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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, December 11, 2008

Grèce c'est l'Europe Youtube










Grèce : toujours des émeutes...ATHENES - La police a tiré des gaz lacrymogènes contre des dizaines de jeunes manifestants qui jetaient des projectiles et des cocktails Molotov, mercredi à Athènes au cours d'une manifestation devant le Parlement grec, a constaté un journaliste de l'AFP. Ces accrochages ont eu lieu alors que plusieurs milliers de personnes étaient rassemblées sur la place Syntagma, devant le Parlement, à l'appel des centrales syndicales qui observaient une grève générale de 24 heures dans le pays pour protester contre la politique d'austérité du gouvernement de droite de Costas Caramanlis. En marge de ce rassemblement syndical, des dizaines de jeunes s'en sont pris aux forces anti-émeutes, scandant "Assassins" après la mort d'un jeune de 15 ans, Alexis Grigoropoulos, tué par un policier samedi dans un quartier central d'Athènes. La majorité des manifestants a alors quitté la place Syntagma et vers 14H30, (12H30 GMT) seuls quelques dizaines de jeunes gens restaient face aux policiers en les insultant et en leur lançant divers projectiles, selon le journaliste de l'AFP. Des affrontements entre jeunes et policiers ont également eu lieu à Salonique, dans le nord de la Grèce, en marge d'une manifestation d'environ 2.000 personnes dont de nombreux élèves et étudiants, a indiqué une source policière locale. Les accrochages ont débuté alors que le cortège arrivait devant le ministère de Macédoine-Thrace, protégé par un cordon policier. Des jeunes ont jeté divers projectiles et la police a riposté en faisant usage de gaz lacrymogènes. Une autre manifestation d'environ 2.000 militants communistes, également dans le centre de Salonique, s'est dispersée dans le calme, selon la même source. Les affrontements avaient cessé à Salonique en début d'après-midi, mais des poubelles continuaient de brûler dans plusieurs quartiers du centre ville, selon un correspondant de l'AFP. Malgré les violences qui ont embrasé Athènes et plusieurs autres villes depuis la mort samedi d'un adolescent tué par un policier dans la capitale, les deux grandes centrales syndicales du pays, la Confédération générale des travailleurs grecs (GSEE, 600.000 adhérents) et la Fédération des fonctionnaires (Adedy, 200.000 membres), avaient ignoré un appel du Premier ministre à renoncer à toute manifestation. Elles avaient appelé à un rassemblement "paisible" devant le Parlement grec, dans le centre d'Athènes. (©AFP / 10 décembre 2008 13h58)

La Grèce c'est L'Europe





Nouvelle vague de violences dans les villes de Grèce
4 days ago
ATHENES (AFP) — Une nouvelle vague de violences a touché lundi Athènes et plusieurs villes de Grèce au cours de manifestations d'étudiants et lycéens contre la police lors desquelles des bâtiments et des véhicules ont été incendiés tandis que le centre de Salonique était livré au pillage.
Près de deux heures après la dispersion de la manifestation athénienne de protestation contre la mort d'un adolescent tué samedi par un policier, des groupes de quelques dizaines de jeunes se relayaient pour lancer des raids contre magasins et devantures, face à des forces anti-émeutes dispersées et sur la défensive.
Les groupes ont endommagé et pillé des boutiques dans le quartier chic de Kolonaki, qui abrite plusieurs ambassades, ainsi que dans les rues commerçantes proches du bâtiment de l'université et du quartier étudiant et contestataire d'Exarchia.
Les gaz lacrymogènes tirés par la police pour repousser les casseurs rendaient l'atmosphère suffocante jusqu'à l'intérieur des bâtiments du centre ville.
Dix personnes ont reçu des soins dans les hôpitaux de la ville pour des troubles respiratoires, selon un responsable du ministère de la Santé.
En début de soirée à Athènes, des groupes de jeunes avaient brisé des vitrines et incendié des magasins.
Le cortège avait parcouru des rues de la ville portant des banderoles accusant le gouvernement de "tuer l'avenir de la jeunesse".
Des groupes de jeunes ont également pillé lundi soir des dizaines de commerces dans le centre de Salonique, la grande ville du nord de la Grèce, sans que la police n'intervienne.
Les pillages, notamment de magasins de vêtements et de bijoux, ont débuté à l'issue de deux manifestations organisées par l'opposition de gauche pour le même motif que dans la capitale, et qui avaient rassemblé plus de 5.000 personnes.
Les forces de l'ordre n'étaient pas visibles sur les artères du centre ville, qui semblait livré aux pilleurs, a raconté un journaliste de l'AFP sur place.
Plus tôt, un policier avait été blessé à la main dans une attaque contre un poste de police d'un quartier de Salonique lancée à coup de cocktails Molotov par une vingtaine de jeunes.
A Athènes, alors que des manifestants se dirigeaient vers le Parlement, sur la place centrale de Syntagma, des groupes de jeunes se sont détachés du cortège pour briser des vitrines et mettre le feu à des devantures et des poubelles.
Un sapin de Noël géant ainsi que des installations prévues pour les fêtes installées sur la place ont été la proie des flammes.
Trois policiers ont par ailleurs été légèrement blessés lundi à Trikala (centre), au cours d'incidents en marge d'une manifestation d'un millier de lycéens.
Des incidents entre forces de l'ordre et lycéens se sont produits à Rhodes, principale ville de l'île du même nom, dans l'est de la Grèce où des manifestants s'en sont pris pris à un poste de police, lançant divers projectiles contre les policiers qui ont riposté avec des gaz lacrymogènes.
Ces mouvements de protestation se succèdent depuis la mort samedi soir d'Alexis Grigoropoulos, 15 ans, abattu par un policier à Athènes alors qu'il faisait partie d'un groupe d'une trentaine de jeunes gens qui lançaient des pierres et des objets contre un véhicule des forces de l'ordre.
Le policier a été arrêté dimanche pour "homicide volontaire" tandis qu'un policier qui l'accompagnait était appréhendé pour "complicité".
Le Premier ministre grec Costas Caramanlis a présidé lundi soir un conseil ministériel restreint de crise et il sera reçu à sa demande mardi matin par le chef de l'Etat, Carolos Papoulias, "pour l'informer de la situation en cours".
M. Caramanlis doit aussi rencontrer les chefs des quatre partis d'opposition parlementaire, socialiste, communiste, de gauche radicale et d'extrême-droite.
Dans un message à la Nation, Costas Caramanlis s'est engagé lundi à ce que l'Etat mette fin aux violences urbaines.
"Les événements inacceptables et dangereux" qui ont suivi la mort samedi soir d'un adolescent de 15 ans "ne peuvent pas et ne seront pas tolérés", a-t-il déclaré dans sa première apparition depuis le début de la crise.
Il a dénoncé les "éléments extrémistes qui ont exploité le drame (...) en montrant que leur seul objectif était la violence". "L'Etat va protéger les citoyens, va protéger la société (...) C'est le moindre des hommages que l'on puisse rendre à Alexis", a-t-il souligné, évoquant la mémoire de l'adolescent tué samedi.

La Grèce c'est l'Europe





Grèce. La jeunesse ne décolère pas
La grève générale et la manifestation monstre d’Athènes n’ont pas apaisé les esprits, hier, en Grèce, quatre jours après la mort d’un adolescent tué par un policier. La jeunesse grecque semble déterminée à faire plier le gouvernement.
Les affrontements contre la police ont repris, hier, sur fond de grève générale. Quelque 10.000 manifestants se sont retrouvés dans le centre d’Athènes. « Cette grève était prévue depuis plus d’un mois, mais c’est vrai que les émeutes lui ont donné encore plus d’ampleur », admet Niki, étudiante, venue battre le pavé sous la bannière du parti communiste grec. À l’origine, le rassemblement devait dénoncer la politique du gouvernement conservateur de Costas Caramanlis. En réalité, il a été la scène de nouvelles violences. En marge du cortège, une centaine de jeunes émeutiers se sont heurtés aux forces de l’ordre postées devant le Parlement.
Gaz lacrymogènes « Alexis, tu seras toujours vivant », scandaient les jeunes encapuchés. Aux jets de fruits, pétards puis pierres et cocktails Molotov, les brigadiers ont répliqué par des gaz lacrymogènes. « Parfois, les jeunes ne savent pas contre quoi ils se battent : la bourgeoisie, le capitalisme, les entreprises qui les exploitent,


en tout cas, c’est contre la société actuelle », assure Thassos, un manifestant trotskiste.
700 euros par mois Loin des voitures calcinées et des vitrines brisées, les grèves de transports, des contrôleurs aériens, des hôpitaux et des écoles ont ralenti le rythme de la capitale. « Les gens méritent une bonne vie et davantage de stabilité économique, lâche Spinos, un passant d’une cinquantaine d’années resté à l’écart. Les gens attendent un changement, il doit se passer quelque chose. En politique, quand on est mauvais, il faut partir », ajoute-t-il, en faisant allusion au gouvernement en place depuis deux ans. Avec un taux de chômage chez les jeunes diplômés de 7 % contre 4,6 % en moyenne dans l’Union européenne, le bilan du gouvernement ne satisfait pas la « génération 700 euros », salaire moyen que peut compter un jeune Grec jusqu’à ses trente ans. « Le meurtre d’Alexis n’aura été qu’une tragique goutte d’eau dans le contexte général », soupire Alex, jeune trentenaire qui cumule trois emplois (barman, graphiste et acteur) pour gagner de quoi « vivre bien, sans pouvoir se permettre d’excès », soit 1.200 euros par mois.
« Ce n’est qu’un début » En plus des problèmes économiques, les jeunes dénoncent la brutalité des forces de l’ordre. « Je suis choqué par l’attitude de la police qui fait en sorte que de telles rixes se produisent », assure un étudiant en mathématiques. Pour lui, le mouvement actuel n’est « qu’un début ». Hier soir, encore, les occupants de l’Université polytechnique préparaient des cocktails Molotov. La nuit s’annonçait longue.
Correspondance à Athènes. Delphine Bauer et Ariane Puccini

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Très intéressés par les énormes potentialités d’affaires qu'offre le le marché algérien, PLBD missionné pour un projet d'institue de beauté pour le compte d'entreprises françaises. PLBD "at the right place, at the right time" s'est vu confié l'organisation de la 32ème Foire d'Alger.En reprenant le flambeau, les médias particulièrement El Watan et Canal Algérie ont couvert l'évenement qui se déroulait au Sofitel d'Alger. La Foire s'est ouvert en présence de Monsieur l'Ambassadeur Charles Ghislain. Cette formidable réunion à donner lieux à des à accords bilatéraux de qualité (secteurs: énergie renouvelable, services aux PME, Marketing direct). PLBD à jouer le rôle de "marieur" d'affaire.