Monday, March 21, 2011
Google Maps 150 millions.d’utilisateurs service incontournable
Marissa Mayer de Google a donné des statistiques sur l’outil de navigation du géant de l’Internet. Google Maps serait très populaire et va connaître des améliorations prochainement.
150 millions. C’est le nombre d’utilisateurs de Google Maps. Le chiffre a été révélé par Marissa Mayer, vice-présidente produits de recherche et services aux utilisateurs chez Google, lors d’une conférence au SXSW.
Rapportées par le site BGR, Marissa Mayer a dévoilé quelques statistiques sur Google Maps, l’outil de navigation et de cartographie de la firme de Mountain View. Parmi les chiffres les plus intéressants, il y a donc ces 150 millions d’utilisateurs, mais aussi le fait que 40% de l'accès au service de Google se fait à partir de terminaux mobiles. Le pourcentage est même plus important pendant les fêtes de fin d’année où l’utilisation sur un smartphone est supérieure à celle sur un ordinateur fixe.
Autres chiffres évocateurs, les 19 milliards de kilomètres guidés par le service de navigation et les 2 ans de bouchons qui auraient été économisés aux utilisateurs par jour.
Quant aux évolutions futures de Google Maps, Marissa Mayer met le doigt sur un service encore plus intelligent, prenant par exemple en compte plus d’éléments contextuels. La version iPhone, pour l’instant en retrait par rapport à celle disponible sur Android, devrait aussi s’améliorer prochainement.
Google Maps trace donc sa route et devient un service de Google incontournable.
le chef de l'etat Mr Nicolas Sarkozy se rendra mardi sur la base de Solenzara en Corse
Romandie News
Libye: Sarkozy se rendra mardi sur la base de Solenzara en Corse
PARIS - Le président français Nicolas Sarkozy se rendra mardi sur la base de Solenzara, sur l'île méditerranéenne de la Corse, d'où partent les avions français engagés dans l'opération de la coalition internationale en Libye, a-t-on appris de sources proches du dossier.
Depuis le lancement de l'intervention militaire en Libye, en application des résolutions des Nations unies, la base militaire de Solenzara est la base avant de l'opération aérienne française.
Lors de ce déplacement prévu en fin de matinée, le président sera accompagné du ministre de la Défense, Gérard Longuet, a-t-on ajouté de mêmes sources.
L'aviation française a détruit lundi un blindé des forces pro-Kadhafi à une centaine de kilomètres au sud de Benghazi (est de la Libye), selon l'état-major des armées.
Lors de l'engagement des opérations samedi les avions de chasse français avaient détruit quatre véhicules blindés de l'armée libyenne.
(©AFP / 21 mars 201
Le Président Barack Obama action militaire limitée en Libye
Romandie News
Obama annonce avoir autorisé une "action militaire limitée" en Libye
BRASILIA - Le président Barack Obama a annoncé samedi avoir autorisé une "action militaire limitée" des forces américaines en Libye pour faire respecter l'application de la résolution 1973 du Conseil de sécurité de l'ONU.
"Aujourd'hui, j'ai autorisé les forces armées des Etats-Unis à entreprendre une action militaire limitée en Libye", a déclaré M. Obama aux journalistes à Brasilia où il entamait une tournée de cinq jours en Amérique latine.
Il a aussi insisté sur le fait que les Etats-Unis ne déploieraient pas de troupes au sol dans ce pays.
"Comme je l'ai dit hier (vendredi), nous ne déploierons pas, je répète, nous ne déploierons pas de troupes américaines au sol", a ajouté M. Obama, qui avait déjà fait cette promesse avant de s'envoler pour le Brésil.
Il a également prévenu le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi que "les actes ont des conséquences", justifiant la décision des Etats-Unis de participer à une offensive contre le régime libyen par les attaques que ce dernier a mené contre son peuple.
"Je veux que les Américains sachent que l'usage de la force n'était pas l'option qui avait notre préférence. Et ce n'est pas une décision que j'ai prise à la légère", a-t-il affirmé.
"Mais nous ne pouvons pas rester les bras ballants quand un tyran dit à son peuple qu'il ne fera pas de quartier, et quand ses forces intensifient leur assaut contre des villes comme Benghazi et Misrata, où des innocents risquent des violences et la mort de la part de leur propre gouvernement", a insisté le président américain en référence à deux fiefs de l'insurrection contre le régime du colonel Kadhafi.
"Donc il faut que ce soit clair: les actes ont des conséquences, et il faut faire respecter la volonté de la communauté internationale", a-t-il encore dit.
(©AFP / 19 mars 2011 21h56)
Le Président Mr Barack Obama Bresil Moyen-Orient
De Tangi QUEMENER (AFP)
Obama donne la démocratie brésilienne en exemple au Moyen-Orient
RIO DE JANEIRO — Le président américain Barack Obama a donné dimanche à Rio la transition du Brésil vers la démocratie dans les années 1980 en "exemple" aux pays du Moyen-Orient comme La Libye en révolte contre leurs régimes autoritaires.
Un jour après avoir donné l'ordre aux forces armées américaines de bombarder des cibles militaires en Libye pour empêcher le régime de Mouammar Kadhafi de réprimer dans le sang la rébellion de sa population, M. Obama a fait un plaidoyer en faveur de la démocratie dans les pays d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient, secoués depuis le début de l'année par des mouvements de révolte.
Comme samedi à Brasilia, M. Obama a gardé à l'esprit la situation en Libye où les forces armées américaines participent aux opérations militaires destinées à faire respecter la résolution 1973 du Conseil de sécurité de l'ONU.
M. Obama a d'ailleurs commencé la journée par une téléconférence consacrée au conflit, avec ses secrétaires d'Etat Hillary Clinton et à la Défense Robert Gates, a annoncé la Maison Blanche.
Le président américain, qui a engagé avec une grande prudence les Etats-Unis dans l'opération militaire en Libye et a promis que pas un soldat américain ne mettrait le pied dans ce pays, a souligné que "personne ne peut savoir avec certitude comment ce changement va aboutir".
"Mais je sais que le changement n'est pas quelque chose dont nous devrions avoir peur", a lancé M. Obama, qui s'exprimait dans un théâtre du centre de la "Ville merveilleuse" au deuxième et dernier jour d'une visite au Brésil, dans le cadre d'une tournée en Amérique latine.
"Lorsque les hommes et les femmes réclament leurs droits de façon pacifique, notre humanité commune est améliorée. Où que la lumière de la liberté soit allumée, le monde devient plus éclairé", a-t-il dit.
"Et c'est l'exemple du Brésil. Le Brésil, un pays qui montre qu'une dictature peut devenir une démocratie vibrante. Le Brésil, un pays qui montre que la démocratie offre aux habitants aussi bien la liberté que des opportunités" de prospérer, a dit le président qui a souhaité que son pays et le Brésil deviennent des "partenaires égaux".
M. Obama a relevé que la place Cinelandia, à l'extérieur du théâtre municipal dans lequel il s'exprimait, avait connu des manifestations pour la démocratie, couronnées de succès avec la fin de vingt-et-un ans de dictature militaire en 1984.
Dimanche en fin de matinée, M. Obama, son épouse Michelle et leurs filles Sasha et Malia se sont rendus dans la "Cité de Dieu", une favela de 40.000 habitants de la banlieue ouest de Rio. Ce bidonville a été pacifié et les trafiquants de drogue en ont été expulsés.
La quartier a néanmoins été bouclé par de très nombreux policiers et militaires, et des tireurs d'élite étaient postés sur les toits.
Salué à son arrivée par des "Obama, Obama", lancés par des habitants aux fenêtres, le président a assisté à un concert de percussions, à une représentation de capoeira (lutte dansée afro-brésilienne), et échangé quelques passes de football avec des enfants de la communauté.
Le programme officiel du président mentionne également une visite en soirée sur le site de la statue du "Christ Rédempteur", d'où l'on jouit d'une vue panoramique incomparable sur la ville et la baie de Rio.
De Rio, M. Obama gagnera tôt lundi matin Santiago du Chili où il passera la journée. La journée de mardi sera consacrée au Salvador, seule étape en Amérique centrale de cette tournée qui s'achèvera mercredi avec son retour à Washington.
Copyright © 2011 AFP.
Libellés :
Le Président Mr Barack Obama Bresil
Intervention de Mr le chef de l'etat Mr Nicolas Sarkozy 2007 2011 fidèle au cap de son discours
En m'adressant à vous ce soir, dans ce moment qui est, chacun le comprend, exceptionnel dans la vie d'un homme, je ressens une immense émotion.
J'éprouve depuis mon plus jeune âge la fierté indicible d'appartenir à une grande, vieille et belle nation, la France. Je l'aime comme on aime les êtres chers qui nous ont tout donné. Maintenant c'est à mon tour de tout lui donner.
Ce soir ma pensée va aux millions de Français qui aujourd'hui m'ont témoigné leur confiance. Je veux leur dire qu'ils m'ont fait le plus grand honneur qui soit à mes yeux en me jugeant digne de présider aux destinées de la France.
Ma pensée va à tous ceux qui m'ont accompagné dans cette campagne. Je veux leur dire ma gratitude et mon affection.
Ma pensée va à Madame Royal. Je veux lui dire que j'ai du respect pour elle et pour ses idées dans lesquelles tant de Français se sont reconnus.
Ma pensée va à tous les Français qui n'ont pas voté pour moi. Je veux leur dire que par-delà le combat politique, par-delà les divergences d'opinions, il n'y a pour moi qu'une seule France.
Je veux leur dire que je serai le Président de tous les Français, que je parlerai pour chacun d'entre eux. Je veux leur dire que ce soir, ce n'est pas la victoire d'une France contre une autre. Il n'y a pour moi ce soir qu'une seule victoire, celle de la démocratie, celle des valeurs qui nous unissent, celle de l'idéal qui nous rassemble. Ma priorité sera de tout mettre en œuvre pour que les Français aient toujours envie de se parler, de se comprendre, de travailler ensemble.
Le peuple français s'est exprimé. Il a choisi de rompre avec les idées, les habitudes et les comportements du passé. Je veux réhabiliter le travail, l'autorité, la morale, le respect, le mérite. Je veux remettre à l'honneur la nation et l'identité nationale. Je veux rendre aux Français la fierté d'être Français. Je veux en finir avec la repentance qui est une forme de haine de soi, et la concurrence des mémoires qui nourrit la haine des autres.
Le peuple français a choisi le changement. Ce changement je le mettrai en œuvre parce que c'est le mandat que j'ai reçu du peuple et parce que la France en a besoin. Mais je le ferai avec tous les Français. Je le ferai dans un esprit d'union et de fraternité. Je le ferai sans que personne n'ait le sentiment d'être exclu, d'être laissé pour compte. Je le ferai avec la volonté que chacun puisse trouver sa place dans notre République, que chacun s'y sente reconnu et respecté dans sa dignité de citoyen et dans sa dignité d'homme. Tous ceux que la vie a brisés, ceux que la vie a usés doivent savoir qu'ils ne seront pas abandonnés, qu'ils seront aidés, qu'ils seront secourus. Ceux qui ont le sentiment que quoi qu'ils fassent ils ne pourront pas s'en sortir doivent être sûrs qu'ils ne seront pas laissés de côté et qu'ils auront les mêmes chances que les autres.
J'appelle tous les Français par-delà leurs partis, leurs croyances, leurs origines, à s'unir à moi pour que la France se remette en mouvement.
J'appelle chacun à ne pas se laisser enfermer dans l'intolérance et dans le sectarisme, mais à s'ouvrir aux autres, à ceux qui ont des idées différentes, à ceux qui ont d'autres convictions.
Je veux lancer un appel à nos partenaires européens, auxquels notre destin est lié, pour leur dire que toute ma vie j'ai été européen, que je crois en la construction européenne et que ce soir la France est de retour en Europe. Mais je les conjure d'entendre la voix des peuples qui veulent être protégés. Je les conjure de ne pas rester sourds à la colère des peuples qui perçoivent l'Union Européenne non comme une protection mais comme le cheval de Troie de toutes les menaces que portent en elles les transformations du monde.
Je veux lancer un appel à nos amis Américains pour leur dire qu'ils peuvent compter sur notre amitié qui s'est forgée dans les tragédies de l'Histoire que nous avons affrontées ensemble. Je veux leur dire que la France sera toujours à leurs côtés quand ils auront besoin d'elle. Mais je veux leur dire aussi que l'amitié c'est accepter que ses amis puissent penser différemment, et qu'une grande nation comme les Etats-Unis a le devoir de ne pas faire obstacle à la lutte contre le réchauffement climatique, mais au contraire d'en prendre la tête parce que ce qui est en jeu c'est le sort de l'humanité tout entière.
Je veux lancer un appel à tous les peuples de la Méditerranée pour leur dire que c'est en Méditerranée que tout se joue, et que nous devons surmonter toutes les haines pour laisser la place à un grand rêve de paix et de civilisation. Je veux leur dire que le temps est venu de bâtir ensemble une Union Méditerranéenne qui sera un trait d'union entre l'Europe et l'Afrique.
Je veux lancer à tous les Africains un appel fraternel pour leur dire que nous voulons les aider à vaincre la maladie, la famine et la pauvreté et à vivre en paix. Je veux leur dire que nous déciderons ensemble d'une politique d'immigration maîtrisée et d'une politique de développement ambitieuse.
Je veux lancer un appel à tous ceux qui dans le monde croient aux valeurs de tolérance, de liberté, de démocratie et d'humanisme, à tous ceux qui sont persécutés par les tyrannies et par les dictatures, à tous les enfants et à toutes les femmes martyrisés dans le monde pour leur dire que la France sera à leurs côtés, qu'ils peuvent compter sur elle.
Mes chers compatriotes, nous allons écrire ensemble une nouvelle page de notre histoire. Je suis sûr qu'elle sera grande et belle, et du fond du cœur ce soir je vous dis :
Vive la République ! Vive la France ! »
l’honneur de Mr le Président Nicolas Sarkozy ONU Union Européenne
Cela restera, l’honneur de Mr le Président Nicolas Sarkozy d’avoir rappelé au monde, à l’ONU, à l’Union Européenne que la diplomatie n’est pas seulement une incantation sur les grands principes des droits de l’homme et de la démocratie, mais qu’elle doit être aussi un engagement nécessaire et réel lorsque ces principes sont violés. Le choix doit être clair entre accepter l’inacceptable ou refuser la violation des principes si nécessaire par l’action claire, déterminée et choisie.
Mr le président Nicolas Sarkozy UPM la conscience universelle
« La Méditerranée est au cœur de toutes les grandes problématiques de ce début de siècle. Développement, migrations, paix, dialogue des civilisations, accès à l'eau et à l'énergie, environnement, changement climatique : c'est au sud de l'Europe que notre avenir se joue
L'Union pour la Méditerranée (UPM), officiellement dénommée « Processus de Barcelone : Union pour la Méditerranée », est une organisation internationale intergouvernementale à vocation régionale. Fondée à l'initiative du président de la République française Nicolas Sarkozy, le 13 juillet 2008, dans le cadre de la présidence française de l'Union européenne, l'organisation est destinée à donner un nouveau souffle au processus de Barcelone, partenariat liant l'Europe aux pays riverains de la Méditerranée. rassemble des États riverains de la mer Méditerranée et l'ensemble des États membres de l'Union européenne (UE). Elle compte ainsi 44 membres : aux 27 membres de l'Union européenne s'ajoutent l'Albanie, l'Algérie, la Bosnie-Herzégovine, la Croatie, l'Égypte, Israël, la Jordanie, le Liban, le Maroc, la Mauritanie, Monaco, le Monténégro, l'Autorité palestinienne, la Syrie, la Tunisie, la Turquie et la Ligue arabe (en tant que telle).Les principaux buts de l'organisation sont d'ordre énergétique et environnemental : l'eau, l'énergie (notamment solaire), l'environnement — tout particulièrement la dépollution de la Méditerranée — et l'autoroute de la mer comptent parmi les enjeux au cœur du projet.
le rôle du Community Management dans le référencement web
Article publi-rédactionnel gratuit par amina
Quel est le rôle du Community Management dans le référencement web?
Le Community Manager un terme certes à la mode mais utile pour le référencement web. Car à l'heure actuelle avec l'évolution fulgurante des réseaux sociaux on ne peut plus pratiquer une bonne campagne de référencement sans penser y inclure le Community Management.Littéralement le Community Management signifie manager une communauté ou l’animer selon des méthodes précises ou par la mise en place de stratégies bien définies. Mais notez que le Community Management est surtout un mot à la mode. En effet, de nos jours on peut plus se permettre de faire du référencement sans pour autant penser à y inclure le Community Management.
Mais en fait à quoi sert-il ?
Et qu’est ce qui le rend nécessaire ou utile pour le référencement ?
Le web est une plate forme publique et les réseaux sociaux un lieu de rencontre des internautes. Récemment nous avons remarqué une évolution sociétale fulgurante sur ces plates formes sociales. Et nous savons tous qu’un marché et le lieu de rencontre de l’offre et de la demande. Commercialement parlant on sait que les habitudes de consommation ont changées surtout sur le web. En effet, ces nouvelles plates formes sociales permettent de créer un espace d’échange pour une communauté donnée ou cible. Et un produit ou une marque ne peut drainer de réputation ou un retour de perception sans une clientèle définie ou des consommateurs fidèles plus connu sous le nom de communauté. Car il est important de faire appel au Community Mangement pour le développement d’un service, produit ou d’une marque, vu que les modes de consommation ont évolué et que le client est devenu plus qu’un simple acheteur mais un expert pour ne pas dire un averti.
Et grâce à la segmentation à priori existante sur les réseaux sociaux selon certains critères déterminés comme l’âge, les intérêts, etc. ; le consommateur est devenu un créateur et un acteur de la communication. De ce fait cela facilite les actions de web marketing vu qu’on peut s’adresser directement à sa communauté clé qui est souvent une population « homogène ». Et cela pousse les webmasters et chargés de référencement web à pousser leurs analyses en se basant sur certains indicateurs comme les tendances et besoins de ces populations. Car tel que le community Manager son rôle est de susciter des adhésions afin de créer une communauté. Ainsi, il crée, construit et entretient des relations durables avec cette communauté ou internautes. En effet, en faisant de l’animation dans les réseaux sociaux, le Community Manager aide les entreprises ou les marques à construire une réputation dans le long terme. Car ne vous y tromper pas une agence de référencement Google ou une entreprise quelconque avec des pages j’aime ou fan sur son site ou blog n’est rien autre qu’une autre façon de créer une communauté.
Mais ou est l’intérêt pour les spécialistes du référencement ?
D’abord notons que pour avoir un bon référencement web il faut trois facteurs clés : la technique avec l’optimisation, la création de liens, la création de contenu mais surtout le Community Management qui est le quatrième facteur qui vient compléter les trois premiers et qui est aussi important que les autres. Car l’animation de la communauté de fans que ce soit sur facebook ou twitter ou autre support social est le plus difficile d’où son importance. Mais aussi d’avoir une bonne veille concurrentielle et de gestion e-reputation car comme dans toute stratégie de référencement web cela est plus que nécessaire. Et l’enjeu dans le Community Management est qu’il permet de créer un lien entre la marque ou le produit d’une entreprise donnée et une communauté donnée. Donc pour conclure notons qu’il est plus qu’important pour l’entreprise ou la marque de faire la promotion de ses activités ou celle de la marque sur les réseaux sociaux histoire d’évaluer la communauté qui se trouve derrière.
l'Union pour la Méditerranée est une initiative diplomatique de Mr le President Nicolas Sarkozy
L'intervention française dans le chaos libyen pour une nouvelle conjoncture au Moyen-Orient
Le président Sarkozy a reçu deux représentants du Comité national de l'opposition libyenne à Paris le 10 mars. Puis l'Elysée a annoncé que le gouvernement français reconnaissait officiellement cette organisation et qu'il décidait l'échange d'ambassadeurs. La France est donc le premier pays à avoir pris une démarche diplomatique effective au moment où la situation n'est pas encore claire en Libye.
Après cette action, Tripoli a annoncé la rupture de ses relations diplomatiques avec la France et lancé une menace directe contre Nicolas Sarkozy, prétendant que la Libye avait financé considérablement sa campagne pour l'élection présidentielle de 2007.
L'initiative de la France n'a pas produit un effet d'exemple au sein de l'Union européenne. Le 11 mars, le sommet spécial qui s'est tenu à Bruxelles a conclu que le Comité national de l'opposition libyenne n'est que l'un des interlocuteurs légitimes, que les pays membres ne devraient pas agir précipitamment avant l'éclaircissement de la situation et que la reconnaissance diplomatique de la France est un « acte irréfléchi ».
En réalité, la « reconnaissance diplomatique » n'est que l'une des mesures adoptées par la France pour intervenir dans l'affaire libyenne. Avant l'éclatement des troubles internes en Libye, la France a collaboré avec la Grande-Bretagne, tous les deux membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU, pour proposer et promouvoir l'adoption de sanctions contre Tripoli. Le Conseil de sécurité a finalement adopté une résolution à cette fin.
La France a pris l'initiative de proposer d'établir une « zone d'exclusion aérienne » en Libye, disant qu'il faut empêcher l'armée de l'air libyenne de bombarder l'opposition et de porter ainsi atteinte à la population civile. Elle en a présenté trois conditions préalables : la nécessité d'obtenir l'autorisation des Nations unies ; la participation (même symbolique) de pays arabes à l'action ; et l'absence de l'OTAN dans cette action. De toute évidence, la France a posé ces conditions dans le but d'éviter l'apparition de conflits entre l'Europe et les pays arabes d'Afrique du Nord, et de limiter le champ d'action de Washington.
Le 11 mars, le président Sarkozy et le premier ministre britannique David Cameron ont publié conjointement une lettre proposant de lancer des « attaques ciblées » contre la Libye, afin d'empêcher le régime de Kadhafi d'user d'armes chimiques contre l'opposition. Le 14 mars, la France qui assume à son tour la présidence du G8 a convoqué une réunion des ministres des Affaires étrangères pour coordonner leurs positions sur le problème de l'établissement de la « zone d'exclusion aérienne ». Le même jour, la France, la Grande-Bretagne et le Liban ont soumis à ce sujet un projet de résolution au Conseil de sécurité. La situation change rapidement en Libye : les troupes gouvernementales ont repris successivement des villes sous le contrôle de l'opposition et sont prêtes à prendre Benghazi d'assaut. Devant cette situation, le ministre français des Affaires étrangères Juppé s'envole le 17 mars à New-York pour déployer le dernier effort visant à pousser le Conseil de sécurité à adopter le projet de résolution. Selon Paris, une fois Benghazi repris par les forces gouvernementales, les habitants pourraient être massacrés. Par conséquent, le Conseil de sécurité doit autoriser le recours aux armes pour protéger la population libyenne.
De ce qui précède, nous pouvons déduire que parmi les pays occidentaux, la France s'intéresse tout particulièrement au problème libyen, même plus que les Etats-Unis. Pourquoi Paris est-il si pressé d'intervenir dans la situation trouble de la Libye ? Les raisons en sont les suivantes :
Premièrement, contraindre Kadhafi à quitter le pouvoir. Aux yeux des Français, Kadhafi est un « marginal » du monde arabe, affublé du statut de « dictateur militaire». Il est d'autant plus maudit qu'un crash d'avion s'est produit en décembre 1988 au-dessus du village de Lockerbie, en Ecosse. Après enquête, il est apparu que l'explosion qui a coûté la vie à 270 passagers a été provoquée par les Libyens. Bien que le gouvernement libyen ait versé une grosse indemnité, les pays européens considèrent toujours Kadhafi comme un diable qu'il faut éliminer. Maintenant que les troubles survenus dans ce pays fournissent l'occasion de le renverser, la France a pris l'initiative de reconnaître officiellement l'opposition libyenne. Bien que cette action paraisse trop précipitée et irréfléchie, elle répond aux aspirations des hommes politiques et de l'opinion publique de la France. Sarkozy marque sûrement des points sur le plan politique, en vue de l'élection présidentielle de l'année prochaine.
Deuxièmement, donner un nouveau souffle à l'Union pour la Méditerranée. La création de l'Union pour la Méditerranée est une initiative diplomatique de Nicolas Sarkozy après son entrée à l'Elysée en 2007, un projet dont il est fier. Le 13 juillet 2008, les 27 membres de l'UE et 13 pays riverains de la Méditerranée qui ne sont pas membres de l'UE ont proclamé à Paris la création de l'Union pour la Méditerranée. Mais la Libye, pays de poids sur la rive sud de la Méditerranée, a refusé de s'y joindre. Cette brèche est à l'origine de la mésentente entre Sarkozy et Kadhafi. Maintenant, le pouvoir a changé de main en Egypte et en Tunisie, et la situation est agitée en Libye et dans d'autres pays. La France veut en profiter pour ouvrir une nouvelle perspective de développement de l'Union pour la Méditerranée. L'Elysée a clairement dit que la relance de l'Union pour la Méditerranée est un objectif poursuivi par la France devant les changements qui se sont produits en Afrique du Nord.
Troisièmement, protéger l'artère économique que sont l'Asie occidentale et l'Afrique du Nord La France considère toujours l'Asie de l'Ouest et l'Afrique du Nord comme son artère économique. Pour elle, la Libye représente un immense marché et un fournisseur de ressources, vu l'étendue de son territoire, l'abondance de ses ressources et sa position géographique. Les troubles survenus en Libye ont causé la suspension de ses exportations pétrolières et, dans une certaine mesure, la flambée du prix de l'or noir. Cela peut entraîner des conséquences d'autant plus graves que la France est sérieusement frappée par la crise financière internationale et qu'elle dépendante des importations pour son énergie. Dans cette situation, elle s'empresse d'agir et de prendre l'initiative pour essayer d'avoir un plus grand droit à la parole dans la situation politique libyenne d'après Kadhafi.
Quatrièmement, faire face à la nouvelle conjoncture politique au Moyen-Orient. En tenant compte de ses intérêts stratégiques au Moyen-Orient et de ses liens traditionnels avec les pays de cette région, la France s'efforce d'y maintenir son influence et sa voix au chapitre. En outre, c'est aussi là que la France et les Etats-Unis mesurent leurs forces de manière ouverte ou dissimulée. Les agitations frappant certains pays de l'Asie occidentale et de l'Afrique du Nord et les conflits armés en Libye apportent beaucoup de facteurs incertains à la situation ultérieure au Moyen-Orient et agissent directement sur sa future conjoncture politique. Les initiatives de la France et son intervention dans l'évolution de la situation politique de ces pays constituent la meilleure option de Paris et répondent aux intérêts de la France.
Traduction d'un article en chinois rédigé par Shen Xiaoquan, maître de recherches au Centre d'étude des problèmes mondiaux de l'agence Xinhua.
Subscribe to:
Posts (Atom)