Saturday, August 16, 2008
Algerie système préférentiel de l"UE
L’Algérie intègre le système préférentiel de l’UE
L’Algérie bénéficie désormais du systèmes de préférences généralisé qui permet aux produits algériens d’accéder aux marchés européens avec des avantages tarifaires.samedi 16 août 2008.
L’Union européenne a décidé d’inclure l’Algérie dans sa liste de pays bénéficiant du Système de préférences généralisé (SPG), un régime qui permet aux produits algériens d’accéder aux marchés européens avec des avantages tarifaires. L’accession de l’Algérie à ce régime interviendra du 1er janvier 2009 à la fin de 2011, a fait savoir avant-hier la Commission européenne. Outre l’Algérie, cinq autres pays, l’Inde, l’Indonésie, la Russie, l’Afrique du Sud et la Thaïlande ont fait leur entrée au sein de ce système suite aux calculs qui ont été refaits pour refléter l’évolution du commerce avec les 26 pays de l’UE, a expliqué la Commission européenne. Cette décision permettra le maintien de l’accès préférentiel au marché européen à 176 pays en développement et sera actualisée et améliorée de manière à ce qu’elle soit orientée sur les pays qui en ont le plus besoin, a précisé la Commission.
Le SPG fournit une valeur économique aux pays en développement, avec un montant d’échanges commerciaux de 57 milliards d’euros dans le cadre de ce système en 2007. Dès lors, les marchandises importées des pays en développement dont l’Algérie ne sont pas soumises aux droits de douanes normaux ; ce qui leur permet, par ricochet, d’être plus concurrentiels sur les marchés internationaux. L’Algérie, signataire d’un accord d’association avec l’Union européenne, souhaite augmenter le volume de ses exportations hors hydrocarbures vers l’Europe. Les importations provenant de l’espace européen ont atteint plus de 12 milliards de dollars en 2007 alors que les exportations algériennes vers l’Europe se sont limitées à 800 millions de dollars.
Synthèse de Samir, www.algerie-dz.com D’après le Jeune Indépendant
Récession Europe
Le risque de plus en plus grand d'une récession en Europe a fait plonger la monnaie unique. Vendredi 15 août, l'euro, qui avait flambé jusqu'à 1,60 dollar en avril, s'est échangé en séance à 1,46 dollar.
L'annonce, jeudi, d'une contraction du produit intérieur brut de la zone euro de 0,2 % au deuxième trimestre, a précipité la baisse de la devise européenne. Les économistes ne parlent pas encore de récession - il faudrait pour cela deux trimestres consécutifs de croissance négative - mais de "net ralentissement", ou encore de "croissance étouffée".
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En dépit de cette nuance sémantique, les investisseurs ont conscience que tous les signaux virent au rouge. Après une performance étonnante au premier trimestre, la croissance allemande, moteur de l'Europe, s'est repliée de 0,5 %, celles de la France et de l'Italie de 0,3 %. Quant à l'Espagne, son solde positif (+ 0,1 %) est symbolique. Pis, "les indicateurs de confiance ne laissent pas augurer du futur avec un grand optimisme", a prévenu Amelia Torres, porte-parole de la Commission européenne pour les affaires économiques.
Résultat, "ceux qui voyaient l'euro comme une valeur refuge, pensant que l'Europe était immunisée face à la crise, ont revu leur jugement", constate Gilles Moëc, économiste chez Bank of America. Pour lui, l'euro pourrait baisser jusqu'à 1,39 dollar à l'été 2009 et à 1,35 dollar à la fin de l'année prochaine. De plus en plus d'analystes estiment aussi que pour relancer la croissance, la Banque centrale européenne (BCE) n'aura d'autre choix que de baisser ses taux directeurs. Ce qui aurait pour effet d'affaiblir un peu plus l'euro.
Si la situation économique est préoccupante, le repli de la devise européenne a lui plutôt des allures de "retour à la normale", estime M. Moëc. A 1,35 dollar, elle retrouverait peu ou prou le niveau du printemps 2007, avant le début de la crise des subprimes. De quoi soulager les exportateurs pénalisés par l'euro fort.
ENRAYER LA HAUSSE DES PRIX
En outre, le mouvement monétaire observé reflète autant la baisse de l'euro que de la remontée du dollar. Pour les analystes, les Etats-Unis ont en effet été les premiers à entrer dans la crise, mais seront peut-être les premiers à en sortir. Après la baisse radicale des taux d'intérêt et des mesures de soutien budgétaire et fiscal, l'économie américaine reste fragile mais semble avoir évité la récession.
Vendredi, les chiffres de la production industrielle pour le mois de juillet ont d'ailleurs reflété un ralentissement moins fort qu'attendu. En revanche, l'économie est pénalisée, comme en Europe, par une inflation inquiétante. Outre-Atlantique la hausse des prix a atteint en juillet 5,6 % en rythme annuel, un plus haut depuis janvier 1991. Et pour enrayer cette flambée des prix, de plus en plus d'analystes prédisent que la Réserve fédérale américaine (Fed) augmentera les taux avant la fin de l'année.
La Fed dispose ainsi d'une marge de manoeuvre supplémentaire que n'a pas, ou plus, la BCE. Mais toutes deux peuvent compter sur la récente accalmie des cours du pétrole, pour atténuer, à terme, la menace inflationniste.
Claire Gatinois
Article paru dans l'édition du 17.08.08. Abonnez-vous au Monde à -60%
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Algerie Judo bonne santé
La presse algérienne commente largement la médaille d'argent de Benikhlef
2008-08-14
Le judoka algérien Amar Benikhlef a remporté mercredi la médaille d'argent, la seconde pour son pays aux Jeux Olympiques de Pékin. Sa victoire a suscité un enthousiasme général et souligné la bonne santé du judo algérien.
Par Nazim Fethi pour Magharebia à Alger – 14/08/08
[Getty Images] L'Algérien Amar Benikhlef (à gauche) a décroché mercredi l'argent en judo dans la catégorie des -90 kg. Il partage le podium avec le Géorgien Irakli Tsirekidze (au centre) et l'Egyptien Hesham Mesbah.
Le judoka algérien Amar Benikhlef a surpassé ses concurrents olympiques, s'adjugeant la médaille d'argent dans la catégorie des -90 kg, mercredi 13 août. Cette performance a suscité un grand enthousiame dans la presse algérienne, qui a largement commenté cette seconde médaille pour le pays, dans la continuité du bronze décroché également en judo par Soraya Haddad.
Grâce à la médaille d'argent de Benikhlef, "l’Algérie a sauvé l’honneur du sport arabe", écrit El Khabar. A part Haddad et Benikhlef, seul l'Egyptien Hicham Mesbah a jusqu'ici remporté une médaille à Pékin.
"Sans faire de bruit, l'enfant de Bourouba [dans la banlieue d'Alger] s’est ouvert le chemin de la finale en écartant des judokas de renommée mondiale", écrit Liberté.
"En dépit de la défaite en finale, la joie était immense dans le camp algérien, notamment dans la famille du judo algérien, qui entre dans l’histoire des Jeux Olympiques. Après la médaille de bronze de Soraya Haddad, c’est au tour de Benikhlef Amar de faire mieux, en offrant à l’Algérie sa seconde médaille, l'argent, dans ces joutes planétaires."
"Incroyable ce qui est arrivé à ce jeune Algérien (né le 11 janvier 1982), parti vers la capitale chinoise avec de l’espoir, mais sans réel palmarès, à l'exception de deux titres continentaux", indique le quotidien l’Expression.
"L’an dernier, lors des Jeux Panafricains que l’Algérie avait organisés, Amar s’était contenté de l’argent. Au plan mondial, il était totalement vierge. Qui aurait pu, un seul instant, miser le moindre centime sur cet imposant athlète de 26 ans, de 1,86 m pour 90 kg, lorsqu'il était arrivé avec le reste de l'équipe ?", s'interroge le journal.
Plusieurs journaux algériens reconnaissent qu'ils ne s'attendaient pas au succès de Benikhlef.
El Khabar écrit que ce judoka algérien "a crée une grande surprise en s’adjugeant la médaille d’argent", parce que "[Benikhlef] a su s’imposer face aux grands, lui qui est encore dans la catégorie des juniors."
Le quotidien Le Temps poursuit : "C’est une médaille d’argent décrochée à la surprise générale par Amar Benikhlef dans la catégorie des moins de 90kg et dans une épreuve très relevée, où tous les ténors étaient présents... Personne ne s’attendait en effet à cet authentique exploit de Benikhlef."
Ce n'est pas l'avis de Benikhlef, qui a déclaré à Echourouk : "Ma victoire n’est pas une surprise, mais le fruit de mes efforts."
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L’Expression est assez dur avec Benikhlef, insistant sur le fait que "s'il avait cru un peu plus en ses chances, l’Algérien aurait pu accéder à la plus haute marche du podium".
"Pour un shido, un avertissement, Amar Benikhlef est passé à côté de son rêve : devenir le premier champion olympique algérien des Jeux de Pékin et celui de toute l’histoire du judo algérien", ajoute le journal.
Mais La Tribune écrit que Benikhlef "s’est contenté de la médaille d’argent, un résultat jamais enregistré par un Africain dans cette épreuve technique qu’est le judo ."
Cette courte défaite du judoka face au Géorgien Irakli Tsirekidze n'a en rien diminué son mental, a-t-il déclaré au quotidien Echourouk. Bien qu'il ait raté l'or, Benikhlef a promis à ses compatriotes qu'il comptait décrocher plus de médailles dans d'autres tournois internationaux.
Administration Américaine energie solaire
L'administration américaine finance l'intégration du solaire
(src : DOE, Cleantech)
Le Département américain à l'Energie (DOE) compte investir 24 millions de dollars pour améliorer l'intégration de l'énergie solaire photovoltaïque dans les réseaux électriques.
12 partenaires industriels seront subventionnés dans le cadre du Solar Energy Grid Integration Systems (SEGIS). Ils devront notamment se pencher sur des projets de contrôle intelligent des réseaux qui permettront d'adapter les systèmes de contrôles conventionnels aux spécificités de l'énergie solaire. Les systèmes devront mieux prendre en compte les variations de production, pour stabiliser l'impact de l'énergie solaire sur les réseaux.
L'un des projets du programme consiste également à améliorer les interactions entre la production d'énergie solaire et les véhicules hybrides.
Ces projets s'inscrivent dans le programme Solar America Initiative, qui ambitionne de rendre l'énergie solaire compétitive avec les modes de production d'électricité conventionnels d'ici 2015.
La fondation du programme SEGIS a été annoncée en novembre 2007. Depuis, les entreprises participantes se sont attelées à développer des systèmes de contrôle intelligents pour intégrer le solaire aux systèmes de gestion de l'énergie. Le contrôle intelligent de la production d'énergie solaire est présenté comme une étape cruciale pour la mise au point de maisons, de bâtiments et de communautés énergétiquement neutre.
Parmi les entreprises sélectionnées : Bethel, Apollo Solar (Connecticut), Hauppauge, Nextek Power Systems (New York) and SmartSpark Energy Systems in Champaign, Ill. The DOE's Sandia National Laboratories in Albuquerque (Nouveau Mexique).
éoliennes RAF
-U : Les éoliennes dans le collimateur de la RAF
(src : AFP, Business Green)
Depuis le début de l'année, une vingtaine de projets éoliens ont été bloqués par le ministère de la Défense britannique. Les associations dénoncent une contradiction avec les objectifs du gouvernement en matière d'éolien.
Entre janvier et juillet 2008, 17 projets de parcs éoliens se sont vu opposer un veto du ministère de la Défense, soit 4 GW sur 7 GW de projets déposés. Le motif ? La gêne que peuvent représenter les éoliennes pour l'aviation, perturbant les signaux radars.
L'Association BWEA, qui représente les intérêts de l'industrie éolienne britannique dénonce la contradiction entre la multiplication de ces refus et les ambitions du gouvernement en matière de développement éolien. Le Royaume-Uni compte en effet construire 7 000 éoliennes d'ici 2020 : 4 000 sur terre et 3 000 en mer, pour parvenir à un objectif de 15 % de l'énergie consommée provenant de ressources renouvelables. 100 milliards de livres d'investissement sont envisagés.
Or, en 2007, 44 projets ont été refusés, contre 80 menés à terme.
Tous les yeux sont désormais tournés vers le Ministère de la défense, alors qu'un projet de grande envergure a été approuvé par le gouvernement.
Le parc de Sherigham Shoal, qui offrira 315 MW de capacité via 108 turbines fait en effet figure de test de la détermination du ministère de la Défense. La réaction de la Royal Air Force est attendue, alors le gouvernement a jugé acceptables les solutions proposées par le projet.
Chine Energies renouvelables
La Chine s'intéresse aux énergies renouvelables
La Chine produit 24% du total mondial des gaz "à effet de serre"
On le sait: le développement économique accéléré de la Chine ne va pas sans conséquences pour l'environnement. Il suffit de voir le taux de pollution à Pékin, qui a causé bien des inquiétudes pour les organisateurs des jeux olympiques. Mais le pays investit aussi, et rapidement, dans les sources d'énergie renouvelables, bien moins polluantes. Mark Kinver, spécialiste des questions scientifiques et écologiques à la BBC, explique.
La rapidité avec laquelle la Chine s'est mise à investir dans les sources d'énergie "propres" a eu pour effet de propulser le pays dans le peloton de tête dans ce domaine. Selon un rapport du Climate Group, un organisme international qui cherche à promouvoir l'utilisation de ce genre de technologie, la Chine a investi 12 milliards de dollars (environ 5266 milliards de francs CFA) dans ces énergies renouvelables en 2007, arrivant en deuxième position derrière l'Allemagne. Mais le rapport ajoute qu'elle sera en première place d'ici la fin de 2009.
De plus, depuis l'entrée en service du gigantesque barrage des Trois Gorges, la capacité de la Chine dans le domaine de l'énergie hydro-électrique est aujourd'hui la plus importante au monde. Et le pays est en cinquième position mondiale pour ce qui est du nombre des éoliennes.
Problèmes
Le gigantesque barrage des Trois Gorges
Changhua Wu est directrice du bureau du Climate Group en Chine. Elle est aussi l'un des auteurs du rapport, intitulé "China's clean revolution" (la révolution propre de la Chine). Pour elle, cette hausse rapide des investissements est dûe en partie au fait que le gouvernement de Pékin a compris que le modèle d'industrialisation occidental ne pouvait pas être soutenu indéfiniment.
Dans une interview à la BBC, elle explique que "durant sa révolution industrielle, la Chine a eu des problèmes analogues à ceux que le pays occidentaux avaient connus durant leur période de croissance rapide: pollution, dégâts pour l'environnement, et épuisement des ressources. Nous subissons de nombreuses contraintes - nous n'avons plus autant de ressources naturelles qu'avant. Nous devons donc dépendre des marchés internationaux, ce qui est préoccupant sur le plan de notre sécurité".
L'incertitude au sujet des ressources en énergie a provoqué une hausse record des prix mondiaux du carburant, ce qui rend les énergies renouvelables plus attrayantes.
Secteurs en croissance
Le secteur de l'énergie éolienne se développe rapidement
En 2006, la Chine tirait 8% de son énergie de ces sources "propres", et s'est fixée pour objectif de porter cette proportion à 16% d'ici 2020.Pour cela, on pense qu'elle va investir 33 milliards de dollars par an (soit plus de 14 mille milliards de francs CFA) pendant les douze années à venir, ce qui, d'ici la fin de 2009, en fera le principal investisseur mondial dans ce genre de technologies.
D'ailleurs, toujours selon ce rapport, la Chine est déjà le premier producteur mondial d'énergie "propre".
Changhua Wu explique que la croissance rapide de ce secteur est dûe aussi bien à l'action du gouvernement de Pékin que des entreprises.
Selon elle: "pour donner un élan sérieux à cette recherche d'une économie 'propre', les mesures que peut prendre le gouvernement sont cruciales, mais ce n'est pas toujours de là que viennent les initiatives".
"La production d'énergie éolienne a connu une croissance rapide en raison de choix politiques: le gouvernement a proposé des mesures d'encouragement, d'incitation diverses qui ont attiré les entreprises aussi bien publiques que privées. Mais le secteur de l'énergie solaire (photovoltaïque) a surtout bénéficié du marché international, et notamment de la demande américaine et européenne. Aujourd'hui encore, les mesures d'encouragement des pouvoirs publics se font attendre. Et pourtant, le développement de cette source d'énergie a connu une forte croissance".
Pollution en hausse
Principal coupable: le charbon
Reste évidemment que, malgré ces progrès dans le domaine des énergies propres, la croissance économique rapide de la Chine, alimentée principalement par le charbon, a eu des effets préoccupants pour l'environnement, avec des émissions massives de gaz "à effet de serre".
Et si l'attention se porte surtout en ce moment sur le taux de pollution à Pékin, le problème ne s'arrête pas à la capitale, mais concerne l'ensemble du pays. Selon des chiffres de la Banque mondiale, sur les 30 villes les plus polluées du monde, 20 sont en Chine.
Le rapport du Climate group montre qu'avant 2002, la Chine n'était responsable que de 7% environ des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. Mais selon le document, depuis le début du siècle cette proportion a augmenté, et représente aujourd'hui 24% du total mondial.
Le gouvernement chinois cherche à arrêter cette progression et à stabiliser les émissions de ces gaz d'ici 2020, principalement en exploitant les ressources énergétiques de façon plus efficace, et en développant l'utilisation des énergies propres, notamment par l'utilisation de voitures électriques.
Kyoto et après
la pollution à Pékin
Changhua Wu ajoute que dans les négociations internationales sur le changement climatique, la Chine demande aux pays développés de faire la preuve de leur bonne foi, de montrer qu'ils cherchent réellement à s'attaquer au problème par des réductions de leurs émissions de gaz à effet de serre, comme ils se sont engagés à le faire aux termes du protocole de Kyoto.
"Si les occidentaux n'y arrivent pas avec les moyens technologiques dont ils disposent, est-il raisonnable de s'attendre à ce que la Chine et l'inde le fassent?" demande la directrice du bureau du Climate group en Chine.
Le protocole de Kyoto arrive à expiration en 2012, et des négociations sont en cours, sous l'égide de l'ONU, pour décider du système qui lui succédera. La Chine acceptera-t-elle de prendre des engagements précis et contraignants?
"La Chine ne va pas prendre des engagements pour ensuite ne pas les respecter" affirme Changhua Wu, "si elle s'engage, elle prendra ça très au sérieux. Elle doit donc tout d'abord décider ce qu'il lui est possible de faire".
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