le président algérien, Abdelaziz Bouteflika,pour une réforme des institutions internationales
A l'issue de la session d'ouverture du 25e sommet Afrique-France, le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, dont on ignorait jusqu'au dernier moment s'il serait présent en raison des tensions actuelles entre la France et l'Algérie, a livré un discours, à la sortie du Palais des Congrès de Nice-Acropolis. "Avec 53 Etats et un milliard d'habitants, le continent africain ne saurait continuer de demeurer en marge des processus décisionnels internationaux, et se contenter, en observateur, d'en subir passivement les conséquences fâcheuses", a-t-il déclaré, en écho à Nicolas Sarkozy qui a plaidé en faveur d'un renforcement du rôle de l'Afrique sur la scène internationale. Le président algérien a notamment demandé l'élargissement du G20 et une meilleure représentation des pays en développement au sein des institutions internationales. "Les efforts considérables de l'Afrique pour créer un environnement propice à son développement ne peuvent s'accomoder d'un environnement international incohérent sinon hostile", a-t-il ajouté. Abdelaziz Bouteflika n'a pas évoqué la relation entre son pays et la France. Aucun entretien bilatéral n'est prévu entre le président algérien et son homologue français, ce qui ne veut pas dire que les deux hommes ne vont pas se parler, précise-t-on à l'Elysée.
A l'issue de la session d'ouverture du 25e sommet Afrique-France, le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, dont on ignorait jusqu'au dernier moment s'il serait présent en raison des tensions actuelles entre la France et l'Algérie, a livré un discours, à la sortie du Palais des Congrès de Nice-Acropolis. "Avec 53 Etats et un milliard d'habitants, le continent africain ne saurait continuer de demeurer en marge des processus décisionnels internationaux, et se contenter, en observateur, d'en subir passivement les conséquences fâcheuses", a-t-il déclaré, en écho à Nicolas Sarkozy qui a plaidé en faveur d'un renforcement du rôle de l'Afrique sur la scène internationale. Le président algérien a notamment demandé l'élargissement du G20 et une meilleure représentation des pays en développement au sein des institutions internationales. "Les efforts considérables de l'Afrique pour créer un environnement propice à son développement ne peuvent s'accomoder d'un environnement international incohérent sinon hostile", a-t-il ajouté. Abdelaziz Bouteflika n'a pas évoqué la relation entre son pays et la France. Aucun entretien bilatéral n'est prévu entre le président algérien et son homologue français, ce qui ne veut pas dire que les deux hommes ne vont pas se parler, précise-t-on à l'Elysée.
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