阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, October 13, 2010

Plaidoyer pour une véritable industrie des énergies renouvelables


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES

Jeudi 14 octobre 2010.

Des experts algériens et étrangers, réunis mardi à Alger, ont appelé les chercheurs et les opérateurs économiques à se mobiliser davantage pour promouvoir l’exploitation industrielle des énergies alternatives. Lors d’une journée technique organisée en marge du 1er Salon international des énergies renouvelables, le Directeur général de l’Agence nationale pour la promotion et la rationalisation de l’utilisation de l’énergie (APRUE), M. Bouzeriba Mohamed Salah a mis en avant la nécessité de donner naissance à cette industrie qui connaîtra, à son avis," un développement adéquat dans le futur"..

APS.
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Don brésilien de 300.000 dollars pour les réfugiés sahraouis



Une caravane d'aide humanitaire d'un montant de 300.000 dollars fournie par le Brésil a quitté mercredi Oran, dans l'ouest de l'Algérie, vers le camp de réfugiés sahraoui de Tindouf dans le sud, a-t-on appris de source diplomatique.
Le départ de la caravane a donné lieu à une cérémonie à laquelle participaient le représentant du Programme alimentaire mondial (Pam) pour l'Algérie Ussama Osman et l'ambassadeur du Brésil dans ce pays Henrique Sardinha Pinto.

L'ambassadeur brésilien a indiqué que ces dons représentaient une première aide brésilienne de ce type pour les refugiés sahraouis. "C'est une aide humanitaire que notre gouvernement a décidé d'accorder suite à la visite que nous avons effectuée dans les camps de réfugiés sahraouis", selon ses propos cités par l'agence APS. Cette aide est destinée aux quelque 100.000 réfugiés du camps de Tindouf dans le sud-ouest algérien, a-t-on précisé de source diplomatique brésilienne à l'AFP.

Contribution des femmes de lettres à la pensée


Par : Amine IDJER


Rencontre d’écrivaines euromaghrébines à Alger
“Récits de vie, fiction et poésie comme contribution des femmes à la pensée”, tel est l’intitulé de la rencontre littéraire qu’animeront des écrivaines euromaghrébines qui se tiendra les 18 et 19 octobre prochain à partir de 9h, à l’Institut national supérieur de musique d’Alger (INSM).

Placée sous le patronage de Mme la ministre de la Culture, cette rencontre entre dans le cadre de la coopération entre le ministère algérien de la Culture et la délégation de l’Union européenne à Alger. Elle a bénéficié du concours de l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel (Aarc) et des services culturels des ambassades des États membres de l'UE à Alger.
Lors de la conférence, tenue hier matin, au niveau du siège de la délégation de l’Union européenne, Mme Agnès Guillaud a indiqué que la rencontre des 18 et 19 du mois en cours “entre dans le cadre du renforcement des relations culturelles et le dialogue interculturel” qui est le cheval de bataille de la délégation de l’Union européenne, que ce soit en Algérie ou à travers le monde. Revenant sur le but ou l’intérêt de ces journées littéraires, Mme Guillaud a tenu à préciser que l’une des priorités de la délégation de l’Union européenne dans le monde est “l’échange culturel et le dialogue interculturel qui permet de parler, de s’entendre et de se comprendre”. Toujours selon elle, la littérature est l’un des moyens les plus efficaces “pour véhiculer” les trois entités susmentionnées. C’est en présence de M. Orif (directeur de l’Aarc) et des représentants des services culturels des ambassades des États membres de l’UE à Alger (Espagne, Tchéquie, Belgique Wallonie Bruxelles, Suède, Autriche) que le programme de cette rencontre littéraire et une présentation succincte des participantes européennes ont été donnés.
Ce sont donc 15 écrivaines qui y prendront part dont Maïssa Bey, Fatima Bekhaï, Anna Kim (Autriche), Ouarda Ensighaoui-Himeur, Tereza Bouckova (Tchéquie), Françoise Lalande (Belgique) et bien d’autres.
Comme l’avait souligné M. Orif de l’Aarc dans son intervention, lors de ces deux journées littéraires, des “femmes écrivaines racontent leur vie”. Car, hormis le fait d’avoir un engagement d’écriture et/ou de littérature, avant toute chose, ces femmes ont un engagement social certain. Elles aborderont la pensée à travers l’écriture au féminin, et ce, par rapport aux différents champs littéraires qu’elles ont “envahis”. Car la plupart des participantes sont des touche-à-tout : roman, poésie, essai philosophique. Pour les participantes maghrébines, elles écrivent dans les deux langues : arabe, français, ce qui donnera une dimension plus vaste à ces rencontres, ainsi qu’au débat.
Autour de trois axes, à savoir le récit de vie comme expression de la réalité, la fiction comme expression de rêve et de changement et, enfin, la poésie comme espace de liberté, ces auteures échangeront leurs expériences et points de vue au sein de trois ateliers.

Algerie Facebook



selon une étude Webdialn@ réalisée par Med&Com et Ideatic
Facebook compte 1,2 million d’utilisateurs en Algérie

Facebook est très prisé en Algérie. Le premier réseau social au monde cartonne dans notre pays, où il compte actuellement 1,2 million d’utilisateurs.


C’est ce qui ressort d’une enquête, Webdialn@, réalisée par deux entreprises algériennes spécialisées dans le conseil en webmarketing (Med&Com) et les solutions logicielles (Ideatic) dont les résultats ont été rendus
publics hier.
Ce que l’étude Webdialn@ révèle de particulièrement frappant, c’est l’incontestable percée des réseaux sociaux, tels que facebook ou Twitter, pour ne citer que les plus connus. Pas moins de 32% des internautes déclarent se connecter pour accéder aux réseaux sociaux. Le grand gagnant de ce marché très porteur est sans conteste facebook, qui totalise 70% des connexions à des réseaux sociaux en Algérie. Chiffre à retenir : facebook compte 1,2 million de membres algériens», notent les auteurs de cette étude des usages et perceptions des internautes algériens. Cette enquête, qui s’est étalée sur quatre semaines (19 juillet-21 août 2010), a concerné un échantillon de 18 064 internautes qui ont répondu à un questionnaire électronique publié sur plusieurs sites web algériens. «Ideatic et Med&Com ont réalisé la plus grande enquête jamais menée en Algérie», explique la même source. Selon l’étude, l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC) se généralise dans la société algérienne et se propage à présent à travers les 48 wilayas du pays. «Loin d’être un effet de mode, la prise de conscience collective de l’importance des TIC est en train de s’ancrer chez nos concitoyens», commente-t-on encore. Le développement de l’ADSL a influé positivement sur la pénétration de l’internet en Algérie. «Alors qu’en 2009, la région centre du pays comptabilisait, à elle seule, 50% des internautes, en 2010, la donne a changé. D’autres régions ont profité du développement de l’ADSL. Ainsi, la région Ouest compte 21,8% des internautes contre 15,68% l’année dernière. Il en est de même pour le Sud qui passe de 9,36% à 12,4% cette année», lit-on dans le même communiqué.


Le faible débit mis en cause


L’enquête en question relève que les Algériens préfèrent se connecter chez eux ; ils représentent 77% de la totalité des internautes. «Plus de 50% des foyers équipés regroupent au moins trois utilisateurs», précise-t-on. Mais le débit ne suit pas. «52% des internautes disposent d’une connexion égale ou inférieure à 256 Kbits/seconde, ce qui est largement insuffisant pour le type de contenus proposés aujourd’hui sur Internet, que ce soit des vidéos, des jeux...», ajoute-t-on. Si Internet est utilisé largement par les étudiants, cette enquête note que les structures d’enseignement, en Algérie, sont faiblement connectées. «Ils ne sont que 9% des étudiants algériens à se connecter depuis leur lieu d’étu des», expliquent encore les auteurs du sondage. S’agissant des habitudes de connection, les internautes algériens sont des «internet addicts» puisqu’ils sont 66,7% à se connecter plusieurs fois par jour, dont 40% se connectent plus de 20 heures par semaine. Internet a tendance aussi à surclasser les médias traditionnels, puisqu’il devient l’outil d’information numéro 1 des internautes algériens. «74% des internautes algériens déclarent préférer Internet comme outil d’information», lit-on aussi dans ce document. Ce sondage révèle également l’existence d’une nouvelle habitude chez les Algériens : la consultation des publicités sur Internet : «Les internautes algériens sont très tentés de cliquer sur les bandeaux publicitaires qui s’affichent au cours de leur navigation.»

Madjid Makedhi

Les investisseurs émiratis entendent redynamiser leurs affaires en Algérie


Abdelaziz Abdallah El Ghoreir en Algérie
Alors que les projets émiratis sont remis sur les rails
Les investisseurs émiratis entendent redynamiser leurs affaires en Algérie à travers des projets dans les domaines du tourisme et de l'agriculture notamment.


Après quelques mois de flottement et de malentendus suite à la fermeture du bureau d'Emaar en Algérie en juillet 2009, les relations commerciales bilatérales semblent avoir repris un cours plus serein. Indice important de cette reprise, la visite officielle de deux jours, en Algérie de Abdelaziz Abdallah El Ghoreir, arrivé mardi soir et qui a été reçu par Abdelaziz Bouteflika, à la résidence Djenane El Mufti. Le visiteur émirati a insisté notamment sur le renforcement des relations commerciales entre l'Algérie et les Emirats arabes unis dans les domaines immobilier, touristique, financier et pétrolier. Il a indiqué également qu'il s'entretiendrait, durant sa visite, avec de hauts responsables et nombre de ministres à l'instar des ministres de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement et du Tourisme, précisant qu'il proposera des idées dans le cadre de l'appui et du renforcement des relations bilatérales, qu'il a qualifiées d'«exceptionnelles».


La visite de M. El Ghoreir intervient alors que le Conseil national des investissements (CNI) vient d'agréer d'importants projets émiratis et de remettre sur rails des projets bloqués en Algérie. L'aval du CNI a concerné, il y a quelques jours, des projets touristiques d'envergure en souffrance. Il s'agit d'un de complexe à Moretti, près de Sidi Fredj, comprewnant un hôtel 5 étoiles, des tours résidentielles, un centre commercial et une marina, le tout pour une valeur de 41 milliards de dinars. Smaïl Mimoune, ministre du Tourisme, avait indiqué, par ailleurs, dans une déclaration à la radio, il y a quelques semaines, que le groupe Emirat International Investments Company (EIIC) est détenteur d'un projet de construction pour un montant estimé à 13 milliards de dinars, qui devrait permettre d'ériger un hôtel 5 étoiles, 162 appartements et un centre d'affaires. L'autre projet, débloqué par le CNI est le fameux Dounia Park, un grand ensemble de loisirs et d'infrastructures diverses évalué à 5 milliards de dollars, situé au sud-ouest d'Alger et doté de caractéristiques modernes et écologiques.
Quand à l'impact des mesures concernant l'investissement introduits par la LFC 2009 sur les projets émiratis, le ministre des Finances, Karim Djoudi, a précisé que ces investissements ont été décidés dès 2007, soit avant la promulgation des mesures, et ne seront donc pas concernés par le partage des parts à hauteur de 59% pour le partenaire algérien et 41% pour l'investisseur étranger. Un éclaircissement de taille qui garantit aux Emiratis une grande marge de manœuvre pour la remise sur rails de leurs projets.


Zhor Hadjam

Rencontre euro-maghrébine des écrivaines


Auditorium de l’Institut national supérieur de musique d’Alger

Une rencontre euro-maghrébine des écrivaines se tiendra, du 18 au 19 octobre, à l’auditorium de l’ Institut national supérieur de musique d’Alger.

Après le succès enregistré, en octobre dernier, à Alger, lors d’une rencontre similaire qui avait réuni quelques représentants de la littérature nationale et étrangère, les initiateurs ont réitéré ce genre de manifestation, cette année, en invitant des plumes féminines prolifiques. C’est sur le thème : «Récit, fiction et poésie comme contribution des femmes à la pensée», que quinze écrivaines, issues d’Europe et du Maghreb, échangeront leurs expériences et points de vue au sein de trois ateliers et des conférences consacrés à chacun des genres retenus, dont le récit de vie comme expression de la réalité, la fiction comme expression de rêve et de changement et la poésie comme espace de liberté.

Lors d’un point de presse animé, au niveau du siège de l’Union européenne, par Mme Guillaume Agnès, conseillère politique et commerciale de la délégation européenne, les grandes lignes du programme de cette manifestation ont été dévoilées à la presse nationale. «Nous avons, dira-t-elle, reconduit cette initiative pour renforcer les relations. Cette rencontre euro-maghrébine des écrivaines témoigne de l’échange et du dialogue interculturel entres les Etats membres de l’Union européenne et de certains pays du Maghreb. La mondialisation fait qu’il y ait des échanges qui se font de plus en plus vite.» Il est à noter que cette rencontre entre dans le cadre de la coopération entre le ministère de la Culture algérien et la délégation de l’Union européenne à Alger, du concours de l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) et des services culturels des ambassades des Etats membres de l’UE à Alger. Ainsi pendant deux jours, de 9h à 17h, quinze écrivaines viendront débattre d’une problématique donnée.

Ces auteures sont originaires d’Algérie, de Tunisie, du Maroc, de la Belgique, de l’Autriche, de la République tchéque, de la Suède et de l’Espagne. L’Algérie sera représentée par huit auteures, en l’occurrence Zineb Laouedj, Maïssa Bey, Fatima Bekhaï, Ouarda Ensighaoui Himeur, Fatima Oussedik, Nadia Sebkhi, Lamine Hamina et Khadidja Nemri. Directrice depuis une quinzaine d’années d’une maison d’édition à Alger, la poétesse Zineb Laouedj interviendra sur «Expressions au féminin», «Créations et cercles littéraires dans les pays du Golfe» et «Vivre un poème», son expérience avec son dernier poème «une élégie au lecteur de Baghdad».

La Tunisie sera à l’honneur avec l’écrivaine Azza Fillali qui abordera dans la thématique «Forces et périls de l’autofiction». La Marocaine, Rachida Madani, présentera deux communications portant sur le «Récit de vie aux prises avec l’écriture» et «Quand Shahrazed prend la parole». La Tchéque, Tereza Bouckova, interviendra sur le thème suivant : «Une raison à soi», réflexion sur son oeuvre 82 ans après le récit Une chambre à soi de Virginia Woolf. Quand cette écrivaine a fait son entrée en littérature, elle fut officiellement interdite de publication et ses livres ne paraissaient que sous forme d’autopublication.

En 2008, elle publiait le roman à succès L’année du coq et en 2010, elle a édité Calvaires et autres tourments. La Suédoise, Anna Karin Palm, animera une conférence intitulée «Tout reste à faire». Elle s’est fait connaître comme conteuse d’histoires fantastiques dans la pure tradition anglaise, inspirée par Virgina Woolf. Elle joue d’une manière remarquable avec les genres et les époques, utilisant facilement des pastiches.

Nacima Chabani

A l’initiative de l’association Tussna de Tizi Ouzou


Premier prix littéraire Tahar Djaout

Ce concours est ouvert aux écrivains amateurs (débutants) âgés de 25 à 45 ans.

Après avoir organisé plusieurs manifestations en hommage à l’écrivain, poète et journaliste Tahar Djaout, l’association culturelle Tussna de Aïn El Hammam (Tizi Ouzou) lance la première édition du prix littéraire en l’honneur de l’auteur des Vigiles. Il s’agit d’un concours ouvert aux jeunes écrivains amateurs (débutants) âgés de 25 à 45 ans. Les candidats doivent, précisent les organisateurs de ce prix, présenter un livre sous forme de nouvelle ou de roman, dont le thème évoque un sujet de société. Le dernier délai de remise des ouvrages est fixé pour la fin mars 2011, ont souligné les membres de l’association organisatrice de ce concours qui informent, en effet, les candidats à faire parvenir leurs travaux à l’adresse de Tussna (15200, Aïn El Hammam, Tizi-Ouzou. Algérie) ou à la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou.

Les trois meilleurs ouvrages seront primés. «Ce concours entre dans le cadre de nos programmes d’animation autour du livre et de la lecture. Notre objectif est d’inciter, à travers ce genre d’activité, les citoyens à s’intéresser à la littérature algérienne. Nous voulons aussi rendre hommage à Tahar Djaout et faire redécouvrir son travail et son talent dans les domaines du journalisme, de la poésie et de la littérature», nous a expliqué Ziad Lafgoum, président de l’association culturelle Tussna. Et d’ajouter que «ce prix Tahar Djaout permettra aux écrivains de sortir de l’anonymat, car nous avons beaucoup de jeunes talentueux qui restent toujours ignorés».

Notons que l’association Tussna accompagnera les trois lauréats de ce rendez-vous dans la publication de leurs ouvrages. «Nous avons plusieurs demandes, mais, pour l’instant, nous n’avons pas beaucoup de moyens pour satisfaire plus de candidatures», ajoute le président de ladite association. Pour ce qui est du comité de sélection, trois commissions ont été mises sur pied, depuis un mois, pour travailler et passer au peigne fin les ouvrages déjà reçus.

Par ailleurs, rappelons que Tahar Djaout a été assassiné par les hordes intégristes, un certain 26 mai 1993, à l’âge de 39 ans, laissant derrière lui une œuvre palpitante et riche. Il a eu un parcours digne d’un illustre homme de culture algérien. Ses travaux et ses publications témoignent amplement de la dimension du regretté. En outre, le journaliste a édité plus d’une dizaine de livres entre romans et recueils de poésie. On citera Les Chercheurs d’os à travers lequel il a décroché, en France, le prix de la fondation Del Duca, une distinction internationale récompensant annuellement des personnages du monde littéraire ou scientifique.

D’autres publications sont également empreintes d’une littérature au style bien raffiné, à l’image de L’exproprié, L’invention du désert et les Vigiles, un roman qui a été adapté en pièce théâtrale par le dramaturge et metteur en scène Omar Fetmouche.

Hafid Azzouzi

Tizi Ouzou prévision de production de 150 000 qx de pomme de terre



Il est prévu, dans la wilaya de Tizi Ouzou, de réaliser, durant cette saison une production d'environ 150 000 quintaux de pomme de terre car il est attribué une superficie de 658 hectares pour ce produit selon la direction des affaires agricoles.
Les producteurs de semences de pomme de terre améliorées, soutenus par la direction des affaires agricoles ont réussi à réaliser, la saison passée, une production considérable qu'ils ont commercialisée en grandes quantités dans les wilayas du centre du pays et des Hauts- Plateaux, ce qui a contribué à réduire l'importation de cet tubercule.
La même source a ajouté que plusieurs agriculteurs à Tizi Ouzou se sont spécialisés ces derniers temps dans la culture de la pomme de terre et des semences améliorées au même temps, cela grâce aux différentes procédures de soutien et subventions d'encouragements programmées au profit des agriculteurs. La production de pomme de terre a dépassé, la saison passée, dans cette wilaya, ce qui était prévu, car il a été réalisé une production de 86 000 qx pour la consommation sur une superficie de 338 hectares, et 55 000 quintaux de semences améliorées sur une superficie de 232 ha.

O.B.

Algerie diffusion des effets du développement à toutes les populations



Dans un esprit pour une meilleure gestion économique et de recherche de son efficacité, les pouvoirs publics mènent un "exercice" des plus comptables dont l'objectif reste de tendre vers plus d'harmonisation. Cet engagement concerne en premier lieu, la mobilisation des ressources financières, l'ouverture sans exclusive à l'investissement privé national et aux IDE, la mise en place de nombreux mécanismes novateurs en vue d'une grande efficacité de cette ouverture. On dit à ce sujet, que les bases essentiellement d'un développement dynamique du marché national des biens de production, d'investissement et de consommation sont définitivement fixées comme des priorités absolues. D'une manière générale les avancées constatées et endossées par l'action du gouvernement sont liées à l'atteinte des buts et objectifs et qui sont inhérents à la mise en œuvre effective de cette efficacité de développement. La mise en synergie de ce modèle de gestion, est une préoccupation gérée à travers une cohérence qui se veut un point de départ fondamental en ce qui concerne les grands axes et la définition d'un processus de développement économique et social décentralisé. La planification est en train de se succéder dans le but d'amorcer et d'approfondir les résultats et les prises en charges des nouvelles préoccupations des populations. A cette étape précise, le programme quinquennal 2010/14, a retenu tous les outils enserrant l'ensemble de l'économie pour garantir et la cohérence entre les régions, et la "diffusion" des effets de ce développement aux populations. La répartition du progrès économique illustre la démarche suivie, et qui tend à préciser et à enrichir progressivement le potentiel de chaque wilaya tant dans son contenu que dans ses objectifs économiques et sociaux et dans sa méthodologie, organisation dans le cadre de la décentralisation du développement durable. Face à ces choix, le chef de l'Etat a, au cours des réunions restreintes qu'il a consacrées à chaque département ministériel, retenu un certain nombre de conclusions sous forme de recommandations, d'orientations et d'instructions en matière d'objectifs et de politique de développement. Elles concernent plus particulièrement la nécessité d'orienter et de concentrer l'intervention des pouvoirs publics vers la construction de l'économie au service de la nation. Avec cette stratégie affirmée comme condition déterminante, la volonté politique accorde une priorité absolue aux problèmes de développement et d'amélioration des conditions de vie des populations, surtout que le programme quinquennal mis en œuvre éclaire cette volonté par une vision et des objectifs pour la résolution des problèmes de fond de la société algérienne. L'objectif final visé par le Président est d'asseoir le développement du pays sur des secteurs modernes valorisant les ressources naturelles et capables de couvrir les besoins principaux du marché national, atteindre une forte augmentation des emplois nouveaux, une forte dynamique dans la distribution du revenu national engendrant considérablement les moyens modifiant le niveau général de la population. L'étape actuelle exige donc de tous de se préoccuper de la "riposte" à la crise économique mondiale, la suppression de l'obstacle moral entre l'administré et l'administration afin que toute la collectivité nationale s'ouvre sur l'avenir. Peut-être qu'ainsi il sera possible de consolider tous les "terrains" d'entente pour une réelle et définitive relance de la modernisation reposant sur des structures justes en parallèle avec le progrès capable d'offrir une démarche rationnelle sérieuse en ce qui concerne la transformation de la société algérienne. En définitive, la sauvegarde et la consolidation des acquis ne peuvent que renforcer le sentiment nationaliste des Algériens et, partant, l'évolution du pays en rapport avec les grandes lignes définies par le programme présidentiel.
B. Chellali

Maison de l’Algérie

Site Web en construction

Projet de l’association « Maison de l’Algérie »

Association loi 1901



L’Association Maison de l’Algérie vise à encourager, soutenir et assurer la promotion de projets économiques, sociaux, touristiques, culturels, artistiques, universitaires et technologiques dans un esprit de réciprocité entre les deux sociétés civiles française et Algérienne.

L’Association Maison de l’Algérie est totalement indépendante de tout organisme politique ou religieux et s'interdit toute propagande politique ou prosélytisme de quelque nature que ce soit.

L’Association Maison de l’Algérie bannit toute discrimination basée sur l’origine, la race, le sexe, le handicap ou les convictions religieuses et spirituelles.


contact@maisondelalgerie.com

Algérie - Les investisseurs français et l’Elysée y croient encore



Pour l’entourage de Sarkozy, l’Algérie « va décoller »

Écrit par Akram Belkaïd
Algérie - Les investisseurs français et l’Elysée y croient encore
Comment les milieux d’affaires français perçoivent-ils l’Algérie ? Une impression tenace que ce pays qui se plaint de la faiblesse des investissements français fait ce qu’il faut pour qu’il n’en soit pas autrement. Mais le jugement doit être fortement nuancé. A Paris, des investisseurs et l’Elysée continuent à y croire.


Les milieux d’affaires français désespèrent-ils de l’Algérie ? En juillet 2009, des rencontres organisées par Ubifrance à Paris avaient donné le ton. De façon générale, les commentaires suivants revenaient comme une litanie dans les interventions des orateurs mais aussi des hommes d’affaires présents dans l’assistance : manque de lisibilité quant à la politique économique du gouvernement algérien, sérieux doutes quant à la pérennité de l’ouverture libérale des années 1990 et interrogations sur la réalité des nombreux projets d’investissements annoncés par Alger. La fameuse loi des finances complémentaire (LFC 2009) était passée par là et les récents événements, notamment le bras de fer autour de l’avenir d’Orascom Telecom Algérie (OTA-Djezzy) ont vraisemblablement renforcé cette expectative.

« Il y a plusieurs éléments qui déroutent et rebutent l’investisseur », confie le représentant pour l’Afrique du Nord d’un groupe industriel français. « Le plus important d’entre eux est qu’on a l’impression que l’Algérie ne veut pas vraiment des investisseurs étrangers. Tout est fait pour leur signifier qu’ils ne sont pas les bienvenus. Il y a une dureté dans le propos, une attitude qui consiste à soupçonner l’investisseur de vouloir profiter du pays. C’est étrange parce que cela contredit le discours officiel qui reproche aux opérateurs étrangers de ne pas investir ».

Résultat, l’image d’un pays où il est bien plus rentable d’écouler ses produits plutôt que de chercher à les fabriquer sur place est plus que jamais renforcée à l’heure où les deux voisions tunisien et marocain clament leur volonté de faire partie des pays émergents moyens, à l’image des CIVETS (Colombie, Indonésie, Vietnam, Egypte, Turquie et Afrique du Sud), et ne cessent de communiquer sur le plan international sur leur attractivité.



Priorité à la balance commerciale

Certes, officiellement, les responsables français clament toujours que la coopération franco-algérienne s'inscrit « dans la durée et le long terme » avec 400 entreprises françaises présentes en Algérie dont dépendent 35.000 emplois directs et 100.000 indirects. En visite à Alger pour deux jours, la secrétaire d'Etat française chargée du Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac, n’a pas tenu un autre langage en annonçant « un rythme nouveau dans la relation France-Algérie » et une volonté « du gouvernement français et des entreprises françaises de développer les investissements » en Algérie.


Mais pour ce banquier très au fait des relations franco-algériennes, cette visite « relève plus d’une démarche défensive destinée à faire en sorte que la balance commerciale bilatérale continue de pencher en faveur de la France » sachant que l’Algérie est l’un des rares pays hors-OCDE à enregistrer un déficit commercial négatif avec la France. Inquiets du refroidissement des relations politiques entre les deux capitales, de nombreux exportateurs français, notamment de biens de consommation, font pression pour Paris pour éviter que leurs parts de marchés ne soient pas rognées par la concurrence de nouveaux entrants sur le marché algérien, notamment la Chine et la Turquie. En bref, la balance commerciale demeurerait une priorité pour Paris et cela bien avant l’investissement.


Analysée nuancée à l’Elysée

Pour autant, l’analyse de l’Elysée pourrait être plus nuancée. L’entourage de Nicolas Sarkozy semble en effet convaincu que « l’Algérie va décoller dans les prochaines années » et que la France a intérêt à ne pas rater le coche. C’est ce qui explique le souhait français de voir les deux pays organiser un forum algéro-français sur l’investissement et le commerce, au premier semestre 2011. C’est ce qui explique aussi la nomination de Jean-Pierre Raffarin à la tête d’une mission de réflexion pour le développement des investissements bilatéraux. L’ancien Premier ministre de Jacques Chirac doit normalement se rendre à Alger au début du mois de décembre. Ce sera l’occasion pour lui de délivrer son message mais aussi, selon des sources diplomatiques françaises, d’essayer de convaincre les autorités algériennes que l’investissement direct étranger exige un minimum de cohérence et de lisibilité en matière de cadre juridique.

Algerie L’ÉTAT AUGMENTE L’AIDE AUX PERSONNES ÂGÉES


10.000 DA pour... mourir en paix

Les amendements portant sur l’annulation des sanctions infligées à un membre de famille en cas d’abandon de parents n’ont pas été retenus.

Une pension représentant les trois quarts du Smig, soit 11.300 DA, sera attribuée à la frange des personnes âgées. Alors qu’elle était de 3000 dinars, cette aide va tripler pour atteindre plus de 10.000 DA. C’est une véritable bouffée d’oxygène! Cette allocation concernera les personnes fragilisées et sans revenu et celles à revenu faible. Désormais, l’Etat va allouer à cette catégorie un budget annuel dans la loi de finances octroyé à travers le Fonds national de solidarité. Une carte spéciale pour personnes âgées sera élaborée par le ministère de la Solidarité. Ce n’est pas tout.
Cette catégorie bénéficiera de l’attention des institutions. Un rapport détaillé sur leur situation sera transmis annuellement au président de la République et au Parlement pour proposer les conditions de prise en charge. C’est ce que prévoient les amendements retenus dans le projet de loi sur les personnes âgées qui a été adopté hier à la majorité par les députés. A l’exception du Parti des travailleurs qui a rejeté le texte, et le RCD qui s’est abstenu, les autres partis ont approuvé ce texte sur les personnes âgées. Les amendements portant sur l’annulation des sanctions contre un membre de la famille en cas d’abandon n’ont pas été retenus. Le ministre de la Solidarité nationale et de la Famille, Saïd Barkat, a expliqué que l’objectif est d’ordre dissuasif pour éradiquer ce phénomène. Pour abandon des parents, les proches risquent 18 mois de prison et une amende allant jusqu’à 2 millions de centimes selon les articles 7 et 29 du projet de loi. Satisfait par le résultat du vote, le ministre de la Solidarité a réitéré que ce projet de loi vise à améliorer la prise en charge de cette catégorie. Il est vrai, le nombre des personnes âgées abandonnées est insignifiant, mais le gouvernement a jugé utile de prendre ses précautions. «Ce projet est une véritable sonnette d’alarme», avait-il précisé en déplorant la régression des valeurs morales au niveau de la société algérienne. Selon les chiffres avancés par le ministre, le nombre des personnes âgées est de 2,1 millions sur les 35 millions d’Algériens. Selon lui, 877 personnes âgées sont des malades mentaux. Les structures de prise en charge sont au nombre de 32 centres à l’échelle nationale.
Par ailleurs, il y a lieu de souligner que le nouveau projet de loi ne tardera pas à entrer en application. Le ministre de la Solidarité nationale et de la Famille promet d’en accélérer la procédure. En réponse aux préoccupations des députés qui s’interrogeaient sur la mise en application de cette loi, le ministre a été rassurant. «Les textes d’application seront promulgués dès que le projet sera adopté par le Parlement», a répondu M.Barkat lors de son intervention à la plénière consacrée à l’examen du projet de loi sur la protection des personnes âgées. «Une équipe travaille déjà sur les textes», a-t-il ajouté. Les parlementaires étaient nombreux à s’interroger, hier, sur l’entrée en vigueur de cette loi. Les textes d’application accusant beaucoup de temps pour être publiés, les députés ont attiré l’attention du département de la solidarité sur ce détail important.

Nadia BENAKLI