阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, December 16, 2009

Musique chaâbi Monsieur Abdelkader Bendamèche


Horizons-dz.com
L’écriture musicale du chaâbi est une nécessitéDans le cadre des ateliers du premier festival culturel de la musique universelle, M. Abdelkader Bendamèche, spécialiste de la musique chaâbi a donné une conférence lundi dernier où il a exposé un historique du patrimoine musical algérien. Il a également donné quelques précisions en sa double qualité d’auteur et de commissaire général du festival chaâbi.
Remontant aux origines de la musique chaabi et de la musique populaire en général, le conférencier a indiqué que ces musiques dérivent de l’andalou. Les mêmes modes et le même registre de la musique andalouse se retrouvent dans le chant chaâbi. D’autres genres différents du chaâbi prennent leur source également dans la musique andalouse.
C’est ainsi que, entre autres, le Hawzi et le Aroubi sont des formes musicales populaires issues des trois écoles classiques de l’andalou, celle d’Alger, de Tlemcen et de Constantine. Le chaâbi se caractérise par ses chants religieux et par ses qaçaïd dont les textes à haute portée poétique, sentimentale et nationaliste sont les œuvres de grands cheikhs. M. Abdelkader Bendamèche a parlé de sa passion pour ces textes.
Il déclare «Etant jeune, j’étais un brillant chanteur. J’avais la passion des textes poétique du chaabi. Alors que les jeunes de mon âge collectionnaient les timbres ou les cartes postales, je recherchais avec amour et je réunissais tous les textes des chants chaâbis que je découvrais». Cette passion de la musique chaâbi ne l’a jamais quittés. Il a écrit déjà trois ouvrages sur ces textes poétiques et leurs illustres auteurs.
Abdelkader Bendamèche prépare un quatrième ouvrage dans ce sens pour février prochain, élargissant son sujet aux poètes contemporains comme Lounis Ait Menguellet. En sa qualité de commissaire général du festival chaabi, il a édité pour la quatrième édition de ce festival, un recueil complet de textes de chansons chaabi ainsi qu’un volumineux coffret de chansons enregistrées. Pour la cinquième édition dont les dates vont du 21 au 30 août 2010, en plein mois de ramadhan, il se donne pour objectif d’entreprendre l’écriture musicale de la musique chaabi.«C’est une nécessité, souligne-t-il. Tous les sons s’écrivent en musique.
Pourquoi pas le chaâbi » Pour cet expert de la musique chaâbi, si techniquement c’est possible, il reste seulement l’âme de cette musique qui ne pourra être donnée que par des chanteurs convaincus. Abdelkader Bendamèche célébrera à la fin de son festival chaabi en 2010, le trentième anniversaire de la disparition du regretté Dahmane El Harrachi.
Kamel Chériti.

union pour la méditerranée Office méditerranéen de la jeunesse 2011


Dépêches de l'Education
Création en janvier 2011 d'un Office méditerranéen de la jeunesse
Un Office méditerranéen de la jeunesse doit être créé en janvier 2011 en vue de piloter la mobilité des étudiants dans cet espace, selon la recommandation d'un séminaire ministériel sur la "promotion de la mobilité des jeunes dans l'espace méditerranéen" lundi à Paris.
La France, la Suède (présidence de l'Union européenne), Chypre, la Croatie, l'Egypte, l'Espagne, la Grèce, Malte, le Maroc et le Monténégro ont appelé les Etats membres de l'Union pour la méditerranée (UPM) à "créer un office méditerranéen de la jeunesse, dont la première mission serait de mettre en oeuvre un projet pilote pour la mobilité des jeunes (étudiants et jeunes professionnels" dans l'espace méditerranéen, selon la recommandation adoptée par le séminaire.
Le projet doit parvenir à faciliter la libre circulation des étudiants de certaines filières universitaires d'excellence, organiser l'accès de ces étudiants à des bourses méditerranéennes et leur permettre de bénéficier d'une première expérience professionnelle dans le pays méditerranéen de leur choix.
La France va mobiliser un million d'euros pour financer les premières bourses, a annoncé son ministre de l'Immigration, Eric Besson.
Trois conférences d'experts doivent être organisées avant le lancement du projet, en 2010 : Office méditerranéen de la jeunesse, filières d'enseignement supérieur, bourses, stages et réseaux de parrainage et enfin visa et titre de séjour.
Le Maroc, Chypre et le Monténégro ont proposé de les accueillir et une réunion de synthèse doit se tenir à Paris en septembre 2010.
"En encourageant les migrations circulaires on mettra fin à la fuite des cerveaux", a commenté M. Besson qui a signé il y a deux semaines des accords sur la mobilité des jeunes avec trois pays : la Macédoine, le Monténégro et la Serbie.
Le ministre suédois pour la Migration et la Politique d'asile a plaidé pour une politique flexible permettant d'"accueillir de plus en plus d'étudiants étrangers" car "l'UE doit faire face à une compétition accrue du Canada et des Etats-unis".

PME Algériennes




Programme de renforcement des capacités exportatrices des PME algériennes

Un groupe pilote d'environ 40 PME algériennes, intervenant dans des secteurs hors hydrocarbures, ont été présentes hier, à l'Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex). Ces entreprises à vocation exportatrices, dites challengers, disposerons d'un accompagnement personnalisé de deux ans pour le programme d'actions sur mesure à l'international "challenge Optimexport". Optimexport est le Programme de Renforcement des Capacités Exportatrices des PME algériennes dans le cadre du PRCC Algérie (Programme de renforcement des capacités commerciales) soutenu à hauteur de 2 millions d'euros par l'AFD, Agence française de développement. Le réseau de partenaires d'Optimexport est constitué du ministère du Commerce (Maître d'ouvrage d'Optimexport, Algex, l'Agence nationale de promotion du commerce extérieur et la CACI, Chambre algérienne de commerce et d'industrie, parties prenantes du projet ; mais aussi seront approchés, les opérateurs partenaires naturels des entreprises à l'exportation (banques, commissionnaires de transport, CCI, consultants, etc). Selon M. Mohamed Bennini, directeur général de l'Algex "un vivier plus large d'entreprises algériennes exportatrices ou potentiellement exportatrices seront sensibilisées, formées et orientées dans leur conquête des marchés étrangers". En effet, "une équipe biculturelle, provenant d'organismes différents, sous la coordination du chef de projet et représentant d'Ubifrance, M. Marc Martinant, privilégie la concertation, la complémentarité entre les acteurs locaux et toutes les synergies possibles", a-t-il précisé. M. Marc Martinant a indiqué dans se sens que "ces entreprises bénéficieront concrètement d'un nombre important d'avantages auprès des partenaires du programme et de diverses actions destinées à améliorer leur niveau d'information, leur savoir-faire et leurs performances à l'exportation". Il a ajouté que "le challenge du (challenge Optimexport ) est d'apporter aux PME algériennes des pistes de développement sur les marchés extérieurs et de les guider dans leurs efforts de prospection". Certes, "certaines des entreprises industrielles françaises cherchent de grandes quantités de produits agricoles et agroalimentaires algériens, sauf que ces entreprises cherchent à asseoir des partenariats de distribution et des contrats d'exclusivité qui obéissent au standart et aux normes internationaux", a expliqué M. Martinant. Par ailleurs, les différentes entreprises présentent au programme d'action le challenge export et prospectent dans divers produits : épicerie, boissons, confiseries, conserves, électroménager, etc. Finalement, Optimexport s'inscrit dans la logique du renforcement des activités "export" des pouvoirs publics algériens et favorise l'accès aux marchés étrangers des entreprises algériennes hors hydrocarbures. Sa principale mission est de développer l'offre d'informations commerciales à l'international pour les entreprises algériennes exportatrices ou potentiellement exportatrices, renforcer la formation et la professionnalisation aux techniques du commerce international des acteurs publics et privés concernés par l'exportation et accompagner les entreprises algériennes dans leurs conquêtes des marchés étrangers. Nassim I.

Algerie tourisme le joyau du M’zab !




De notre envoyée spéciale à Ghardaia, Nassima Bensalem
Ghardaïa, ville du M'zab, ne cessera jamais d'étonner le commun des mortels. Oasis qui se détache du désert, cette cité aux multiples visages est le berceau d'une civilisation ancestrale. Des atouts qui font de cette ville une destination touristique par excellence. Joyau du M'zab, Ghardaïa jouit d'impressionnants atouts qui l'on transformée en un lieu de pèlerinage pour les touristes étrangers qui veulent découvrir son architecture exceptionnelle et particulière des cités de la vallée. Mis à part sa particularité architecturale, son paysage émouvant, Ghardaïa recèle une grande richesse artisanale et traditionnelle qui représente une prépondérance tout aussi particulière, le tissage, la dinanderie d'art, la vannerie, la poterie, et la tapisserie qui est mise en valeur lors de chaque fête nationale du tapis. La vallée du M'zab, Metlili, El Menea, Zelfana, Beni Izguen, El Atteuf, Guerrara et Berriane… sont des villes qui forment une pentapole abritant des potentialités touristiques culturelles, thermales, et artisanales qui peuvent favoriser et promouvoir le tourisme culturel et de découverte, le tourisme thermal, le tourisme climatique, le tourisme de sport et de loisirs, le tourisme religieux, le tourisme scientifique et d'affaires. Ghardaïa c'est aussi une richesse en terme de faune et flore ; elle compte toute une variété animalière telle que le fennec, le renard, les gazelles, les vipères et le chacal. Le coté flore est très diversifié ; il est constitué particulièrement de palmiers dattiers. Mais le volet artisanat accapare la part du lion ; Ghardaïa compte en effet 31 chambres d'artisanat et de métiers, qui proposent toute une panoplie d'objets artisanaux, à savoir le fameux tapis fait de fil de laine ; un vrai chef-d'œuvre exécuté de manière différente, chaque tapis a une originalité. Tapis ras dit "Regma", autre "Nila" appelé communément "Gandoura Mozabite" ou encore tapis haute laine dit "du banc". La tapisserie figure parmi les activités artisanales essentielles à la vie citadine et agricole de la région ; les Mozabites excellent donc dans la production de ce produit. Cette tradition artisanale demeure l'un des meilleurs moyens d'expression artistique de la vie féminine au M'zab. Le tracé original du tapis, qui emploie une symbolique spéciale véhiculera le substrat socioculturel et historique de la région. Le cuir est très utilisé à Ghardaïa dans la confection de tapis, de mules, de récipients de refroidissement d'eau "Guerba" ou "Ajedid", "Azgaou" ou "Delwa". On peut trouver aussi des chaussures de modèles ancestraux, souliers de femmes dits "Telsana", des gaines de fusils, sellerie, gourdins, épées, et dagues. La production de fusils, pistolets et tremblons à poudre a aussi introduit la technique de réalisation de la poudre noire ; ces armes sont utilisées comme armes d'apparat dans les fantasias. Les souks à Ghardaïa proposent des objets fascinants faits à la main minutieusement, de vrais objets d'art, très prisés par les touristes étrangers et même nationaux. Ghardaïa est réputée par son commerce qui fait d'elle un pôle de l'industrie. Ghardaïa, un spectacle admirable qui envoûte les touristes
Ghardaïa a toujours attiré les touristes étrangers fascinés par son paysage envoûtant, nul ne peut être indiffèrent. Ces palmeraies font d'elle un musée à ciel ouvert. Les touristes étrangers viennent souvent ; passer le jour de l'an, les congés de Noël et de Pâques. Cette période est connue pour le flux de touristes européens qui ont une seule envie, découvrir le désert algérien plus important par son immensité et son panorama. Les cités ancestrales au nombre de sept, un peu comme les sept merveilles du monde, constituent une dignité pour Ghardaïa la mystérieuse ; ces Ksours appelés "Ighrmen" en mozabite sont très individualisés par leur harmonie architecturale, par le choix des couleurs continuent, de nos jours, de faire l'objet de beaucoup d'admirations des visiteurs étrangers, ces cités féeriques ont attiré dans le passé bon nombre d'architecte de renom tels que Le Corbisier, Ravereau, Pouillon… Le M'zab est aussi réputé pour ses nombreuses palmeraies soigneusement entretenues qui servent de lieux de retraite durant la saison chaude. Situées à quelques kilomètres des Ksours, elle comportent de nombreux ouvrages hydrauliques, barrages d'absorption, galeries souterraines et puits ; ensemble ils forment ce système ingénieux d'un partage équitable des eaux universellement connu. Les cités ancestrales ainsi que la vallée du M'zab, sont classées patrimoine culturel universel par l'Unesco en 1982.
La pentapole : Mecque des architectes
En sortant de la cité de Ghardaïa par la porte ouest, une vue panoramique de la cité s'offre aux visiteurs et d'après la légende, Cheikh Baba Ould Jema en remontant la vallée du M'zab aperçut une lueur sur ce col. En s'approchant, il trouva une femme de nom de Daya, habitant une grotte. Par la suite il épousa cette femme qu'on nomma plus tard Lalla Sahla. Plusieurs versions de la dénomination de la cité sont données par les historiens. Toutefois, d'après Cheikh Tfeych, le nom de la cité est lié à la grotte de Daya qui veut dire en arabe Ghar-Daya. Le souk de Ghardaïa est le plus grand de toute la région, il est entouré d'arcades protégeant des entrées de magasins en grande majorité de produits artisanaux. La placette est occupée le vendredi par des forains venant de tout le pays. Les rues dans la cité, comme dans toute la pentapole, sont en forme de pyramide et ce, pour des raisons de défense et aussi pour permettre à l'air frais venant du bas de la cité de rafraîchir les maisons. Une architecture qui a suscité un intérêt outremer tel que Ghardaïa a depuis des décades été surnommée la Mecque des architectes. La palmeraie de Ghardaïa comme toutes les palmeraies de la wilaya est constituée d'ensemble de vergers privés ou l'on trouve divers arbres fruitiers, en particulier des orangers, des citronniers, des grenadiers, des figuiers… La particularité de la palmeraie de Ghardaïa est sa rive gauche, partie la plus importante, dotée d'un système complet d'irrigation des eaux. Beni Izguen est l'une des cités de Ghardaïa, sa dénomination vient du fait que les premiers habitants de cette cité étaient les Ouled Annane dont l'un de leurs ancêtres s'appelait Izguen. Beni Izguen gardé jusqu'à nos jours son aspect architectural initial. On peut dire que c'est la cité la plus conservatrice de la vallée. La cité comporte quatre portes principales et des portes secondaires dites "Kharjates". Elle est entourée de tous les côtés d'un mur d'enceinte avec des bordjs à différents endroits. En sortant de la cité de Beni Izguen vers le nord est sur le flanc opposé de la vallée se trouve la cité de Mélika. Les rues sont en forme de pyramide ; la cité abrite plusieurs sites anciens dont le plus connu reste le mausolée de Cheikh Sidi Aïssa. Le visiteur peut admirer le minaret millénaire qui se dresse au milieu de la mosquée de la cité. L'Oasis de Metlili fût le berceau des Chaâmba, tribus Hilaliennes des Béni Hamyan, installées dans ces régions aux environs du 9e siècle. Les Chambas étaient surtout des éleveurs qui sillonnaient les pâturages entre Brezina et l'aval de l'oued Metlili. Dans cette vallée coule une source d'eau potable et une végétation importante. En allant encore plus loin vers l'Ouest à travers le désert rocailleux, le visiteur peut trouver le lac Mahroura, grande crevasse remplie d'eau lors des crues. Pour découvrir cette cité antique en toute sérénité, le visiteur peut faire appel aux nombreuses agences de voyage. Ces derrières proposent pour l'hébergement des maisons traditionnelles, des kheimas sahariennes et pour plus de confort les touristes peuvent descendre aux hôtels de la ville à savoir l'hôtel El Djanoub, le M'zab et les Rostomides… La majestueuse Ghardaïa ne pourra jamais être découverte à travers des écrits ou des paroles, l'idéal est de se déplacer et de constater de visu la magie du site qui vous ensorcelle toute votre vie.
N.B.

Les petites entreprises soutien de l’UE et de ses États membres



Les petites entreprises bénéficieront du soutien de l’UE et de ses États membres
[Fenêtre sur l'Europe]
La mise en œuvre de l'initiative de la Commission européenne en faveur des PME (SBA) a démontré des succès en 2009. Les diverses mesures prises en vue de donner la priorité aux PME dans le cadre du plan d’action qui visait à aider les PME à mieux résister à la crise économique et financière a permis de réaliser des progrès impressionnants au niveau de l’UE ainsi que dans les États membres.
La SBA, adoptée en 2008, constitue un ensemble de politiques ambitieuses visant à placer les intérêts des PME au centre du processus décisionnel. Au plus fort de la crise économique et financière, la mise en œuvre de la SBA au cours de sa première année a mis l’accent sur les priorités suivantes: * Alléger la charge administrative pesant sur les PME : L’ensemble des nouveaux textes de loi européens et la législation dans certains États membres (par exemple en Belgique, au Danemark, en Finlande et en Allemagne) passent maintenant par un «test PME» destiné à assurer que les dispositions sont adaptées aux besoins des entreprises. Des charges administratives superflues, d’une valeur de plusieurs milliards d’euros, ont été supprimées. Les délais et les coûts nécessaires en moyenne au lancement d’une société à responsabilité limitée dans l’UE ont été réduits, passant respectivement à 8 jours et à 417 euros, et dix-huit pays ont mis en place des guichets uniques pour la création d’entreprises. * Accès aux moyens de financement : La simplification des dispositions communautaires relatives aux aides publiques (règlement d’exemption globale par catégorie et cadre temporaire relatif aux aides d’État) a permis aux États membres de mieux aider les PME. Le montant des prêts et du financement global accordés par la Banque européenne d’investissement et le Fonds européen d’investissement a augmenté, s’établissant à 11,5 milliards d’euros en 2009. Des propositions législatives ont été élaborées afin d'apporter une solution plus satisfaisante au problème des retards de paiement. Plusieurs gouvernements se sont engagés à payer leurs factures dans un délai maximal de 30 jours. En outre, de nouvelles dispositions, en vertu desquelles les États membres seraient libres d’exempter les micro-entreprises de certaines règles comptables, leur permettant ainsi d’économiser potentiellement 6,7 milliards d’euros supplémentaires, sont en cours de discussion. * Accès aux marchés : Les PME bénéficient déjà d’une réduction de 40 % des frais à payer pour l’enregistrement des marques communautaires ainsi que de procédures d’enregistrement simplifiées. Grâce au «Code européen des meilleures pratiques», l’accès aux marchés publics est devenu plus simple et plus transparent pour les PME dans plusieurs pays. La mise en œuvre de la directive «Services» dans l’ensemble des États membres facilitera l'établissement d’entreprises et la prestation transfrontalière de services, alors que la proposition de statut de société privée européenne instaurera – lorsqu’elle aura été adoptée – des règles communes en matière de création et de gestion d’entreprise dans tout pays européen. L’accès aux normes a été simplifié à travers la publication gratuite du champ d’application des normes. * Favoriser l’esprit d’entreprise : L’éducation à l’esprit d’entreprise occupe un rôle de plus en plus important dans les systèmes éducatifs des États membres. L’initiative «Erasmus Jeunes entrepreneurs», lancée par la Commission, est en bonne voie. Compte tenu de ces progrès encourageants, la Commission continuera de suivre la mise en œuvre de l’initiative relative aux PME au niveau national en 2010. Pour plus d'information: http://ec.europa.eu/enterprise/policies/sme/small-business-act/index_fr.htm