阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, April 27, 2010

Fête de l'Europe



Fête de l'Europe : Prix Hippocrène de l’éducation à l’Europe
[Fenêtre sur l'Europe]
La Fondation Hippocrène a décidé de marquer le 60è anniversaire de la déclaration Robert Schumann du 9 mai 1950 en créant le Prix Hippocrène de l’éducation à l’Europe qui récompensera les meilleurs projets de partenariat européen élaborés par une classe et ses professeurs de l’académie de Paris.
La Fondation Hippocrène permettra la mise en œuvre des projets pédagogiques lauréats en finançant pour chacune des 4 classes lauréates les frais de mobilité chez le partenaire à hauteur de 10.000 euros. Le prix est organisé en partenariat avec l’Académie de Paris, la Maison de l’Europe de Paris, et l’Association européenne de l’éducation (AEDE). En 2010, la Fondation Hippocrène fait de l’éducation des jeunes à l’Europe une priorité, considérant que la formation à l'Europe, la mobilité, les échanges, les projets communs sont les meilleurs moyens pour les jeunes de concrétiser leur appartenance à un ensemble commun et la prise de conscience d'une citoyenneté européenne."Votre participation nombreuse à ce prix sera votre manière de faire de la fête de l'Europe 2010 une réussite et un nouveau pas vers la citoyenneté européenne", a déclaré Michèle Guyot-Roze, présidente de la Fondation Hippocrène à l’intention des établissements de l’Académie de Paris. Les objectifs de la Semaine des Partenariats européens et internationaux, organisée par l'Académie de Paris du 3 au 9 mai 2010 coïncident parfaitement avec ceux affichés par la Fondation Hippocrène: "stimuler l'ouverture européenne sous l'angle des partenariats, de la mobilité et des projets éducatifs ou de formation", ce qui a permis à la fondation de travailler en partenariat avec l’Académie de Paris. Le prix sera remois le 5 mai à La Sorbonne à partir de 14h30Pour plus d'informationshttp://www.fondationhippocrene.eu/

Tipasa. sites archéologiques patrimoine



Tipasa. Sites archéologiques : SOS patrimoine en péril
Comme à l’accoutumée, la célébration du Mois du patrimoine dans la wilaya de Tipasa débute par une cérémonie officielle. Les populations de toutes les localités de la wilaya de Tipasa baignent dans l’indifférence et la méconnaissance de cet important événement culturel.
Le mouvement associatif local chargé d’animer les manifestations culturelles d’une manière particulière durant ce mois, du 18 avril au 18 mai, pour sensibiliser et rapprocher le citoyen de son patrimoine matériel et immatériel se contente des invitations envoyées par les autorités pour assister passivement « aux rendez-vous ». Pas de réalisme sur le terrain, et encore moins pour perpétuer la culture de préservation des patrimoines. Conjonctures favorables et opportunisme caractérisent les pulsations de ces nombreuses associations locales. Heureusement qu’un petit nombre d’entre elles reste dévoué à la cause culturelle.
« Patrimoine, culture et identité », tel est le thème choisi pour cette année. Afin de pouvoir célébrer cet événement, la direction de la culture de la wilaya de Tipasa a opté pour le siège de la bibliothèque urbaine de Tipasa. Les invités privilégiés ont pu découvrir l’infrastructure impressionnante et inconnue, fraîchement construite par la wilaya de Tipasa, pour abriter les rencontres culturelles. La célébration du Mois du patrimoine dans la wilaya de Tipasa s’articule autour d’un programme varié conçu par la direction de la culture de la wilaya.
Il se distingue d’abord par des expositions de livres d’art, de livres d’histoire, de l’artisanat artistique, des œuvres plastiques réalisées par des artistes peintres locaux et des enseignants de l’Ecole régionale des beaux-arts de Tipasa ; ensuite, par des cycles de conférences depuis le 21 avril, notamment celle relative à la protection des biens culturels animée par Betrouni Mourad, directeur de la protection légale des biens culturels au ministère de la Culture, avec la participation des cadres de la sûreté de wilaya, et enfin un programme récréatif destiné exclusivement aux enfants des 28 communes de la wilaya de Tipasa.
Méthodologie et stratégie
D’ailleurs, la direction de la culture avait impliqué la sûreté de wilaya, pour permettre à l’officier de police, responsable de la cellule chargée de lutter contre les trafics et les vols des objets archéologiques, d’établir le bilan de leurs activités. En effet, 140 objets divers archéologiques ont pu être récupérés et remis au musée de Tipasa. Mourad Betrouni s’est longuement étalé lors de son intervention. « Sécurité des biens culturels et comment intégrer ces matériaux de sécurisation de ce patrimoine culturel », L’orateur a mis l’accent sur la demande actuelle de la société sur l’identité et l’Histoire de son pays, d’où la nécessité d’établir la meilleure stratégie en matière de préservation des patrimoines, tout en précisant les concepts.
Après une période de flottement qui aura duré depuis l’indépendance du pays jusqu’en 2003, il préconise de pérenniser une relation indissociable entre les citoyens avec les sites et monuments historiques. Betrouni a cité la patrimonialisation de l’identité et le territoire. « La mise en valeur du patrimoine viendra après la garantie de la préservation de l’identité et du territoire », déclare-t-il, le schéma directeur des zones archéologiques et historiques à l’échéance 2025. L’Algérie est un pays qui dispose d’une richesse considérable en matière de patrimoines culturels au pluriel, au Nord comme au Sud ; agir en urgence pour la préservation des patrimoines matériels et immatériels qui risquent de disparaître s’avère impératif aujourd’hui.
« La méthodologie dans l’élaboration d’un plan d’urgence, en collaboration avec les éléments des services de sécurité et des autres institutions pour contenir les dégradations et les disparitions s’impose », selon Betrouni. Des ksour sont menacés. Les associations culturelles et les comités de fêtes communaux doivent s’y mettre pour impliquer les jeunes générations dans la protection et la préservation de leur culture plurielle. La direction de la culture de la wilaya de Tipasa a entamé la célébration du Mois du patrimoine par l’intervention de Mourad Betrouni, une manière pour alerter l’opinion publique sur le danger qui guette l’environnement culturel de la société algérienne.
Par M’hamed H.

Algerie Asiexpo 2010




Asiexpo 2010

Une fenêtre ouverte sur le marché algérien



Afin d'offrir une fenêtre sur les perspectives du marché algérien en mettant l'accent sur les investissements structurants, l'innovation et le transfert de technologie la Safex, en partenariat avec Actions Services, organise la première édition de l'Asiexpo, un évènement unique en son genre au niveau du Maghreb. Cette manifestation qui se tiendra au mois de septembre prochain au palais des expositions de la Safex est la première exposition de cette dimension organisée en Algérie, ainsi qu'au Maghreb. Asiexpo mettra particulièrement l'accent sur les principaux projets d'investissements structurant portés par les participants. Ce schéma s'inscrit pleinement dans le cadre des orientations impulsées par son excellence, Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, en matière d'ouverture de la production algérienne hors énergie, en direction du marché domestique mais également de l'export. A l'instar de l'action du fabricant d'autobus chinois Yancheng Zhongwei, du groupe Zonda, qui a permis à l'entreprise algérienne Fandi Motors d'ouvrir un site d'assemblage à Mohammadia, d'autres partenariats ou investissements directs illustrent ce développement des relations d'affaires entre l'Algérie et le continent asiatique. Au service des rencontres industrielles et commerciales, Asiexpo représentera une vitrine optimale pour les entreprises, pour leur pays et sur leur marché. Le salon se fixe pour objectifs de promouvoir les secteurs d'activité et les savoir-faire, créer et développer des rencontres entre producteurs de biens et de services et clients ou partenaires potentiels, informer le public sur les secteurs d'activité en progression en intégrant la dimension " emploi ", présenter les orientations politiques en matière de développement économique, orienter les professionnels vers les opérateurs publics d'accompagnement et étendre le marché algérien à l'export. La salon Asiexpo, permettra aussi aux participants de bénéficier d'un accès privilégié au marché algérien, de développer son réseau et son potentiel d'affaires et de recevoir un visitorat ciblé : chefs d'entreprises, prescripteurs institutionnels, réseaux publics et privés qui ouvrent commandes et chantiers. Cette manifestation sera accompagnée d'un espace conseil. Véritable source d'informations sur les services et technologies porteurs de développements industriels et économiques, le salon Asiexpo offre l'opportunité de visualiser une chaîne de partenaires et de faire des affaires. Durant quatre jours, la manifestation permettra d'identifier de nouvelles opportunités d'équipement, de développement et/ou d'activité et engager un dialogue avec des partenaires privilégiés sur les investissements de demain, pourvoyeurs d'emplois. Notons qu'Actions Services organisation est une société française, organisatrice de salons professionnels. Elle est également prestataire de services et accompagne les professionnels dans leur projet d'organisation ou de participation a des événements professionnels locaux ou internationaux. La Société algérienne des foires et exportations est une société publique algérienne, principale organisatrice de salons en Algérie. Elle a également pour mission de promouvoir les produits et les services des producteurs algériens et de leur offrir des outils facilitant l'accès à des marchés extérieurs.K. B.

Algerie un Observatoire de la Méditerranée à Oran



Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Trois propositions de l’Algérie visant à consolider la coopération en matière d’environnement ont reçu, hier, l’accord de principe des pays membres du dialogue des 5+5, à l’issue de la 1re Conférence ministérielle sur « l’Environnement et les Energies renouvelables » tenue, hier à Oran, en présence de neuf ministres de l’Environnement des pays de la Méditerranée Occidentale.
Ces derniers ont ainsi donné leur « accord de principe » aux trois propositions algériennes, en attendant la prochaine réunion programmée au Portugal, en vu de les approfondir, a indiqué M. Cherif Rahmani, ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et du Tourisme, à l’issue de cette conférence. La première proposition porte sur la création d’un Observatoire de la Méditerranée et du Développement durable, en vue de « l’amélioration des connaissances à l’échelle méditerranéenne », avait indiqué M. Cherif Rahmani, à l’ouverture de cette conférence qu’il a co-présidée avec son homologue espagnole, Mme Elena Espinosa Mangana. L’Algérie, a-t-il ajouté, se propose d’accueillir les activités de cet Observatoire, ici même à Oran, dans un jardin méditerranéen de 40 ha. Le deuxième axe de coopération avancé par M. Rahmani consiste en l’élaboration d’« un schéma du climat » des différents pays pour, a-t-il souligné, « restituer la cohérence d’ensemble et consolider les résultats dans un Plan Climat Méditerranéen ». Troisième et dernier axe de coopération suggéré par l’Algérie : « la création d’un cadre de concertation et d’expression informelle entre les pays méditerranéens sur le climat », a encore indiqué le ministre, avant de rappeler l’ouverture prochaine des négociations sur le climat prévues à Cancun au Mexique, où l’Algérie conduira, a-t-il dit, la délégation africaine.
De son côté, la ministre espagnole de l’Environnement Helena Espinosa Mangana a estimé que « la mise en place d’une stratégie commune aux dix pays du bassin occidental de la Méditerranée reste nécessaire » pour lutter contre la dégradation de l’environnement et les effets des changements climatiques. « La Méditerranée est riche en ressources naturelles mais c’est aussi une zone très vulnérable qui a besoin d’être protégée », a dit Mme Mangana, dans son allocution à l’ouverture. Mme Elena Espinosa Mangana a invité, dans ce contexte, les participants à saisir l’opportunité de cette rencontre pour débattre de l’impact des changements climatiques sur la hausse des températures et la diminution des précipitations, entre autres. Dans une déclaration au « Quotidien d’Oran », Mme Helena Espinosa Mangana a mis l’accent sur l’urgence de conjuguer les efforts pour l’élaboration d’une stratégie à même de garantir l’usage rationnel des ressources en eau, la sauvegarde des espaces forestiers et des ressources naturelles et la protection de la biodiversité, tout en insistant sur l’intérêt de développer les technologies propres. Aussi, a-t-elle dit, la Méditerranée qui reste une mer fermée, présente une forte sensibilité aux risques générés par les phénomènes liés à la dégradation de l’environnement et aux changements climatiques. « La rencontre d’Oran sera une référence dans le futur lorsque nous parlerons de l’avenir de la Méditerranée », a-t-elle estimée.
A l’ordre du jour de cette 1re conférence dédiée à l’environnement et aux énergies renouvelables, dans le cadre du dialogue des 5+5, cinq thématiques ont été retenues, dont trois relatives à l’environnement : « Changements climatiques, désertification et gestion des déchets », « Ressources hydriques et biodiversité », « Protection du littoral, gestion intégrée des zones côtières et dépollution marine ». Les deux autres ont été consacrées aux énergies renouvelables, dont une sur « le plan solaire et interconnexion (réseaux) » et l’autre portant sur le « partenariat, cadre juridique et réglementaire (ouverture des marchés) ». L’objectif premier de cette 1re Conférence ministérielle entre les pays du bassin occidental de la Méditerranée sur l’Environnement et les Energies renouvelables, est d’adopter des actions communes contre les effets de la dégradation de l’environnement. Les participants à la conférence devaient clore leurs travaux en fin de journée par l’adoption de la « Déclaration d’Oran », qui devrait contenir une série d’actions communes destinées à renforcer la coopération entre ces pays membres du Dialogue 5+5. Cette conférence a regroupé, en plus de l’Algérie et de l’Espagne, la Libye, le Maroc, la Mauritanie, la Tunisie, la France, l’Italie et le Portugal. Malte, dixième pays membre de ce dialogue des5+5 n’était pas représentée à cette conférence, selon les organisateurs.
Les travaux de cette conférence se sont déroulés en présence d’experts des dix pays, du secrétaire général de l’Union du Maghreb arabe (UMA) et de l’ambassadrice de l’Union européenne (UE) à Alger.
Chambre de Commerce et d’Industrie Suisse-Algérie - 28/04/2010

Algérie l'Exposition Universelle de Shanghai



L'Algérie attend beaucoup de visiteurs à son pavillon à l'Exposition Universelle de Shanghai (interview)
L'Algérie a fait des préparatifs pour l'Exposition Universelle de Shanghai pendant environ trois ans, et attend beaucoup de visiteurs à son pavillon à cette exposition, il y a grand intérêt à visiter le pavillon algérien, a indiqué à Alger Mohamed Bensalem, commissaire général en charge de la participation algérienne à l'Exposition de Shanghai, dans une récente interview à l'Agence de presse Chine Nouvelle (Xinhua).M. Bensalem était ministre algérien du Tourisme et de l'Artisanat en 1994, et connaît parfaitement l'histoire de la participation algérienne à plusieurs éditions de l'exposition universelle, ainsi que les préparatifs pour l'édition de Shanghai.Selon lui, c'est la première fois que l'exposition universelle sera organisée dans un pays en développement.Pour la Chine, c'est une occasion importante de s'ouvrir au monde, ce sera une tribune médiatique. Pendant six mois, le monde entier convergera sur la Chine, a souligné M. Bensalem.Au cours de l'entretien, M. Bensalem nous a montré les photos du pavillon algérien, surtout son façade devant et arrière, et nous a dévoilé les détails de la participation algérienne à cette exposition.Le pavillon algérien est situé dans la zone C, et occupe une surface de 1000 mètres carrés. Suivant le thème de l'exposition de Shanghai "Meilleure ville, meilleure vie", la réalisation du pavillon algérien est dédiée à la Casbah, a précisé le commissaire général pour l'Algérie.Les visiteurs peuvent se promener à travers les ruelles de la Casbah et y décourvrir l'Algérie sous tous ses aspects. Le circuit de visite est parsemé de niches audio-visuelles qui permettent au visiteur de découvrir et d'apprécier l'architecture, le mode de vie et les valeurs humaines, culturelles, économiques et sociales de l'Algérie.En fin de circuit, avant la sortie du pavillon, un espace est dédié à une boutique d'artisanat et de promotion où seront vendus des produits d'artisanat algérien.Selon M. Bensalem, une fois entrés dans le pavillon algérien, les visiteurs pourront trouver la carte de la Chine et la carte de l'Algérie. Ils pourront trouver les chiffres sur les deux pays, notamment la distance, et les populations respectives des deux pays. L'ancien ministre du Tourisme a émis le souhait de voir les peuples chinois et algérien renforcer la compréhension mutuelle et l'amitié traditionnelle.L'Algérie a prévu un large programme tout au long de l'exposition au niveau de son pavillon. Ce programme scientifique et culturel intègre, entre autres, une semaine de l'habitat, des journées du tourisme et des voyages, et une exposition philatélique, et surtout la journée nationale.Les journées du tourisme et des voyages sont programmées du 27 juillet au 4 août et comprendront des rencontres spécialisées au niveau de la salle polyvalente du pavillon en direction d'agents de voyage et d'opérateurs ainsi que des directeurs de pavillon (ou à leurs représentants) de 35 pays des différents continents (3 au 5 août).Selon M. Bensalem, parmi les partenaires du pavillon algérien, quatre sociétés chinoises de travaux publics implantés en Algérie, sont des sponsors. Ces dernières années, des entreprises chinoises ont réalisé pas mal de projets de travaux publics en Algérie, elles sont bien appréciées par les Algériens, a affirmé M. Bensalem.A l'appproche de l'ouverture de l'exposition, M. Bensalem est de plus en plus occupé. Le 1er avril dernier, il a participé à une cérémonie organisée par Algérie Poste, cérémonie d'émission de deux timbres poste consacrés à l'"Exposition Universelle de Shanghai".Pendant l'interview, nous avons constaté que dans le bureau de M. Bensalem, il y a eu une photo de presse sur laquelle le président algérien Abdelaziz Bouteflika et son homologue chinois Hu Jintao, tous souriants, serrent la main. ● - Exposition universelle de Shanghai
Source: xinhua

Service diplomatique



Feu vert des Vingt-sept au projet de Service diplomatique
[Fenêtre sur l'Europe]

Les États membres sont parvenus, au Conseil "Affaires générales" du 26 avril, à un "accord politique" sur le Service européen d'action extérieure (SEAE), leurs demandes concernant l'organigramme, le budget et les effectifs ayant été rencontrées par la Haute Représentante, Catherine Ashton."Nous avons maintenant le feu vert pour aller de l'avant et entrer dans des négociations avec le Parlement européen", a conclu celle-ci

La Casbah de Dellys BOUMERDÈS



BOUMERDÈSLa Casbah de Dellys tombe en ruine
Lieux autrefois si pudiques, la haute Casbah livre aujourd’hui ses entrailles déchirées aux visiteurs.
Les derniers vestiges de la vieille Casbah de Dellys, à 75 km à l’est du chef-lieu de wilaya, sont menacés. Aussi, une véritable course contre la montre vient d’être engagée pour sa sauvegarde.Citadelle datant de 1515 et construite par les Turcs, les vestiges de la haute Casbah sont encore visibles à ce jour. Elle fut occupée en 1843 par l’armée française qui exploita sa situation stratégique pour en faire une base militaire durant la première période de son installation dans la région.Selon la loi de septembre 2007 portant sur la «création et délimitation de la zone protégée de la Casbah de Dellys», cette dernière est limitée à l’est par l’oued Tiza, à l’ouest par le siège de la Gendarmerie nationale, au nord par le port de Dellys, et au sud par la forêt Bouarbi.Depuis une année, plusieurs chantiers y ont été lancés par quatre entreprises nationales, assurément, spécialisées dans le domaine de la restauration des vestiges et monuments historiques.Les travaux consistent en des déblaiements et ramassages d’ordures et autres rejets divers de terre et de gravats, parallèlement au classement de vieilles pièces lithiques disséminées à travers ce site antique, et la remise en place d’autres pierres demeurées encore en bon état. Il est également question de conforter les constructions menaçant ruine, à l’instar du mur de protection ceinturant la ville, du côté de la mer, sur 2 km de long, sous les effets conjugués du temps et de facteurs humains et naturels. Ce confortement concerne principalement les zaouïas, la vieille mosquée, l’école coranique et le mur de protection, en plus de 200 autres constructions diverses datant de l’époque turque. Les travaux d’urgence pour la restauration de la vieille Casbah de Dellys sont inscrits au titre de la mise en oeuvre e du «Plan permanent de préservation et restauration de la Casbah», élaboré en novembre 2007 par le ministère de tutelle, sur la base d’un diagnostic global et précis de cette vieille cité côtière. Six mois seront nécessaires au parachèvement de tout le processus de restauration de cette cité, tel que projeté par ce plan, avant de le présenter aux autorités locales chargées sur sa base, d’élaborer un plan d’action pour «la valorisation, la gestion et la sauvegarde de ce patrimoine culturel». Pour ce faire, une enveloppe globale de 170 millions de dinars a été dégagée. Parallèlement à ces opérations, des études sont en cours en vue de la restauration et du réaménagement de la vieille caserne coloniale du centre-ville de Dellys, pour sa transformation en un établissement culturel qui comptera un musée, un centre culturel et des ateliers artisanaux, est-il indiqué, par ailleurs.La Casbah de Dellys ne ressemble pas à n’importe quelle Casbah, car elle est la sédimentation d’innombrables acquis thésaurisés à travers l’histoire.Elle est punico-romaine par sa muraille, andalouse par ses riyadhs, ottomane par ses moucharabiyat, méditerranéenne aussi par son patio atrium. Enfin, elle est berbère par l’intégration de l’étable au corps de la maison, par son substrat et surtout parce qu’elle est la «sirène du Djurdjura», pour paraphraser un collègue. Mais, selon les informations disponibles à son sujet, la dénomination de Dellys est bel et bien tirée du mot Thadlest en tamazight.
Nabil BELBEY

Algerie tissage traditionnel algérien



PALAIS DE LA CULTURETissage traditionnel algérien25 Avril 2010 -

Le Palais de la culture Moufdi-Zakaria abritera du 27 avril au 5 mai prochains, une exposition de tissage traditionnel algérien dans le cadre de la célébration du Mois du patrimoine.La directrice du Palais de la culture, Mme Mehadjia Bouchentouf, a affirmé, jeudi à Alger, lors d’une conférence de presse, que son institution «a choisi le tissage traditionnel algérien pour célébrer cette année le Mois du patrimoine. Cette manifestation, a-t-elle ajouté, est un appel à la préservation de ce métier, sachant que l’Algérie possède un riche patrimoine en matière de tissage propre à chaque région du pays, notamment les tapis, les hanbals, les burnous et les bourabahs».Mme Bouchentouf a insisté sur l’intérêt qui doit être accordé aux artisans qui «souffrent en silence» par la création de coopératives pour promouvoir ce pan important de notre patrimoine qui exprime «l’identité algérienne». La conférencière a cependant mis en garde contre «la disparition de ce métier qui risque d’entraîner celle de la culture et de l’identité algériennes».Les petits métiers, a-t-elle rappelé, notamment les différents types de tissage avaient, par le passé, des connotations sociales. «Les couvertures Bourabah, a-t-elle dit, très répandues autrefois dans la région de Tlemcen renseignaient sur l’envergure et l’aisance des familles car nécessitant de grandes quantités de laine de mouton». Elle a également mis en garde contre l’invasion des articles industriels dans le marché local, qui ont quelque peu détrôné le traditionnel qui constituait, selon elle, «une source de subsistance pour les familles, notamment les femmes qui pratiquaient ce métier à domicile».Mme Bouchentouf n’a pas manqué de rappeler, à cette occasion, le processus de fabrication de ces produits qui transitaient par plusieurs phases avant d’atteindre leur forme finale.Cette chaîne de fabrication faisait vivre beaucoup de personnes, selon l’intervenante, qui rappelle en outre, l’attraction touristique que ces produits peuvent susciter.Les artisans devant participer à cette exposition ont, de leur côté, évoqué la disparition de nombreux établissements spécialisés dans le tissage traditionnel, soulignant les problèmes qu’ils rencontrent sur le terrain et au premier chef, la cherté de la matière première ainsi que l’absence de textes de loi.30 artisans environ de 14 wilayas du pays seront présents à cette manifestation avec divers articles constitués de tapis, d’habits traditionnels et de tissage.Une exposition de livres rares et précieux sur le tissage sera organisée parallèlement. Le Salon sera sanctionné par une rencontre sur «la symbolique du signe dans le tissage».
R.C

Algerie la nécessité d'une sauvegarde urgente du patrimoine




Célébration du mois du patrimoine

La nécessité d'une sauvegarde urgente



De par son histoire encore très peu connue, l'Algérie recèle de nombreux trésors architecturaux qui, classés ou pas peuvent donner un caractère authentique et civilisateur à certaines de nos villes. Rien qu'avec quelques monuments bien retapés et accompagnés d'une feuille de route, nos enfants pourront savoir plus sur leurs racines et par la même avoir des repères qui les rapprocheraient davantage de leur contrée. Ces sites pourraient aussi être un formidable moyen d'attirer une manne touristique qui a complètement disparue de nos espaces. La Casbah d'Alger, un espace qu'on vante comme un culte, qui a vu naître des faiseurs de poésie, des guerriers, et des héros, demeure une sorte de mythe qui s'effondre au gré des intempéries sous les yeux de ceux qui crient à tue- tête leur patriotisme. Rien que de ce côté là, nous pouvons citer une bonne dizaine de sites délavés comme les khaimas des nomades. Les mois du patrimoine -du 18 avril au 18 mai- se suivent et se ressemblent. La promotion, de par le monde, de ce patrimoine, ainsi que la mise en place de mécanismes permettant le perfectionnement des missions d'instances concernées par la gestion des biens culturels, outre l'intensification des activités de sensibilisation sur les modalités et procédures de classement et de réhabilitation des sites et vestiges historiques et culturels a été souvent évoquée lors de séminaires et autres rencontres. La création d'antennes de l'Office national de gestion des biens culturels protégés, la réhabilitation des Instituts d'archéologie, la mise à la disposition des organismes concernés des moyens réglementaires nécessaires à la préservation des biens, dont ceux chargés du plan d'occupation du sol, font partie des recommandations prônées par plusieurs experts. Les experts ont toujours appelé à l'association du secteur privé dans la gestion des secteurs culturels protégés, dont les musées, et l'encouragement de la création d'associations chargées de la préservation du patrimoine culturel, la création d'un prix spécial pour les particuliers et entreprises activant véritablement dans le domaine de la protection du patrimoine culturel. Les professionnels du secteur ont revendiqué l'intégration des services culturels aux comités des marchés publics des wilayas, la sensibilisation des organismes chargés de la réalisation des plans de protection sur l'exploitation des recherches universitaires, la réhabilitation des éléments urbains et le cachet architectural, dont les coupoles, la réglementation des activités commerciales dans les lieux protégés. Lutter contre le trafic des biens culturels Dans une de ses déclaration l'an dernier la ministre de la Culture, Khalida Toumi qui fait selon elle de ce dossier l'une des priorités de son département, semble plutôt miser sur les inventaires que sur certaines restaurations qui tardent à être finalisées. Selon Mohamed Badrouni, directeur de la protection judiciaire et de la promotion du patrimoine culturel, le département de la Culture aurait depuis 2005 une "meilleure visibilité des lieux nous permettant d'établir une stratégie de lutte contre le trafic et le commerce illicite des biens culturels mais aussi grâce à des statistiques et à l'inventaire en notre possession. "Détail important, ce responsable souligne que depuis cette date les services de la culture ont restitué 11.636 pièces archéologiques. Cela ne veut pas dire que toutes nos pièces archéologiques ont été retrouvées car il existe tant d'autres éléments qui sont éparpillés dans le monde et dont on ne connaît pas exactement, ni les propriétaires ni la valeur. Phénomène endémique, le pillage concerne selon certains écrits, même les gravures rupestres du Tassili où en premier, l'archéologue français Henri Lotte a établi ses recherches tout en emportant des morceaux de ces gravures pour analyse soit disant dans les musées français. D'ailleurs pour l'anecdote, cet archéologue qui était mieux que chez lui dans nos déserts a rencontré vers la fin des années 50 à Tamanrasset, Jean Paul Sartre et Simone de Beauvoir qui dit de lui dans son livre "La force des choses " qu'il " était fabulateur." Du reste, le mois du patrimoine qui s'étalera bien entendu sur 30 jours, sera l'occasion de "rendre hommage aux réalisations accomplies par l'Etat dans le domaine de la lutte contre les atteintes, les préjudices et les dommages causés aux biens culturels et, à témoigner une reconnaissance à tous ceux qui mettent leur savoir-faire au service de la préservation du patrimoine et des valeurs culturelles de la nation " a révélé Badrouni. Il faut rappeler que ce mois a été institué par les ministres de la culture maghrébins en fonction de ces deux dates symboliques. Le 18 avril correspond au jour du monument et des sites archéologiques et le 18 mai à la date de sa clôture, en référence à la Journée des musées, consacrée par l' Unesco. Le programme de ce rendez- vous comporte outre les études sur les moyens à mettre en oeuvre pour sécuriser et rapatrier notre patrimoine, une kyrielle d'activités qui concernera plus de 38 wilayas du pays. Rebouh H

Les pays du dialogue méditerranéen coopération




Les pays du dialogue méditerranéen "5+5" décident de renforcer leur coopération dans le domaine de l


Oran, 26/04/10 - Les ministres des pays de la Méditerranée occidentale chargés de l'Environnement des Energies renouvelables, réunis en conférence à Oran (Algérie) dans le cadre du groupe de dialogue 5+5, ont adopté lundi une série de recommandations allant dans le sens de l'intensification de leur coopération, notamment en matière d'adaptation au changement climatique, de préservation de la diversité biologique, de lutte contre la pollution marine et d'efficacité énergétique.