阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, August 24, 2011

Algerie SPONSORING CULTUREL

POUR LE PATRON DE NEDJMA, la question économique, surtout pour une entreprise privée, se pose toujours en première position avant d’opter à sponsoriser telle ou telle activité
«L'ANEP a sponsorisé 125 opérations à caractère culturel de 2005 à 2010 pour un montant de 12 milliards de dinars», a annoncé, avant-hier, Ahmed Boucenna, directeur général de l'Agence nationale d'édition et de publicité. Invité à un débat sur le sponsoring culturel à l'espace Mille et Une News du journal Algérie News, le directeur de l'Anep a souligné que son organisme poursuivra ses activités en matière de sponsoring des activités culturelles et ce, qu'il soit dans le domaine des arts, de la production des livres, etc. A ce titre, l'orateur a déclaré que «l'Anep a été sponsor et en même temps chercheur de sponsors. Nous avons sponsorisé le Salon international du livre pendant plus de 8 ans, avant que ce salon ne soit repris par le ministère de la Culture».
L'Anep envisage, selon lui, de se redéployer davantage sur la scène internationale en élargissant ses activités à d'autres disciplines comme le théâtre, la musique, les séminaires et autres activités liées à son champ d'action qui va dans le sens du développement et de la promotion du patrimoine matériel et immatériel du pays. De son côté, le directeur général de Watania Telecom Algérie, Joseph Ged, a abordé la question du sponsoring culturel en axant sur la vision et la conception d'un investisseur de la chose culturelle.
Selon lui, un entrepreneur ne peut pas s'engager dans le sponsoring d'une activité culturelle qui ne lui soit pas rentable ou qui ne fera pas un coup de pub, fût-il minime, à la marque.
Pour M. Ged, la question économique, surtout pour une entreprise privée, se pose toujours en première position avant d'opter à sponsoriser telle ou telle activité.
Il a cité, pour le cas de son entreprise, l'exemple de l'organisation de la Médina, au complexe Mohamed-Boudiaf, avec la collaboration de la Radio nationale durant le mois de Ramadhan 2011. «En tant qu' entreprise citoyenne, il est un devoir de chacun, de faire la promotion des valeurs algériennes sans préjugés», a-t-il dit. Etant un sponsor de plusieurs clubs algériens, l'orateur a abordé ce volet non sans souligner le risque pris car les résultats, sur le plan financier pour l'entreprise, ne peuvent pas être connus d'avance.
Pour sa part, le directeur de la publication du journal El Watan, Omar Belhouchet, conçoit le sponsoring des activités culturelles par sa publication comme un engagement politique, pour enrichir la liberté d'expression et donner la parole à ceux qui en n'ont pas.
Il dira à ce propos: «Nous faisons des actions dans la mesure des possibilités de nos moyens financiers. Les débats d'El Watan, sont là pour expliquer l'engagement du journal en matière de valorisation du patrimoine national dans tous les domaines».
Par ailleurs, M. Belhouchet a exhorté les journalistes à faire valoir davantage le potentiel et valeurs nationales à travers leurs écrits, d'où l'importance des médias tous supports confondus en matière de sauvegarde et promotion du patrimoine national.
M. Belhouchet n'a pas manqué de rappeler que la promotion de la culture est avant tout une responsabilité des pouvoirs publics avant d'être celle des autres intervenants. Pour lui, les activités que sponsorise El Watan ne sont pas du tout significatives par rapport à ce qui devait se faire par les pouvoirs publics. Il suggère que le budget du département de la culture soit plus important que celui qu'on lui accorde actuellement.
L'expression

Algerie le ministère des Ressources en eau se rénove

Un nouveau système d'information comme renforcement logistique
Un nouveau système d'information  intégré, conçu dans le cadre du programme d'appui au secteur des ressources en eau (EAU I), financé par l'UE, a été mis en marche, hier, par le ministère des Ressources en eau, en présence du ministre du secteur, M. Abdelmalek Sellal, et de la chef de délégation de l'Union européenne à Alger, Mme Laura Baeza. Ce système permettra, d'échanger, en temps réel, des informations et des données entre les différentes structures du ministère, à savoir, les 48 directions de l'hydraulique et les différentes agences. Il constitue, en outre, une base de données centralisée et accessibles par ces structures à travers le réseau Internet. Il est composé de deux dispositifs, le premier, le data center, qui est un serveur central qui donne accès, via Internet, à toutes les informations et applications exploitées par le ministère, comme le plan national de l'eau, le système d'information géographique (SIG), le système de gestion électronique de données et le système de planification intégrée, précise un technicien du ministère, qui ajoute que ces "applicatifs constituent des outils d'aide à la décision".  Le second, le système de visioconférence permet, quant à lui, aux utilisateurs de communiquer et d'échanger les données, sans déplacement. Le ministre et la représentante de l'UE ont assisté à une présentation,  regroupant à la fois les Agences de bassin hydrographique d'Oran et du Cheliff ainsi qu'un cadre du ministère en déplacement en Californie. Financé par l'UE à hauteur de 20 millions d'euros sur une période de 54 mois, le programme d'appui au secteur des ressources en eau a, également, renforcé ses capacités en ressources humaines et a contribué à l'élaboration du plan national de l'eau à l'horizon 2025, a indiqué Mme Baeza, au cours de cette cérémonie, ajoutant que ce programme, qui vient de se terminer, pourrait être suivi par un autre programme d'appui à l'eau et l'assainissement  (EAU II) avec un financement de 30 millions d'euros. Elle a, également, tenu à afficher son souhait de voir l'accord relatif à ce programme signé avant fin juillet 2011.
Rania B.
 LeMaghrebdzlemaghrebdz.com.com

L’origine de la popularité de J.K.P.M.Video Mr Philippe Mangeard, Président fondateur

 

Le club d’affaires jkpm.net

JKPM est un réseau social d’affaires basé sur la prescription et le partage en ligne sur jkpm.net de carnets d’adresses d’agents économiques et sociaux influents.
Mr Philippe Mangeard, Président fondateur de JPKM, parle de « ReKommending » pour qualifier le lien de ses abonnés : à partir du constat qu’après quelques années de responsabilités, chaque acteur dispose d’un riche carnet d’adresses dont la pertinence n’est qu’à 10% exploitée par lui-même, il apparaît que la mutualisation des informations par recommandation accélère la mise en relation d’acteurs compatibles, retourne en précision ce qu’on confie en extension
Populaires.fr parle de Jkpm :

JKPM.NET : réseau social dédié au commerce international

JKPM.NET : réseau social dédié au commerce international
JKPM est le premier réseau social en ligne spécialement créé pour les  professionnels du commerce international. Ce concept est l’œuvre de Mr Philippe Mangeard, Vice Président d’Ubifrance.


Fort du constat que la recommandation, la mise en relation, le fonctionnement en réseau sont à la base du commerce international, Philippe Mangeard propose un système  de mise en relation innovant prenant bien en compte les contraintes des professionnels, qui premièrement manquent souvent de temps et deuxièmement sont peu enclins à diffuser leur carnet d’adresse sur Internet pour qu’il soit consultable par le premier venu.  JKPM permet le partage de carnets relationnels en garantissant l’anonymat du détenteur de l’information tout en laissant le choix permanent d’accepter ou non de rendre service.

Algerie économie placements à l’étranger des réserves de change

Mr Karim Djoudi rassure sur la solidité des placements à l’étranger des réserves de change
ALGER- Le ministre des finances, Karim Djoudi, a affirmé samedi que les placements de l’Algérie à l’étranger ne courent aucun risque du fait de la crise des dettes souveraines, estimant ces placements "sécurisés" sur plusieurs plans.
Le premier argentier du pays a souligné dans un entretien à l’APS que ’’nos placements sont sécurisés sur trois plans : leur capital est garanti, ils sont couverts contre les risques de change et ils sont liquides, c’est-à-dire que nous pouvons les retirer à tout moment".
Même s’il n’a pas donné un chiffre sur le montant de ces placements, libellés notamment en bons du Trésor américain (T-Bonds), il a précisé que leur rendement moyen était d’environ 3%. ’’Ce qui couvre largement l’inflation actuelle’’, a-t-il dit.
En fait, l’Etat algérien, pour assurer une sécurisation "maximale" de ses réserves de change, gérées par la Banque d’Algérie, a "choisi" d’en placer une partie comme des "valeurs d’Etat sur des risques souverains, dont le risque est très limité’’, a-t-il expliqué.
"En d’autres termes, pour qu’il y ait problème sur ces placements, il faut que l’Etat en question soit en faillite ou disparaisse", a-t-il poursuivi. Quant à la protection contre les risques de change, elle est assurée, a-t-il ajouté, grâce à une répartition équitable des réserves en dollars et en euros. Ainsi, une baisse de l’euros pourra être compensée par une hausse du dollars et inversement, a-t-il poursuivi. Quant au financement du plan quinquennal d’investissement public (2010-2014), il est garanti à moyen terme, notamment à la faveur d’un cumul "conséquent" de l’épargne publique, estimée aujourd’hui à 40% du PIB. "A moyen terme, les risques (de financement du programme) sont acceptables. Maintenant, personne ne sait comment la situation peut évoluer à long terme. A ce moment-là, il faudrait envisager d’autres choix en matière de politique économique", a-t-il affirmé. Cette "assurance" n’est que le fruit de la politique économique en cours, qui "privilégie le financement national’’. Ce qui prémuni l’Algérie contre un "certain nombre" de risques, a-t-il précisé. "Nous avons constitué une épargne publique équivalant à 40% du PIB, estimé à quelque 12.000 milliards de dinars/an", a indiqué le ministre. Cette performance financière "garantira", à moyen terme, le financement du plan quinquennal, doté d’une enveloppe budgétaire de 286 milliards de dollars, a-t-il assuré. "Nous avons aussi consolidé nos réserves de change et réussi à payer, par anticipation, la quasi totalité de notre dette extérieure", a rappelé d’autre part le ministre. La dette extérieure de l’Algérie tourne actuellement autour de 5,2 milliards de dollars, alors que la dette extérieure publique a été réduite à moins de 480 millions de dollars, selon lui. M. Djoudi a annoncé, par ailleurs, que le dispositif de couverture du risque de change, décidé lors de la dernière tripartite après les réclamations des chefs d’entreprises pénalisés, sera mis en place avant fin 2011 par la Banque d’Algérie. "C’est la décision de la tripartite. La Banque centrale (Banque d’Algérie) est en train de la prendre en charge et, avant la fin de l’année, ce dispositif sera mis en place", a précisé Djoudi. Les opérateurs économiques ont revendiqué la couverture des risques de change, a-t-il rappelé, pour "pouvoir fonctionner dans un environnement plus ou moins stabilisé et certain". Une fois ce dispositif appliqué, chaque opérateur qui fera une transaction avec l’extérieur "aura une couverture dès le départ contre le risque de change", a-t-il ajouté. Il prendra en charge "un problème de fond" pour les opérateurs économiques nationaux et permettra de "limiter les incertitudes, mais aussi les risques d’inflation", a expliqué le ministre.
D’autre part, Djoudi a annoncé que le projet de loi de finances pour 2012 prévoit une hausse de la croissance globale de 4,7% et un maintien de l’inflation à 4%.
Il a affirmé que la vigueur de la croissance du secteur des hydrocarbures est de nature à favoriser une croissance globale de 4,7% en 2012 avec un taux d’inflation de 4%. ’’Un taux acceptable qui colle avec la politique monétaire du pays", a-t-il estimé.
La loi de finances complémentaire pour 2011 prévoyait une croissance de 3,9% et une inflation de 4% . Le budget de 2012 sera élaboré sur la base du "même cadrage" que la loi de finances de l’exercice précédent, avec un prix référentiel de pétrole à 37 dollars/baril, selon Djoudi. Karim Djoudi a, par ailleurs, annoncé de nouvelles mesures pour dynamiser le marché financier, et particulièrement boursier, et la facilitation pour les opérateurs d’intervenir sur ces marchés, notamment pour chercher des sources de financement.
Les pouvoirs publics envisagent en particulier de créer "un compartiment du marché spécifique aux PME" avec des conditions d’accès beaucoup plus simples et moins contraignantes et de réduire les charges et coûts d’entrée sur le marché, a-t-il indiqué.
"Nous avons déjà commencé avec des dispositions de lois portant sur la réduction des charges fiscales pour l’entrée sur le marché financier", a ajouté le ministre.
Ces actions s’inscrivent dans le cadre du plan de modernisation du marché financier et dont l’exécution a été confiée à la Cosob (Commission de surveillance des opérations en bourse), précise-t-il. Le portefeuille de la Place d’Alger s’élève à prés de 1.100 milliards de dinars, dont 260 milliards pour les Obligations assimilables du Trésor (OAT), 600 milliards de valeurs du Trésor et 160 milliards de DA pour le marché des obligations dont 50 milliards coté en Bourse, selon le ministre.APS