阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, May 04, 2010

Championnats du monde de Freestyle Ball à Cap Town (Afsud), Wass honore l’Algérie





Championnats du monde de Freestyle Ball à Cap Town (Afsud), Wass honore l’Algérie


Competition.dz


Souvenez-vous en, Wassim Benslimane avait réussi un coup d’éclat avec sa prestation de freestyle ball lors de la mi-temps du match Algérie-Egypte, au stade Tchaker de Blida.
ujourd’hui, Wass a passé un nouveau cap en devenant le représentant officiel de l’Algérie aux championnats du monde de Freestyle qui se déroule actuellement en Afrique du sud.
Saluons à cet effet l’intervention d’un groupe algérien d’envergure dont la marque phare a investi depuis longtemps sur cette discipline. Faisant partie du groupe 4, Wass a commencé la compétition le lundi 26 avril, par un Battle contre Kamlio, le représentant d’Afrique du Sud.Avec un jury impartial, Wass aurait fait plusLe jury l’a donné perdant, ce qui a soulèvé de vives contestations dénonçant le favoritisme pour le Freestyler du pays d’accueil. Wass ne s’est pas découragé pour autant.
Il a remporté les Battles contre la Bosnie-Herzégovine, le Canada et le Portugal. Mardi 27 avril, Wass rencontre l’un des grands favoris de la compétition : le Danois Brizze.
Wass le bat, mais il perd ensuite contre Mohammed, le Koweïti. Wass se classe finalement 3e de sa poule.
Il ne pourra donc pas accéder à la finale. Les observateurs assurent qu’un jury impartial aurait sans doute permis à Wass de concrétiser son rêve, puisqu’il aurait été classé 2e et donc qualifié pour la suite de l’aventure.
Respectons sportifs malgré et rendons hommage à notre champion de Freestyle qui marque peut être le début d’une Freestyle mania.

Algerie Festival de la musique diwan à Béchar : Participation d’une trentaine de troupes




En ce début de mai où la chaleur s’est prématurément installée, le Festival national de la musique diwan, qui s’est ouvert au stade En Nasr pour une durée d’une semaine, ne pouvait être qu’une aubaine pour les Bécharis, et en particulier pour des familles enfermées chez elles tout le long de l’année, écrasées par un insupportable manque de loisirs et une disette culturelle criante.
Contrairement aux éditions précédentes, aucun officiel représentant le ministère de la Culture n’a fait le déplacement à Béchar pour donner le coup d’envoi de cette manifestation artistique, qui a été effectué par les autorités locales. La première troupe, qui a ouvert le bal de ce concert de chants, est celle de Hamid Kasri dont la troupe venue du Maroc est composée de huit chanteurs revêtus de la tenue sportive de l’équipe nationale de football en signe de solidarité avec notre pays qualifié pour la Coupe du monde. La troupe qui s’est produite sur scène durant 1h 30mn a galvanisé la foule installée sur les gradins et celle assise à même le sol. Les spectateurs ont répondu avec complicité au rythme du son du guembri qui résonnait à l’intérieur du stade en plein air et dont l’écho se brisait dans les lointains faubourgs de la ville endormie. Vingt-et-une troupes musicales sont au programme et défileront sur scène tout le long de la semaine en cours. Elles feront sans doute oublier l’ennui mortel et la canicule aux milliers d’amateurs et fans de ce genre de musique.
Les groupes musicaux Diwane El Bahdja d’Alger et Dar ElBahri El Ousfana de Constantine, Rihet el bled d’Alger, Mazal de Béjaïa, Ridjal gnaoua de Mostaganem, Tourath gnaoua d’Oran, Noujoum eddiwane de Sidi Bel Abbès, Sidi Blel de Mascara et de Saïda, Hna Massalmine de Nâama, Es Sad de Béchar, Naïli de Tindouf, Bnat El Maghra d’Adrar, et Hasna El Bacharia, sont déjà présents. deux groupes d’Alger et celui de Constantine se préparent à entrer aujourd’hui en scène. Parallèlement, des conférences-débats, au cours de cette 4e édition, seront animées à la maison de la culture sous le thème « La sémiologie du corps » avec des spécialistes, notamment Mouni Djékrif de l’université de Constantine qui présentera une contribution intitulée « Notre corps parle à travers la danse », Zineb Madjoul de l’université Paris VIII Vincennes Saint-Denis avec « Lecture des performances rituelles et profanes dans les espaces domestiques et les concerts publics ».
Par M. Nadjah

Algerie Batna Handicapés La voie publique pour sensibiliser sur le cas des IMC





Handicapés de la ville de Batna
La voie publique pour sensibiliser sur le cas des IMC


B. Boumaïla


La wilaya de Batna compte 400 handicapés IMC, souffrant d’infirmité motrice cérébrale. Les infrastructures d’accueil, eux, ne suivent pas. Du coup, les responsables se retrouvent devant une équation difficile à résoudre.
“Les cours se donneront dorénavant devant la direction de l'activité sociale de la wilaya de Batna tous les lundis, pour demander l'ouverture de l'antenne du Centre nationale des IMC implanté à l'intérieur du CMP3 et de prendre en charge les IMC en matière d'enseignement”, nous apprend, il y a une semaine, un membre fondateur de l'association des parents d'IMC. Et la même source explique : “Cette manifestation sur la voie publique a pour dessein de sensibiliser les responsables et en même temps de mobiliser l'opinion sur la scolarité des enfants souffrant d'infirmité motrice cérébrale.”Contacté, le DAS intérimaire nous confie : “Sincèrement, je ne vois pas la raison de recourir à cette alternative, étant donné que le dossier est au niveau du ministère de la solidarité nationale et que c'est une affaire de temps (bien sûr deux ans sont déjà écoulés !)” Poursuivant son discours, il ajoute : “Une décision d'une telle importance demande des préparations et un décret pour ouvrir un centre national d'enseignement pour les IMC, premier en son genre en Algérie. Tout ce que je peux vous confirmer que l'antenne implantée au niveau du CMP3 de la ville de Batna est entièrement équipée (100%) en matériel pédagogique adéquat à cette enseignement spécialisé et que 17 personnes se spécialisent actuellement dans la prise en charge des IMC et poursuivent leur stage à Alger.” La même source nous apprend que “cette antenne du Centre national d'enseignement des IMC est d'une capacité d'accueil de 60 IMC et que cettepremière expérience à Batna, une fois réussie, sera généralisée à travers tout le territoire national”. Interrogé sur le nombre des enfants souffrant de l'infirmité motrice cérébrale (IMC) recensés au niveau de la wilaya de Batna, notre interlocuteur chiffre l'effectif à 400 IMC. Une équation qui ne semble pas du tout facile à résoudre, par rapport à la capacité d'accueil qu'offre l'annexe. Un véritable casse-tête chinois, qui se posera pour les responsables de la DAS pour répondre à la demande très forte de 400 IMC, rien que pour la ville de Batna, sachant que l'antenne est censée assurer la prise en charge en matière d'enseignement à tous les IMC au niveau national. On apprend qu'un dossier bien ficelé a été remis par le DAS intérimaire au wali de Batna, afin de prendre les dispositions nécessaires pour la prise en charge des IMC de la wilaya de Batna.

Algerie Waâdate et cavalerie à Aïn Témouchent patrimoine



Un patrimoine à revaloriser et sauvegarder
Le conférencier a montré que la région d'Oulhaça était un point stratégique sur le plan économique étant donné l’oued de Tafna qui a favorisé le développement de l’agriculture durant la période de Syphax, le roi berbère. La région était convoitée par les Romains et les Carthaginois, les principales puissances sur la rive de la Méditerranée. La seconde conférence est intitulée «L’Emir Abdelkader et l’identité nationale». A travers ce thème, le conférencier a mis en relief la finalité du combat de l’Emir Abdelkader contre l’occupation française et la participation de la population témouchentoise aux côtés de l’Emir sous la houlette de son lieutenant El Bouhmidi El Oulhaçi. L’Emir a lutté pour la souveraineté des Algériens et la défense de leurs valeurs religieuses et socioculturelles en refusant la soumission et l'occupation. Dans le même contexte, il a été projeté un document sur les sites historiques et archéologiques de Siga. Concernant le volet du patrimoine immatériel, les troupes folkloriques de Touat et Alawi ont animé des shows qui prouvent que les jeunes s'intéressent beaucoup à la préservation de cet héritage culturel, image du brassage anthropologique qui particularise la région. De leur côté, les meddahatte ont donné un concert au niveau de la salle de spectacles de la maison de la culture auquel un public peu nombreux a assisté. Les organisateurs n’ont pas omis les enfants puisque des après-midi théâtraux ont été animés à Aïn Témouchent et Béni Saf. Le Théâtre régional de Sid Bel-Abbès a présenté son produit intitulé «Bibo wa madinatou el ahlam (Bibo et la ville des rêves)». Il est à noter que la wilaya d’Aïn Témouchent se distingue de ses waâdate populaires dont les principales de Sid Cheikh, Moulay Tayeb, Sidi Blel et Aïssaoua. Ces waâdate différent dans la forme mais elles convergent vers la même finalité puisée des valeurs de la religion musulmane, à savoir semer la culture de la fraternité, la tolérance, la solidarité, la réconciliation et l’unité. Malheureusement, elles risquent de disparaître à tout moment si les pouvoirs publics n'interviennent pour sauvegarder ce patrimoine et le revaloriser à des fins culturelles et touristiques. Déjà la cavalerie est menacée car les traditionnels du pur sang arabe se plaignent du coût de l’élevage et du dressage des chevaux. S. Djelloul
05-05-2010

Algerie Oran premier salon régional du jeune entrepreneur



La promotion de la culture d'entrepreneuriat chez les jeunes est une nécessité. Dans ce sens, le premier salon régional du jeune entrepreneur a été ouvert lundi à Oran en présence de 50 participants de huit wilayas de l'ouest du pays dont des gérants de petites entreprises activant dans divers domaines économiques et de services. L'objectif de cette manifestation, organisée jusqu'au 6 mai courant par la direction de la petite et moyenne entreprise et artisanat de la wilaya d'Oran et différents organismes de soutien à l'emploi, est d'exposer des modèles de micros entreprises créées par des jeunes et leurs succès. Le salon, abrité par la médiathèque du centre-ville d'Oran, constitue également un forum pour les jeunes entrepreneurs pour se rencontrer et échanger les expériences dans le domaine de la gestion des micros entreprises et un espace pour faire connaître leurs entreprises fondées avec le soutien financier de l'Etat, a indiqué le président de l'association de soutien à l'investissement des jeunes, M. Hamana Khelil. Les visiteurs peuvent découvrir à cette occasion une variété de micros entreprises qui activent dans plusieurs domaines tels que la construction et la production de matériaux de construction et d'ornement, des produits de nettoyage et agricoles, notamment les olives et les industries traditionnelles, ainsi que d'autres domaines ayant une relation en particulier avec les services de communication, d'impression et d'audiovisuel. Ce rendez-vous économique et d'information constitue, pour les organismes nationaux spécialisés dans le soutien aux jeunes entrepreneurs, une occasion pour mettre en évidence les différentes mesures et facilités prévues pour la création de petites entreprises. La Caisse nationale d'assurance-chômage (Cnac) et les deux Agences nationales de gestion des micro-crédits (Angem) et de soutien à l'emploi de jeunes (Ansej) y sont présentes. Le responsable de l'annexe d'Oran de l'Ansej a annoncé que cette dernière financera cette année 960 dossiers dans différentes activités économiques. Par ailleurs, le salon est une occasion pour découvrir les facilités offertes par les banques dans le financement de projets du jeune entrepreneur ainsi que du Fonds de caution mutuelle de garantie qui s'occupe du remboursement, d'une partie importante des dettes détenue par le propriétaire du projet, aux banques qui considèrent souvent insuffisantes les garanties fournies par l'entrepreneur. Le Fonds de soutien à l'investissement pour l'emploi a pour mission, dans ce salon, d'informer les visiteurs sur ses fonctions s'articulant sur la collecte de la petite épargne des travailleurs principalement sous forme de souscriptions, ce qui permet d'améliorer leurs revenus à la retraite. Cette épargne est investie également dans des petites et moyennes entreprises, a-t-on indiqué. Ce fonds envisage, selon le directeur général, M. Mohamed Tessa, d'ouvrir deux annexes à Oran et à Annaba.R.R.

Algerie la sous-traitance avec les entreprises algériennes sera de 60%




Le P-DG de la SNVI l'an annoncé hier

La sous-traitance avec les entreprises algériennes sera de 60%

La Société nationale des véhicules industriels (SNVI) se redéploie pour développer le volet sous-traitance localement, lequel souffrait jusque-là d'un déficit entre les besoins et l'offre. Selon le P-DG de la SNVI, Mokhtar Chahboub, invité de la de la Chaîne III de la Radio chaîne III, l'objectif de la société est de porter à court terme le taux de sous-traitance locale de 25% actuellement à 60%. La société a déjà commencé à s'intéresser à cet aspect, puisqu'en 2009 elle a acheté pour 4 milliards de dinars chez les sous-traitants locaux. Néanmoins, le pari n'est pas encore gagné car beaucoup de choses restent à améliorer. Il s'agit, notamment, de l'accès à la technologie, le mangement et surtout la certification. Mokhtar Chahboub a souligné que la SNVI a mis sur le marché 5000 références, c'est-à-dire des inputs à importer ou à produire localement et au final, "1700 présentés par des sous-traitants algériens ont été refusés".Le manque de qualification du personnel des PME algériennes est à prendre au "sérieux" si ces entreprises veulent réussir à s'imposer et pourquoi pas aller vers l'exportation. Selon Mokhtar Chahboub, il existe aujourd'hui "120 sous-traitants sur 500 qui ont un potentiel" mais il faut plus d'incitation à la création de PME capables de répondre aux besoins des entreprises nationales grâce à un encadrement et au soutien de l'Etat. En sa qualité de membre du groupe de travail installé par le Conseil national économique et social (Cnes), Mokhtar Chahboub a affirmé qu'un état des lieux a été réalisé et les contraintes des PME recensées. A priori, il faut "améliorer à la fois l'accès au crédit et la relation banque-entreprise". Pour lui, le problème du foncier n'est pas aussi récurrent que beaucoup le pensent car il ne vient qu'à la 10e place alors que le "plus urgent est la disponibilité de personnels qualifiés". Toutes ces contraintes et d'autres seront rendues publiques prochainement et étudiées pour tenter de trouver des solutions. Mokhtar Chahboub estime, à ce propos, que la création d'un centre national de développement de la sous-traitance, décidée par le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, est "un élément important qui sera d'un apport certain en vue de substituer une grande partie de l'importation des inputs par la production nationale".Abdelghani M.

Algerie PMI PME Vers la création d’un centre national de la sous-traitance



Vers la création d’un centre national de la sous-traitance
Le ministre de la PME et de l’artisanat, Mustapha Benbada a indiqué hier qu’une somme de 250 millions de DA a été allouée pour la création d’un nouveau Centre national de développement de la sous-traitance. Il s’agit, en effet, d’un projet qui s’inscrit dans le cadre du programme quinquennal 2010/2010 qui pourrait «structurer toutes les problèmes liés à l’activité de la sous-traitance», a précisé Mustapha Benbada en marge de l’ouverture du la première édition du salon. La première édition du salon ALGEST’2010 (Algérie sous-traitance).Aussi pour M. Benbada, cette nouvelle structure vise principalement à promouvoir et développer le secteur de la sous-traitance et ce à travers plusieurs axes dont celui technique et de conseil pour les pouvoirs publics, les associations professionnelles spécialisées ainsi que pour les entreprises. Le nouveau Centre national de la sous-traitance est appelé également à élargir la qualité d’accompagnement de l’entreprise en matière de développement tel que le programme de mise à niveau et de certification, nous a expliqué pour sa part Harraz Mehadi, directeur chargé du développement de la sous-traitance au sein du ministère de tutelle. En ajoutant que la naissance de ce centre prévoit l’organisation d’une série de formations au profit des entreprises notamment ceux qui activent dans le domaine de la sous-traitance. Dans le même registre, notre interlocuteur a fait savoir que ledit centre constituera une base de données en matière de sous-traitance, qui aura pour but de connaître les potentialités des PME activant dans ce segment d’activité. Il doit aussi, dira-t-il assister a toutes les études visant l’intégration nationale.S’agissant de la date de sa mise en service, Harraz Mehadi a souligné que «nous avons à faire des efforts pour l’inscrire dans la loi de finances complémentaire de cette année», «Dans le pire des cas, il sera en service en 2011» ajoute-t-il. Sachant que l’étude du projet est déjà finalisée, le premier responsable de la PME a par ailleurs estimé que le nombre des entreprises qui activent dans le domaine de la sous-traitance est de 500 unités. S’exprimant sur une question sur le rôle des partenariats qui se font entre les entreprises nationales et étrangères dans ce sens, le ministre a affirmé que toutes les entreprises étrangères font appellent à la sous-traitance locale. Mais notre but c’est de structurer ces opérations et de les baser sur des opérations durables de transfert des nouvelles technologies et de savoir-faire, a encore affirmé le ministre. Pour conclure, le salon ALGEST’2010 se poursuivra jusqu’au 6 mai courant, au Palais des expositions, Pins Maritimes, Alger. organisé conjointement par World trade center Algeria (WTCA), la Bourse algérienne de sous-traitance du Centre ainsi que son homologue française de Nancy, avec le concours notamment des ministères de l’Industrie et de la Promotion des investissements (MIPI), de la PME et de l’Artisanat, de la Formation et de l’Enseignement professionnels et de l’Organisation des Nations-unies pour le développement industriel (Onudi), ce rendez-vous économique a rassemblé une centaine d’entrepreneurs nationaux et internationaux. Nassima B.

Faites l'Europe l'Hôtel de Ville de Paris



Faites l'Europe" sur le parvis de l'Hôtel de Ville de Paris
[Fenêtre sur l'Europe]
Dans le cadre des soixante ans de la Déclaration Schuman et à l'occasion de l'Année européenne de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale, l'événement "Faites l'Europe", organisé par la Maison de l'Europe de Paris et la Ville de Paris avec de nombreux partenaires, est placé sous le signe d'une Europe en mouvement, solidaire et innovante.
Des débats, ouverts à tous, auront lieu sur les thèmes à l'honneur pendant ces trois jours : l'inclusion sociale, les énergies renouvelables et la mobilité durable. ► Comment lutter contre la pauvreté en Europe? - le 7 mai de 14h15 à 15h00 Avec: Philippe Bajou, membre du directoire de la Banque Postale ; Pervenche Berès, députée européenne, présidente de la commission de l'Emploi et des Affaires sociales du Parlement européen; Jérôme Vignon, ancien directeur pour la protection et l’inclusion sociale à la Commission européenne; Nicole Prud'Homme, membre du Comité économique et social européen, auteur de l'avis "Travail et pauvreté : vers une approche globale indispensable"; François Soulage, Ambassadeur pour la France de l'Année européenne de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale, président du Secours Catholique; Olga Trostiansky, adjointe au maire de Paris, chargée de la solidarité, de la famille et de la lutte contre l'exclusion.Animé par Stéphane Leneuf, rédacteur en chef à France Inter► Quels défis pour une mobilité durable en Europe? – le 7 mai de 15h15 à 16h00 Avec: Florent Herlitz, conseiller juridique à la DG Entreprises et industrie, unité "Industrie automobile" de la Commission européenne; Manuel Lopez, conseiller pour l'Industrie auprès de l'Ambassade d'Espagne; Vincent Moullé, directeur général adjoint de La Poste, secrétaire général du Courrier; Emmanuel Soulias, directeur RSE du groupe Macif; Charlotte de Silguy, secrétaire générale d'Avere-France, Association pour le développement du transport et de la mobilité électrique; un membre du Parlement européen. Animé par Jean-Christophe Boulanger, directeur d'EurActiv.fr► Quelle place pour les énergies renouvelables en Europe? – le 7 mai de 16h15 à 17h00Avec: Denis Baupin, adjoint au maire de Paris chargé du développement durable, de l'environnement et du plan climat ; Yannick Jadot, député européen; Christine Lins, secrétaire générale de l'EREC (European Renewable Energy Council); Evelyne Pichenot, membre du Comité économique et social européen, présidente de la délégation pour l'UE du Conseil économique, social et environnemental; Bruno Schmitz, chef d'unité en charge des énergies renouvelables à la DG Recherche de la Commission européenne. Animé par Marie-Christine Vallet, directrice déléguée Editorial Europe à Radio France, chroniqueuse à France Info. ► Que fait l'Europe pour lutter contre les discriminations? – le 8 mai de 14h30 à 15h15 Avec: Gilles Baccala, responsable des formations et de l’inclusion à l'Agence française du Programme européen Jeunesse en Action (Afpeja); Alain Barrau, directeur du Bureau d'information pour la France du Parlement européen; Maria Giuseppina Bruna, membre du comité d'animation du Conseil Parisien de la Jeunesse; Hakim Kamouche, responsable du service FSE et chef de projet pour l’emploi des seniors à la Direction départementale du Travail du Val d’Oise (DDTEFP 95) ; Eric Risse, policy officer à l’unité Action contre la discrimination, Société civile de la DG Emploi, Affaires sociales et égalité des chances de la Commission européenne; Henriette Steinberg, secrétaire nationale du Secours Populaire.Animé par Christelle Werquin, responsable du pôle partenariats-communication deTouteleurope.fr► Débat sur l'avenir de l'UE avec les conclusions des Etats Généraux de l'Europe - le 9 mai à 12h00