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Les femmes rattrapent largement depuis demi siècle leur capital scolaire. Nous les retrouvons parfois plus nombreuses que les hommes dans les salles de cours. Mais est-ce que leur accès est libre et égal dans tous les domaines? EUWIIN travaille pour une meilleure distribution des chances et la reconnaissance des femmes par leur talent et leur capacité créative.

l'Oktoberfest Google

l'Oktoberfest débute... en septembre.L'un des plus importants générateurs de clichés sur l'Allemagne se déroule actuellement à Munich. Il s'agît de l'Oktoberfest, la fête de la bière où près de sept millions de litres de cette fameuse boisson sont englouties en deux semaines, soit un tiers de la production nationale.Google n'oublie pas de fêter l'événement populaire comme il se doit, avec un logo spécial affiché sur la page d'accueil de Google.de

Algerie un nouveau souffle à l’industrie nationale

Un nouveau souffle à l’industrie nationale
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Au cours de la réunion d'évaluation consacrée, jeudi dernier, au secteur de l'industrie et de la promotion des investissements, le Président de la République a, par ses recommandations et ses orientations à l’endroit du gouvernement, réitéré une volonté déterminée de passer à la vitesse supérieure dans la construction d’une économie moderne à même de conduire le pays au développement durable. Après une décennie d’intenses efforts sur tous les plans, l’Algérie est arrivée à faire aboutir le processus de maturation et conforter les bases d’un véritable décollage et se frayer une place dans le marché mondial. La stabilité retrouvée et le potentiel industriel public notamment permettent d’aller vers la recherche de solutions de fond à la problématique du chômage en renouant avec une politique dynamique d’investissement, le redéploiement du secteur public marchand et la mise en œuvre des politiques de développement industriel. Le Président de la République, qui a emprunté une démarche pragmatique inscrite dans la prospective, a relevé toute l’opportunité pour l’industrie nationale de "se déployer dans sa dimension sectorielle et dans sa dimension spatiale pour mettre en valeur les potentialités dont dispose le pays, redynamiser les bassins industriels et apporter sa contribution au renforcement de l'équilibre régional de la nation". C’est que dans la conception du Chef de l’Etat, et il l’aura souligné à plusieurs occasions, l’Algérie ne peut éternellement compter sur la rente pour financer le développement national. L’industrie aux côtés de l’agriculture et du tourisme a un rôle prépondérant à jouer dans la croissance économique. Le Président l’a d’ailleurs souligné en recommandant que "le secteur industriel, qui bénéficie aujourd'hui d'une visibilité accrue, doit contribuer de façon plus effective à la croissance économique. Cela nécessite le développement des activités industrielles notamment dans les secteurs importants retenus, où nous disposons d'avantages comparatifs. Cela nécessite aussi de déployer les activités industrielles dans les espaces qui permettent une diffusion de la croissance industrielle et sa répartition équilibrée sur le territoire". C’est durant ce quinquennat que le pays mettra tout son poids dans la mise en œuvre de la stratégie industrielle qui privilégie le développement la PME/PMI dans les créneaux générateurs d’emploi et de richesses, mais aussi le développement de l’investissement structurant. Dans cette perspective, le Président de la République a invité le gouvernement à poursuivre «la modernisation des institutions économiques et des structures d'appui aux entreprises industrielles nationales ainsi que le développement de zones intégrées de promotion industrielle qui offrent les conditions d'émergence d'activités industrielles compétitives avancées". Le Président de la République a dans ce sens rappelé la nécessaire mise à contribution du système national de recherche, d’autant plus que l'Etat investit des sommes considérables dans la recherche scientifique et technologique. La mise en adéquation de cet investissement colossal et les besoins nationaux, en cette étape déterminante, est primordiale. La recherche est plus que jamais sollicitée pour servir la compétitivité des entreprises industrielles et le développement de la capacité de maîtrise technologique de la nation. S. Lamari

Algerie Une dynamique de développement sans précédent

Programme présidentiel : Une dynamique de développement sans précédent

Les auditions se sont poursuivies tout au long de ce mois sacré de ramadhan. Les ministres en charge des projets du programme présidentiel se sont succédé pour exposer les données permettant d’établir une évaluation très précise de l’état d’avancement des travaux, mais aussi de ce qui reste à accomplir.Les auditions sont d’une importance vitale, car elles permettent au Chef de l’Etat d’être informé en temps réel de la situation des projets, ce qui lui permet ainsi de faire part de ses observations et de ses orientations pour l’avenir. De ce point de vue, les auditions permettent aussi de donner une nouvelle dynamique à l’achèvement du programme présidentiel pour l’année en cours.L’on sait que le programme quinquennal de soutien à la croissance économique et les programmes complémentaires en faveur des wilayas du Sud et des hauts plateaux s’achèveront cette année.Ils auront permis de réaliser les grands projets structurants de par les fondements d’un développement durable et de satisfaire en grande partie les besoins sociaux et culturels de la population.Il faut rappeler que ces programmes ont absorbé plus de 150 milliards de dollars pour la période 2004/2009.L’on comprend dès lors l’importance de ces auditions pour l’année en cours. C’est en 2010 que va démarrer le nouveau programme présidentiel pour la période 2010-2014. Il va nécessiter pour sa réalisation une enveloppe de 150 milliards de dollars. Il permettra la création de 3 millions d’emplois, la construction d’un autre million de logements, l’émergence de 200.000 PME/PMI, la construction de l’autoroute des hauts plateaux, l’autoroute est-ouest sur plus de 1.200 km, la poursuite du programme hydraulique, le prolongement et la modernisation du réseau ferré sur plus de 6.000 km. Tous ces projets vont contribuer à transformer l’Algérie en un immense chantier.Toutes les régions du pays vont vivre au diapason de ces programmes. Ils compléteront les infrastructures mises en place au cours de la période 2004/2009.Ainsi à l’horizon 2014, l’Algérie présentera un autre visage, un visage d’un pays moderne, équipé et qui ambitionne de jouer les premiers rôles parmi les nations émergentes.L’on comprend donc l’importance de ces auditions dans le contexte actuel.Il est impératif que l’Algérie réussisse ce qu’elle a déjà entamé pour entreprendre une autre étape de son développement tout aussi exaltante car, à l’évidence, elle entraînera le pays sur la voie d’un changement radical. L’Algérie nouvelle, une Algérie forte et prospère, réconciliée avec ses valeurs ouverte sur le progrès et la modernité est en train d’émerger, grâce à la dynamique sans précédent imprégnée au développement par le Président BouteflikaE. M.

Algerie nos PME et l’espace euro-méditerranéen

Nos PME et l’espace euro-méditerranéen
Le renforcement du tissu des PME en Algérie ne peut que consolider la mise en place d’une économie nationale basée sur la diversification des richesses. Une option qui assurera, inéluctablement, une identité économique loin de tout ce que charrie la notion de l’économie de bazar. Toutefois, le véritable enjeu pour la PME algérien est son positionnement sur l’échiquier du Bassin méditerranéen. Définir cette position, c’est établir la feuille de route à nos PME.
Or, ces dernières, par rapport à celles de nos voisins tunisiens ou marocains, ont très peu bénéficié des programmes et de mise à niveau inclus dans l’accord d’association avec l’Union européenne. Mise en place pour permettre à la PME algérienne de faire face à la concurrence avec l’ouverture économique, cette mise à niveau, dotée d’un budget de 40 millions d’euros, a touché des entreprises qui n’en avaient pas besoin. C’est le constat établi par des chefs d’entreprise qui dénoncent leur mise de côté par le biais d’une mise à niveau dirigée. En sus de cette «aide discriminatoire», la PME algérienne fait face à plusieurs obstacles qui freinent son développement, entre autres, l’existence d’un important secteur informel et de produits de contrefaçon, les lenteurs bureaucratiques et les difficultés d’accès aux financements bancaires, et ce, même si des mécanismes ont été mis sur place pour faciliter la tâche à la consolidation de la notion de culture entrepreneuriale.
Dans son ce sens, la garantie financière au profit des PME fait toujours défaut, et ce, malgré l’institution du Fonds de garantie aux crédits des PME/PMI (FGRAR) qui a pour mission de faciliter le financement de la PME/PMI. En effet, ce fonds n’est pas pris en considération par certaines banques qui ne croient qu’à la garantie de leurs procédures. A la fin de l’année, seules 145 entreprises, ayant créé près de 6 500 postes d’emploi, ont pu décrocher le soutien du FGAR, depuis sa création. En d’autres termes, c’est au niveau de l’application des mécanismes incitateurs pour la promotion de la PME que cela grince. Ce qui revient à dire qu’eu égard au parcours du combattant que doivent emprunter nos PME pour affirmer leur existence, la question de la place qui doit leur échoir dans l’espace euro-méditerranéen ne peut connaître, actuellement, de réponse dans le sens qu’il est encore trop tôt de la poser.M.-C. Drifi