Saturday, January 10, 2009
PMI PME
Des nouvelles opportunités concernant les entreprises désirant nouer des partenariats dans le bassin mediteranéen. Une émission hebdomadaire sur le réseau radio canal et sur le réseau radio invitant les entreprises à parler de leurs projets
http://ccem.typepad.com/radio_canal_tunis/
http://ccem.typepad.com/radio_canal_alger/
PMI PME Europe
Entreprise crise PME 2009
Vendredi 09 Janvier 2009
Entreprises : Crise de confiance des dirigeants français de PME pour 2009
[Fenêtre sur l'Europe]
Selon une étude de Grant Thornton 71 % des dirigeants français sont pessimistes quant aux perspectives économiques 2009
Au niveau mondial, l’optimisme moyen parmi les PME s’élève à 31 %, contre 60 % dans la version précédente de l’étude. Le Botswana (88 %), l’Inde (86 %), les Philippines (80 %) et le Brésil (61 %) sont les pays dont les dirigeants sont les plus optimistes. A contrario, les dirigeants japonais (87 %) et espagnols (80 %) sont en définitive les plus pessimistes.Il est intéressant de noter les différences significatives de perception existant entre les dirigeants d’économies matures et ceux des pays émergents. En effet, parmi les 4 plus grands pays commerciaux du monde, les PME américaines et chinoises, qui contribuent ensemble à plus de 32 % du PIB mondial, montrent un pessimisme à hauteur respectivement de 58 % et de 14 % selon l'étude. De manière similaire, le Japon et l’Inde (contribuant à eux deux à plus de 11 % du PIB mondial) sont pessimistes à 87 % et 3 %.Pour Frédéric Zeitoun, Associé chez Grant Thornton : "Ces résultats suggèrent qu’il existe des zones d’espoir dans le marché économique mondial. Les PME se préparent à une longue et difficile crise mais les dirigeants des marchés émergents réalisent qu’il pourrait y avoir de réelles opportunités de marché au niveau local."La plus grande préoccupation des dirigeants de PME françaises pour l’année à venir serait une chute de la demande de consommation (à 58 %) ainsi que, dans une moindre mesure, l’impossibilité de pouvoir emprunter auprès des banques (à 14 %). Ces deux critères sont les deux plus grandes préoccupations de 33 pays sur les 36 étudiés. Seuls les Etats-Unis placent le crédit bancaire en première position de leurs préoccupations, à 33 % (contre 25 % pour la chute de la demande)."Les politiques ne doivent pas avoir de doutes quant au besoin de prendre des décisions en faveur d’un plan de relance fondé sur la demande de consommation" conclut Frédéric Zeitoun.http://www.grant-thornton.fr/
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