligné Liu, qui a expliqué que ces étudiants aideraient les universités chinoises à devenir de plus en plus internationales.
Il a aussi révélé que la Chine augmenterait cette année les allocations pour les étudiants étrangers d'environ 50%, soit 1 400 yuans par mois contre 800 yuans l'année dernière.
La Chine offre cette année 1 700 et 2 000 yuans par mois pour chaque aspirant à la maîtrise et au doctorat.
L'année dernière, la Chine a reçu plus de 190 000 étudiants étrangers, soit presque cinq fois de plus que le total de 1997. Ces étudiants sont venus de 188 pays et régions, et 5,2% d'entre eux ont obtenu des bourses d'études accordées par le gouvernement chinois.

referencement wikipedia

For citing references in Wikipedia, see Wikipedia:Citing sources.
In general, a reference is a relation between objects in which one object designates by linking to another object. Such relations as these may occur in a variety of domains, including logic, computer science, art and scholarship. Although the objects which the term reference applies may be of a varying character ranging from concrete examples such as reference work which includes pointers or symbols. The nature of reference as a role in language and thought has been around since the 19th Century. During this time, applying itself as an important topic of discussion. An object which is referred to as a reference (where the reference leads) is called a referent.
The term reference is used with different specialized meanings in a variety of fields, as follows:
Contents[hide]
1 Semantics
1.1 Meaning
1.2 Absent referent
1.3 Linguistic sign
2 Art
3 Academic writing
4 Computer science
5 Geometry
6 Libraries
7 Scholarship
8 Work references
9 Canadian law
10 See also
11 External links
12 References
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[edit] Semantics
In semantics, reference is generally construed as the relation between nouns or pronouns and objects that are named by them. Hence the word John refers to John. The word it refers to some previously specified object. The object referred to is called the referent of the word.[1] Sometimes the word-object relation is called denotation; the word denotes the object. The converse relation, the relation from object to word, is called exemplification; the object exemplifies what the word denotes. In syntactic analysis, if a word refers to a previous word, the previous word is called the antecedent.

[edit] Meaning
Frege argued that reference cannot be treated as identical with meaning: "Hesperus" (an ancient Greek name for the evening star) and "Phosphorus" (an ancient Greek name for the morning star) both refer to Venus, but the astronomical fact that '"Hesperus" is "Phosphorus"' can still be informative, even if the 'meanings' of both "Hesperus" and "Phosphorus" are already known. This problem led Frege to distinguish between the sense and reference of a word.

[edit] Absent referent
Main article: Absent referent
Words can often be meaningful without having a referent. Fictional and mythological names such as "Bo-Peep" and "Hercules" illustrate this possibility.
For those who argue that one cannot directly experience the divine (e.g. God), the sign "God" can serve as an example of a reference with an absent referent. Additionally, certain sects of Judaism and other religions consider it sinful to write, discard, or deface the name of the divine. To avoid this problem, the signifier G-d is sometimes used, though this could be seen as a sign which refers to another sign with an absent referent.
In mathematics, the absent referent can be seen with the symbol for zero, "0" or the empty set, "{ }".

[edit] Linguistic sign
Main article: Sign (linguistics)
The semantic sign can be considered a subset of a more general concept, the linguistic sign, first elucidated by Ferdinand de Saussure‎. A sign contains two parts, the signified (a thought which represents an object), and the signifier (the sound or written word). Both have a referent (the actual physical object). The sign is a building block for texts that supplies sound and meaning. The smallest building block is called a morpheme and may be lexical (or referential, carry lexical/encyclopedic meaning, i.e. refer to real-life entities). This kind of extra-linguistic reference is called deixis after a Greek word meaning "to point". In contrast, grammatical morphemes express reference to more abstract categories such as time (tense) or location (locative). Certain parts of speech exist only in order to express reference, viz. anaphora, i.e. typically pronouns. The subset of reflexives reflexive express co-reference of agent (actor) and patient (acted-upon), as in "The man washed himself".

Thermique environnement Pékin Chine





Cogénération solaire et thermique au village olympique
(src : SolarWall)
La semaine dernière, nous évoquions la volonté des autorités chinoises d'utiliser l'énergie du vent à Pékin, par l'installation de 33 éoliennes dans la Capitale. En matière d'énergie solaire cette fois, c'est au tour du village olympique de se distinguer.
En effet, le village a adopté l'un des premiers systèmes de cogénération qui capte à la fois, la chaleur de l'air et le solaire photovoltaïque dans le but d'optimiser le rendement final et donc le retour sur investissement.
SolarWall est un capteur solaire développé par la société canadienne "Conserval Engineering" (voir notre article écrit à ce sujet), qui transforme le rayonnement infrarouge du soleil en énergie thermique. L’air comme médium ne gèle pas et est très efficace pour le chauffage et la ventilation. Pour faire simple, la chaleur accumulée à l'arrière des modules PV est canalisée et acheminée dans le circuit de chauffage traditionnel.
Monté sur le toit d'un des bâtiments centraux des Jeux Olympiques, - le centre de coordination des athlètes en l'occurence - SolarWall produit à la fois de l'électricité et de l'énergie thermique pour une surface identique, générant au passage 200 à 300 % plus d'énergie qu'un système PV conventionnel."Solarwall demeure un bon exemple concret où le rapport coût-efficacité en fait l'une des technologies propres prometteuses", a déclaré Gary Lunn, le ministre des Ressources naturelles du Canada. "Les Jeux Olympiques de Pékin offre une formidable occasion de mettre en évidence cette technologie aux yeux du monde entier".