阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, March 16, 2011

Google Resources related to the 2011 Japan Crisis



Google a mis en place un bouton qui permet de faire un don à la Croix-Rouge japonaise sur le site Google Crisis Response.

Mr le president Nicolas Sarkozy appele solennellement l'ONU



Libye: Sarkozy lance un appel à l'ONU
Nicolas Sarkozy a appelé "solennellement" les membres du Conseil de sécurité à "soutenir" l'appel de la Ligue arabe en faveur d'une zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Libye, dans une lettre adressée aujourd'hui à leur chefs d'Etat et de gouvernement.

"Il est plus que temps pour la communauté internationale, à travers le Conseil de sécurité, de se rassembler pour tirer les conséquences de cette situation et répondre sans délai à l’appel pressant de la Ligue des États arabes", assure le chef de l'Etat.

"Ensemble sauvons le peuple libyen martyrisé ! Le temps se compte maintenant en jours, voire en heures. Le pire serait que l’appel de la Ligue arabe et les décisions du Conseil de Sécurité soient mis en échec par la force des armes", écrit Nicolas Sarkozy.

Libye . Nous avons besoin de l'aide européenne



Les habitants de l'Est libyen fuient l'assaut de Kadhafi
De Jennie MATTHEW (AFP)

SALLOUM — Face à la percée des troupes de Mouammar Kadhafi dans l'est de la Libye, un flot sans cesse grandissant de Libyens, chargés de leurs biens, rejoignait mercredi l'Egypte, dans la crainte qu'un déluge de plomb ne s'abatte sur cette région, fief des rebelles.

Des voitures remplies de familles entières, les bagages empilés sur le toit, passent lentement le poste-frontière égyptien de Salloum, par lequel, il y a un mois, des milliers de réfugiés avaient déjà fui les combats dans l'Est libyen.

Mais s'ils quittaient alors une région passant sous le contrôle des opposants au colonel Kadhafi, désormais c'est l'avancée de ses fidèles qui jette sur la route par centaines des personnes craignant de nouveaux bombardements à Ajdabiya, Benghazi, la capitale rebelle, et Tobrouk.

Mardi, ils étaient, selon les gardes frontières égyptiens, 1.200 à être entrés en Egypte. Depuis, leur nombre n'a cessé de grandir, passant de quelques dizaines tôt le matin mercredi à un défilé continuel en fin d'après-midi.

Abdel Latif Khaled explique ainsi qu'il compte rejoindre au Caire sa famille, qui avait fui au début de la crise.

"J'ai peur, parce qu'on entend beaucoup de choses à la télévision et on ne sait pas vraiment ce qu'il se passe", explique-t-il. Les combats font rage à Ajdabiya, dernier verrou rebelle avant Benghazi contre laquelle les autorités ont annoncé un assaut "imminent".

Zeinab al-Charif, une étudiante en anglais, vient justement de fuir Ajdabiya, une cité qui a pris des allures de ville fantôme.

"Nous somme terrifiés, c'est horrible à Ajdabiya, ma maison est détruite", raconte-t-elle, expliquant être partie sans pouvoir même prendre de vêtements ou son passeport.

"C'est vraiment terrible. Les enfants pleurent. Pourquoi font-ils cela?", se lamente la jeune fille, dont le frère combat les troupes du "Guide" de la révolution libyenne, au pouvoir depuis 42 ans.

Fatma, une institutrice de 40 ans, qui a fui cette même localité avec son mari et leurs enfants, décrit des scènes de désolation: "Tout est fermé", résume-t-elle.

Hassan ne cache pas sa colère vis-à-vis de la communauté internationale qui, après des semaines de tergiversations, n'est pas venue en aide aux insurgés en décrétant une zone d'exclusion aérienne ou en procédant à des frappes ciblées.

"Les Européens ont refusé de nous aider. Nous avons besoin de l'aide européenne et américaine. Nous voulons qu'ils nous donnent des armes", martèle-t-il.

Rafiq, qui est originaire de Benghazi, accuse lui Kadhafi d'être "un monstre créé" par les Etats-Unis : "pourquoi les Américains blablatent sur la démocratie. Nous voulons la démocratie, rien de plus (...) et quand on demande l'aide internationale, ils préfèrent l'argent et le pétrole".

Sa fille de 14 ans, Anour, décrit "l'enfer" qu'elle a vécu. "On ne pouvait pas dormir, on a eu peur, on a tout vu. C'est vraiment dur là bas", dit-elle avant d'asséner, "je veux tuer" Kadhafi.

Abou Abbas, un Irakien qui enseigne la physique à l'université d'Al-Baïda, à l'est de Benghazi, a même décidé de retourner dans le sud de l'Irak, où les violences sont pourtant toujours quotidiennes.

"Nous partons parce que les (forces de Kadhafi) arrivent à Benghazi", explique-t-il. "Je ramène ma famille à Bassora", explique cet homme accompagné de ses six enfants.

Mouammar Kadhafi semble en passe de vaincre la rébellion qui menace son pouvoir depuis le 15 février, début d'une insurrection sans précédent qu'il réprime dans le sang.

Depuis une semaine, ses troupes, appuyées par l'aviation et de l'artillerie lourde, enchaînent les victoires dans l'Est, mais la frontière avec l'Egypte échappe encore à son contrôle.

Copyright © 2011 AFP

Union pour la Méditerranée nouvelle dimension collective


Un plan Marshall pour l'Afrique du Nord

L'aspiration démocratique et la revendication de dignité des peuples du monde arabe ont été au coeur des révoltes ouvertes par l'insurrection tunisienne. Les années de dictature et la permanence de régimes autoritaires pèsent lourd. Le couvercle commence à peine à se soulever. Mais les commentateurs qui se sont succédé dans les médias ont bloqué leur curseur exclusivement sur la démocratie. Ainsi, même un journal économique comme La Tribune évoquait à peine la question économique comme élément constitutif de l'insurrection
Or notre hypothèse est que la crise économique est le facteur-clé du mouvement de révolte ou de révolution du monde arabe. Il est celui qui a permis de faire éclater une colère qui n'aurait pu vraisemblablement exploser que beaucoup plus tard. L'effondrement brutal des économies arabes non rentières (puis rentières) dû à la crise a brisé le tacite pacte social - développement versus autoritarisme - qui caractérisait la Tunisie, l'Egypte et la Libye, et qui est encore le modèle dominant d'autres pays (Jordanie, Maroc, Syrie, pays du Golfe, etc.).

Aujourd'hui, l'équation politique se calcule sur les bases suivantes. La crise a fait tomber les dirigeants répressifs et politiquement grillés. Des réformes constitutionnelles vont ouvrir (vraisemblablement largement, voire très largement) le champ démocratique. Mais les gouvernements de transition et les gouvernements élus vont être jugés par les citoyens à l'aune de leur capacité à créer des emplois et à donner du pain. Or, d'une part, les gouvernements tunisien et égyptien vont devoir restaurer une économie brisée par la période de la révolte et, d'autre part, vont surnager dans un monde économique toujours secoué par la crise.

Autrement dit, si l'attente populaire est déçue, nous risquons de voir se jouer un deuxième tour révolutionnaire qui, cette fois-ci, portera de nouveaux extrémistes ou de nouveaux populistes autoritaires au pouvoir. Et, dans cette nouvelle configuration, les violences seront au rendez-vous dans des proportions sans commune mesure avec celles du mois de janvier 2011. De ce point de vue, l'instabilité commence à peine...

C'est donc la seconde phase du processus révolutionnaire qui sera décisive. Celle du rééquilibrage des économies arabes. Comme le note le Forum euroméditerranéen des instituts de sciences économiques (Femise) dans son dernier rapport, "ceci indique que, dès la sortie de crise, les pays concernés devront veiller à maintenir la confiance par une gestion rigoureuse des grands équilibres et par une ouverture très prudente aux marchés internationaux (pourtant indispensable)". Or ces économies ont globalement raté la phase de développement des années 1970-1980 qui ont vu le décollage de l'Asie.

Les mauvais choix politico-économiques n'ont permis que des stratégies de rattrapage. Pourtant, l'enjeu est colossal : "Si l'on poursuit les tendances actuelles, sans dégrader la situation relative d'emploi (taux d'emploi et taux de chômage constants), il faudrait créer 22,5 millions d'emplois d'ici à 2020. Avec la pression démographique, ce seront 130 millions de personnes sans emploi et 12 millions de chômeurs officiels supplémentaires. Ce sont donc 30 millions de personnes supplémentaires qui ne se sentiront pas intégrées dans cette région (avec une part importante de hauts diplômés puisque les pays méditerranéens ont déjà beaucoup investi dans l'éducation)."

Il faudra aussi trouver 300 milliards d'euros en investissements d'ici à 2030 pour des pays méditerranéens dont la moitié de la population est âgée de moins de 15 ans. Ou bien, sous une forme dynamique, "il faudrait une croissance annuelle de plus de 8 % en moyenne pendant quinze ans". Tant que ces pays ne seront pas passés du bon côté de la transition démographique (c'est-à-dire dans vingt à trente ans pour les seuls pays du Maghreb), nous vivrons assis sur une poudrière.

On a souvent parlé, jusqu'à en épuiser le contenu, de plan Marshall pour tout et n'importe quoi. Aujourd'hui, ce concept prend tout son sens. Les déclarations dramatiques parlant d'une Méditerranée où tout se perd et se gagne sont rattrapées par la réalité. Les "révolutions" en marche dans le monde arabe ne sont que les prémices d'un malaise beaucoup plus profond de sociétés éreintées et spoliées mais qui, désormais, ont décidé de dire non.

En s'engageant pour le changement en Tunisie et en Egypte, le président Obama a, semble-t-il, compris l'aspiration démocratique qui s'exprime. Il n'est pas sûr qu'il ait bien perçu le fait que cela entraînait corrélativement la modification en profondeur du modèle économique dont son pays a été le porteur depuis trente ans. Le retour de l'action collective est une nécessité vitale et la moribonde Union pour la Méditerranée doit être repensée dans une nouvelle dimension collective, pour porter ce nouveau plan Marshall basé sur les mêmes enjeux politico-stratégiques que le premier : empêcher la violence interne et la guerre par une politique intensive de développement.

Jean-François Daguzan, Fondation pour la recherche stratégique, rédacteur en chef de la revue "Maghreb-Machrek"
Article paru dans l'édition du 17.03.11

le chef de l'état Nicolas sarkozy à beaucoup de force pour supporter tout ce mépris



Mr le chef de l'etat Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa, dit Nicolas Sarkozy [nikɔla saʁkɔzi] , né le 28 janvier 1955 à Paris, est un homme d'État français.

Avocat d'affaires de profession, il a occupé les fonctions de maire de Neuilly-sur-Seine, de député, de porte-parole du gouvernement, de ministre du Budget, de ministre de la Communication, de ministre de l'Intérieur, de ministre de l'Économie et des Finances et de président du conseil général des Hauts-de-Seine.

Alors qu'il est président de l'UMP, Nicolas Sarkozy remporte l'élection présidentielle de 2007 avec 53,06 %
Il prend ses fonctions de vingt-troisième président de la République française le 16 mai 2007, et préside le Conseil européen du 1er juillet au 31 décembre 2008, l'Union pour la Méditerranée depuis le 13 juillet 2008 et le G20 pour l'année 2011.

le chef de l'etat Nicolas sarkozy soutien le peuple Japonais dailymotion BFMTV


Le soutien et la solidarité de la France au Japon par BFMTV

Soutient au chef de l'etat Nicolas Sarkozy Libye



soutenir le président français Mr Nicolas Sarkozy, Libye un sujet sur lequel nous devons apporter notre soutien au chef de l'état,l'Europe, et plus particulièrement la France, peut trouver là l'occasion de marquer sa différence.

consultant Algerie France Viadeo




Viadeo est un réseau social professionnel D'abord lancé en France, Viadeo s'est aujourd'hui fortement développé à l'international, notamment en Europe et dans les pays émergents. Depuis décembre 2010, le site revendique 150 000 connexions par jour entre membres et 35 millions de membres .

Mr le chef de l'état nicolas sarkozy J’ai besoin de m’imprégner de vous



Nicolas Sarkozy s'inquiète des événements au Japon
Changement de ton pour le chef de l'Etat qui s'est montré extrêmement préoccupé, mardi, par l'évolution de la situation à la centrale nucléaire de Fukushima.
Ce n’est qu’au bout du chemin vinicole numéro 2 que l’on arrive au lieu-dit de Vignebarrade, près de Lacour (Tarn-et-Garonne). C'est dans cet ensemble de jolis bâtiments en pierres et poutres apparentes que se situe l’exploitation de Sophie Poux. Une productrice de lait que Nicolas Sarkozy avait rencontrée il y a un an, lors de l’émission de TF1 Face aux Français. Le Président lui avait promis de revenir la voir. Promesse désormais tenue, en compagnie d’une bonne poignée de journalistes.Mais la tragédie japonaise était, mardi, dans toutes les têtes. Nicolas Sarkozy, qui préside le G20 au nom de la France, a profité d’une table ronde organisée à Lauzerte, après la visite de l’exploitation de Mme Poux, pour annoncer la tenue d’un « sommet des ministres de l’Economie », au début du mois d’avril.

« Ces événements sont graves, très graves », martèle Sarkozy devant l’assemblée venue l’écouter à la salle des fêtes. Le président de la République assure qu’il se tient informé « minute par minute » de la situation au Japon, et qu’il sera question du nucléaire lors du Conseil des ministres de ce mercredi. Faisant allusion à la catastrophe nucléaire qui touche l’archipel depuis le séisme, Sarkozy insiste sur le fait qu’il faut se servir du « retour d’expérience » nippon pour « garantir aux Français que ça ne peut pas se passer chez nous ».

« J’ai besoin de m’imprégner de vous »
Venu dans la région d’Agen pour s’intéresser aux problématiques du monde paysan, le chef de l’Etat a profité, par ailleurs, du fait d’avoir face à lui de jeunes agriculteurs pour prononcer un discours offensif sur la « valeur travail », s’attaquant à la loi Aubry sur les 35 heures : « On a été les seuls au monde à le faire », s’est-il d’abord indigné. Puis il insiste : « Comme les entreprises ne pouvaient pas faire face à cette décision folle », le résultat, c’est que « c’est le contribuable qui paie ». Un message sur le temps de travail que Sarkozy avait pu roder dès le matin. Questionnant en effet Sophie Poux, témoin de l’émission de TF1, sur ses objectifs professionnels, celle-ci a répondu en souriant : « Travailler moins pour gagner plus », avant de rectifier, avec le sourire : « Travailler autant pour gagner plus. »

Avant de quitter le Tarn-et-Garonne, le chef de l’Etat s’est plaint de ceux qui, dit-il, lui demandent sans cesse de parler « du Japon, de la Libye ». S’il multiplie depuis quelques semaines les déplacements en province, il y a à cela une raison : « J’ai besoin de m’imprégner de vous. » Et de rajouter, caustique, qu’il préfère cela à faire des « commentaires sur Washington et ceux qui y habitent ». Dominique Strauss-Kahn aura apprécié.

Par De notre envoyé spécial dans le Tarn-et-Garonne, Tugdual Den

comment une jeune fille de 14 ans remet à leur place les dirigeants du monde Youtube

Mr le President Nicolas Sarkozy le Mr Robert Schuman de la Méditerranée



"L'avenir de l'Europe est au Sud. Nous avons trop longtemps tourné le dos à la Méditerranée", a déclaré mr le chef de l'état Nicolas Sarkozy. Pour l’homme politique, Mr le President Nicolas Sarkozy le Mr Robert Schuman de la Méditerranée imagine cette Union basée sur trois piliers politiques: une politique commune d'immigration choisie, une stratégie écologique avec, entre autres, une gestion commune de l'eau et enfin une politique commune de co-développement.

Actualité Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES



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Europe L’union européenne Algerie énergies renouvelables



Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
L’union européenne veut participer aux projets d’énergies renouvelables destinés à l’exportation
Mercredi 16 mars 2011.

L’Union européenne étudie la possibilité de participer au financement des projets de production d’énergies renouvelables dans la rive sud de la méditerranée, destinés à l’exportation, a révélé récemment à Alger un haut responsable de la commission européenne. "L’UE souhaite un partenariat gagnant- gagnant dans les projets des énergies renouvelables, des travaux sont en cours pour en clarifier les conditions- cadres et les aspects commerciaux", a déclaré M. Fabrizio Barbaso, directeur général adjoint à la commission européenne, chargé de l’énergie et du transport. " Il faut que l’UE assure une partie des financements de ces projets, mais seulement s’ils ont une vocation d’exporter la production comme c’est le cas avec le plan de développement des énergies renouvelables de l’Algérie", a ajouté M. Barbaso lors d’une conférence débat sur "la politique énergétique européenne et la méditerranée"..

Il est nécessaire, selon lui, "d’avancer sur la question des financements par des investissements à grande échelle"..

M. Barbaso a cependant ajouté qu’il est possible pour l’UE de participer à travers des partenariats industriels, dans des projets de production d’électricité destinés aux marchés locaux..

L’Algérie avait affirmé au début du mois qu’elle est prête à financer en partenariat des projets destinés à l’exportation, soulignant qu’elle refusait de prendre seule le risque de financement..

L’Algérie projette de produire d’ici à 2030 environ 22.000 MW, dont 10.000 MW seront destinés à l’exportation, selon son plan de développement des énergies renouvelables, adopté récemment par le gouvernement. M. Barbaso a par ailleurs affirmé que "l’UE souhaite une coopération énergétique plus étroite avec l’Algérie, qui est et restera un partenaire stratégique"..

Grand fournisseur de l’Europe en gaz, l’Algérie lui assure près de 14% de sa consommation énergétique..

Selon les chiffres fournis par ce responsable européen, la dépendance de l’UE des hydrocarbures importés va augmenter d’ici à 2030 à 94% pour le pétrole et à 83% pour le gaz..

D’ici à 2020, l ’UE projette de porter la part des énergies renouvelables dans le ’’mix’’ énergétique à 20%, de réduire de 20% la consommation de l’énergie et de baisser aussi les émissions de gaz à effet de serre de 20%..

BAOSEM.
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Palestine Palestiniens pour la fin des divisions


Des milliers de Palestiniens pour la fin des divisions
Des dizaines de milliers de Palestiniens ont manifesté hier pour la « fin des divisions » entre l’Autorité palestinienne et le Hamas, forçant les chefs des deux camps à exprimer leur soutien à la mobilisation.

Le président palestinien Mahmoud Abbas a approuvé « la revendication des manifestants […] qui appellent à la fin de la division, en tenant des élections présidentielle, législatives et au Conseil national dès que possible ».

Peu après, le chef du gouvernement Hamas à Gaza, Ismaïl Haniyeh, a appelé le président Abou Mazen (Mahmoud Abbas, ndlr) et le Fatah à une « réunion immédiate ici dans la bande de Gaza ou dans n’importe quel endroit dont nous conviendrons, pour entamer un dialogue national global direct en vue de parvenir à la réconciliation ».

A Gaza, des dizaines de milliers de manifestants participaient au rassemblement organisé via Facebook et Twitter.

Les manifestants ont convergé sur la principale place de Gaza en scandant : « Révolution, révolution jusqu’à la fin de la division ! ». Des policiers du Hamas sont intervenus dans la soirée pour disperser le dernier groupe de jeunes militants unitaires qui avaient manifesté à part dans la ville de Gaza pour dénoncer la « récupération » de la mobilisation.

En Cisjordanie, des milliers de personnes ont défilé, dont 3 000 sur la place centrale de Ramallah, 2 000 à Naplouse, et autant à Hébron. Dans le centre de Ramallah, quatre animateurs du rassemblement ont été interpellés et quatre autres blessés, dont deux femmes, hier soir par les forces de sécurité de l’Autorité palestinienne.

Juppé n’exclut pas une reconnaissance par l’UE
Le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé a déclaré hier que « reconnaître l’Etat palestinien tout seul, cela ne sert à rien. Il faut le faire ensemble », avec les autres pays de l’Union européenne. « Nous n’en sommes pas là mais personnellement, je pense que c’est une hypothèse qu’il faut avoir en tête ».

Forum d’affaires algéro-français 30 et 31 mai 2011


les 30 et 31 mai
Près de 400 PME attendues
D’autres régions du pays telles que Oran, Sétif et Ghardaïa sont déjà recensées comme cibles pour développer le partenariat.

Le forum de partenariat et d’affaires algéro-français, qui se tiendra les 30 et 31 mai 2011 à Alger, devrait marquer le début d’une nouvelle étape dans la coopération algéro-française sur le plan économique. C’est du moins l’avis des organisateurs de cette importante rencontre qui doit réunir plusieurs centaines de PME.Les organisateurs semblent confiants à l’image du directeur général d’Ubifrance, Christophe Lecourtier, qui a effectué une visite de deux jours en Algérie pour rencontrer hier les partenaires institutionnels algériens publics et privés afin de préparer la rencontre.

Au cours d’une rencontre avec la presse, organisée, hier, en présence des membres du comité de pilotage représentant les ministères et la communauté d’affaires, le directeur général d’Ubifrance a évoqué l’aspect «attractif du marché algérien» et
«la volonté politique qui existe des deux côtés de la Méditerranée» de développer les relations économiques sur la base d’une partenariat gagnant-gagnant. La nouveauté dans cette manifestation est qu’elle est inscrite dans l’agenda algéro-français et elle devrait bénéficier des soutiens des deux gouvernements.

La présence à la rencontre avec la presse aux côtés de Christophe Lecourtier, d’Ahmad Aït Ramdane, directeur de l’investissement au ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement et de Merzak Bedjaoui, directeur des pays d’Europe occidentale au ministère des Affaires étrangères est considérée comme une preuve de l’importance accordée par le gouvernement algérien à cet événement.Le forum d’affaires algéro-français avait été proposé lors de la première visite à Alger de l’envoyé spécial du président français au mois de novembre passé, Jean-Pierre Raffarin.

M. Raffarin avait évoqué «beaucoup de perspectives positives» en annonçant d’autres rendez-vous et surtout la préparation d’un grand rassemblement à Alger des PME-PMI dans les six mois. A son arrivée, l’envoyé spécial du président français avait inscrit sa mission sur le long terme. Précisant sa pensée, il avait déclaré : «Nous voulons préparer l’avenir avec des projets industriels à long terme et avec une volonté de gagnant-gagnant où chacun trouvera son propre intérêt.»
Le rassemblement dont a parlé M.Raffarin est programmé pour les 30 et 31 mars à Alger et il devrait rassembler une centaine de PME françaises et environ 300 à 350 PME algériennes. L’idée est que chaque PME française ait trois PME algériennes candidates à un partenariat.

Le choix des PME algériennes serait très rigoureux et il a été fait appel aux organisations patronales et aux Chambres de commerce pour identifier les entreprises qui ont quelque chose à proposer dans une action de partenariat et d’investissement. Pour le DG d’Ubifrance, «ce que nous allons faire au mois de mai est unique». Le forum du mois de mai n’est pas considéré comme une mission exploratoire et il devrait aboutir à des résultats concrets, selon ses organisateurs. D’autres régions du pays seront ciblées après la rencontre du mois de mai. Oran, Sétif et Ghardaïa sont déjà recensées comme cibles pour développer le partenariat. Parmi les branches d’activité ciblées, figurent l’agriculture, le bâtiment, les travaux publics et l’habitat, les énergies nouvelles et renouvelables, la santé, la pharmacie, les transports, le textile, les services, les TIC...

Liès Sahar

Mr le president Nicolas sarkozy Europe succès pragmatisme



Mais oui, un succès de Sarkozy !
L’Europe a franchi le week-end dernier une haie dans sa course d’obstacles contre la crise de la zone euro.Les ministres des Finances de la zone euro se sont une nouvelle fois réunis lundi soir pour parler de la crise de la dette. Mais cette fois, ils avaient le sourire parce que l’événement est passé inaperçu à cause du Japon, mais l’Europe a franchi le week-end dernier une haie dans sa course d’obstacles contre la crise de la zone euro.

On a l’impression vu d’ici que les chefs d’Etat ou leurs ministres se réunissent tous les quatre matins à Bruxelles et qu’à la fin – de toute façon – ce sont les marchés qui gagnent. Cette fois-ci, ils ont réussi un joli coup, qui en plus a rassuré les marchés : les valeurs bancaires ont grimpé en Bourse malgré le Japon, et l’étau s’est desserré sur la Grèce ou le Portugal.

Qu’a-t-il été décidé ?
Un : la puissance de feu du fonds de secours provisoire aux pays en difficulté a été relevée de 250 à 440 milliards d’euros et celle du fonds permanent qui le remplacera à 500 milliards.
Deux : ces Fonds pourront acheter directement des titres dès qu’ils sont émis par des pays, une révolution.
Trois : l’effort de rigueur de la Grèce est récompensé par un geste sur ses conditions de crédit – alors que l’Irlande qui est arc-boutée sur son fameux taux d’impôt sur les sociétés à 12,5%, est repartie bredouille.

La semaine dernière tout le monde craignait pourtant une nouvelle crise sur les marchés. Que s’est-il passé ? D’abord l’effet de surprise. Les marchés pensaient que la réunion du 11 mars serait un tour de chauffe du vrai sommet des 24-25 mars. Et effectivement, jeudi soir, personne ne pariait un kopeck sur un succès. Mais tout a été décidé dans la nuit de vendredi à samedi au cours d’un entretien entre Angela Merkel et Nicolas Sarkozy.

Le président français, en difficulté un peu partout en ce moment, doit être crédité de ce succès. Il a convaincu la chancelière d’accepter un compromis. En la poussant à créer un effet de surprise, justement, et en l’avertissant que si elle ne voulait pas toper maintenant, elle dirait oui le dos au mur d’ici peu.
Du coup, elle a lâché sur presque tout. Et il y a, donc, en plus un paquet cadeau pour la Grèce.

Ce cadeau a une incidence pratique pour la Grèce. Les Européens ont prêté 80 milliards d’euros à Athènes. Là, ils ont décidé de baisser le taux d’intérêt (4,2%) et d’étaler le remboursement sur sept ans au lieu de quatre. Le remboursement démarrera aussi plus tard, en 2014. Au total, Athènes gagne 6 milliards d’euros. En échange, il y aura plus de privatisation que prévu.

Au-delà de la technique, ce qu’il faut comprendre, et même si les négociateurs se feraient couper en morceau avant de l’avouer, c’est qu’il s’agit du début de la restructuration de la dette grecque. Peut-être plus tard, y aura-t-il une autre étape, au détriment des créanciers privés, les banques.

Tout cela, c’est un petit caillou sur le chemin fédéral. Il s’est créé un fédéralisme de crise. Certes, bien plus dur sera de créer un fédéralisme de projet, qui évite les crises en rapprochant les politiques économiques. Gérer les crises c’est bien, les empêcher c’est mieux ! Il faudra donc franchir bien d’autres haies. Mais il fallait signaler le passage de celle-ci.


DOMINIQUE SEUX