阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, June 30, 2009

La croissance de l’Algérie



La croissance de l’Algérie dépendra de la compétitivité de ses entreprises

La croissance économique de l’Algérie ne peut être durable sans l’amélioration de la compétitivité des entreprises algériennes.mardi 30 juin 2009.
Le ministre de la PME et de l’Artisanat, Mustapha Benbada, a affirmé que les programmes de mises à niveau lancés en faveur des PME algériennes avaient contribué à prendre conscience que la croissance passe par l’amélioration de la compétitivité de l’entreprise en Algérie. "La mise à niveau des entreprises industrielles privées, ciblées par le programme PME I (coopération Algérie-UE), est une réalité concrète et reflète la prise de conscience des chefs d’entreprises, que le chemin de la croissance s’inscrit dans une démarche permanente et volontaire d’améliorer leur compétitivité", a affirmé le ministre lors de l’installation du Comité de pilotage de la convention de financement du "programme d’appui aux PME/PMI et à la maîtrise des technologies d’information et de la communication (PME-II)".
Quelque 159 entreprises ont été ciblées jusqu’à aujourd’hui, à travers l’Algérie, par le processus de mise à niveau des entreprises, depuis son lancement en 2001, a indiqué lundi le président des programmes de mise à niveau au ministère de l’Industrie et de la Promotion des investissements. Lors d’un point de presse tenu en marge d’une rencontre régionale sur la mise à niveau des entreprises, organisée à Constantine, M. Bekkouche a fait savoir que l’Algérie compte "pas moins de 900 entreprises industrielles". Toutes "sont concernées" par ce programme de mise à niveau, a-t-il indiqué, précisant que seules les entreprises considérées "non viables" n’ont pas été retenues pour bénéficier de ce dispositif.
Synthèse de Samir, www.algerie-dz.com D’après APS

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Turquie news


Algerie économie


Réunion à Alger du Conseil des ministres arabes




Réunion à Alger du Conseil des ministres arabes
Publié le : 30.06.2009 09h32

eLe Conseil des ministres arabes de l'Eau a tenu, lundi à Alger, sa première session, avec comme objectif de jeter les bases d'une coopération interarabe à même de relever les défis liés à cette ressource vitale.

Dans une allocution lors de la séance d'ouverture, le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa a mis l'accent sur la nécessité d'œuvrer à la sensibilisation des différentes couches sociales, à l'échelle arabe, aux problèmes de l'eau et de l'environnement, soulignant le besoin d'augmenter les capacités des pays arabes dans tous les domaines en rapport avec ces secteurs, particulièrement en matière de gestion efficiente des ressources en eau.Après avoir fait remarquer que "l'ère de l'accès facile à l'eau est révolue", M. Moussa a souligné que "l'appropriation par Israël des sources d'eau dans les territoires arabes occupés et leur détournement par la force, constituent une menace à la sécurité d'approvisionnement de la Palestine, la Jordanie, la Syrie et du Liban".De son côté, le président du Conseil mondial de l'eau (CME), M. Loïc Fauchon, a insisté sur la nécessité de préserver les sources d'eau et de veiller à la rationalisation de la distribution et de la consommation, expliquant que le gaspillage de cette denrée vitale, qui va se raréfiant, est devenu "inacceptable". Mustapha Janah, secrétaire général du secrétariat d'Etat chargé de l'Eau et de l'Environnement, qui a représenté le Maroc à cette réunion, a confié à la MAP que cette rencontre est une occasion de faire le point de la situation et de la gestion des ressources en eau dans les pays arabes, comme elle permet, a-t-il ajouté, de procéder à un échange de vues concernant les grandes orientations stratégiques à adopter, en vue de parvenir à un développement durable et garantir la sécurité dans les domaines alimentaire et de l'eau. Il a souligné que le Royaume s'est attelé depuis des décennies à la maîtrise de ses ressources en eau, à travers la réalisation de grands barrages, ce qui lui permet de couvrir ses besoins en eau. Mais en dépit des étapes franchies dans ce domaine, a-t-il fait remarquer, le Maroc n'est pas à l'abri de la raréfaction des ressources en eau, en raison des changements climatiques.



Par MAP

Monday, June 29, 2009

La loi sur les investissements en Algérie



La loi sur les investissements en Algérie n’est pas rétroactive

Seuls les projets d’investissements futurs en Algérie seront concernés par les mesures prises par le gouvernement Ouyahia.lundi 29 juin 2009.
Les entreprises étrangères qui ont déjà investi en Algérie ne seront pas obligées de prendre un partenaire algérien à hauteur de 51 % dans le capital de leur société. En revanche, pour les investisseurs à venir, cette mesure est obligatoire quel que soit leur secteur d’activité. Le ministre des Finances, M. Karim Djoudi, l’a affirmé hier lors de son passage sur les ondes de la radio Chaîne III, en expliquant que cette nouvelle mesure « n’a pas d’effet rétroactif », à l’inverse de celle qui oblige les sociétés étrangères d’importation de marchandises destinées à la revente en l’état d’ouvrir leur capital à hauteur de 30 % à un partenaire algérien. En revanche, a précisé le ministre, « il n’y aura aucune exception » faite un à un secteur donné. Autrement dit, quelque soit le domaine d’investissement qu’elles choisiront à l’avenir, les entreprises étrangères devront renoncer à la majorité, ce qui ne signifie nullement cependant qu’elles n’auront pas la gestion des projets. M. Djoudi ne pense pas que de telles mesures auront pour effet de faire reculer l’investissement direct étranger en Algérie, d’autant que « le retour sur investissement est le plus important de la région ».
De plus, le marché algérien reste l’un des plus « attractifs de la région car nous avons une croissance de 6 % hors hydrocarbures, une stabilité du taux d’inflation et surtout une solvabilité financière », a-t-il expliqué. Selon lui, seule la crise financière internationale peut empêcher les entreprises internationales de renoncer à investir à l’étranger, mais pour l’Algérie « il n’y a pas de désinvestissement », a-t-il assuré. Par ailleurs, s’agissant du projet de loi de finances complémentaire de 2009, le ministre a indiqué qu’il sera demain au centre d’une réunion du gouvernement. Ce texte prévoit notamment un « dispositif d’assainissement » pour les entreprises publiques dans le cadre du « traitement de leur dette », mais à certaines condition comme la « solvabilité des entreprises, leur capacité de fonctionnement et leur patrimoine ». La lutte contre la fraude, l’évasion fiscale et la contrefaçon, la réduction de la pression fiscale, la régulation du commerce extérieur et l’investissement sur le marché national sont les trois principes fondamentaux de ce projet de loi, a-t-il précisé.
Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com D’après le Jeune Indépendant

premier prototype du Solar Impulse dévoilé énergie





Le premier prototype du Solar Impulse dévoilé
(src: Solar impulse)
Bertrand Picard et son équipe ont dévoilé vendredi le premier prototype du projet Solar Impulse : un avion solaire capable de voler de jour comme de nuit. En 2012, il s'élancera pour le premier tour du monde en avion solaire.
A l'occasion de la présentation de l'avion, le Solar Impulse HB-SIA, , Bertrand Piccard et son associé André Borschberg ont retracé l’histoire du projet depuis son lancement en 2003.
Six ans de travail intense, de calculs, de simulations et de tests ont été nécessaires à une équipe de 70 personnes pour achever la réalisation de cet avion en fibre de carbone : avec l'envergure d'un Airbus A340 (63,4m) et le poids d'une voiture moyenne (1600 kg), aucun appareil aussi grand et aussi léger n'a jamais été construit, ont-il souligné.
Près de 12 000 cellules solaires sont intégrées dans les ailes. Elles alimenteront en énergie renouvelable les 4 moteurs électriques d’une puissance maximale de 10 cv chacun et chargeront le jour les batteries lithium-polymère (400 kg) qui permettront de voler de nuit.
Le HB-SIA est le premier prototype du projet Solar Impulse. Il a pour mission de démontrer la faisabilité d’un vol de 36 heures, soit un cycle complet jour-nuit-jour, propulsé uniquement à l’énergie solaire. Après des mises au point au sol, l’avion devrait réaliser ses premiers essais dans le ciel suisse d’ici la fin 2009, d’abord sur l’aérodrome suisse de Dübendorf puis depuis la base aérienne de Payerne. Une première nuit complète en vol est programmée pour 2010.
Les résultats du HB-SIA et leur analyse serviront au développement et à la réalisation d’un deuxième avion, le HB-SIB. Il prendra son envol en 2012, pour un tour du monde en cinq étapes de cinq jours chacune.

Panaf 2009 Alger



Panaf 2009 : Concerts, hommages et résidences de créations musicales...
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La musique africaine dans toute sa splendeur reflétée par sa diversité instrumentale qui, en accompagnant les voix puissantes des interprètes, replonge ses mélomanes dans les débuts de l'existence de l'homme sur la terre, occupera une place remarquable au 2e Festival culturel panafricain d'Alger. La musique africaine, traditionnelle ou contemporaine, sera présente en force lors de cette 2e édition qu'abritera Alger du 5 au 20 juillet, avec près de 300 concerts et spectacles qu'animeront dans les salles et en plein air, des artistes et des groupes africains de renom. L'esplanade de Ryadh El-Feth (Alger) vibrera chaque soir au passage successifs de plusieurs célébrités de renommée internationale. Le volet musical de cet évènement continental prévoit ainsi des concerts séparés de Youssou N'dour, Salif Keita, Mory Konte et du groupe Kassav, qui reproduiront, à travers paroles, voix, instruments et rythmes, un climat typique aux spécificités du continent noir émanant de ses profondes racines. Des artistes algériens, représentants une partie du vaste patrimoine musicale national, seront au rendez-vous, comme le roi du Raï Khaled, Mohamed Lamine, Cheba Zehouania, Karim Zyad, Bouteiba S'ghir et le poète-chanteur de langue amazigh, Lounis Aït Menguellet et Amazigh Kateb. Outre le Festival africain du Jazz et le Festival africain de la musique du Diwane, des spectacles dans d'autres sites seront animés par les troupes présentes au festival international de danse folklorique de Sidi Bel-Abbès et le festival arabo-africain de danse folklorique de Tizi-Ouzou qui se tiendront durant la même période. Un hommage sera rendu aux stars de la 1ère édition du Festival culturel panafricain de 1969, dont la défunte chanteuse sud africaine Miriam Makeba et les musiciens Boudjemia Merzak, Boualem Hamani et le parolier Mustapha Toumi. Des concerts de jeunes artistes d'Algérie et d'autres pays africains, de troupes de musiques traditionnelles et de l'Orchestre symphonique national élargi à des musiciens africains, sont également programmés sur d'autres lieux réservés aux spectacles et dans certaines wilayas du pays. Par ailleurs, des résidences de créations musicales regrouperont des artistes algériens et de pays africains qui seront couronnées par la présentation d'un concert. Un coffret de musique du Panaf d'Alger 2009 sera en outre édité pour éterniser les valeurs musicales du continent et rendre hommage aux chantres de la musique africaine dans toute sa diversité.

Sunday, June 28, 2009

Michael Jackson - Earth Song Youtube


MIchael Jackson Youtube


UNESCO: 4 Africains candidats au poste de directeur général




France - Les candidatures de quatre personnalités africaines au poste de directeur général de l'UNESCO ont été rendues publiques par le Conseil exécutif de l'Organisation, a-t-on appris mardi à Paris, de source officielle.Il s'agit de l'Algérien Mohammed Bedjaoui, l'Egyptien Farouk Hosny, le Tanzanien Sospeter Mwijarubi Muhongo et le Béninois Nouréini Tidjani-Serpos.Le Conseil exécutif de l'UNESCO examinera ces candidatures pour en choisir une lors de sa session qui se tiendra du 7 au 23 septembre prochain, juste avant la 35e session de la Conférence générale qui nommera le nouveau directeur général.Selon l'acte constitutif de l'UNESCO, le directeur général est nommé par la Conférence générale, sur proposition du Conseil exécutif, pour un mandat de quatre ans renouvelable une fois.

'Environnement l'Union pour la Méditerranée



L'environnement relance l'Union pour la Méditerranée
Première réunion ministérielle depuis l'offensive israélienne à Gaza
Publié le : 26.06.2009 15h42




Enlisée depuis six mois, l'Union pour la Méditerranée a repris un peu de couleurs jeudi à Paris avec la première réunion ministérielle – avec Israéliens et Palestiniens autour de la table – consacrée à des projets sur l'eau, l'environnement et les énergies renouvelables.

Les ministres, qui ont examiné plus de 200 projets, ont annoncé le lancement de quelques projets "pilotes" – construction d'une centrale photovoltaïque au Maroc ou de pompes destinées à l'irrigation alimentées par des panneaux photovoltaïques en Tunisie – mais ont surtout salué une nouvelle dynamique."On peut dire que c'est une relance du processus", a estimé le ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo à l'issue de cette première rencontre au niveau ministériel depuis l'offensive israélienne dans la bande de Gaza (décembre-janvier)."Cette réunion donne une impulsion importante (...) elle nous permet de passer d'un cadre de politique général à la mise en œuvre effective", a de son côté estimé ministre égyptien de l'Industrie, Rachid Mohamed Rachid, qui coprésidait la réunion. Inaugurée en grande pompe il y a presque un an à Paris, l'UPM, qui compte 43 membres, vise à sortir de l'ornière le processus de dialogue euro-méditerranéen, dit "de Barcelone", entamé en 1995 et largement resté lettre morte.Henri Guaino, conseiller spécial de l'Elysée, a annoncé son souhait de faire d'un projet d'adduction et de traitement d'eau à Gaza une "priorité" de l'UPM "dans les mois qui viennent". "On a trouvé tout le monde plutôt ouvert à cette perspective", a-t-il expliqué. "Pour la première fois, on refait une réunion de ministres, donc une réunion politique : la preuve que l'on surmonte, même si c'est difficile, le drame de Gaza". M. Borloo a précisé que ce projet concernait "environ 20%" des besoins en eau des territoires palestiniens, et annoncé une visite dans les semaines qui viennent pour "arrêter définitivement ce programme au nom de l'UPM". Interrogé par l'AFP à l'issue de cette réunion, le ministre israélien de l'Environnement, Gilad Erdan a jugé qu'il s'agissait d'un "pas en avant très important". "Nous résolvons des problèmes d'eau, d'énergie, de transport. Ce pourrait être une véritable chance d'avancer", a-t-il estimé. Nombre de projets examinés jeudi s'inscrivent dans le cadre du Plan solaire méditerranéen (PSM), qui porte, en dépit de son nom, sur l'ensemble des énergies renouvelables, les questions d'efficacité énergétique et d'interconnectivité entre pays. L'une des pistes à l'étude est la création de gigantesques centrales solaires thermodynamiques dans le Sahara, qui permettraient d'alimenter la rive Sud de la Méditerranée, mais aussi, via des câbles sous-marins, l'Europe. Le développement durable des villes a également été au cœur des débats jeudi : la population des villes du Sud de la Méditerranée aura gonflé de 100 millions de personnes en 2025 par rapport à 2000. Une réunion des ministres de l'Environnement est prévue mi-octobre à Dubrovnik (sud de la Croatie), d'autres rendez-vous ministériels consacrés aux transports puis à l'énergie devraient avoir lieu respectivement en Egypte et en Grèce d'ici à la fin de l'année. Pour le secrétaire d'Etat allemand aux Affaires européennes, Gunter Gloser, cette réunion de Paris a clairement démontré que le projet d'Union pour la Méditerranée "n'est pas mort". ----------------------------------------------------------------------
Projet sur l'eauHenri Guaino, conseiller spécial de l'Elysée, a souhaité jeudi faire d'un projet d'adduction et de traitement d'eau à Gaza une "priorité" de l'Union pour la Méditerranée (UPM), un projet en berne depuis l'offensive israélienne dans la bande de Gaza (décembre-janvier). "Il y a un projet sur l'eau à Gaza, nous voudrions en faire une priorité de l'UPM dans les mois qui viennent", a déclaré M. Guaino à l'issue de la première réunion ministérielle de l'UPM depuis le début de l'année, consacrée à des projets sur l'eau, l'environnement et les énergies renouvelables. "On a trouvé tout le monde plutôt ouvert à cette perspective", a-t-il ajouté. "Pour la première fois, on refait une réunion de ministres, donc une réunion politique: la preuve que l'on surmonte, même si c'est difficile, le drame de Gaza", s'est-il félicité. Coprésidée par la France et l'Egypte, l'UPM compte 43 membres, dont les pays de l'UE, Israël et les pays arabes riverains de la Méditerranée.



Saturday, June 27, 2009

MARVIN GAYE & TAMMI TERRELL "Ain't no Mountain High Enough" Youtube


Jackson Five - Got to be There & Brand New Thing Youtube


Algerie Europe



L’impact de l’accord d’association Algérie-UE

L’impact de la mise en oeuvre de l’accord d’association Algérie-UE fait l’objet d’une étude dont les résultats seront publiés fin 2009.vendredi 26 juin 2009.
Les résultats de l’étude d’impact de la mise en oeuvre de l’Accord d’association entre l’Algérie et l’Union européenne (UE), seront connus fin 2009, a indiqué mercredi un responsable du ministère du Commerce. "Les résultats de cette étude seront connus fin 2009", a déclaré le directeur du programme d’appui à la mise en oeuvre de l’Accord d’association "P3A", M. Aissa Zelmati lors d’un point de presse, précisant qu’un avis d’appel d’offre a été lancé sur le site de la commission européenne pour sélectionner le bureau d’étude qui sera chargé de son élaboration. "Le cahier de charges concernant cet appel d’offre a été élaboré, et nous allons sélectionner la semaine prochaine le bureau qui va mener cette étude", a-t-il ajouté. L’étude financée par le programme P3A coûtera environ 200.000 euros et sera réalisée en deux phases : une phase collecte de données en juillet qui va dénombrer l’impact de l’accord d’association Algérie-UE sur tous les secteurs d’activités, et une phase analytique en octobre pour analyser les données recueillies et établir l’impact exact de l’accord.
Par Rayane, www.algerie-dz.com D’après APS

Air Méditerranée lance 2 liaisons hebdo



Paris-Oran-Paris : Air Méditerranée lance 2 liaisons hebdo
La Compagnie Air Méditerranée desservira Paris Oran Paris en vols réguliers à compter du 7 Juillet 2009. Ces liaisons seront opérées en Airbus A321 et programmés le mardi au départ d'Orly et le vendredi au départ de Charles-de-Gaulle

Friday, June 26, 2009

L'Union pour la Méditerranée




PARIS - L'Union pour la Méditerranée (UPM) a tenu jeudi à Paris sa première réunion ministérielle depuis l'offensive israélienne dans la bande de Gaza, qui a donné un coup d'arrêt à sa construction politique début 2009.
Trente cinq des 43 pays membres de l'UPM, lancée en grande pompe le 13 juillet 2008 à l'initiative du président français Nicolas Sarkozy, ont participé à cette réunion consacrée à des projets dans le domaine du développement durable.
Le ministre israélien de la Protection de l'Environnement Gilad Erdan et le ministre palestinien de l'Economie Bassem Khouri se sont retrouvés dans la même pièce, avec les autres représentants des pays participants, dont le ministre algérien de l'Aménagement du territoire, Cherif Rahmani.
"Depuis des mois, l'UPM a, dans sa dimension politique, des difficultés liées à la tragédie de Gaza et il est vrai qu'il était difficile pour tout le monde de concevoir une réunion de ce genre à un niveau politique élevé. Personne n'aurait parié sur nos chances d'y parvenir", a dit Henri Guaino, conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, lors d'une conférence de presse.
"On a pu remettre tout le monde autour de la table", a ajouté celui qui est aussi chef de la mission interministérielle de l'UPM, après avoir été un des plus ardents défenseurs de cette initiative en 2008. "C'est un miracle de l'UPM de plus."
Un miracle salué par le ministre égyptien du Commerce et de l'Industrie, Rachid Mohamed Rachid, coprésident de la réunion de jeudi avec le ministre français de l'Ecologie Jean-Louis Borloo.
Cette réunion a notamment acté les premiers projets d'un "plan solaire méditerranéen", dont la construction au Maroc d'une centrale photovoltaïque qui exportera une partie de sa production d'électricité vers l'Europe.
La Banque européenne d'investissement (BEI) évalue à 200 milliards d'euros sur 20 ans les besoins de financement de l'UPM dans le domaine du développement durable.
Au total, les bailleurs de fonds (BEI, Agence française du développement, KfW, Banque mondiale, Fonds pour l'environnement mondial, Banque africaine de développement, EFG Hermes, la Caisse française des dépôts et consignations, Sumitomo Mitsui Banking Corporation, Siparex, Banque de développement du Conseil de l'Europe ...) se sont engagés sur près de 23 milliards d'euros, selon une note de synthèse distribuée à la presse.
UNE RELANCE DE L'UPM PAR LES PROJETS ?
La BEI, l'Agence française du développement (AFD) et le groupe bancaire allemand KfW ont ainsi annoncé jeudi cinq milliards d'euros de prêts pour le seul financement du plan solaire, un des projets pilote de l'UPM.
Les participants ont également acté, parmi d'autres projets, l'extension d'une station d'épuration du Caire pour traiter les eaux usés de deux millions de personnes.
Ils ont par ailleurs approuvé l'idée d'un vaste projet d'adduction et de traitement de l'eau dans la bande de Gaza, où des représentants de l'UPM iront dans les semaines à venir.
"Pendant que le processus politique était un peu stoppé, la dynamique des projets a continué", a souligné Jean-Louis Borloo. "On a pu étudier 200 projets. Une quarantaine devraient pouvoir être adoptés à la prochaine réunion ou à celle d'après."
"On peut parler de relance de l'UPM par le concret, par les projets", a renchéri Henri Guaino.
La construction politique de l'UPM a été de facto bloquée jusqu'au 25 mai et une première réunion sur les statuts du secrétariat de l'UPM, suivie d'une deuxième le 15 juin.
Il y a également eu le 5 juin une réunion sur la coopération judiciaire dans la lutte contre la pollution, au niveau des procureurs, et une réunion des directeurs généraux de la protection civile des pays membres le 18 juin à Marseille.
"Il faut aller le plus vite possible dans l'achèvement des statuts du secrétariat et dans son installation", a souligné Henri Guaino. "Parce qu'une fois qu'on aura dépolitisé cette affaire, on aura une base plus solide."
"Le secrétariat, c'est vraiment l'urgence absolue", a ajouté le conseiller de Nicolas Sarkozy, qui a dit avoir "bon espoir" que ce serait fait d'ici la fin de l'année.
L'UPM rassemble les 27 pays de l'Union européenne et 16 autres pays du pourtour méditerranéen. Elle est censée remplacer le processus Euro-Méditerranée dit de Barcelone.
Les 43 pays membres ont conclu le 4 novembre 2008 un compromis sur la répartition des postes au sein du secrétariat, dont le siège sera installé à Barcelone, en Espagne.
Le secrétaire général viendra du Sud et sera assisté de six secrétaires généraux adjoints - un Italien, un Grec, un Maltais, un Turc, un Israélien et un Palestinien.
Emmanuel Jarry

Mohamed El hadj Al Anka ( L'Hmam) Youtube



De son vrai nom Aît Ouarab Mohamed Idir Halo, Hadj M'Hamed El Anka naquit le 20 mai 1907 à la Casbah d'Alger, précisément au 4, rue Tombouctou, au sein d'une famille modeste, originaire de Béni Djennad (Tizi-Ouzou). Son père Mohamed Ben HadJ Saîd, souffrant le jour de sa naissance, dut être suppléé par un parent maternel pour la déclaration a l'état civil. C'est ainsi que naquit un quiproquo au sujet du nom patronymique d'El Anka. Son oncle maternel se présente en tant que tel; il dit en arabe "Ana Khalo" (Je suis son oncle) et c'est de cette manière que le préposé inscrivit "Halo". Il devient alors Halo Mohamed Idir.
Sa mère Fatma Aït Boudjemaâ l'entourait de toute l'affection qu'une mère pouvait donner. Elle était attentive a son éducation et à son instruction. Trois écoles l'accueillent successivement de 1912 à 1918: coranique (1912-1914), Brahim Fatah (Casbah) de 1914 à 1917 et une autre à Bouzaréah jusqu'en 1918. Quand il quitte l'école définitivement pour se consacrer au travail, il n'avait pas encore souffle sa 11 ème bougie. C'est sur recommandation de Si Said Larbi, un musicien de renom, jouant au sein de l'orchestre de Mustapha Nador, que le jeune M'hamed obtenait le privilège d'assister aux fêtes animées par ce Grand maître qu'il vénérait. C'est ainsi que durant le mois de Ramadhan de l'année 1917, le cheikh remarque la passion du jeune M'hamed et son sens inné pour le rythme et lui permit de tenir le tar (tambourin) au sein de son orchestre. A partir de la, ce fut Kehioudji, un demi-frère de Hadj Mrizek qui le reçoit en qualité de musicien a plein temps au sein de l'orchestre qui animait les cérémonies de henné réservées généralement aux artistes débutants. Après le décès de cheikh Nador à l'aube du 19 mai 1926 à Cherchell, ville d'origine de son épouse ou il venait juste de s'installer, El Anka prit le relais du cheikh dans l'animation des fêtes familiales. L'orchestre était constitué de Si Saîd Larbi, de son vrai nom Birou, d'Omar Bébéo (Slimane Allane) et de Mustapha Oulid El Meddah entre autres. C'est en 1927 qu'il participa aux cours prodigués par le cheikh Sid AH Oulid Lakehal, enseignement qu'il suivit avec assiduité jusqu'en 1932. 1928 est une année charnière dans sa carrière du fait qu'il rencontre le grand public.
Il enregistre 27 disques 78 t chez Columbia, son premier éditeur et prit part aussi a l'inauguration de la Radio PTT Alger. Ces deux événements vont le propulser au devant de la scène a travers tout le territoire national et même au-delà. Le 5 août 1931, cheikh Abderrahmane Saîdi venait de s'éteindre. Ce Grand cheikh disparu, El Anka se retrouvera seul dans le genre mdih . C'est ainsi que sa popularité favorisée par les moyens modernes du phonographe et de la radio, allait de plus en plus grandissante. Des son retour de La Mecque en 1937, il reprit ses tournées en Algérie et en France et renouvela sa formation en intégrant HadJ Abderrahmane Guechoud, Kaddour Cherchalli (Abdelkader Bouheraoua décédé en 1968 à Alger), Chabane Chaouch à la derbouka et Rachid Rebahi au tar en remplacement de cheikh Hadj Menouer qui créa son propre orchestre. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, et Après une période jugée difficile par certains proches du cheikh, El HadJ M'Hamed El Anka va être convié à diriger la première grande formation de musique populaire de Radio Alger à peine naissante et succédant à Radio PTT, musique populaire qui allait devenir, a partir de 1946, "chaâbi" grâce à la grande notoriété de son promoteur, El Anka. En 1955. il fait son entrée au Conservatoire municipal d'Alger en qualité de professeur charge de l'enseignement du chaâbi. Ses premiers élèves vont devenir tous des cheikhs a leur tour, assurant ainsi une relève prospère et forte, entre autres, Amar Lâachab, Hassen Said, Rachid Souki, etc. EI-Hadj M'Hamed El-Anka a bien pris à cour son art: il a appris ses textes si couramment qu'il s'en est bien imprégné ne faisant alors qu'un seul corps dans une symbiose et une harmonie exceptionnelle qui font tout le genie créateur de l'artiste en allant jusqu'à personnifier, souvent malgré lui, le contenu des poésies qu'il interpréte; les exemples d'El-Hmam, Soubhane Ellah Yaltif sont assez édifiants.La grande innovation apportée par EI-Hadj El-Anka demeure incontestablement la note de fraîcheur introduite dans une musique réputée monovocale qui ne répondait plus au goût du jour- Son jeu instrumental devient plus pétillant, allégé de sa nonchalance. Sa manière de mettre la mélodie au service du verbe était tout simplement unique. A titre indicatif, El Hadj El Anka a interprété près de 360 poésies (qaca'id ) et produit environ 130 disques. Après Columbia, il réalise avec Algériaphone une dizaine de 78 t en 1932 et une autre dizaine avec Polyphone. Après plus de cinquante ans au service de l'art, El Anka animera les deux dernières soirées de sa carrière jusqu'à l'aube, en 1976, à Cherchell, pour le mariage du petit-fils de son maître cheikh Mustapha Nador et, en 1977, a El-Biar, chez des familles qui lui étaient très attachées. Il mourut le 23 novembre 1978, à Alger, et fut enterré au cimetière d'El-Kettar.

Michael Jackson - Liberian Girl Youtue


Thursday, June 25, 2009

Métro Alger info



Le Président Bouteflika attendu sur le chantier le 5 juillet : comment va fonctionner le Métro d’AlgerPar sonia lyes , le 21/06/2009 réactions : 16 Les Algérois découvriront bientôt leur métro. La mise en service de la première ligne aura lieu dans les prochains mois, au plus tard début 2010, selon les prévisions du ministère des Transports. Le président Abdelaziz Bouteflika devrait prendre pour la première fois le Métro d'Alger le 5 juillet. Les préparatifs de la visite du chef de l'Etat sont en cours depuis plusieurs jours. Le groupement Siemens-Vinci-Caf s'affaire en effet à achever les travaux de finition et multiplie les essais de circulation de trains. Constituée de dix stations, cette ligne reliera la Grande Poste à Hai El Badr, en passant par Khelifa Boukhalfa, la place du 1er mai, Aissat Idir, El Hamma, le jardin d'Essai, les Fusillés, la cité Amirouche et la cité Mer et Soleil. Les dix stations de la « Ligne1 » du métro d'Alger seront surveillés par un important dispositif de sécurité constitué de 400 policiers, une centaine d'agents RATP El Djezair et des caméras de surveillance, selon des sources proches de l'Entreprise du métro d'Alger (EMA). Le français RATP est en charge de l'exploitation et de la maintenance du métro d'Alger durant une période de huit ans à partir de sa mise en service.Cet important dispositif de sécurité est destiné à prévenir d'éventuels attentats terroristes et à lutter contre la délinquance. La sécurité dans le métro constitue en effet la principale préoccupation des Algérois. La capitale pourrait être ciblée par les groupes terroristes et la délinquance est fortement présente dans ses rues. Elle a pris ces dernières années des proportions alarmantes, avec la multiplication des vols et des agressions. Les trains ont été fabriqués par le groupe espagnol CAF. Les dessertes des stations se feront à un rythme d'une rame toutes les trois minutes, dans une première étape, et circuleront de 5H jusqu'à 23H30. Les rames sont constituées de six voitures chacune pouvant transporter jusqu'à 1290 passagers dont 210 en places assises. Les quatorze rames qui circuleront sur la « Ligne1 » de ce métro peuvent transporter entre 150.000 et 200.000 voyageurs par jour.

Algerie promouvoir le Made in Algerie



L’Algérie peine à promouvoir le Made in Algeria

L’Algérie devrait mettre en place une stratégie de développement et de promotion des produits Made in Algeria selon les experts.jeudi 25 juin 2009.
L’Algérie ne dispose pas d’un plan de communication qui lui permet de promouvoir le produit national (Made in Algeria), selon Kamel Khelifa, expert-consultant en communication dans les échanges internationaux et en transport-logistique. « Nous n’avons pas de plan de communication à l’échelle nationale et encore moins à celle internationale », a-t-il fait constater hier à l’occasion d’une journée d’information ayant pour thème : « la communication intégrée au service de l’exportation des produits », tenue hier au siège de l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur. Lors de cette journée, M. Khelifa a expliqué que ce plan est un schéma stratégique qui obéit à des règles et nécessite des moyens financiers et un encadrement des pouvoirs publics. L’acte d’exporter, selon lui, « se base sur la connaissance des forces et faiblesses des produits que nous exportons et de l’usage de ce produit par le consommateur étranger ».
« On ne peut pas exporter les dattes dans un pays qui n’en consomme pas ou faut-il les exporter sous une autre forme de façon à séduire le consommateur », a-t-il suggéré en donnant l’exemple des figues de barbarie produites en Italie et exportées dans beaucoup de pays européens sous une autre forme. Pour M. Khelifa, l’Algérie, qui a été gérée pendant plus de 30 ans par une économie dirigiste, n’a pas encore compris l’intérêt de la communication et vit toujours dans un circuit fermé. Quant au rôle de l’Etat dans l’élaboration de plan de communi-cation, il a expliqué que cela est du ressort des organisations professionnelles qui devraient employer des professionnels pour dégager une multitude de plans de communication après des explorations et des études préalables. Il a relevé, néanmoins, l’absence d’une section économique au niveau des ambassades algériennes à l’étrangers pour promouvoir les produits Made in Algeria.
Synthèse de Samir, www.algerie-dz.com D’après le Jeune Indépendant

Algerie Economie



Le positionnement de l’Algérie comme l’un des quatre pays émergents en Afrique traduit le chemin appréciable parcouru par notre pays dans la voie du développement durable. Une situation qui ne fait qu’accroître l’attractivité de l’Algérie pour les investisseurs étrangers en quête d’opportunités susceptibles de les aider à sortir de la crise actuelle. En quelques années, la stratégie mise en œuvre pour conforter la stabilité et donner une forte impulsion à la croissance économique a donné des résultats probants, faisant apparaître l’Algérie comme un pays pionnier en matière de réformes. Les secteurs névralgiques comme la justice, les banques, les administrations en plus des institutions d’accompagnement des entreprises ont connu d’importantes mutations faisant émerger une réalité où s’affirment les valeurs de la compétence, de la transparence, de la primauté de la loi. La détermination à consolider l’Etat de droit, traduite notamment par la lutte implacable contre les pratiques de la corruption, du clientélisme et des passe-droits, a renforcé la confiance des porteurs de projets qui ont saisi l’importance des plans de charges liés à la réalisation des projets d’équipement financés par le budget de l’Etat. La réalisation des projets d’infrastructures (barrages, chemins de fer, autoroute Est-Ouest...) constitue un enjeu vital vu l’impact attendu sur le développement de l’activité économique et l’amélioration des conditions de vie des citoyens.Pour mener à bon port tous ces projets vitaux, une véritable course contre la montre a été engagée. Les entreprises nationales ont trouvé là une opportunité pour démontrer leur savoir-faire et leur capacité à réaliser les projets qui leur sont confiés dans le respect des délais et de la qualité. La présence des grandes firmes étrangères devait logiquement constituer un stimulant pour les entreprises nationales publiques et privées qui aspirent à renforcer leur professionnalisme. L’un des objectifs de la politique économique du gouvernement est de favoriser l’émergence de champions nationaux capables d’élargir leurs parts de marché au plan interne, mais aussi de rafler des contrats sur les marchés extérieurs.Outre les programmes de mise à niveau, des mesures de soutien en faveur des entreprises publiques viables sont prévues dans le plan d’action du gouvernement. Le lancement du prochain plan quinquennal doté d’une enveloppe de 150 milliards de dollars ouvre d’intéressantes perspectives pour les entreprises nationales dynamiques qui disposent de sérieuses références qui leur vaudront la confiance de l’Etat. La relance prévisible de la consommation des ménages avec la création de nombreux emplois (l’objectif est de 3 millions d’emplois en cinq ans) est un autre élément d’encouragement pour les entreprises nationales qui seront incitées à investir davantage, tant dans la formation des ressources humaines que dans la modernisation de l’outil de production. Comme on le voit, une nouvelle dynamique est ouverte qui favorise la libération des initiatives et le croisement des synergies.Les autoroutes, les chemins de fer, les barrages rendent possible le développement de l’agriculture, du tourisme, de l’industrie, du commerce. Une situation de prospérité qui ne peut qu’attirer davantage d’investisseurs intéressés par les marchés où le pouvoir d’achat est important. L’enjeu est bien sûr de garantir l’avenir des générations futures en parvenant à s’extraire de la dépendance du pétrole comme source unique de revenu. Un objectif qui appelle à redoubler d’effort pour remporter le challenge.M. Brahim

Wednesday, June 24, 2009

Algérie : inauguration de la Résidence des artistes Zeralda



Algérie : inauguration de la Résidence des artistes La Résidence des artistes, située à Algérie : inauguration de la Résidence des artistes La Résidence des artistes, située à Zeralda (Ouest d'Alger), dont les travaux viennent d'être achevés, a été inaugurée dimanche par la ministre algérienne de la Culture, Khalida Toumi. La résidence, construite sur une superficie de 20.000 m², est réalisée à l'occasion du 2e Festival culturel panafricain, prévu du 5 au 20 juillet prochain à Alger. Elle comprend 130 chambres doubles entièrement équipées, des salles de restauration avec cuisines modernes d'une capacité de 850 repas, une bibliothèque, des salles de conférences, des ateliers, une cafétéria et un cyberespace. Mme Toumi avait affirmé que l'Algérie était "fin prête" pour accueillir le 2e Festival culturel panafricain (Panaf) qui aurait lieu dans plusieurs villes algériennes (Ouest d'Alger), dont les travaux viennent d'être achevés, a été inaugurée dimanche par la ministre algérienne de la Culture, Khalida Toumi. La résidence, construite sur une superficie de 20.000 m², est réalisée à l'occasion du 2e Festival culturel panafricain, prévu du 5 au 20 juillet prochain à Alger. Elle comprend 130 chambres doubles entièrement équipées, des salles de restauration avec cuisines modernes d'une capacité de 850 repas, une bibliothèque, des salles de conférences, des ateliers, une cafétéria et un cyberespace. Mme Toumi avait affirmé que l'Algérie était "fin prête" pour accueillir le 2e Festival culturel panafricain (Panaf) qui aurait lieu dans plusieurs villes algériennes

Union pour la Méditerranée


Air Algerie une vraie performance





Air Algérie dans le groupe B

La compagnie aérienne nationale Air Algérie fait partie du groupe B des compagnies ayant un niveau correct dans la sécurité aérienne.mardi 23 juin 2009.
La compagnie nationale aérienne Air Algérie vient d’être classée dans la catégorie B (niveau correct) en matière de sécurité aérienne suite à une enquête du site Internet spécialisé (www.securvol.fr). Les enquêteurs se sont basés et sur les avis des voyageurs et sur la banque de données fournie par l’Observatoire de la sécurité aérienne et du tourisme (Obssat) qui note les compagnies aériennes. Sur les 6.200 sociétés de transport aérien déclarées dans le monde, l’Obssat a une visibilité sur 1.480 compagnies regroupées dans 5 classes de sécurité. Le nouveau classement des compagnies aériennes a été effectué selon de nombreux critères de sécurité : âge des avions, maintenance effectuée, nombre d’incidents rencontrés et la matière dont ils ont été traités.
Le classement de la compagnie nationale aérienne Air Algérie dans la catégorie B est une vraie performance, vu que cette catégorie compte de grandes compagnies étrangères, à l’exemple d’Air France (déclassé après le crash du vol Rio-Paris), Aigle Azur, Britair, XL Airways et Turkish Airlines. Dans le groupe A (bon niveau) on retrouve les compagnies les plus fiables en matière de sécurité aérienne, notamment asiatiques (Singapore, Qatar, Cathay, Emirates) et la low-cost Easyjet. Parmi les atouts de la compagnie nationale aérienne, il y a d’abord l’extrême maîtrise des pilotes algériens, le lancement d’un programme de modernisation de la flotte et l’obtention de la compagnie de la certification Iata.
Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com D’après Le Financier

Sunday, June 21, 2009

Pink Floyd The Wall - Pink Floyd Youtube


Le savoir faire des Architectes Algeriens



Ces architectes algériens qui font le bonheur de la France
Le président de l'Association des architectes français à l'export(AFEX), Laurent-Marc Fischer, a affirmé hier qu'un nombre important d'architectes algériens formés en Algérie exercent en France. « La présence de ces architectes est une richesse pour la France», a-t-il précisé en marge de la tenue des rencontres franco-algériennes, à l'hôtel El-Djazaïr, ayant pour thème «Construire ensemble durablement». Bien que les architectes et urbanistes français soient déjà en contact avec des architectes algériens établis en France ils se sont quand même déplacés en délégation de 35 personnes, venant de onze agences d'architecture de premier plan pour rencontrer leurs homologues algériens, ici en Algérie. «Les projets d'architecture doivent être développés dans leur contexte, dans leurs lieux et sur place», a précisé le président d'ALFEX. Les travaux de ces rencontres, parrainées par les autorités françaises et organisées par l'AFEX et la mission économique de l'ambassade de France en Algérie et UbiFrance, permettront d'ouvrir un large débat sur l'art de la construction en Algérie, sous tous ses aspects, qu'ils soient positifs ou négatifs. Les architectes algériens et français aborderont, lors des travaux qui se poursuivront aujourd'hui, les sujets «Comment fabriquer la ville : extensions et villes nouvelles ?», «Comment développer des projets tertiaires et touristiques ?, «Comment procéder à la rénovation du patrimoine» et «Comment enfin réaliser des grands équipements publics et logements»? Ces débats devront déboucher, selon les organisateurs de ces rencontres, sur des projets concrets de construction dans un cadre de coopération entre les deux pays, dans le domaine de réalisation de grands projets urbanistiques et architecturaux avec une touche purement algérienne. Des discussions visant à structurer cette coopération seront menées entre les présidents des ordres des architectes français et algériens, Lionel Dunet et Khaled Benboulaïd. Le président de l'ordre des architectes algériens, Khaled Benboulaïd, a fait état du combat mené par les professionnels de la construction et de l'architecture face à une politique de construction basée sur les chiffres au détriment des aspects culturel, moral et architectural du bâti. Le président de l'ordre a précisé que les choses s'améliorent sensiblement aujourd'hui. L'ordre compte 9.000 architectes dans ses rangs et ses positions doivent être respectées par les pouvoirs publics. Les architectes français ayant animé la conférence de presse ont affirmé que même les architectes français sont confrontés aux décisions politiques qui veulent réaliser à moindre coût et rapidement des constructions. Les deux partenaires français et algériens se sont dits pour des projets communs, recommandant plus de concentration dans les espaces urbains et laissant de grands espaces d'aération pour la ville. En effet, Khaled Benboulaïd a suggéré de relever les constructions, évitant le R+2, et dégageant de la sorte de grands espaces verts et de grandes artères de circulation. Pour Laurent Fischer, ceci est possible, sachant que l'Algérie est à l'aise financièrement, notamment par le fait qu'elle ne soit pas touchée fortement par la crise financière mondiale. A noter que Benboulaïd a ouvert une parenthèse au sujet de la Mitidja, qui est la proie du béton. «Quatre jours successifs de pluie et la Mitidja sera complètement inondée», a-t-il averti. Le groupe d'architectes français se rendra à Constantine demain lundi, où il tiendra une réunion avec le wali, les cadres et les élus de la wilaya. Les discussions tourneront autour de trois principaux axes : la modernisation de la métropole constantinoise, la réhabilitation du bâti ancien et l'intégration des futurs réseaux de transport urbain.
M. Aziza

Saturday, June 20, 2009

Energie solaire Grand Sud Sonatrach-Talissili



Chakib Khelil lance plusieurs projets énergétiques à Illizi
18 localités enclavées seront alimentées en énergie solaire dans le Grand Sud
C’est avec l’ambition de développer les projets qui lui tiennent à cœur, ceux de généraliser l’utilisation des énergies renouvelables dans les zones enclavées et en faveur des populations isolées et défavorisées, que le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, s’est rendu, hier, dans la wilaya d’Illizi pour procéder au lancement d'une série de projets énergétiques susceptibles de contribuer à l'amélioration des conditions de vie de la population de la wilaya. Le ministre a inauguré une station d'énergie solaire devant alimenter en électricité une vingtaine de foyers du village Tourest, qui se situe à plus de 80 km de la commune de Bordj El Haouès. Un village habité par une population semi- nomade, dénué de toute commodité et qui a déjà mis à profit les installations à énergie solaire pour puiser l’eau du puits, mais également pour s’éclairer et se doter d’un réfrigérateur. Très impressionné par l’état de marche du système qui a été bien entretenu par les habitants, Chakib Khelil a également procédé à l’octroi de 20 fours, fonctionnant à l'énergie solaire. Pourquoi ces fours ? Pour préserver la nature et pour remédier au fait que le bois se fait de plus en plus rare dans cette région, nous a-t-on expliqué. Les nomades n’utilisent que ce combustible. Inscrit au titre de l'investissement social de la fondation Sonatrach-Tassili, ce projet, qui est tout de même co-financé par les partenaires de Sonatrach, Cepsa Algérie et ENI Algérie, a nécessité un montage financier de près de 12 millions de dinars notamment pour l’acquisition de ces fours de nouvelle génération, fabriqués localement par l’entreprise Afexplast de Chlef, filiale du groupe ENPC. Après s’être rendu sans hésiter dans cette région très reculée et enclavée de Tourest, qui a bénéficié d’une nouvelle piste de 40 km pour l’occasion, et qui a coûté une enveloppe de 7 milliards de dinars, selon les responsables locaux, le ministre et son importante délégation, composée des PDG de toutes les filiales concernées, y compris celui de Sonatrach, a procédé dans la ville de Djanet à la pose de la première pierre pour la réalisation d'une station de gaz propane au profit de 3.900 habitants des localités de Tin Khatma, Azelouaz, El Mihan et Djanet. Ce projet, qui a bénéficié, au titre du programme de développement du Sud, d'une autorisation financière d'un milliard de dinars, soit 75% du financement, tandis que 25% sont assurés par Sonelgaz et les 10% restants (soit 10.000 DA) par les foyers bénéficiaires, devrait être achevé d’ici à la fin de l’année en cours et générer 100 emplois au profit des jeunes chômeurs de la région. Le ministre de l'Energie et des Mines, qui s'est enquis des conditions de stockage de carburants à la station Naftal de Djanet, a inspecté également le projet de réalisation de la résidence des hôtes de Sonatrach, qui a été très endommagée en 2005 par les inondations dont la ville a été victime, et dont les travaux ont avancé à 63%. Auparavant dans la matinée, Chakib Khelil a procédé à la pose de la première pierre pour la réalisation d'une station électrique dans la commune de Bordj El Haouès, distante de 140 km du chef-lieu de la daïra de Djanet. Sur site, le ministre a invité les responsables du projet a œuvrer au respect des délais de réalisation et d'accorder la priorité d'emploi à la main-d'œuvre locale. Ce projet, qui a bénéficié d'un montant d'investissement de 245 millions de dinars pour une durée de réalisation de 18 mois, devrait permettre la production d'une capacité de 250 kilowatt devant alimenter une population de plus de 400 foyers, selon ses initiateurs. Chakib Khelil a également donné le coup d'envoi du projet de réalisation d'un réseau d'électrification long de 5,4 km devant alimenter cette région à partir de la nouvelle station électrique.
De notre envoyée spéciale à Illizi Amel Zemouri

Salon ENR AGORA, le 2 & 3 juillet 2009 - Sophia Antipolis énergie


Socièté Général Algerie éco-crédit Energie



Société Générale Algérie lancera un éco-crédit

La banque Société Générale Algérie se met au vert et annonce le lancement d’un éco-crédit en 2010.jeudi 18 juin 2009.
Le président du directoire de la Société Générale Algérie, Gérald Lacaze, a fait savoir que sa banque entend lancer un « éco-crédit » (crédit environnement) en Algérie et une réflexion est en cours afin de trouver le modèle adéquat. « Nous réfléchissons à des agences qui seraient écologiques et à la mise en place du projet présenté par les lauréats algériens pourrait servir d’un modèle », a-t-il déclaré. Ces « dépôts verts » (dépôts à terme et livret d’épargne) serviront au financement des entreprises et/ou des projets qui respectent l’environnement. Le projet implique des avantages sur les crédits afin de mobiliser le plus grand nombre de personnes morales et physiques intéressées. Le projet sera monté au cours de l’année 2010, si l’on tient compte des déclarations du président du directoire de la Société Générale Algérie.
A priori, deux terrains d’intervention ont été identifiés. Il s’agit de financer l’achat d’équipements destinés à doter les voitures en gaz GPL. Actuellement, les voitures roulant au GPL représentent 3% seulement du parc automobile algérien. La Société Générale Algérie entend s’investir aussi dans le financement des biens et équipements destinés à équiper les logements en capteurs d’énergie solaire et/ou de chauffage fonctionnant à l’énergie solaire. A fin mai 2009, il est utile de le signaler, le réseau de la banque Société Générale Algérie comptait 54 agences. Les fonds propres de l’entreprise s’élèvent à 15 milliards de dinars, tandis que le nombre des clients, lui, a atteint 226 000 pour 1 270 collaborateurs. Le total bilan est évalué à 116 milliards de dinars, alors que les engagements sont estimés à 148 milliards de dinars. La banque entend atteindre un nombre de 70 agences d’ici la fin de l’année en cours et de 85 à fin 2010.
Synthèse de Samir, www.algerie-dz.com D’après El Watan

Friday, June 19, 2009

Union européenne Algerie projet La Méditerranée






Le chef de la délégation de l'Union européenne (UE) en Algérie, l'ambassadrice Laura Baeza, s'est félicitée «du dynamisme des universités algériennes dans ses actions de partenariat». Intervenant hier lors de la deuxième journée de la rencontre «Jeunes chercheurs autour de la Méditerranée», organisée à Oran, Mme Baeza a indiqué que l'UE est «très impliquée ces dernières années en Algérie dans des programmes ayant un rapport direct avec la jeunesse et la communauté estudiantine». Ces programmes, portant notamment sur les projets Tempus, Erasmus et Euromed, seront renforcés par un autre dispositif, qui sera lancé prochainement en collaboration avec le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a-t-elle affirmé. «L'Algérie participe activement au volet externe du programme Erasmus Mundus, qui vise à encourager la mise en place de partenariats entre les universités européennes et non européennes», a indiqué le chef de la délégation de l'UE en Algérie. Mme Baeza, qui a mis en relief l'intérêt que suscite ce programme auprès de la communauté universitaire, a précisé que l'enveloppe financière allouée a été multipliée par quatre pour couvrir les quatre années de sa mise en oeuvre. La promotion du dialogue interculturel, à travers notamment la mobilité des chercheurs et universitaires des deux rives de la Méditerranée, a été également soulignée par Mme Baeza. Elle a indiqué que la rencontre d'Oran, qui regroupe une centaine de jeunes chercheurs de plusieurs pays, s'inscrit en droite ligne avec le partenariat euro-méditerranéen initié en 1995 à Barcelone. A noter qu'une centaine de chercheurs de plusieurs universités algériennes et de pays arabes, africains et européens prennent part aux travaux du 2e Colloque international des jeunes chercheurs de la Méditerranée, ouvert avant-hier à l'université d'Oran. Une rencontre scientifique, initiée de concert avec l'université d'Oran, l'UNESCO et l'université de Tarragona, qui a pour objectif de débattre et d'examiner les mécanismes de développement de la gestion universitaire à travers les plans de réformes de ce secteur. Evoquant le volet relatif aux actions menée par l'UE à destination de la société civile, Mme Baeza a indiqué que plus de 300 associations algériennes bénéficient du soutien financier et technique accordé par le programme ONG 2. L'ambassadrice a précisé à cet égard que les associations bénéficiaires activent dans divers créneaux, tels que la sauvegarde du patrimoine historique et archéologique, l'écotourisme, la promotion de la femme et la protection de l'environnement. Le programme ONG 2, qui s'inscrit dans le cadre des échanges bilatéraux entre l'Algérie et l'UE, constitue le prolongement du programme ONG 1 (2004/2006). Il vise notamment à appuyer financièrement les associations et à consolider leurs capacités opérationnelles et à les accompagner dans la prise en charge de leurs projets.
Houari Barti

La ville impériale de Petropolis devient capitale de l'énergie propre



Romandie News

PETROPOLIS (Brésil) - Située dans les montagnes, à 65 km de Rio, la ville touristique de Petropolis est devenue la capitale brésilienne de l'énergie propre grâce à un projet de production d'énergie à partir des eaux usées.
L'idée, à l'initiative d'une organisation non gouvernementale, l'Institut environnemental (OIA), a déjà servi de modèle au Nicaragua, en République Dominicaine, en Haïti et en Espagne, et se fonde sur un principe simple: un biodigesteur traite les eaux usées pour produire de l'énergie.
Petropolis, pionnier au Brésil, compte aujourd'hui plus de 80 biodigesteurs. Cette technique permet, après trois phases de fermentation, de récupérer le biogaz - un mélange de méthane et de carbone - produit naturellement à partir des eaux usées et le canalise pour un usage domestique.
"Ce gaz à effet de serre, nuisible pour l'atmosphère quand il est libéré, est récupéré de façon utile", a expliqué à l'AFP Jorge Gaiofato, directeur technique de l'OIA.
La boue qui résulte du traitement du biodigesteur peut être utilisée comme engrais pour les cultures et l'eau restante, moins contaminée, peut être déversée dans les rivières voisines.
Ce projet peut avoir un grand avenir au Brésil, où d'après les statistiques officielles, un peu plus de la moitié des communes font la collecte des eaux usées et seulement 20% les traitent, selon M. Gaiofato.
Cette énergie propre alimente aujourd'hui cinq quartiers populaires de Petropolis, l'ancienne ville impériale de l'Etat de Rio, soit 20.000 personnes environ.
"Le biodigesteur recycle et réutilise les eaux usées. Les traiter est le rôle du gouvernement car le volume produit est trop grand. Cependant, le biodigesteur est une solution pour des systèmes situés là où il n'y a pas de réseau" de collecte et de traitement des eaux usées, a précisé le responsable de l'OIA.
Quand dix maisons traitent leurs effluents urbains avec des biodigesteurs, cela produit suffisamment de gaz pour permettre à l'une d'entre elles d'être autosuffisante en gaz, a-t-il ajouté.
L'entreprise Aguas do Imperador, en charge des services d'assainissement de Petropolis, a ainsi adopté le système du biodigesteur dans les favelas de la ville.
De plus le coût d'un biodigesteur est jusqu'à trois fois moins cher que l'installation d'un réseau traditionnel de traitement des eaux usées.
Selon l'ONG, le coût d'un biodigesteur capable de couvrir quatre maisons est de 1.000 à 1.500 dollars.
Il y a deux mois, Gean (bien Gean) Carlos dos Santos, un professeur de 35 ans, a changé la fosse septique de sa maison contre un biodigesteur qu'il a aidé à construire.
"J'avais une fosse septique et, après un cours d'écologie, j'ai décidé de la changer contre un biodigesteur. Nous ne polluons plus la rivière et, de plus, nous pouvons utiliser le biogaz" pour la cuisine, a-t-il dit. L'économie avec le biogaz est si grande qu'il pense maintenant l'utiliser pour chauffer l'eau.
(©AFP / 19 juin 2009 09h19)

Union pour la Méditerranée énergie


Solaire Energie Europe Désert





Du solaire dans le désert pour alimenter l'Europe

En juillet prochain sera lancé à Munich le consortium Desertec, qui réunira parmi les groupes industriels les plus importants d'Allemagne. Son objet : poser les premiers jalons d'un projet pharaonique de production d'énergie solaire dans le désert africain.
Le projet Desertec pourrait répondre à 15% de la demande énergétique européenne, pour un investissement évalué à 400 milliards d'euros, dont 50 employés à la mise en oeuvre d'un réseau électrique jusqu'en Europe.
Un tel projet pourrait être mis en place en l'espace de 10 ans, estime-t-on à l'Institut de thermodynamique technique du centre aéropspatial allemand (DLR). Les plans concrets pourraient être proposés dans les deux à trois ans.
Desrrière ce projet figure l'idée que les déserts reçoivent suffisamment d'énergie pour alimenter l'humanité en énergie pour une année entière, en seulement 6 heures.
La centrale de Desertec pourrait recouvrir plusieurs milliers de kilomètres carrés de miroirs paraboliques, pour ptroduire de la vapeur d'eau. L'électricité produite par turbinage serait acheminée vers l'Europe, alimenterait les industries locales, ou les centrales de dessalinisation.
La fondation Desertec, initiée par le Club de Rome, réunira des groupes tels que la Deutsche Bank, E.ON, RWE et Siemens, plusieurs ministères allemands et des représentants de la Commission européenne.

Thursday, June 18, 2009

Algerie - la Casbah d'Alger Youtube


UNESCO Alger Casbah Alger la blanche



La casbah fut fondée par le souverain ziride Bologhine ibn Ziri. La Casbah proprement dite est une forteresse bâtie à Alger au XVIe siècle, à l’époque ottomane. Entre cette forteresse et le front de mer et sur un site accidenté se sont développé des habitations majoritairement à étages devenu plus tard la vieille ville d’Al-Djazair qu’on a appelé aussi bien plus tard Casbah par extension.
Les caractéristiques les plus marquantes de la Casbah qui lui donnent tout son charme, sont le terrain lui même qui est accidenté et en pente (118 mètres de dénivellation), les rues tortueuses qui nous renvoient dans un Alger mystérieux et magique d’un autre temps et l’architecture extérieure et intérieure des maisons, ces dernières étant caractérisées par une cour intérieure carrée avec une petite fontaine, autour de laquelle est organisée toute l’habitation. La pente est tellement raide dans la partie haute de la Casbah que la plupart des ruelles sont en escaliers. Les experts admirent le prodige architectural qu'offre le spectacle de maisons enchevêtrées sur un plan très incliné, s'appuyant les unes contre les autres depuis des siècles.
Noyau originel qui valut à la cité mauresque d'El-Djazaïr le surnom d'Alger-la-Blanche, la Casbah est en danger de mort. De la mer, ou du haut de ses terrasses, la vieille médina fait encore son effet. Mais lorsqu'on vagabonde dans le labyrinthe de ses ruelles, le délabrement apparaît criard, poignant. Quand une maison s'écroule, celles qui lui sont proches, par un effet de château de cartes, sont menacées de ruine.
Les premières études pour sauvegarder la vieille ville datent des années 1970, plusieurs plans d’aménagement, d’urbanisme, de rénovation et de mise en valeur ont été mis en place depuis.
La Casbah est classée, depuis décembre 1992, patrimoine mondial par l’UNESCO

Réseau des Créateurs d'Entreprises Franco Algériens à Alger


DESERTEC environnement Energie Sahara consultant



Désertec : un projet solaire de 400 milliards d'euros Une vingtaine de multinationales, surtout allemandes, veulent rapidement poser les jalons de la production et de la livraison de courant électrique solaire d'Afrique vers l'Europe pour couvrir 15% des besoins européens. Sur le papier, le concept de Désertec est simple. Il s'agit de produire de l'électricité issue du solaire là où il y a du soleil à foison et ensuite l'exporter vers le Maghreb et l'Europe. Un réseau de supercentrales solaires (paraboles solaires et non panneaux photovoltaïques) serait implanté dans les pays de la ceinture saharienne. Le courant produit serait ensuite transporté par des lignes à haute tension posées au fond de la Méditerranée. Les experts du projet Désertec ont calculé qu'une surface de 300 km2 couverte de paraboles solaires

Wednesday, June 17, 2009

Bretagne youtube souvenirs d'enfance


Algerie Maroc consultant




Le Maroc est disposé à développer ses relations avec Alger
Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taib Fassi Fihri, a affirmé que le Maroc est disposé à développer ses relations avec l'Algérie en vue de réaliser des progrès à même de contribuer à trouver une solution à la question du Sahara, sous l'égide des Nations Unies et avec l'appui de tous.

Le ministre, qui était mardi l'invité de la chaîne «Al Jazeera» dans le cadre de son émission «Likaa al Youm» (Rencontre du jour), a ajouté que le Maroc a présenté une proposition pour distinguer entre la question du Sahara, pour laquelle le Maroc œuvre à trouver un règlement sous l'égide de l'Onu, et le développement des relations bilatérales avec l'Algérie. Le ministre a déploré que tout en se défendant de faire le lien entre les deux questions, le gouvernement de ce pays a posé ces derniers mois des conditions pour la normalisation des relations bilatérales. Le Maroc n'a cessé d'exprimer sa disposition à examiner avec l'Algérie toutes les questions en suspens, y compris la question du trafic, qui, a dit le ministre, ne peut être combattue qu'avec la réouverture des frontières.L'Union du Maghreb Arabe est pour le Royaume une question décisive, une nécessité stratégique et économique et une revendication populaire, a insisté le ministre.Concernant les derniers développements de la question du Sahara marocain à la lumière d'initiative d'autonomie présentée par le Royaume, M. Fassi Fihri a souligné que l'offre du Maroc est une plate-forme de négociations en ce qui concerne la délégation à une autorité locale de certaines prérogatives politiques, électorales, juridiques, sécuritaires ou relatives à l'exploitation des ressources, le tout dans le cadre de la souveraineté marocaine et le respect de la légalité internationale. Après avoir noté que l'autonomie n'est pas «une étape facile à entreprendre» en raison de l'absence d'expériences antérieures dans la région, M. Fassi Fihri a souligné que le Maroc du 21ème siècle est prêt à franchir ce pas dans le but de transcender l'impasse dans laquelle se débat la région depuis plus de trente ans.Le Maroc dispose d'une vision prospective et connaît une dynamique interne, a dit le ministre, rappelant que S.M. le Roi Mohammed VI avait assuré que le Royaume était en mesure de mettre en place une régionalisation élargie à partir de ses provinces du Sud. A travers son initiative d'autonomie, le Maroc a franchi une étape en phase avec l'appel de la communauté internationale en vue de parvenir à un règlement définitif et acceptable par toutes les parties.A propos de la rupture des relations diplomatiques entre le Maroc et l'Iran, le ministre a indiqué que la responsabilité entière en incombe à l'Iran, précisant que la question revêt un caractère purement bilatéral et n'est aucunement liée à une quelconque campagne internationale contre l'Iran.



Par MAP

Réunion du Conseil d’association Algérie-UE





Réunion du Conseil d’association Algérie-UE
Un forum des investisseurs européens prévu à Alger
La quatrième session de la réunion du Conseil d’association Algérie-Union européenne s’est tenue, hier, au Luxembourg, et avait pour objectif d’évaluer l’état d’avancement de la coopération bilatérale à tous les niveaux et à poursuivre le dialogue politique sur les questions d’intérêt commun.