阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, March 24, 2011

Mr le chef de l'état Français pas d'opérations au sol Libye



MINUTE PAR MINUTE - L'opération militaire contre le régime du colonel Kadhafi se poursuit aujourd'hui. Suivez les derniers événements en direct.

Mr le Pésident Nicolas Sarkozy G20 G8 vidéo Figaro

Le Brésil élu Tour Manager 2011



Cette nouvelle catégorie récompense les actions dynamiques et créatives menées en 2010 par l’antenne française d’Embratur, l’Office du Tourisme du Brésil. Fort d’un budget consacré à l’Europe en hausse de 65%, Embratur a renforcé ses actions à destination des tour operators, agences online ainsi que la presse. Cette dynamique s’inscrit dans un plan ambitieux à horizon 2014 et 2016 pour la Coupe du Monde de football et les Jeux Olympiques.

le chef de l'état Nicolas sarkozy Bruxelles



A Bruxelles, le chef de l'état Mr Nicolas Sarkozy veut se positionner en faiseur de la paix
le président de la République devrait évoquer un plan de paix pour prévoir l'après Kadhafi,

Tendances Interculturelles Euro-Med



La fondation Anna Lindh vient de publier un rapport sur "Les Tendances Interculturelles en Euro-Med" afin de discerner les perceptions mutuelles.
Le rapport s'appuie sur un sondage sans précédent réalisé par l'Institut Gallup. Il est basé sur la première enquête d'opinion réalisée à partir d'un échantillon de 13.000 ménages répartis en Europe, et dans l'Est et le Sud de la région Méditerranéenne.

Treize pays euro-méditerranéens ont été concernés par cette première enquête: l'Allemagne, la Bosnie-Herzégovine, l'Egypte, l'Espagne, la France, la Grèce, la Hongrie, le Liban, le Maroc, le Royaume Uni, la Suède, la Syrie et la Turquie.

A travers plusieurs questions qui portent sur des thèmes tels que les facteurs religieux ou l'influence des médias, une des conclusions principales du rapport est le faible niveau de connaissance mutuelle entre les différents pays de la région euro-méditerranéenne.

La Fondation Anna Lindh basée à Alexandrie (Egypte) a été créée en 2005 par les gouvernements du Partenariat euro-méditerranéen avec un budget de 7 millions d’euros. Elle œuvre au rapprochement des peuples et des organisations de la région en leur offrant des occasions de travailler main dans la main sur des projets dans les domaines de la culture, de l’éducation, des sciences, des droits de l’homme, du développement durable, du renforcement de pouvoir des femmes et des arts.

Syrie les revendications du peuple



Syrie: les revendications du peuple sont "légitimes", selon le pouvoir
(AFP) – Il y a 5 heures

DERAA — Les revendications des habitants de Deraa, ville du sud de la Syrie théâtre de manifestations antigouvernementales, sont "légitimes", a déclaré jeudi Boussaïna Chaabane, conseillère du président Bachar al-Assad lors d'une conférence de presse à Damas.

Plus de 20.000 personnes ont participé jeudi à des funérailles à Deraa, dans le sud de la Syrie, où une centaine de manifestants ont été tués la veille par des tirs des forces de sécurité, selon des militants des droits de l'Homme.

Le président Assad, dont le parti Baas est au pouvoir depuis plus de 40 ans, n'est pas intervenu publiquement depuis le début des manifestations.

A Deraa, noyau de la contestation qui a débordé dans des villes voisines, les manifestants, qui se dirigeaient de la mosquée al-Omari vers le cimetière, ont scandé: "Par notre âme et notre sang, nous nous sacrifierons pour toi, martyr".

Au moins 100 personnes ont été tuées mercredi à Deraa (100 km au sud de Damas) par les forces de l'ordre, ont indiqué jeudi à l'AFP des militants et des témoins, joints par téléphone depuis Nicosie.

"Il y a sûrement plus de 100 morts et la ville a besoin d'une semaine pour enterrer ses martyrs", a déclaré Ayman al-Assouad, militant des droits de l'Homme.

Un autre militant a affirmé que le nombre des morts à Deraa et dans les localités voisines "dépassait les 150".

Les autorités avaient imputé mercredi les heurts à un "gang armé", l'accusant d'avoir tué quatre personnes et "d'emmagasiner des armes dans la mosquée" al-Omari à Deraa, point de ralliement des contestataires.

Elles ont aussi accusé "des parties étrangères" de propager des mensonges.

Le mouvement de contestation a débuté le 15 mars en Syrie à la suite d'un appel via une page Facebook intitulée "la révolution syrienne contre Bachar al-Assad 2011".

Cette page a appelé à des manifestations vendredi dans tout le pays.

"Nous appelons le peuple syrien à manifester et à annoncer le refus de l'injustice et de la répression (...) Nous allons poursuivre nos manifestations pacifiques jusqu'à ce que nos objectifs de liberté et de dignité soient réalisés", indique un communiqué publié sur cette page.

"Nous faisons assumer aux autorités (...) la responsabilité du sang des martyrs et des blessés à Deraa", ajoute-t-il.

Parallèlement, des ONG internationales et syriennes ont fait état d'une vague d'arrestations, dont celles d'un jeune blogueur Ahmad Hanifa et d'un journaliste Mazen Darouiche.

Amnesty International a dressé une liste de 93 personnes arrêtées ce mois-ci dans le pays, tout en estimant dans un communiqué que "le nombre réel de personnes arrêtées est vraisemblablement beaucoup plus élevé".

Il s'agirait de personnes âgées de 14 à 45 ans, comprenant des étudiants, des intellectuels, des journalistes et des militants.

Jeudi matin, les rues de Deraa étaient désertes, selon un témoin joint par l'AFP. "D'habitude, notre ville est animée, mais aujourd'hui les rues sont désertes", a déclaré Amal, une habitante de la ville.

"Les écoles sont fermées, la plupart des boutiques le sont aussi, Deraa ressemble à une ville fantôme", a-t-elle ajouté.

Les manifestations qui ont commencé à Deraa le 18 mars sont le fruit "des pressions continues, des brimades, et des humiliations" subies par le peuple, ont indiqué habitants et analystes.

A Deraa, les protestataires s'en sont pris aux symboles du régime, incendiant notamment des locaux de téléphonie mobile appartenant au cousin du président.

Le gouverneur de Deraa, Fayçal Kalthoum, a été limogé mercredi par un décret promulgué par le président Assad.

Paris a dénoncé une nouvelle fois des "violences inacceptables" et Londres a appelé la Syrie à "respecter le droit de manifester".

Copyright © 2011 AFP

Mr le Président Nicolas sarkozy l'Union pour la Méditerranée



Les pays du sud de la Méditerranée ont connu des changements inimaginables qui ont créé l'incertitude et une crise grave dans la région, mais aussi une occasion pour remodeler le processus initié par l'Union pour la Méditerranée. L'Assemblée parlementaire de l'Union pour la Méditerranée est le seul organe capable d'agir dans ces circonstances difficiles, à la différence de l'exécutif", a indiqué la députée
l'Union pour la Méditerranée utilisant les moyens nécessaires pour faciliter le développement et le changement politique dans la région.

le president Mr Nicolas Sarkozy va proposer un plan de paix



Libye : à Bruxelles, Sarkozy va proposer un plan de paix
Après le chef de guerre, Nicolas Sarkozy endosse le costume de faiseur de paix en Libye. Alors que le pilonnage de la coalition internationale se poursuit contre les forces armées du colonel Kadhafi, le Président de la République va profiter du sommet européen qui débute ce jeudi à Bruxelles pour présenter aux Vingt-Sept une "initiative de paix" qui devrait se solder par le départ du Guide. Car Paris et ses alliés savent pertinemment que les frappes aériennes ne suffiront pas à faire tomber Kadhafi. Pas question de s'enliser dans les sables libyens. Les Français veulent donc encourager ses fidèles à retourner leur veste au plus vite

le Président français Mr Nicolas Sarkozy Guinée


Alpha Condé recontre Nicolas Sarkozy
Le président guinéen Alpha Condé est en visite en France depuis mardi et jusqu’à vendredi. Il doit rencontrer cet après-midi son homologue français Nicolas Sarkozy pour "relancer la coopération entre les deux pays", deux ans et demi après le putsch militaire qui avait renversé le président Lansana Conté en décembre 2008. Alpha Condé doit aussi rencontrer le Conseil français des investisseurs en Afrique (Cian), le Medef, principale organisation patronale française mais également le premier ministre François Fillon et le chef de la diplomatie, Alain Juppé.

Europe Portugal en crise



Les dirigeants européens au chevet du Portugal en crise
De Sophie LAUBIE (AFP) – il y a 1 heure

BRUXELLES — L'Europe se retrouve jeudi au chevet du Portugal après la démission du Premier ministre qui rapproche le pays d'un plan d'aide financière extérieure, à l'instar de la Grèce et de l'Irlande, et menace de déstabiliser à nouveau la zone euro.

Les chefs d'Etat et de gouvernement des 27 pays de l'Union européenne se réunissent à partir de 17H00 (16H00 GMT) à Bruxelles, pour adopter un arsenal contre les crises de la dette préparé depuis des mois.

Mais le sommet est bousculé par l'urgence portugaise.

Le Premier ministre José Socrates a présenté mercredi soir sa démission, prenant acte du rejet à la chambre des députés, où son gouvernement est minoritaire, d'un nouveau programme d'austérité censé éviter au pays de demander l'aide internationale.

"Cette crise politique, en ce moment, aura des conséquences gravissimes sur la confiance dont le Portugal a besoin auprès des institutions et des marchés financiers", a mis en garde M. Socrates.

Il représentera son pays à Bruxelles en tant que chef de gouvernement démissionnaire.

Les pays européens se préparent du coup à devoir débloquer à plus ou moins brève échéance des prêts en faveur du Portugal, dont les taux d'emprunt sur les marchés financiers grimpent fortement.

Le montant d?une éventuelle aide au Portugal avait été estimé à environ 50 milliards à l'automne. Depuis, un haut responsable européen a évoqué un montant pouvant atteindre jusqu'à 100 milliards d'euros.

Après une période d'accalmie, l'Union monétaire pourrait donc être précipitée dans une nouvelle zone de turbulences, susceptible de placer l'Espagne à son tour en première ligne face aux marchés.

Elle n'est pas à l'abri, alors que l'agence de notation financière Moody's a annoncé jeudi qu'elle abaissait d'un cran ou plus les notes de 30 banques espagnoles.

Pour ne rien arranger, des difficultés de dernière minute compliquent la tâche des pays européens pour se doter d'un dispositif complet de défense contre les crises de la dette, l'objet officiel du sommet.

Les dirigeants de l'UE doivent en effet entériner un ensemble de mesures incluant un Fonds de soutien financier permanent, qui nécessitera un changement de traité européen, un renforcement de la discipline budgétaire et de la compétitivité.

Des accords ont déjà été trouvés sur la plupart des points, au moins au niveau de la zone euro. Mais des difficultés demeurent.

Alors que les ministres européens des Finances étaient tombés d'accord lundi sur le financement de leur futur mécanisme afin qu'il puisse prêter 500 milliards d'euros, la chancelière allemande Angela Merkel demande plus de temps que prévu pour verser la contribution qui lui reviendra.

Les Européens doivent encore s'entendre aussi sur les moyens pour augmenter la capacité effective de prêt du Fonds de soutien actuel à 440 milliards d'euros (contre 250 milliards d'euros environs actuellement).

L'option privilégiée jusqu'ici est de le faire via une hausse des garanties.

Mais la décision devrait être reportée à plus tard car la Finlande, en pleine campagne électorale, "a exclu toute augmentation des garanties du Fonds vendredi", selon une source diplomatique.

Autre dossier sensible: l'Irlande, car la situation de ses banques criblées de dette pourrait être pire que prévue. Et Dublin souhaite renégocier les conditions de ses prêts européens, un dossier qui risque d'être toutefois reporté aux semaines à venir.

Les dirigeants de l'UE doivent aussi valider un "pacte pour l'euro", dans lequel ils s'engagent à réformer leurs économies. Il mécontente toutefois les syndicats européens, qui le jugent "anti-social". Plusieurs milliers de personnes manifestaient jeudi à Bruxelles à leur appel.

Copyright © 2011 AFP

Syrie BFMTV Youtube

Mr le président Nicolas sarkzoy Union européenne la priorité absolue


Union européenne : la "priorité absolue"
Sans surprise, c'est à la construction de l'Europe que le nouveau chef de l'Etat veut accorder "la priorité absolue".




Mr le President Nicolas Sarkozy avec Madame la chancelière Angela Merkel lors du G8 en juin

"Quelle Europe en 2020-2030 ?"

Pour preuve de sa volonté, Mr le President Nicolas Sarkozy a indiqué que la France serait le "premier pays" à ratifier le futur traité européen simplifié, fruit de l'accord politique à 27 du Conseil européen de juin dernier, dont il fut avec Madame Angela Merkel l'un des principaux artisans.

Afin de poursuivre au mieux la construction européenne, le chef de l'Etat a fait une nouvelle proposition lors de son discours : l'organisation, au sein des pays membres de l'Union, d'un "comité de 10 à 12 sages" pour réfléchir à l'avenir du projet européen à l'horizon 2020-2030. Les sages auront pour objectif de rendre leur rapport avant les élections européennes de juin 2009, pour permettre au Parlement nouvellement élu et à la prochaine Commission européenne d'en disposer en complément du traité simplifié.

Nicolas Sarkozy a lié le sort des négociations avec Ankara à la création de ce comité. Il a précisé ainsi que "si cette réflexion essentielle" est lancée par les 27, "la France ne s'opposera pas à ce que de nouveaux chapitres de la négociation entre l'Union et la Turquie soient ouverts dans les mois et les années qui viennent". Une inflexion par rapport à son opposition de principe à l'adhésion de la Turquie, saluée par la Commission européenne et la présidence portugaise.

Pour une Europe de la Défense

L'autre annonce majeure faite par Nicolas Sarkozy est la relance de l'Europe de la Défense : "la France prendra des initiatives très fortes pour un renforcement de l'Europe de la Défense". En marche depuis le sommet franco-britannique de Saint-Malo en 1998, la politique européenne de sécurité et de défense (PESD) doit surmonter de nombreux obstacles : différences d'appréciation entre Etats sur des questions internationales, contraintes budgétaires et surtout relations avec l'OTAN.

C'est sur ce dernier point que Nicolas Sarkozy s'est montré le plus novateur par rapport à Mr Jacques Chirac, qui éprouvait une certaine méfiance à l'égard de l'Alliance Atlantique. En souhaitant associer à l'Europe de la Défense "la rénovation de l'OTAN", le nouveau Président a expliqué que "les deux vont ensemble : une Europe de la défense indépendante et une organisation atlantique où nous prendrions toute notre place".

Le Président français a aussi annoncé la publication du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale du ministre français de la Défense, Hervé Morin. Il l'a présenté comme une contribution de la France au "travail nécessaire" d'élaboration d'une "nouvelle stratégie européenne de sécurité" à laquelle il souhaite voir contribuer les autres pays européens

Le Pésident Mr Nicolas Sarkozy et le Président Mr Barack Obama le rôle de l'Otan



De violents combats opposaient, hier, les rebelles aux «loyalistes», alors que Nicolas Sarkozy et Barack Obama se sont entendus, hier soir, sur les modalités d'utilisation des structures de commandement de l'Otan en soutien de la coalition
Les limites de l'intervention aérienne.
Au quatrième jour de l'offensive aérienne internationale contre le régime de Kadhafi, l'usage exclusif de l'arme aérienne imposé par la résolution de l'Onu commence à montrer ses limites face à des forces loyalistes et rebelles de plus en plus imbriquées et indiscernables. À Paris, le colonel Thierry Burkhard, porte-parole de l'état-major des armées, a reconnu sans ambages que «c'est une situation extrêmement complexe et difficile».

Juppé tend une perche à Kadhafi.
Face au risque d'enlisement, le chef de la diplomatie française, Alain Juppé, a déclaré que l'opération militaire de la coalition peut s'arrêter «à tout moment» si Mouammar Kadhafi se conforme aux résolutions du Conseil de sécurité de l'Onu et accepte un cessez-le-feu. Le colonel Kadhafi avait annoncé un nouveau cessez-le-feu, dimanche soir, mais la répression sanglante n'a pas cessé pour autant.

Les forces «loyalistes» maintiennent la pression sur le terrain.
Cinq personnes, dont quatre enfants, ont été tuées à Misrata, troisième ville du pays (200km à l'est de Tripoli), par des tirs de pro-Kadhafi, selon les rebelles. La veille, 40 personnes y avaient déjà été tuées et plus de 300 blessées. À Yefren (130km au sud-ouest de Tripoli), «les forces de Kadhafi ont entrepris une offensive meurtrière, lundi et hier, dans la région. Les combats ont fait au moins neuf morts à Yefren et beaucoup de blessés», a indiqué un habitant. «Nous nous attendions à ce que la coalition (internationale) empêche les bataillons de Kadhafi d'avancer vers cette région» sous contrôle de la rébellion, a-t-il ajouté.

Les Rafale du Charles de Gaulle sont entrés en action.
L'intensité et le nombre des attaques de la coalition a diminué depuis la première nuit de samedi à dimanche. «Dans la mesure où nous parvenons avec succès à supprimer les systèmes de défense aérienne, le niveau d'activité cinétique devrait baisser», a déclaré le secrétaire américain à la Défense, Robert Gates. Hier, les avions de chasse Rafale du porte-avions nucléaire français Charles-de-Gaulle ont conduit une première mission au-dessus de la Libye, a annoncé l'état-major des armées.

Fillon plaide sans mal en faveur de l'action française.
Le Premier ministre a plaidé sans mal en faveur de l'action «légitime» de la France en Libye, hier, devant le Parlement, soulignant dans une ambiance quasi consensuelle qu'une opération terrestre était «exclue» et qu'il revenait au peuple libyen de se débarrasser de Kadhafi. Seul le député communiste Roland Muzeau a fait entendre une voix discordan