阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, November 25, 2008

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Environnement Algerie





Algérie : les ministres africains de l’Environnement adoptent une plate-forme commune Ils parleront d’une même voix aux sommets de Poznan et Copenhague Les ministres africains de l’environnement qui ont pris part à la conférence sur les changements climatiques pour l’après 2012 ont adopté, ce mercredi, à Alger, une plateforme commune devant être défendue lors des prochaines réunions, Poznan (Pologne, décembre 2008) et Copenhague (Danemark, décembre 2009).
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Brésil energie





Le Brésil défend la production de biocarburants
(En savoir +)
La semaine dernière s'est tenue à Sao Paulo la 1ère conférence internationale sur les biocarburants. Réunis à l'inititive du Président brésilien Lula da Silva, 44 pays étaient représentés. Les trois premiers jours étaient consacrés à des réunions d'experts, et deux jours à des rencontres ministérielles.
Pour le Brésil, il s'agissait avant toute chose de présenter la production de biocarburants comme une opportunité, en particulier pour les pays émergents, de faire face à la crise économique internationale. Le Président Lula a notamment plaidé pour l'abandon des "barrières protectionnistes", concernant le commerce mondial de l'éthanol et du biodiesel
Le commissaire européen Andris Piebalgs a pour sa part insisté sur l'intégration des biocarburants dans les objectifs environnementaux de l'UE, tout en réclamant "l’application de normes de durabilité", qui "exigera un effort supplémentaire de la part des producteurs, mais garantira que le recours aux biocarburants n’est pas contraire aux objectifs écologiques."
"Même si les analyses actuelles indiquent que la politique européenne en matière de biocarburants a peu d’effet sur le prix des denrées alimentaires, la Commission européenne suivra l’évolution de la situation et en rendra compte régulièrement", a-t-il affirmé.
Ces derniers mois, l'enthousiasme autour des biocarburant s'est refroidi, en raison de la hausse des cours des denrées alimentaires.
Pour la défense du deuxième producteur mondial derrière les Etats-Unis, le ministre brésilien des Mines et de l’Énergie, Edison Lobão, a décliné toute responsabilité : "Il y a eu une augmentation du prix des aliments ? Certes, mais ce n’est pas la faute des biocarburants, mais des engrais importés dont les coûts ont plus que doublé, et du prix du pétrole, qui rend plus cher le coût du transport des aliments" a-t-il déclaré.
Le ministre a également tenu à souligner qu’au Brésil la canne à sucre est plantée dans des lieux où l’on ne cultive pas de denrées alimentaires. « L’accusation selon laquelle nous nous servons de terres productives est inacceptable. Le Brésil produit 140 millions de tonnes de grains et possède 90 millions d’hectares de terres disponibles pour l’agriculture », a-t-il déclaré.
Les sessions plénières ont concerné les sujets suivants (le résumé est fourni par le gouvernement brésilien) :
Biocarburants et sécurité énergétique (.PDF)
suggère un mélange obligatoire de 10 % d'éthanol dans l'essence consommée dans le monde. Biocarburants et changement climatique (.PDF)
Le changement climatique est probablement le plus grand défi rencontré par l'humanité. Il nécessitera une large champ d'action et de technologies, qui inclut les biocarburants.Biocarburants et durabilité (.PDF)
La crise financière internationale présente une réelle opportunité dans laquelle les biocarburants peuvent être le vecteur d'une révolution agricole.
Biocarburants et innovation (.PDF)
La promotion de l'innovation, en connexion avce les chaînes de production, est ce qui peut assurer le plus d'efficacité dans le processus de conversion de la biomasse.
Biocarburants et marché international (.PDF)Plus de production, moins de barrières commerciales, tarifaires ou non, et des ppolitiques publiques publiques renforcées sont des conditions essentielles au développement du marché.
Voir aussi : Le site officiel de la conférence

BRESIL
LULA
BIOCARBURANTS

Europe Brésil Energie












Brésil et UE renforcent leurs relations énergétiques
(src : Europa)
A l'occasion de la conférence mondiale sur les biocarburants, tenue la semaine dernière à São Paulo, le Brésil et l'UE ont renforcé leur relation énergétique.
Andris Piebalgs, commissaire européen à l'énergie et Edison Lobão, ministre des mines et de l’énergie du Brésil, se sont réunis jeudi pour renforcer la coopération bilatérale dans le cadre du dialogue sur la politique énergétique entre la Commission européenne et le Brésil.
Il s’agit de la première réunion au niveau ministériel depuis le lancement du dialogue bilatéral sur l’énergie, lancé à Bruxelles en juillet 2007.
"Nous avons confirmé aujourd’hui notre engagement à mettre en place une forme constructive de coopération et de partenariat entre l’UE et le Brésil dans le secteur de l’énergie, dans le but d’assurer la viabilité et la fiabilité de l’approvisionnement énergétique", s'est félicité M. Piebalgs à l’issue de sa réunion avec M. Lobão. "Nous nous sommes clairement entendus sur nos politiques et priorités en matière de coopération bilatérale dans le domaine d’énergie, un travail précieux en préparation du prochain sommet UE-Brésil prévu à Rio de Janeiro le 22 décembre."
"Le Brésil joue un rôle de premier plan en tant que partenaire stable et fiable d’Amérique latine, a-t-il souligné. Son importance dans le débat sur les biocarburants, la sécurité de l’approvisionnement énergétique et le changement climatique en fait un partenaire privilégié de l’UE pour les questions énergétiques. C’est pourquoi j’attends avec intérêt l’adoption rapide du plan d’action conjoint UE-Brésil, dans le cadre du partenariat stratégique établi l’an dernier"
M. Lobão a rappelé que le Brésil et l'UE sont des acteurs essentiels du secteur énergétique, en tant que consommateurs, producteurs mais aussi centres de développement technologique et d'innovation dans ce domaine. Il a exprimé le souhait du gouvernement brésilien d'approfondir la coopération et l'échange d'expérience en la matière avec la Commission.
Les deux responsables de l’énergie ont décidé d’axer leur coopération en 2009 sur quatre domaines principaux:
échange d’expérience et consultations techniques sur les questions relatives à la réglementation en vue de rendre concurrentiels les marchés de l’énergie, y compris les possibilités d’investissement;
efficacité énergétique et gestion de la demande, notamment par la participation au partenariat multilatéral lancé par les pays du G8 et cinq autres pays sous le nom de partenariat international pour la coopération en matière d’efficacité énergétique (IPEEC);
efforts de recherche conjoints dans le domaine des biocarburants de la deuxième génération, grâce à la recherche coordonnée UE-Brésil qui doit démarrer prochainement et sera annoncée en janvier 2009;
promotion de la coopération industrielle UE-Brésil dans le domaine des technologies à faible émission de carbone, notamment le charbon propre, et dans le domaine de la recherche sur l’énergie nucléaire et de la coopération en matière de sûreté nucléaire, en accordant une attention particulière aux technologies sûres et durables.
Ces questions feront l’objet de consultations techniques bilatérales dans les prochaines semaines.
En outre, les parties ont confirmé qu’elles soutenaient les efforts destinés à poursuivre la coopération relative à la viabilité des biocarburants et à promouvoir des études scientifiques et innovations technologiques visant à garantir la viabilité à long terme de la production de bioénergie, notamment dans le cadre du partenariat mondial sur les bioénergies et du forum international sur les biocarburants.
M. Lobão a par ailleurs informé M. Piebalgs de l'évolution du secteur énergétique brésilien, en attirant l'attention sur les nouveaux gisements pétroliers découverts sous la couche saline des fonds marins (zone «pre-salt») et sur le développement continu des secteurs de l'éthanol et du biodiesel dans le pays.
L’accord de dialogue CE-Brésil sur la politique énergétique a été signé à Bruxelles en juillet 2007, à l’occasion de la visite du président Lula à la Commission. Le principal objectif de ce dialogue, qui s’inscrit dans le droit fil de l’accord-cadre de coopération CE-Brésil de 1995, est de faciliter les échanges de vues entre l’UE et le Brésil sur tous les aspects liés à la sécurité de l’approvisionnement et à l’énergie durable et de développer la coopération bilatérale dans les domaines d’intérêt commun.
BRESIL
UE
RELATIONS
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Mer morte 2050



Peut-on sauver la mer Morte ?Marie VERDIER
Si rien n’est entrepris, la mer Morte disparaîtra d’ici à 2050. Le pharaonique projet « Red-Dead » sera-t-il réalisé ?
La mer Morte est-elle condamnée ? Porte-t-elle un nom prédestiné ? Tous les projets de sauvetage de cette curiosité planétaire tapie à 400 mètres en dessous du niveau de la mer se sont enlisés au fil des décennies et des conflits entre riverains, Israéliens, Palestiniens et Jordaniens. Et la mer Morte d’agoniser. Elle rétrécit, se recroqueville à grande vitesse. Son niveau baisse d’un mètre par an environ. En quarante ans, sa superficie, estimée à 1 000 km2 en 1960, s’est réduite d’un tiers. À ce rythme, elle aura disparu en 2050. Parce que le taux d’évaporation est très élevé dans ce paysage grillé par le soleil : deux milliards de mètres cubes s’évaporent chaque année.Et surtout parce que cette évaporation n’est plus compensée par un apport d’eau douce. Les eaux du Jourdain et de ses trois affluents qui se jettent dans la mer Morte ont été massivement détournées pour satisfaire les besoins humains dans cette région qui est l’une des plus déficitaires en eau. « Le débit du Jourdain était de 1 250 millions de mètres cubes dans les années 1950, il n’était plus que de 290 millions en 2000 », précise Jean-François Richard de l’Agence française de développement (AFD).Ce qui fut le Nil de la région n’est plus, à son embouchure, qu’un filet d’eau et même « un égout à ciel ouvert », comme le reconnaît le géographe François Mancebo de l’université Joseph-Fourier de Grenoble, les eaux usées étant déversées sans aucun traitement dans les rivières. « La question n’est pas de savoir si on peut sauver la mer Morte, mais plutôt si on peut faire autrement que de la sauver », poursuit le géographe. Mais le énième projet de coopération tripartite annoncé lors du sommet de la Terre de Johannesbourg en 2002 n’arrive pas à prendre son envol, dans un contexte politique peu porteur.
Un projet difficilement réalisableDe quoi s’agit-il ? De la solution technologique probablement la plus coûteuse et la plus difficile, et pas forcément la plus écologique, mais qui apparaît aujourd’hui comme la seule solution politiquement acceptable. Le projet de « conduit de la paix » envisage de transférer les eaux de la mer Rouge à la mer Morte, d’où son appellation « Red-Dead ». Chaque année, 1,8 milliard de mètres cubes d’eau pourrait être acheminé depuis le golfe d’Aqaba jusqu’à la mer Morte, d’abord via un canal à ciel ouvert de 40 km de long puis par une large conduite sur les 120 km restants.Il faudra pour cela d’abord faire grimper l’eau depuis le niveau zéro de la mer jusqu’à 100 mètres de haut. Elle pourra alors dévaler un dénivelé de 500 mètres pour gagner la mer Morte. L’énergie qui pourrait être récupérée grâce à cette chute d’eau permettrait d’alimenter une usine de dessalement d’eau de mer censée produire 850 millions de mètres cubes d’eau potable qui seraient acheminés jusqu’aux sommets d’Amman (900 mètres d’altitude) et de Jérusalem (500 m). L’alimentation en eau de la Jordanie, d’Israël et des Territoires palestiniens est d’ailleurs l’objectif principal de « Red-Dead » avant que le reste des eaux vienne se déverser dans la mer Morte.Pour les promoteurs du projet, le fait que la mer Morte soit située sur l’une des failles géologiques majeures de la Méditerranée orientale ne constitue pas un handicap insurmontable. Le géologue Yann Klinger de l’Institut de physique du globe de Paris tempère les enthousiasmes : « Ce sera une contrainte lourde. » En effet des séismes importants s’y sont déjà produits, comme ceux de 1068 ou de 1202 ou celui, beaucoup plus récent, de 1995.Cette faille dite « de la mer Morte » ou « faille du Levant », qui court sur 1 200 km de long du golfe d’Aqaba jusqu’à la Turquie, est une zone de coulissage entre la plaque continentale Arabie qui remonte vers le Nord et la plaque Sinaï. La faille, qui bouge de 5 à 7 mm par an, marque sur sa route un décrochement. Entre les deux branches de la faille s’est formé un trou : la mer Morte. « Le canal Red-Dead longera la faille : il devra pouvoir supporter les secousses et déformations », insiste Yann Klinger.Quant à la mer elle-même, elle provoque de vives inquiétudes. De gigantesques crevasses apparaissent sur les berges mises à nu par la baisse de niveau des eaux. Le géologue israélien Eli Raz a recensé récemment 1 650 trous et crevasses, certains de plusieurs dizaines de mètres de profondeur. En 2000, une digue construite au sud de la mer pour créer un nouveau bassin de décantation de potasse s’est ainsi soudainement effondrée. Des pans entiers du littoral d’intérêt touristique sont, de ce fait, interdits au public.
Le sol est fragilisé par la forte teneur en sel des eaux« Les eaux de la mer Morte sont les eaux les plus salées du globe. Les sédiments sont saturés en eau salée, quand celle-ci se retire, les sédiments asséchés sont traversés par les eaux de pluie et cette eau douce dissout le sel. Le sol a alors besoin de se recompacter », explique Yann Klinger. Et le géologue de poursuivre : « Le mal est fait. » En effet à ses yeux, l’apport d’eau de la mer Rouge – qui, dans une version optimale n’interviendra pas avant une douzaine d’années – ne résoudra pas le problème mais le généralisera. « L’eau de la mer Rouge est beaucoup moins chargée en sel, le phénomène de dissolution du sel se poursuivra », explique-t-il.Son homologue israélien Eli Raz est lui aussi dubitatif. Il redoute que le projet Red-Dead soit au bout du compte plus préjudiciable que bénéfique pour l’environnement, que l’eau de mer chargée en sodium ne fasse pas un mariage heureux avec le milieu de la mer Morte, riche en magnésium et potassium. « Le meilleur plan pour la mer Morte, c’est de faire couler à nouveau le Jourdain, c’est son fonctionnement naturel », plaide-t-il, rejoignant ainsi le combat de l’ONG Les Amis de la Terre du Moyen-Orient, qui milite pour un sauvetage du Jourdain et l’inscription de ce site naturel et culturel d’exception sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco.Un plan qui n’est absolument pas à l’ordre du jour alors que, dans cette région aride, la consommation d’eau dépasse chaque année la ressource renouvelable. « Il y aurait pourtant largement matière à économiser l’eau, même si Israël a développé un art inégalé du goutte-à-goutte pour l’irrigation, reconnaît François Mancebo. La population israélienne arrose sans compter. Elle recrée des simulacres de villes européennes avec gazons, terrains de golfs et plantations de palmiers, alors que le chêne méditerranéen est l’arbre naturel de la région, et les eaux usées ne sont ni traitées ni réutilisées. »Marie VERDIER***
Les eaux de la mer Rouge au secours de la mer Morte

Le poète Jean jacques Golman Youtube làs-bas


Jean jacques Golman youtube tournes les violons