http://fr.youtube.com/watch?v=G65i5aMMAK8
Saturday, September 20, 2008
Google Yahoo AOL
Yahoo ouvre son portail à AOL et Google
Publié par Jérôme Bouteiller le Jeudi 18 Septembre Comme l'avait annoncé Jerry YANG il y a déjà quelques semaines, Yahoo a débuté la propagation d'une nouvelle page d'accueil pour son portail Yahoo.com, auprès de quelques beta testeurs à travers le globe.Outre la traditionnelle boite de recherche, un fil d'information et un pavé donnant accès aux principaux services Yahoo, cette nouvelle « homepage » se distingue par l'arrivée d'une barre latérale, à gauche, permettant de personnaliser la page.Reprenant une logique déjà explorée avec MyYahoo et popularisée par des services 2.0 comme Netvibes, ce nouveau portail est ainsi en mesure d'afficher les données issues de Flickr ou Yahoo Mail mais également d'autres services concurrents tels que AOL mail ou Gmail de Google.« Nous prévoyons d'ajouter rapidement d'autres applications de prévisualisation ce qui permettra aux internautes de ne pas perdre de temps à sauter de site en site » explique Tapan Bhat, en charge du développement de cette page.Loin de la révolution annoncée, cette évolution ergonomique est néanmoins stratégique pour Yahoo, qui accueille chaque mois plus de 314 millions d'internautes sur sa "home". Reste à savoir si ces derniers se laisseront séduire par ce nouveau dispositif qui entend sans doute séduire une nouvelle génération d'internautes.
Youtube dailymotion Elections européennes 2009
PAC: Newropeans
PAC : Newropeans présente vision de la Politique agricole commune
La PAC n’est pas seulement une base économique pour les agriculteurs des 27 États membres mais représente également une part considérable du budget communautaire. Les récents développements -comme l’augmentation drastique des prix des denrées alimentaires sur les marchés internationaux et l’instabilité politique que celle-ci a entrainée - démontrent l’importance politique et sociale de la PAC.
[Newropean]
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Pour Newropeans, la politique agricole doit être appréciée en fonction des six critères suivants :I. Assurer l’alimentation des 500 millions d’EuropéensD’abord, la Politique agricole commune (PAC) doit assurer l’alimentation des 500 millions d’Européens. On pourrait avoir recours aux importations pour atteindre ce résultat, mais cela entraînerait un risque de dépendance de l’UE vis-à-vis d’autres régions du monde, surtout l’Amérique du Nord et du Sud, grands exportateurs de produits agricoles.II. Une alimentation saine et sécurisée pour 500 millions d’EuropéensAprès le bœuf aux hormones, la maladie de la vache folle et la grippe aviaire, la sécurité alimentaire revêt une importance particulière pour protéger les consommateurs. Il s’agit d’une question paneuropéenne, dans la mesure où les maladies ou produits nocifs ne restent pas confinés à un seul état mais se propagent rapidement par delà les frontières au sein de l’ensemble du marché commun.III. Protection de l’environnement européen et mondialL’agriculture a des effets immenses sur l’environnement. Les dommages doivent être réduits au minimum par une agriculture adaptée aux conditions locales.IV. Protection de la culture locale, du paysage et de l’environnementDes producteurs toujours plus grands et efficaces mettent en péril les sources de revenus traditionnelles des villages. Les conditions de vie dans les petits villages changent en conséquence fondamentalement. La survie de petits producteurs et la sauvegarde de la culture villageoise et du paysage agricole pour les générations futures représentent un objectif non négligeable.V. Compatibilité de l’agriculture européenne avec une alimentation saine mondialeLa production agricole européenne ne doit être ni trop faible que les prix mondiaux atteignent des niveaux trop élevés pour les habitants de pays plus pauvres, ni trop importante qu’elle entraine la destruction de l’agriculture d’autres pays.VI. Garantie d’un niveau de vie acceptable pour les agriculteurs européensCeci est actuellement la première priorité de la PAC et, pour des raisons sociales, ne doit pas être négligée.Ces objectifs ne peuvent pas tous être atteints en même temps. On doit donc essayer de les concilier le mieux possible, sans ignorer le comportement des consommateurs. La consommation massive de viande et de nourriture exotique est nuisible à la poursuite de ces objectifs. On doit informer les citoyens de ces effets. Des mesures politiques dans le domaine de l’agriculture doivent être proportionnées aux enjeux essentiels.Dans ce processus, il faut prendre en compte les résultats de l’évaluation de la PAC par les participants au programme (voir proposition pour l’amélioration de l’efficacité de programmes communautaires et pour la démocratisation des procédures politiques de l’Union).Puis, l’avis d’un conseil de l’agriculture, composé d’agriculteurs travaillant avec différentes méthodes de production ainsi que d’autres experts est à chercher.La décision finale sur les priorités de la PAC et de l’équilibre entre les différents objectifs est à prendre par le Parlement Européen.
http://www.newropeans-magazine.org/
Elections européennes
Le « non » irlandais, un bon point pour les élections européennes
Les élections européennes de 2009 pourraient coïncider avec l'entrée en vigueur du traité de Lisbonne : un tremplin pour démocratiser et transformer l'Union européenne.
ANALYSE
Par Fernando Navarro Sordo, París. Traduction Gaelle Durif
Lire l'article en :
français
polonais
espagnol [VO]
19/09/08
Tags : élections, Elections européennes 2009, Traité de Lisbonne, Rodriguez Zapatero, Le 25 juin dernier, le Président de la République tchèque, Václav Klaus, affirmait dans un entretien que « le Traité de Lisbonne rejeté de manière démocratique par l'Irlande ne peut pas entrer en vigueur ». Le chef du gouvernement espagnol, Rodriguez Zapatero, déclarait de son côté que « le non irlandais nous obligeait à réfléchir, mais ne paralyse pas l'Union. » Deux positions opposées qui montrent bien les divergences de stratégies sur ce sujet entre Etats européens.
A voté ! (Jubilo haku/flickr)D'un côté, les petits pays conscients que leur importance sur la scène internationale est vouée à s'amenuiser essaient de négocier des contreparties pour préserver leur souveraineté. D'où la peur de perdre leur commissaire européen, les aides agricoles et les avantages fiscaux en Irlande ou en République tchèque. D'un autre côté, les plus grands semblent disposés à accepter l’idée de céder un peu de leur souveraineté pourvu qu'ils s'adaptent à la mondialisation.
Le « non » irlandais, un atout pour la démocratie
La démocratie européenne pourrait se voir renforcée de manière indirecte grâce au rejet irlandais du Traité de Lisbonne. En effet, le fait que la date de ratification du traité de Lisbonne soit remise à plus tard est une bonne nouvelle, car cela devrait aider à politiser la campagne électorale européenne de juin 2009, et stimuler le débat et la participation. Surtout après le faible taux de participation des élections de 2004 (45 %). Le traité prévoit que le Président de l'UE soit élu pour un mandat de deux ans et demi au moins. Les grands partis européens seraient ainsi amenés à proposer un candidat et à mener campagne. Nous nous trouvons devant l'opportunité historique de passer d'une démocratie de consensus à une démocratie de confrontation politique bien plus compétitive et attractive pour les citoyens.
La République tchèque n'est pas un obstacle
Seules l'Irlande et la République tchèque doivent encore procéder à la ratification. Cependant, le calendrier semestriel des présidences européennes joue en faveur du traité. A partir de janvier 2009, c'est la République tchèque qui assurera la présidence. La tradition veut que le pays qui préside ne se contente pas d'y chercher ses propres intérêts nationaux, mais de promouvoir un consensus constructif pour faire avancer la construction européenne. Ainsi, si l'entrée en vigueur du traité est repoussée à juin 2009, la République tchèque aura la responsabilité de tenir les rênes et devra faire montre de bonne volonté. C'est la conclusion de Sebastian Kurpas du laboratoire d'idées du Centre d'études politiques européennes de Bruxelles et du Tchèque Věra Řikáčková du laboratoire d'idées Europeum de Prague.
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