阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

retrouver ce média sur www.ina.fr

commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, February 25, 2010

BEI développement pour la Méditerranée




Vers la création d'une banque de développement pour la Méditerranée



Le vice-président de la Banque européenne d'investissement (BEI), Philippe de Fontaine Vive, a annoncé à Bruxelles que cette institution financière prépare actuellement un rapport préliminaire sur la création d'une "Banque de développement pour la Méditerranée". Soulignant que ce projet devrait faciliter le partenariat et l'investissement dans la région, il a indiqué que sur demande de la présidence de l'Union pour la Méditerranée (Upm), un comité spécialisé devrait examiner cette question au sein de la BEI le 8 mars. Il a exprimé sa conviction que la création de cette banque exigera la mise à disposition de nouvelles ressources financières et de moyens de contributions provenant de fonds tant publics que privés, soulignant les difficultés qui peuvent être rencontrées pour réunir de nouvelles ressources en raison de la crise économique mondiale. M. de Fontaine Vive, qui est également directeur de la FEMIP (Facilité euro-méditerranéenne d'investissement et du partenariat) de la BEI, a, néanmoins, souligné que le volume d'activité entre neuf pays partenaires dans le Processus de Barcelone a dépassé les 6,1 milliard d'euros en 2009, précisant que 80% des projets financés s'inscrivent dans les priorités de l'Upm. Parmi les projets financés figurent ceux liés à la prévention de la pollution dans la mer méditerranée, à l'énergie solaire, à la création de routes et au développement des PME. Notons que de son côté la Tunisie a récemment recommandé la conversion de la Facilité euro-méditerranéenne d'investissement et de partenariat (FEMIP) en une banque euro-méditerranéenne de développement. Ce projet présenté le 22 janvier de la même année, a été adopté à l'unanimité par l'assemblée générale du conseil parlementaire euro-méditerranéen. Il s'agit d'une nouvelle institution conçue pour renforcer les institutions déjà présentes, notamment la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), la Banque européenne d'investissement (BEI), à travers la Facilité euro-méditerranéenne d'investissement et de partenariat (FEMIP) et la Banque de développement du conseil de l'Europe (CEB).Toujours dans le même contexte, Le groupe technique euroméditerranéen constitué de la Jordanie (Rive sud de la Méditerranée), l'Italie et le parlement européen (Rive nord), et ayant pour mission d'identifier les étapes techniques et de coordonner les efforts des deux parties pour la création de cette institution, a tenu vendredi, une réunion à la chambre des députés, à Tunis portant sur le même sujet. S'agissant du rôle de cette banque dans la promotion de l'investissement et du partenariat entre les deux rives de la méditerranée, les participants ont indiqué qu'elle aura à faciliter les procédures de financement des projets de développement des PME dans les pays sud-méditerranéens. De ce fait, Un plan d'actions a été établi à cette occasion et sera soumis à la commission économique et à l'assemblée générale du conseil parlementaire euro-méditerranéen qui se tiendront en mars 2010 en Jordanie.Isma B.

l’Union pour la Méditerranée



L’UPM REVOIT SON APPROCHEL’économie pour esquiver la
Selon un responsable chargé du dossier, la principale difficulté est l’absence de coopération entre les pays.
Le projet de l’Union pour la Méditerranée (UPM) fait ses premiers pas. «Le secrétariat général sera installé en mars, au plus tard en avril prochain», a déclaré un responsable proche du dossier. Ce dernier avoue que le projet a connu un gel avec l’agression israélienne dans la bande de Ghaza. «Les statuts sont en cours de finalisation pour l’institutionnalisation de l’UPM», a-t-il affirmé en précisant que cette institution ne s’occupera pas des problèmes politiques. Afin d’éviter un effritement des pays membres, l’UPM esquive les dossiers qui fâchent tels que la question de la Palestine, du Sahara occidental et de Chypre. Mais cette approche ne facilitera pas vraiment la tâche. «La principale difficulté, ce sont les différentes politiques», reconnaît ce responsable en précisant que certains pays ne sont pas habitués à travailler ensemble.Conscient de la difficulté de cette mission, le responsable admet que c’est un pari à prendre. Revenant sur la composition du secrétariat, notre interlocuteur a regretté l’absence des pays du Maghreb. «On aurait souhaité que le siège soit installé au Maghreb et que le secrétaire soit issu d’un pays du Maghreb, mais il sera le grand absent», confiera-t-il. La raison? Toujours selon ce responsable, les pays du Maghreb n’ont pas présenté de candidat. Contrairement à ces pays, la Palestine est beaucoup impliquée dans les négociations et elle a un secrétariat adjoint. «C’est une aventure, une innovation», se réjouit notre interlocuteur pour démontrer que malgré les problèmes politiques, les choses avancent sur le terrain.Ce responsable souhaite que les pays du Maghreb se manifestent lors du renouvellement desmembres, qui interviendra dans trois ans. Il considère que l’Algérie est un partenaire majeur dans ce projet. «Il faut qu’elle soit très présente au niveau du secrétariat», insiste-t-il tout en invitant indirectement l’Algérie à s’impliquer. A noter que le secrétariat est composé de six pays, à savoir l’Italie, la Grèce, la Palestine, Israël et la Turquie. Le prochain sommet de l’UPM se tiendra, selon lui, le 7 juin prochain à Barcelone qui regroupera les chefs d’Etat de 43 pays. Soutenant à fond le projet du président français, Nicolas Sarkozy, ce responsable a mis l’accent sur l’importance de ce projet. «L’Europe n’est rien sans le Sud. Elle ne peut envisager son avenir sans revoir ses relations avec les pays du Sud», a-t-il expliqué. D’ailleurs, il a fait savoir que l’Allemagne suit avec un grand intérêt ce projet. «L’Allemagne est l’un des pays européens les plus impliqués dans ce projet», a-t-il fait remarquer. Interrogé sur l’arrière-pensée de ce projet avec l’introduction d’Israël, notre interlocuteur réfute la thèse de la normalisation des relations. Or, cet argument est loin de tenir la route. En élargissant les contours de l’UPM jusqu’au Proche-Orient, le but est d’imposer Israël. Revenant sur les projets en perspective prévus par l’UPM, notre interlocuteur assure qu’ils sont nombreux. Il s’agit de six grands projets relatifs à l’eau, la dépollution, l’énergie, le développement économique, l’enseignement et le transport. L’UPM dispose-t-elle des moyens financiers? Notre interlocuteur ne nie pas que la disponibilité des ressources pose problème. Selon lui, il est beaucoup attendu des partenaires privés. Faisant référence à la crise financière mondiale, il estime qu’elle aura sans doute des conséquences sur les projets de l’UPM. «Nous ne sommes pas inquiets pour le financement», a-t-il enfin, assuré.
Nadia BENAKLI

Algérie audiovisuel COPEAM



Audiovisuel : L’Algérie est un partenaire essentiel de la COPEAM Le président de la Conférence permanente de l'audiovisuel méditerranéen (COPEAM), M. Emmanuel Hoog, a qualifié jeudi dernier l'Algérie de "partenaire essentiel" de son organisation. "L'Algérie est un partenaire essentiel de la COPEAM. Je suis un président représentant un pays du nord de la Méditerranée. J'ai succédé à l'Algérien Hamraoui Habib Chawki qui a présidé notre organisation durant six années", a indiqué à l'APS, M. Hoog, en marge de la conférence de presse, tenue à Paris, pour présenter le programme de la 17e réunion annuelle de la Conférence, prévue en avril prochain dans la capitale française. "C'est sur la base du travail accompli durant la présidence algérienne que j'avance et que j'accélère pour conduire notre 17e conférence annuelle au cours de laquelle d'importants projets seront présentés aux participants" a encore souligné le président de la COPEAM, ajoutant qu'il attend "beaucoup de l'Algérie". L'Algérie est fortement impliquée dans plusieurs projets parmi les dix retenus par les membres de la COPEAM lors de leur réunion au Caire, le 19 avril dernier. Ainsi, la Télévision algérienne a déjà adhéré au projet de création d'une chaîne méditerranéenne et au portail "Mémoires audiovisuelles de la Méditerranée" (Med Mem), alors que le ministère de la Culture, par le biais de l'Institut supérieur des métiers des arts de spectacle et de l'audiovisuel (ISMAS) fait partie du comité de pilotage de l'université audiovisuelle de la méditerranéen (UAM) qui accueillera ses premiers étudiants dès l'automne 2011. La 17e conférence annuelle de la COPEAM se tiendra du 8 au 11 avril prochain à Paris. Elle sera placée sous le thème "Le pari audiovisuel de la Méditerranée

Algerie PME/PMI compétitivité



PME II : Consolider la compétitivité des entreprises

Enclenché en mai 2009 pour une durée de 34 mois, le programme d’appui aux PME/PMI et à la maîtrise des technologies d’information et de communication dans sa seconde édition vise à contribuer à l’amélioration de la compétitivité des petites et moyennes entreprises appelées à s’inscrire dans le sillage des nouvelles orientations économiques visant à qualifier le produit national à la norme CE et par la même occasion, conforter la position de l’Algérie dans le cadre des accords internationaux. Il s’agit, d’autre part, de consolider les résultats des programmes précédents de modernisation et de mise à niveau dont PME I achevé en décembre 2007 et d’accompagner l’Algérie dans le processus de mise en œuvre de l’accord d’association avec l’UE. L’atelier de visibilité sur le programme PME II organisé, hier, à l’hôtel « El Djazaïr » par le ministère de la PME et de l’artisanat et de l’Union européenne a permis de cerner les contours et objectifs de ce programme dont le montant alloué soit 44 millions d’euros ( 40 millions accordés par l’UE et 4 millions à la charge de la partie algérienne) est destiné au financement d’activités de conseil, de formation et d’études dans les domaines de la mise à niveau des PME, de la qualité et du développement institutionnel. La représentante de la délégation européenne en Algérie, Mme Agnès Guillaud a expliqué, dans ce sens que, depuis 2002 l’engagement de l’UE dans le cadre de la coopération avec notre pays s’est traduit par un appui financier de plus de 640 millions d’euros soit environ 64 milliards de dinars. L’intervenante citera les programmes en appui de la PME, de la facilitation du commerce, du management de l’économie ou encore ceux intervenus dans les domaines de la réforme judiciaire, des transports, des ressources en eau, de l’éducation, du développement rural. Mme Guillaud ajoutera que l’année 2010 devra enregistrer le lancement d’autres programmes inscrits sous le chapitre de la diversification de l’économie dans les secteurs du tourisme, de l’agriculture, de l’enseignement supérieur, la santé et l’emploi. La représentante de l’UE a, par ailleurs salué les efforts consentis par le gouvernement algérien en direction des PME notamment en matière de mise à niveau ainsi que la démarché visant la diversification de l’économie algérienne par le développement des capacités d’exportation hors hydrocarbures. Et c’est « en appui aux priorités du gouvernement algérien que s’inscrit la coopération de l’Union européenne et en particulier le programme PME II » a-t-elle affirmé. A ce propos, l’intervenante a déclaré que l’UE « est déterminée à accompagner les institutions et le secteur privé algériens dans leur quête de progrès ». Une coopération qui a-t-elle ajouté devrait contribuer à la création de la zone de libre échange Euro-méd. dont l’Algérie « est appelée à jouer un rôle majeur ». PME II qui est un programme ciblé sur la base d’une approche filière et des activités pilotes réunissant trois ministères (PME et artisanat, MIPI, Postes et télécommunications) a-t-elle précisé, vise directement le domaine de la qualité (entreprises/ institutions) et accorde un intérêt particulier à la maîtrise des nouvelles technologies de l’information et de la communication en droite ligne de la stratégie algérienne (E- Algérie 2013). Le directeur général de la PME et de l’artisanat, a relevé, pour sa part, que l’objectif du programme PME II mis en place conjointement par l’Algérie et l’UE vise à améliorer la compétitivité des PME algériennes â même de leur permettre de se positionner sur le marché intérieur mais aussi de conquérir des parts sur les marchés extérieurs dans le cadre des possibilités offertes par les accords internationaux et par l’ouverture du marché. Il est également censé « consolider les résultats d’un premier programme ayant touché 450 PME industrielles privées sur 2 150 et dont l’impact sur le fondement du management s’est avéré probant à hauteur de 63% a affirmé M. Ammouri BRAHITI qui indiquera que 60% des actions de mise à niveau dans le cadre de ce programme ont été menées par des consultants nationaux. Toutefois, PME II présente des innovations à savoir une collaboration avec trois bénéficiaires qui sont les ministères de la PME et de l’artisanat, le MIPI et celui des Postes et télécommunications, l’adoption d’une approche « filières-expériences pilotes » prévoyant un soutien technique pour un maximum de 200 PME dans des filières pilotes (agroalimentaire, mécanique et matériaux de construction), l’introduction d’activités spécifiques dans le domaine de la qualité au profit de la PME mais aussi institutionnel avec appui aux institutions telles l’IANOR, ALGERAC, et l’ONML de même qu’il consacre un chapitre à la maîtrise des NTIC dans les PME. PME II a indiqué le représentant du ministère de la PME et de l’artisanat vise le développement des filières à forte valeur ajoutée dans le cadre de la consolidation de la compétitivité des PME et, par conséquent de la diversification de l’économie. M. BRAHITI a, d’autre part, mis en avant les efforts de l’Etat algérien en matière de soutien à la mise à niveau de la PME pour citer la stratégie 2010-2014 qui vise la mise à niveau de 20 000 entreprises et dont un budget de 2,8 milliards d’euros soit 283 milliards de dinars a été consacré. Aussi, a-t-il souligné que la PME constitue 99% du tissu des entreprises en Algérie soit 56% de la population active. D’autre part, il a indiqué que 25 000 PME sont crées en moyenne chaque année alors qu’elles sont entre 3 500 à 4 000 à cesser leurs activités chaque année. M. BRAHITI a également rappelé que le conseil interministériel du 20 juin 2009 a définitivement consacré une démarche consensuelle de mise à niveau des entreprises algériennes. Aussi, il fait part de la création d’un centre technique de développement de la sous-traitance et de la révision de la loi sur les PME devenue nécessaire pour la classification et des PME.Akila DEMMAD