阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Friday, April 30, 2010

L’Afrique et l’Europe un mariage de raison




L’Afrique et l’Europe, vouées à un mariage de raison

Publié le Vendredi 30 Avril 2010
L’Afrique et l’Europe ont eu depuis des siècles deux destins croisés, qui ont évolué l’un en fonction de l’autre, qui sont empreints de différends mais aussi d’amours houleuses. Economiquement, l’Europe, grande et imposante qu’elle soit, a toujours lorgné sur l’Afrique et ses ressources naturelles. L’Afrique, se croyant forte de ces mêmes ressources, s’est laissée choir dans la médiocrité, en contre partie d’une rente. Entre les deux, s’étend la mer méditerranée, un dénominateur commun géographique. Le Maghreb, de part sa proximité à l’Europe, accapare son attention, non sans provoquer l’inquiétude de l’Afrique Subsaharienne. Le président Sénégalais a exprimé récemment son inquiétude quant à la création de l’Union pour la Méditerranée qui va probablement couper l’Afrique Subsaharienne de l’Europe, alors qu’il espérait la création des Etats Unis d’Afrique. En réalité, cet échange entre le Nord et le Sud a toujours été emprunt d’irrégularités, mais aussi de déséquilibres. L’Europe parce que développée et pendant des décennies solide, a su imposer ses conditions et ses clauses à un sud gangrené par plusieurs maux : Chômage, corruption, sécheresse, maladies et guerres civiles... L’Europe prend le meilleur de l’Afrique, ce qui en soi, n’est pas condamnable, mais elle ne donne pas le meilleur d’elle-même, ou se trompe sur ce qu’elle croit savoir bon pour l’Afrique. Mais l’histoire a démontré à l’Europe, que rien n’est impossible et qu'on n'est jamais à l’abri d’un grand coup qui peut mettre à genou les plus grandes puissances. La crise économique de 2008, la faillite de la Grèce, les soucis financiers de l’Espagne et récemment l’irruption du volcan islandais, ont démontré qu’un grand pays aura toujours besoin d’un appui en cas de revers. D’autant que des pôles émergents tels que l’Inde, la Turquie, le Brésil et la Chine sont en voie de devenir de grandes puissances économiques. Ce n’est qu’une histoire de temps. Optant pour des alliances stratégiques avec leurs voisins et offrant une alternative aux pays sous développés, notamment l’Afrique, ces pays sont une menace aux occidentaux. L’Afrique quant à elle bradera ses richesses sans s’enrichir durablement. Elle aura besoin de l’expérience européenne en matière d’éducation, de santé et d’environnement. Cette Europe, qui historiquement a été très présente en Afrique, la conaissant mieux que personne. A cet égard, il est devenu indispensable de repenser la coopération entre l’Europe et l’Afrique, pour qu'elle devienne plus équitable, dans un esprit gagnant-gagnant, offrant plus de perspectives à l'Afrique et plus de volonté de sa part à améliorer sa situation. Il n’est plus de ce temps de tirer sur la corde et de ne penser qu’à son propre intérêt, parce que d’un côté, d’autres pays sont entrés en lice, et de l'autre, l'Afrique a progressé et est devenue consciente de ce qu’elle peut offrir et de ce qu’elle désire recevoir.Les accords de partenariat économique, une notion à redéfinirDans cette optique, le magazine Réalités, a organisé son forum international, à Hammamet sous le titre : L’Europe, le Maghreb et l’Afrique : Pour un nouveau partenariat Global. Cette rencontre qui a eu lieu le 28 et 29 avril, a réuni des figures de marque dans le monde de l’économie, la politique, la diplomatie, et des experts de tout bord. Le Français, Jean Louis Guigou, Délégué général de l’Institut de prospective économique du monde méditerranéen, a proposé de s’incliner tout d’abord, sur le pourquoi d’une restructuration de cette coopération, pour ensuite savoir comment réaliser ce projet. Il a évoqué la raison de l’Amérique qui s’occupera de son unique challenger, la Chine, laissant l’Europe menacée de déclin et l’Afrique menacée de pillage. « Le moment est opportun pour reconstruire une nouvelle relation Afrique-Europe », a-t-il dit. Avant d’ajouter : « Au lieu d’exploiter la main d’œuvre et les matières premières et de délocaliser les industries polluantes, construisons un modèle nouveau qui comporte le partage de la valeur ajoutée, le respect des préférences environnementales et sociales, la convergence des valeurs politiques, la solidarité et la coopération au lieu de la concurrence ». Un beau discours qui requiert beaucoup de conscience. Celle des peuples. Un dessein qui n’aboutit que si la société civile se montre favorable à cette dynamique, et qu’elle prête main forte. Parce qu’elle est l’acteur majeur de cette nouvelle vision. Parce que les chefs d’entreprises et les collectivités sont plus enclins à opérer un changement positif, quand il promet des gains et préserve les intérêts, ce sont eux qui entreprendront ce changement, qui créeront la dynamique necessaire. Radhi Meddeb, Président directeur général de Comète Engineering, a rappelé que : « Ce projet nécessite une appropriation par tous. Non un projet décidé par des élites intellectuelles quelque part dans le monde et apportés aux peuples. Rien ne se fera sans les peuples de la région, sans les hommes et les femmes de la région qui manifesteront une volonté de mettre en œuvre cette vision ». Mais pour l’instant la situation est complexe. L’Afrique obéit aux accords de partenariat économique, qu’elle découvre à postériori ne répondant pas à ses attentes. Les africains ont du mal à comprendre, pourquoi, dans un accord contractuel, il existe plus de conditionnalité qui met à mal leurs propres intérêts dans le cadre de ces échanges. « Je cite à titre d’exemple : Il arrive que l’Europe suspende une négociation commerciale quelconque avec un pays africain, pour une raison subjective, alors qu’elle est dans le devoir de présenter des preuves condamnant le pays accusé, sans quoi, elle devrait être sanctionnée. C’est ce que stipule les accords de partenariat économique. Mais visiblement, cette exigence n’est pas respectée par l’Europe », déplore Al Hadji Diouf, Directeur du programme sur les accords de partenariat économique (APE) et le Régionalisme au Centre international pour le Commerce et le développement durable au Sénégal. Voilà l’un des reproches que fait l’Afrique à l’Europe. Alors que cette dernière vit un ralentissement inquiétant de sa croissance, l’Afrique se construit en s’appuyant sur ses ressources naturelles qui sont plus une menace qu’une aubaine. Karl Marx l’avait prédit, les pays rentiers demeurent sous-développés parce qu’ils ne créent pas de valeur ajoutée. C’est pourquoi la carte de la coopération Afrique-Europe se présente désormais comme une chance de renforcer les deux camps. De Villepin : " Il faut plus de souplesse de la part de l'Europe"« Aujourd’hui, face aux bouleversements du monde, l’Europe, le Maghreb et l’Afrique subsaharienne sont face à un choix crucial : soit s’associer et devenir l’une des colonnes essentielles du monde de demain, soit au contraire, se diviser et être relégué au rang de périphérie de la mondialisation », affirme hier dans son discours, Dominique de Villepin, ancien premier ministre français. Mais pour cela il existe plusieurs défis à relever notamment dans le secteur de l’agriculture, la santé, la prospérité partagée, et les migrations : « Il faut qu’il s’agisse d’un partenariat entre égaux. Il faut plus d’implication de l’ensemble des acteurs africains. Il doit s’agir d’un partenariat entre les peuples et je veux insister sur le rôle des femmes africaines dans le développement et le renouveau de ce continent », ajoute de Villepin. Qu’en est-il alors du rôle du Maghreb dans cette stratégie ? « Le rapprochement de l’union du Maghreb Arabe initié en 1989 est à présent bloqué depuis près de 15 ans. Le commerce inter-régional ne représente pas plus de 1.5% du commerce extérieur des pays de la zone. Si l’union maghrébine existait, elle aurait fait gagner aux cinq pays une valeur ajoutée annuelle de l’ordre de 15 milliards d’euros par an, soit l’équivalent de 5% de leur PIB cumulés », répond l’ancien premier. Il a également rappelé le rôle de l’autoroute « transmaghrébine » qui pourrait devenir le nerf de l’économie de la région. Et le rôle de l'Europe dans ce processus d'ouverture? " Je n'hésite pas à le dire, il faut dans cette relation plus de souplesse de la part de l'Europe et en particulier de la Commission Europénne, lorsqu'il s'agit de la négociation sur le degré et le rythme d'ouverture du marché africain ".Les défis qu’attendent les deux continents sont de taille, mais tous les participants sont unanimes : Chacun doit y mettre du sien pour faire aboutir ce rêve. L’Europe et l’Afrique y gagneront si elles sont disposées à sceller un mariage de raison, qui précise à chacune, ses devoirs et qui lui préserve ses droits. Après tout, ne dit-on pas que pour réussir une union, il faut regarder dans la même direction ?Nous reviendrons dans un prochain un article sur : les Défis à relever pour un nouveau partenariat global Afrique/Europe.
Chiraz Kefi

Logo Google Fête du travail



La journée internationale des travailleurs, ou fête des travailleurs, devenue fête du Travail, est une fête internationale annuelle célébrant les travailleurs. Elle est l’occasion d’importantes manifestations du mouvement ouvrier.
Instaurée à l'origine comme journée annuelle de grève pour la réduction du temps de travail, elle est célébrée dans de nombreux pays du monde le 1er mai. En Amérique du Nord, elle est célébrée officiellement le premier lundi de septembre. Au Royaume-Uni et en Irlande, elle est décalée le premier lundi de mai. En Australie, elle est fêtée à différentes dates proches du printemps ou de l’automne.
Elle est souvent (mais pas toujours) instaurée comme jour férié légal. Elle est parfois associée à d’autres festivités ou traditions populaires.

la Google TV.



Les choses se précisent pour la Google TV. Alors qu'il ne s'agissait que d'un vague projet il y a encore quelques mois, le magnétoscope numérique sous Android commence à prendre forme. Et il pourrait bien être révélé dans les prochaines semaines, croit savoir le Wall Street Journal. En effet, le quotidien américaine estime que Google profitera de sa conférence annuelle à San Francisco - qui se déroulera le mois prochain - pour présenter sa Google TV.
Plusieurs partenaires se sont déjà manifestés, tous étant impatients de produire des magnétoscopes numériques reposant sous le système d'exploitation de Google. En mars dernier, des accords ont été signés avec Intel et Sony. Depuis, le géant sud-coréen Samsung et la société suisse Logitech ont également fait savoir qu'ils suivaient avec attention le développement de la Google TV.
En mars dernier, nous avions rapporté la signature d'un partenariat entre Google et Dish Network, le deuxième opérateur américain de télévision par satellite. S'il s'agissait d'expérimentations initiales, cette association avait cependant en ligne de mire la création d'une set-top-box basée sur une version allégée de son système d'exploitation Android.
Le lancement d'une Google TV n'est pas si anodin. Pour sortir du carcan imposé par les différentes box sur le marché - ainsi que les consoles de jeux vidéo, de plus en plus interconnectées -, Google devait proposer sa propre solution (via Google TV Ads et Google Adsense for TV) pour diffuser ses contenus publicitaires, surtout pour une entreprise comme Google qui tire près de 95 % de ses revenus de ce secteur

Le président Barack Obama hommage à Dorothy Height



Hommage d'Obama à Dorothy Height
AFP .

Barack Obama a rendu aujourd'hui un hommage appuyé à la figure historique du mouvement des droits civiques Dorothy Height, affirmant lors de ses funérailles que les combats de cette militante lui avaient permis d'accéder à la plus haute fonction élective américaine.Evoquant l'enfance de Dorothy Height, décédée le 20 avril à l'âge de 98 ans, Barack Obama a souligné qu'il s'agissait d'une époque où "les lynchages punissaient souvent le simple fait d'avoir la peau noire". "Les progrès, que tant d'entre vous ont aidé à réaliser, les progrès qui ont permis en fin de compte à Michelle et moi d'être ici en tant que président et première dame, ces progrès ont été lents", a remarqué le président dans la cathédrale nationale de Washington où sont organisées en particulier les obsèques des anciens présidents américains. Le président très ému"Ces progrès sont venus des efforts collectifs de nombreuses générations d'Américains et de prêcheurs, d'avocats et de militants. Des hommes et des femmes comme le docteur Height ont pris sur eux, souvent en courant de grands risques, pour changer ce pays pour le mieux", a encore dit le premier président noir des Etats-Unis, qui est apparu très ému pendant la cérémonie.Dorothy Height, qui avait dirigé le "Conseil national des femmes noires" (NCNW) de 1957 à 1998 et en était restée la présidente d'honneur, était née en Virginie (est) en 1912 dans une famille modeste et avait décroché des diplômes des prestigieuses universités de New York et de Columbia, avant de consacrer sa vie aux organisations sociales et humanitaires. Après son élection à la tête du NCNW, elle avait été la seule femme membre du groupe de direction du mouvement de défense des droits civiques en 1960, au côté notamment de Martin Luther King.Elle s'était vu remettre en 2004 par le président George W. Bush la "Médaille de la liberté", la plus haute distinction civile américaine. Amusé, Barack Obama a noté l'ardeur militante de Dorothy Height même pendant les derniers mois de sa vie: "Elle était une visiteuse régulière de la Maison-Blanche. Elle y était venue pas une fois, pas deux, mais 21 fois" depuis début 2009, a-t-il relevé.Source : AFP -->

La marée noire menace le delta du Mississippi


La marée noire menace le delta du Mississippi, l'armée mobilisée

Thursday, April 29, 2010

Le premier label de macarons en Algérie, Louzieh Macarons





Goûtez aux premiers macarons algériens !
Vous en rêviez, ils l’ont fait ! Le premier label de macarons en Algérie, Louzieh Macarons, fait sensation auprès des fins gourmets. Couleurs, arômes, goût… Tout y est pour vous faire craquer.
Des effluves de cacao vous emportent dès l’entrée de la boutique où s’étalent des dizaines de gâteaux rose bonbon, jaune citron, orange mangue et mandarine ou vert menthe. Vous craquez pour les macarons ? Vous allez saliver de plaisir dans la nouvelle boutique Louzieh Macarons qui vient d’ouvrir à Hydra. « L’idée est venue un beau jour où une parente m’a offert des macarons à son retour de Paris, raconte Karima Moussaoui, la gérante. Avec mon mari, lassés de guetter un ami ou un parent de retour de voyage, nous avons décidé de lancer notre propre label, le premier en Algérie. » Et c’est ainsi que Karima et son mari – alors dans la finance ! – se lancent dans des formations pour apprendre à cuisiner des macarons.
Après bien des tests, le macaron prend forme… « Nous avons commencé par les macarons parisiens composés de deux coques et une ganache au milieu, poursuit-elle. Nous sommes actuellement à quinze parfums (chocolat, framboise, cassis, menthe, réglisse, citron, pistache, abricot, fraise, ananas, noix de coco, rose, orange, café, caramel, vanille). Et nous passerons très bientôt à des entremets aux macarons dont une surprise, le bavarois pistache sur parfait au chocolat. » Certains clients qui entrent pour acheter des gâteaux traditionnels, louzia ou djouzia, découvrent ainsi un tout nouveau gâteau. « Certains connaissent ceux de Nancy, quelque peu différents des macarons parisiens, que ce soit dans la forme (ils ressemblent davantage à des cookies) ou dans les parfums. »
Mais à quoi ressemble un macaron réussi ? « Il possède un aspect brillant, des coques bombées à collerette régulière (la partie inférieure de la coque), et c’est le plus difficile à obtenir ! », avoue Karima. Profitant du prestige de la rue, les Moussaoui comptent ouvrir à moyen terme un deuxième point de vente à Sidi Yahia, puis d’autres entre El Mouradia, Kouba et Rouiba.
Par Faten Hayed

La Casbah algérienne Exposition universelle Shangai


Chine : La Casbah algérienne demain... à Shangai !
Meilleure ville, meilleure vie. » Sur ce thème crucial pour l’Algérie, la nouvelle Exposition universelle s’ouvre demain à Shangai. Et pour sa 7e participation à un tel événement, l’Algérie a choisi de présenter La Casbah d’Alger. Visite guidée.
Demain s’ouvre à Shanghai, la ville la plus peuplée de Chine avec ses 20 millions d’habitants, l’Exposition universelle, la plus grande jamais organisée. On attend entre 70 et 100 millions de visiteurs. L’expo se tient sur 5,28 km2 au bord de la rivière Huangpu (rivière Jaune), qui traverse Shanghai, située dans l’est de la Chine avant de se jeter, au nord, dans l’embouchure du Yangsté (fleuve Bleu), le plus long fleuve d’Asie avec ses 6300 km. Avec le dynamisme de la Chine, Shanghai est aujourd’hui le plus grand port du monde. Il surclasse depuis quelques années ceux de Rotterdam, de Hong Kong et de Singapour.
A partir de demain, 180 pays vont exposer leur patrimoine et leur savoir-faire sous le thème « Une meilleure ville pour une meilleure vie ». Un thème qui n’est pas fortuit, car en 2009, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, la population des villes a dépassé celle de la campagne. Un nouveau défi à relever.
20 minutes de circuit
Le centre-ville de la mégapole chinoise a été complètement rénové pour accueillir la manifestation. Des records ont été battus en architecture et urbanisme. On a rivalisé en innovations et en ingéniosités. Des tours de plus de 500 m et 400 km de voies d’autoroute, 10 lignes de métro et un train à sustentation magnétique. Le pavillon algérien, situé dans la zone C de l’expo, occupe une surface de 1000 m2. Le thème du pavillon, dont l’aménagement et la décoration ont été confiés à la société PICO International, basée à Shanghai, est calqué sur La Casbah d’Alger pour rester dans le thème général de l’Expo.
La Casbah, qui est, comme chacun le sait, un joyau architectural d’essence à la fois méditerranéenne, africaine et arabo-musulmane, a inspiré bon nombre d’architectes dont les plus célèbres et les plus talentueux. Les visiteurs du pavillon pourront ainsi se promener dans les ruelles de La Casbah en découvrant au fur et à mesure les nombreuses facettes de l’Algérie. Le circuit de visite est en effet jalonné de niches audiovisuelles qui offrent au visiteur de découvrir et d’apprécier l’architecture, le mode de vie, les valeurs humaines, culturelles, économiques et sociales de notre pays.
A l’entrée, pendant l’inévitable file d’attente, Ghardaïa sera projetée en images. Au bout de la promenade, dans les ruelles animées de La Casbah reproduite en images et en son, les visiteurs déboucheront sur une terrasse occupée par un écran géant sur lequel défilent des images des différentes contrées du pays, de leurs traditions, de leur habitat, des activités des hommes… Le circuit qui dure 20 minutes se termine par une exposition de produits artisanaux proposés à la vente.

Journées culturelles algériennes à Moscou



Un programme chamarré
Mme Toumi et M. Goloutova ont, d’abord, inauguré une exposition d’art contemporain algérien au Musée central de l’histoire de la Russie contemporaine situé sur l’avenue Tverskaïa en plein cœur de Moscou, qui a permis au public d’apprécier les œuvres de neuf artistes peintres algériens dont plusieurs sont de jeunes talents. Le commissaire de l’exposition, M. Nouredine Ferroukhi, a donné à cette occasion à la délégation ministérielle, des explications sur les thématiques traitées par chacun de ces artistes, aussi bien les noms connus, comme Kheira Slimani et Mostafa Nedjaï, que les jeunes peintres comme Mehdi Djalil et Hassen Drissi. Mme Toumi et son hôte ont ensuite animé une conférence de presse à l’annexe du théâtre Mally au cours de laquelle ils ont mis en exergue l’importance de cette manifestation qui marque la reprise des échanges entre les deux pays dans le domaine culturel. La ministre algérienne de la Culture a rappelé, à ce propos, que «la dernière manifestation culturelle algérienne en Russie remonte à 1989» et qu’«après cette interruption pour des raisons que tout le monde connaît, l’Algérie et la Russie dont les relations d’amitié sont très anciennes, œuvrent résolument à redynamiser les échanges dans les différents domaines culturels comme les arts plastiques, la musique, la danse, le ballet, le cinéma, le live». La ministre a annoncé, dans ce contexte, que les deux parties ont convenu d’organiser prochainement une «semaine du film algérien» au cours de laquelle seront présentés les derniers films algériens, comme Hors-la-loi de Rachid Bouchareb qui est en compétition au Festival de Cannes. Elle a, également, annoncé qu’un accord devrait être signé mercredi entre les deux parties au siège du ministère russe de la Culture et s’est déclarée convaincue que cet accord permettra de relancer les échanges culturels entre les deux pays sur des bases solides. Elle a, dans ce contexte, espéré voir le centre culturel russe d’Alger, fermé depuis de longues années, ouvrir à nouveau ses portes grâce à cet accord. La ministre, qui s’est félicitée des efforts déployés par la partie russe pour assurer la réussite de cette manifestation, a assuré que «la partie algérienne est de son côté disposée à accueillir en 2011 une manifestation culturelle russe en Algérie et s’engage à oeuvrer à réunir toutes les conditions pour sa réussite». De son côté, M. Goloutova a, particulièrement, mis l’accent sur la nécessité de renforcer les relations d’amitié et de coopération entre les deux pays, notamment dans le domaine culturel. «Nous allons signer avec la partie algérienne un accord qui nous permettra d’agir dans ce sens, de même que nous allons discuter des questions relatives à l’organisation d’une semaine culturelle russe en Algérie», a-t-il dit. «Je tiens, également, à féliciter la partie algérienne qui ne ménage aucun effort pour que ces activités ne se limitent pas à la capitale Moscou, en programmant également des manifestations à Saint-Pétersbourg», a-t-il souligné. Mme Toumi et M Goloutova ont, ensuite, annoncé l’ouverture officielle des Journées culturelles algériennes qui se tiennent sous le thème «Alger-Moscou à travers l’art». La troupe du Ballet national algérien, à travers les danses et les costumes de différentes régions, a fait voyager des Aurès au Tassili, l’assistance nombreuse et avide de découverte, avant que le chanteur Djamel Laroussi et Zahouania ne subjuguent un public qui, tombé sous le charme de leur musique, les a gratifiés d’une longue «standing ovation». La manifestation devrait se poursuivre mercredi par un concert à la salle «Kino Aktior», avec les chanteurs, Akil, Zahouania et Djamel Laroussi ainsi qu’avec le groupe Madar. Des manifestations similaires sont, également, prévues demain à Saint-Pétersbourg, l’autre berceau de la culture en Russie.Agence
29-04-2010

Energies renouvelables Algerie



La politique des petits pas
On parle même d’une proportion de 15% à 30% d’électricité solaire à l’échéance 2040, c’est à dire entre 4 000 et 12 000 mégawatts. Pour l’immédiat, cette année, devrait entrer en production la centrale électrique hybride (gaz naturel, solaire), installée à Hassi R’mel. Elle produira 180 MW d’énergie électrique (dont 25% de solaire) qui sera achetée par Sonatrach.A plus petite échelle, M. Ahmed Chikouche, directeur de l’Unité de développement des équipements solaires, implantée à Bou Ismail, a, tout récemment, cité quelques autres réalisations : une centrale à Gara Djebilet de 10 KW, une centrale de 10 KW dans l’Assekrem, Hoggar, pour l’Office national de la météorologie. Il a mis l’accent sur le programme ambitieux développé avec la Gendarmerie nationale : éclairage externe, équipements de postes de surveillance, équipement de l’Ecole des officiers de Zéralda. Il a annoncé des produits nouveaux comme le réfrigérateur solaire, l’utilisation de l’énergie solaire pour le dessalement d’eau de mer et diverses autres applications comme les transmissions, le pompage d’eau, le développement de systèmes hybrides solaire-éolien-diesel. Côté financement : une enveloppe de 1 milliard DA a été dégagée par l’Etat dans le programme national de la recherche consacrée au développement des énergies renouvelables ; un Fonds pour les énergies nouvelles a été institué, alimenté à partir du prélèvement de un pour cent de la fiscalité pétrolière. Dans le domaine de l’énergie renouvelable, les autorités algériennes ont déjà fait savoir que le partenariat en matière de développement des énergies renouvelables doit consister en un véritable transfert de technologie. L’Algérie ne veut pas être dépendante de l’industrie étrangère. Une usine produira, dès 2012, des panneaux solaires représentant annuellement 50 mégawatts. Cette usine est installée sur le site de la société Rouiba Eclairage. En parallèle, Sonatrach a été chargée de mener un travail de réflexion en vue de la réalisation d’une usine de traitement de quartz pour produire du silicium de grade solaire destiné à la fabrication de panneaux photovoltaïques. L’Algérie dispose d’énormes gisements de quartz. Une véritable industrie nationale du solaire pourrait voir le jour dans un avenir très proche. Le silicium est actuellement importé.En 2012, également, la première ferme éolienne d’Algérie implantée sur 30 hectares à Adrar, d'une capacité de 10 mégawatts, commencera à produire de l’électricité qui sera intégrée dans le réseau d'électricité de la wilaya d'Adrar. M’hamed Rebah
29-04-2010M’hamed Rebah

Algerie renouveau rural




Développer les zones agricoles et les régions frontalières



Présidant un atelier sur "la lutte contre la désertification dans les régions sahariennes", Noureddine Redjal directeur central au ministère de l'Agriculture et du Développement rural a indiqué mardi que le programme du renouveau rural prôné par le ministère se fixe des objectifs visant le développement des régions rurales et l'amélioration des conditions de vie de leurs populations. Il a souligné dans ce sens que ce programme vise l'organisation des terres agricoles, entre autres, les oasis de l'Atlas saharien, ainsi que la mise au point d'une stratégie de développement des régions frontalières et la fixation des populations rurales par la création d'exploitations agricoles. "Un investissement de 17 milliards DA a été consacré aux opérations retenues au titre de ce programme devant toucher, à horizon 2020, neuf wilayas du Sud et 5 autres semi-sahariennes", a précisé le même responsable, ajoutant que la mise en œuvre du programme, au titre de l'actuel quinquennat, s'opère par étapes, en vue d'optimiser les ressources financières existantes. Dans son intervention, le directeur du commissariat au développement de l'agriculture en régions sahariennes (CDARS), Hannachi Slimane, a indiqué qu'une série d'opérations ont été retenues, en coordination avec le secteur des forêts, pour la lutte contre la désertification. D'un montant de plus de 2 milliards DA, ces opérations consistent, a-t-il expliqué, en la réhabilitation des palmeraies, l'extension des cultures maraîchères et la revivification des espaces semi sahariens. Une trentaine d'opérations, pour un coût de plus de 12 milliards DA, avaient été réalisées ces dernières années en régions sahariennes, a rappelé M. Hannachi. Ces opérations, qui ont généré 13.000 emplois temporaires, ont été axées sur la réalisation de puits agricoles et pastoraux, l'aménagement de périmètres agricoles et 11.000 Ha de terres agricoles et l'amenée de l'électrification sur un linéaire de 100 km.Notons que près de 12 000 projets de programme de développement rural intégré (PPDRI) sont prévus jusqu'à l'horizon 2014, dont plus de 2.000 sont en cours de réalisation à travers le pays. Ces programmes se fixent, entre autres, comme objectif de programme de développement rural intégré (PPDRI) sont prévus jusqu'à l'horizon 2014, dont plus de 2.000 sont en cours de réalisation à travers le pays. R.A.

Projet Grenelle II : dernier acte législatif le 4 mai





Projet Grenelle II : dernier acte législatif le 4 mai Le projet de loi Grenelle II qui a fait l'objet de 2500 amendements est le 5ème et dernier acte parlementaire du Grenelle marquant la fin de la transcription législative du Grenelle Environnement et de la loi Grenelle I.
Ce projet de loi, adopté par le Sénat le 8 octobre dernier sera examiné en séance publique par l'Assemblée nationale à partir du 4 mai prochain.Ce volet législatif se décline avec la mise en oeuvre de six chantiers majeurs. Il présente des mesures liées à la lutte contre le réchauffement climatique (dans les secteurs du bâtiment, de l'urbanisme, des transports, de la maîtrise de l'énergie, etc.), à la préservation de la biodiversité, au développement d'une agriculture durable, à la prévention des risques et la protection de la santé, à la mise en oeuvre d'une gestion durable des déchets ou encore à l'instauration d'une gouvernance adaptée à cette mutation écologique.Une partie est consacrée au chantier de l'énergie avec comme objectif de réduire "radicalement" les émissions de gaz à effet de serre, au travers de la généralisation de l'affichage des performances énergie-carbone, du maintien de la France au premier rang des pays européens producteurs d'énergies renouvelables, ou encore du développement de nouveaux carburants issus de végétaux ou de déchets organiques. En effet, le projet de loi propose des mesures en faveur de la réduction de la consommation énergétique et de la prévention des gaz à effet de serre :
instauration, au niveau régional, des « schémas du climat, de l'air et de l'énergie » dont le but est notamment de valoriser le potentiel régional d'énergies renouvelables et de développer l'efficacité énergétique ;
instauration d'un schéma régional de raccordement au réseau d'énergies renouvelables (afin d'accélérer le raccordement des sources d'énergies renouvelables au réseau national d'électricité) ; http://www.enerzine.com/604/9610+projet-grenelle-ii---dernier-acte-legislatif-le-4-mai+.html

Reussir Magazine Afrique


Alger Création d’un Conseil maghrébin de la coopération douanière




Afrique - Création d’un Conseil maghrébin de la coopération douanièrePublié le 29 avril 2010 à 18h16
(PANA) - Les directeurs généraux des douanes des pays de l’Union du Maghreb arabe (UMA) ont décidé, à l’issue de leur réunion mercredi à Rabat, de créer un Conseil maghrébin de la coopération douanière qui sera basé à Alger, a appris la PANA, jeudi auprès du secrétariat général de l’UMA, à Rabat.
L’UMA, organisation sous-régionale, dont le traité constitutif a été signé le 17 février 1989 à Marrakech, comprend le Maroc, l’Algérie, la Libye, la Tunisie et la Mauritanie.
Ce conseil constituera un « mécanisme de consolidation de la coopération douanière maghrébine visant à contribuer à la relance des échanges commerciaux entre les pays membres et la simplification des procédures douanières pour les opérateurs économiques dans l’espace maghrébin », précise un communiqué du secrétariat général de l’UMA.
Les directeurs généraux ont également convenu d’adopter au moins 8 chiffres lors de l’encodage des marchandises, tout en veillant au respect des engagements des pays maghrébins vis-à-vis de l’Union européenne.
En outre, ils ont décidé d’ériger le Centre de formation douanière de Casablanca (sud de Rabat) en institut régional agréé auprès de l’Organisation mondiale des douanes et qui sera chargé de la qualification des douaniers des pays maghrébins.
Une réunion maghrébine sur l’harmonisation des procédures douanières sera tenue en juin à Alger, alors qu’une autre sur la lutte contre la contrebande dans les pays de la région sera abritée par Tripoli.

Expo Shanghai : l'Algérie va promouvoir son patrimoine architectural et culturel



Expo 2010 à Shanghai : l'Algérie va promouvoir son patrimoine architectural et culturel
L'Algérie, un des premiers pays à s'engager à la réussite de l'exposition universelle 2010 à Shanghai, va promouvoir son patrimoine architectural et culturel et ses atouts touristiques, a annoncé mercredi le gouvernement algérien.L'Algérie y sera représentée par un pavillon individuel de 1.000 m2 qui se singularise par une architecture de type à la fois Casbah et Ghardaïa. "Le pavillon national fait ainsi une large part à la promotion du patrimoine architectural et culturel et aux atouts touristiques indéniables qui constituent une des plus grandes richesses du pays et qu'il importait de mettre en valeur", souligne un communiqué des services du Premier ministre algérien.L'Algérie a été un des premiers pays à s'engager à la réussite de l'exposition universelle qui doit se dérouler à Shanghai du 1er mai au 31 octobre 2010, "au regard des liens historiques qui l'unissent au pays d'accueil et des rapports d'amitié qu'entretiennent les peuples algérien et chinois", note le communiqué.La décision de participer à cette "grande exposition" a été prise par le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, et confirmée par voie diplomatique aux autorités chinoises dès le mois d'avril 2006, indique le communiqué."C'est au niveau des services du Premier ministre que sont gérées depuis près de deux années la préparation et l'organisation de la participation nationale à cet important événement planétaire. L'opération a mis à contribution, autour du Commissaire de l'Algérie à cette exposition universelle, une commission nationale composée des représentants des institutions et des secteurs directement concernés par le thème, ce à l'effet d'assurer à la présence algérienne toute la réussite qui en est attendue", ajoute le communiqué.L'Expo de Shanghai 2010, qui réunira plus de 240 pays ou régions et des organisations internationales, ambitionne d'accueillir jusqu'à 100 millions de visiteurs. Elle s'articulera autour du thème "Meilleure ville, meilleure vie" que chaque pavillon participant saisira comme leitmotiv pour "mettre en valeur son histoire, ses conceptions architecturales, son économie, ainsi que ses atouts commerciaux, culturels, et touristiques", conclut le communiqué. ● - Exposition universelle de Shanghai

1ère Journée de l’Energie des Régions d’Europe



1ère Journée de l’Energie des Régions d’Europe : la subsidiarité énergétique en marche à Bruxelles
[Fenêtre sur l'Europe]
L’Assemblée des Régions d’Europe (ARE), le Ministère de l’environnement, la protection de la nature et du transport du Land Baden-Württemberg (D) ainsi que GE Energy ont inauguré aujourd’hui la Journée de l’Energie des Régions d’Europe.
Symbole de l’essor croissant de la dynamique interrégionale au service du développement durable, et témoin de l’essor de la subsidiarité énergétique au niveau européen, cet événement vient couronner un an de collaboration inédite entre acteurs publics et privés dans le domaine de l’énergie. Deux jours pour apporter aux Régions d’Europe "l’Energie de demain"Première édition d’un rendez-vous annuel unique en son genre à Bruxelles, cette rencontre représente une étape clé dans le renouveau des politiques énergétiques régionales. Il illustre l’apport de la dynamique interrégionale alors que les négociations internationales sur le climat peinent à déboucher sur un accord contraignant. Pendant deux jours, 300 décideurs politiques régionaux et experts européens de l’énergie se sont rassemblés pour discuter du rôle des Régions dans l’élaboration de politiques de protection de l’environnement et présenter les bonnes pratiques régionales en la matière. Véritable vitrine des réponses apportées par les Régions aux défis énergétiques actuels et à venir, cet événement s’inscrit dans la droite ligne des actions menées à Belfort, puis à Copenhague par l’ARE et GE Energy en 2009. La Journée de l’Energie des Régions d’Europe a deux visées principales :- Apporter des réponses régionales aux défis énergétiques en Europe et des recommandations concrètes sur 3 paramètres clés : l’efficacité énergétique, la sécurité d’approvisionnement et la réduction des émissions de CO2 ,- Soutenir l’émergence d’une démocratie participative régionale face aux enjeux énergétiques et environnementaux.Tanja Gönner, Ministre de l’environnement du Land Baden-Württemberg (D), Michèle Sabban, Présidente de l’Assemblée des Régions d’Europe, Johannes Hahn, Commissaire européen chargé de la politique régionale, Ricardo Cordoba, Président de GE Energy Europe de l’Ouest & Afrique du Nord, Steve Howard, Président du Climate Group et Knud Andersen, Vice-président de la chambre des régions, Congrès des pouvoirs locaux et régionaux du Conseil de l’Europe, comptent parmi les personnalités présentes à cet événement.D’après Michèle Sabban : "Cette journée marque une étape importante dans l’action menée par l’ARE sur les questions liées à la transformation énergétique de nos territoires. Dès 2006 une 'déclaration des régions européennes pour l’efficacité énergétique et le développement des sources d’énergie renouvelables’ avait été produite, qui dessinait les contours de notre action présente. Nous sommes convaincus que les régions doivent désormais se voir octroyer les moyens de prendre en main leur avenir de manière responsable et autonome, surtout sur la question de la production d’énergie, qui concerne directement la vie quotidienne des citoyens et l’avenir des populations et constitue en tant que tel un axe crucial de toute stratégie de développement local." Ricardo Cordoba a également commenté : "Nous sommes fiers de participer, aux côtés de l’ARE, à la prise de conscience du rôle-clé des régions dans le développement et la mise en œuvre de politiques énergétiques efficaces et pertinentes, décisives et salvatrices pour notre futur à tous."Pour Tanja Gönner "Les régions sont des moteurs puissants pour la protection du climat. Il est très important qu’elles s’allient à la Communauté européenne afin de parvenir à enrayer le réchauffement de la planète."L’un des temps forts de cette journée a résidé dans la présentation d’un Livre Blanc sur l’action de l’ARE dans le domaine de l’énergie et du changement climatique. Ce document propose un panorama dynamique des différentes initiatives mises en place par l’ARE pour soutenir les régions d’Europe dans l’élaboration de mesures d’atténuation et d’adaptation au changement climatique. En 2009, l’ARE s’est attachée à proposer aux décideurs politiques régionaux un panel encore plus varié d’outils leurs permettant de répondre efficacement aux défis posés au niveau régional. Au travers d’audits énergétiques, de projets européens comme MORE4NRG et PRESERVE, de conférences thématiques et de partenariats novateurs avec une variété d’acteurs considérable, l’ARE jongle entre expérience de terrain, recherche et analyse, montrant son approche pragmatique des besoins de ses membres. Au-delà, son rôle est éminemment politique, c’est pourquoi le Livre Blanc résume également les recommandations de l’ARE pour des stratégies climatiques plus efficaces. Cette journée a également été l’occasion de révéler les résultats complets de l’enquête exclusive menée par l’ARE auprès de 67 régions d’Europe pour évaluer leurs besoins et attentes en matière de politique énergétique durable. Les premiers enseignements étaient qu‘un élargissement du champ de compétences des autorités locales, accompagné d’incitations financières adaptées, leur permettrait de répondre aux défis énergétiques globaux en tirant le meilleur parti de leurs potentiels locaux. C’est grâce à l’utilisation créative de leurs ressources endogènes telles que la neige, la paille, la force de vague ou la liqueur noire (sous-produit du processus de traitement du bois), que les régions contribuent à l’enrichissement et à la diversification de leurs portfolios énergétiques ainsi qu’au renforcement de leur autonomie en matière d’approvisionnement énergétique.Cette enquête a également permis de constater que 92 % des régions qui avaient participé à l’enquête considéraient l’énergie comme l’une de leurs priorités-clés pour les années à venir et 77 % d’entre elles ont d’ores et déjà mis en place une stratégie énergétique. Ceci permet d’instaurer une approche horizontale de la politique de l’énergie et d’intégrer les préoccupations du développement durable dans les nombreuses activités sectorielles telles que l’aménagement du territoire, le transport, le tourisme ou l’agriculture. Les résultats de cette enquête sont à mettre en perspective avec les conclusions du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), qui indique dans son Quatrième Rapport d’évaluation que 50 à 70 % des mesures d’atténuation et d’adaptation au changement climatique devront être mises en place à l’échelle régionale dans les prochaines années.Étude complète de l’ARE sur les politiques énergétiques régionales: http://www.aer.eu/fr/themes-majeurs/energy-policy.html ‘Livre Blanc’ des activités de l’ARE sur l’énergie et le changement climatique : http://www.aer.eu/fr/themes-majeurs/energy-policy.html

Wednesday, April 28, 2010

Algerie Bordj Menaïel



Une ville, une histoire
Depuis que le monde est monde, Bordj Ménaïel a toujours été Bordj Ménaïel et son nom est tiré de la période turque car durant l’invasion romaine, Bordj-Ménaïel portait le nom de Vasara, allusion faite à l’ancienne Hippodium romain. Mais durant la période turque, ces derniers ne se contentèrent pas d’une installation territoriale mais ils construisirent une forteresse qui servait de camp militaire afin d’assurer maintien de l’ordre et la sécurité dans toute la région jusqu’au littoral de Boumerdès (Rocher-Noir), Zemmouri (Courbet marine), Cap-Djinet, Dellys et Tigzirt. Ainsi, c’est à partir de cette forteresse surnommée Bordj-Ménaïel, «le fort bleuté», que les Turcs étendaient leur domination sur les populations, l’appellation du mot Ménaïel est une définition provenant de la période turque car la lettre I porte deux points qui équivaut à l’alphabet employé dans la langue de la Turquie, manière de faire la phonétique. Aussi, il ne peut être question d’un mot français car la langue de Molière utilise le «y».Bordj veut dire «le fort», Ménaïel signifiant la couleur bleu étant donné que la forteresse avait toujours été peinte avec la couleur utilisée de la «Nila», allusion faite à la chanson chaâbi qui dit «dhak stah e aali li masbough ba nila». De toutes les invasions étrangères, c’est incontestablement l’Islam qui a le plus profondément imprégné la population de cette région.Bordj-Ménaïel à travers l’histoire a été érigée en commune de plein exercice par un arrêté préfectoral du 18 novembre 1870 et confirmé par décret. Elle est reliée par une route (actuellement autoroute) de grand trafic allant de Menerville (Thénia) à Fort National (Larbâa Nath Irathen) et est situé à 70 km d’Alger, 25 km de la wilaya de Boumerdès et 30 km de la wilaya de Tizi-Ouzou, elle a toujours offert aux passants une vue très agréable. Dans l’histoire ancienne, la ville de Bordj-Ménaïel et plus précisément durant l’époque romaine, elle portait le nom Vasara en reconnaissance à l’ancien Hippodium Romain. La colonisation française a agrandi la ville en 1863 qui fut détruite pendant l’insurrection de 1871 puis reconstruite la même année et élargie en 1872.
Un souvenir perduLes Issers Larôch étaient sous la domination turque, une grande famille des Issers qui s’étendaient depuis Dellys jusqu’à les Beni-Djaâd et qui était partagée en cinq factions, à savoir Isser Iarach, Isser El Djediane, Ouled Smir, Isser et Ouedianne, Isser Ras El Oued. Suite à plusieurs guerres qui ont longtemps agité cette contrée, les Issers Laârach ont été constitués en un commandement distinct par une décision du gouverneur général en date du 25 juillet 1863. Depuis, ils ont formé une tribu séparée, située à l’ouest de Dellys, chef-lieu de la subdivision et du cercle de ce nom. Les Issers Larach ont pu délimiter par le nord la tribu des Issers d’Ouled Smir, à l’est la tribu des Issers d’El Djedianne et celle de Sebaou El Kedima, au sud la tribu des Kabyles de Béni Amrane et la tribu des Zemmouls, à l’ouest la tribu des Khalfouns, celle des Kharchs de la montagne et l’oued Isser qui la sépare de la tribu des Issers El Ouidiane.Cependant, le décret impérial du 16 avril 1864 avait désigné la tribu des Issers Laârach pour être soumise aux opérations prescrites par le Senatus consulte du 22 avril 1863. La grande tribu des Issers tirait évidemment son nom de la rivière qui arrosait une grande partie considérable de son territoire. L’histoire reconnaît également que la faction des Issers formait la plus puissante des cinq autres, sans doute par affinité de race et d’intérêts, dont le souvenir est aujourd’hui perdu, et son organisation intérieure comprenait comme les autres factions un caïd dont les fonctions consistaient à assurer la rentrée des impôts.
La période turqueLes Ménaïlis ou les ex-Vasarien étaient très attachés à la terre. En 1830, ce Bordj n’était plus qu’une ferme de pacha d’Alger et l’autorité française avait réuni ce bordj avec toutes ses dépendances au territoire des deux Amalastes précitées à celui des villages de Teurfa et des Ouled Moussa, et créa le noyau d’une nouvelle tribu à laquelle il fut donné le nom de Zemouls. La tribu des Issers Larach possédait à titre de melk et de temps immémorial le territoire qu’elle occupe. Il est vrai que sur l’ensemble du territoire, elle présentait certaines dérogations du fait même du principe de possession depuis des siècles antérieurement à la promulgation du Senatus Consulte du 22 avril 1963, le territoire des Issers lié à celui de Bordj-Ménaïel renfermait cinq factions administratives placées sous le commandement d’antan de «cheikh el dechra» (le sage de village), qui centralisait les pouvoirs. Ces cinq factions dépendaient des Béni Athmane El Ghious. Les Beni Rabia, Larach El Rabate et les Larach Cheragas devenus plus tard (Raïcha et Ouled Aïssa).Les factions d’El Ghious comprenaient le pays qui s’entendait de la grande route d’Alger à la rive droite de l’oued Issers, celle des Béni Rabia qui elle était divisée en deux parties, la première située dans la montagne et qui occupait les hauteurs de Draâ El Gueffar composé du Haouch de Béni Bakhti Bechala et Ouled Amara à Haouch Guerrouma et à Haouch Kara Ahmed, la deuxième partie était constituée du haouch Sbaâ et Béni Hamid qui se composait d’un territoire se situant entre la route d’Alger et l’oued Isser d’une part et de l’autre part de l’oued Boumzar de Bordj-Ménaïel qui la séparait des Larachs Laraba.Elle dépendait, autrefois, de l’autorité du caïd des Issers, en l’occurrence El-Gharbi, puis passa sous le commandement de ce dernier lors de la réunion de toute la tribu à l’arrondissement d’Alger. Le centre de colonisation détruit lors de l’insurrection de 1871 fut reconstruit la même année au niveau de Bordj-Ménaïel et comprenait des lots urbains des lots ruraux et des concessions agricoles (huit familles d’origine française s’y sont implantées à l’origine). La rapide mise en valeur des terres et les ressources agricoles du pays ont provoqué une rapide évolution du centre agrandi en 1872. Ce complément de la ville de Bordj-Ménaïel était le Cap-Djinel qui représentait le contact du territoire communal avec la mer. La superficie de la daïra de Bordj-Ménaïel (autrefois sous préfecture) était de 97 et 80 km2. (A suivre)Kouider Djouab
28-04-2010

Algerie Constantine artisanales




Les créations artisanales de la jeune fille à l'honneur



L'artisanat est considéré comme une créneau porteur qui permet d'impulser l'activité économique tout en préservant des pans entiers de notre patrimoine immatériel. Ainsi, et grâce à l'initiative de l'association "Izdihar" des arts traditionnels, les créations de la jeune fille dans le domaine de l'artisanat sont à l'honneur à Constantine qui leur a consacré un festival national de trois jours. La manifestation à la maison de jeunes Ahmed-Saâdia a regroupé des jeunes artisanes de plusieurs wilayas du pays. Elles sont venues de Ghardaïa, Touggourt, Ouargla, Tizi Ouzou, Alger, Blida et de Bordj Bou Arréridj pour montrer, aux côtés de leurs paires constantinoises, ce qu'elles savent faire de leurs mains. Le hall de la maison de jeunes Ahmed-Saâdi, a réuni pour cette occasion sur quelques mètres carrés, tout, ou presque tout ce que les différentes régions du pays offrent comme richesse et variété en matière d'habit traditionnel féminin, de literies, de pâtisserie et de mets du terroir. Mme Samia Benamor, à titre d'exemple, expose des échantillons du tapis traditionnel de la région de Ait Yahia (Tizi Ouzou), présentés sous forme de coussins, faute de ramener tous les types de ces tapis. Cette exposante qui pratique le tissage depuis plus de 25 ans a saisi cette occasion pour montrer son produit et aussi transmettre, à bon entendeur, son savoir-faire acquis à force de patience, de persévérance et d'application, à d'autres jeunes filles, notamment celles de son village natal à Akbou (Béjaia). Le stand de Mlle Houria Benmoussa, venue avec sa sœur Zohra du village de Tazghout Alebtène, dans la daïra de Ain El Hammam (Tizi Ouzou), expose des échantillons du costume kabyle féminin, et retient l'attention du visiteur par le magnifique burnous de la mariée, brodé de motifs berbères qu'elle a, affirme-t-elle, entièrement réalisé chez elle. Des Bibans, Mlle Taous Tassine est venue, pour sa part, avec un produit plutôt rare pour ne pas dire inédit chez la femme : 17 tableaux en cuivre repoussé représentant des scènes inspirées de l'histoire du pays et imaginées à partir d'autres thèmes. L'exposante espère que le public récompense à sa juste valeur, en venant nombreux découvrir son travail, son audace et son esprit de pionnière. La manifestation, dont le but est d'encourager la rencontre et l'échange entre les jeunes artisanes de différentes régions du pays dans le domaine de la préservation et de la promotion du patrimoine et la découverte de nouveaux talents, a également donné lieu à un concours dans les domaines de cuisine et des arts traditionnels ainsi qu'à des soirées artistiques.R.R.

Algerie Blida les pépinières




Les pépinières, un créneau rentable



La Mitidja veut retrouver sa prospérité d'antan et on compte bien y relancer l'arboriculture fruitière. Ainsi, dans la wilaya de Blida les pépinières se multiplient. Selon le chef du service de production végétale à la DSA, "la wilaya compte actuellement 42 pépinières agréées bénéficiant notamment de visites de contrôle de la part des ingénieurs agronomes de la DSA". La tâche de ces derniers consiste, entre autres, à constater "l'état de santé" des plantes et végétaux en serre, et lutter contre les différentes maladies entravant leur bon développement, est-il souligné. La grande majorité de ces pépinières est implantée dans la partie Est, plus particulièrement à Hallouiya, Bouinan et Soumaa, des régions réputées pour leurs activités horticoles à l'échelle nationale. "Il existe deux types de pépiniéristes à l'échelle locale, les diplômés, agréés par la direction des services agricoles (DSA), et les "empiristes", dont la compétence repose sur une expérience professionnelle cumulée sur de nombreuses années d'activités dans ce domaine", indique-t-on à la DSA. Lors de visites sur le terrain, les agronomes de la DSA veillent à prendre des échantillons de ces pépinières, qui devront obligatoirement être soumis à des analyses au niveau de la station régionale de Boufarik relevant de l'Institut national de production végétale d'El Harrach, en vue de "déceler une éventuelle atteinte par la CTV pour ce qui est des agrumes, ou par les cochenilles (de type Saint José notamment) pour les autres essences arboricoles", selon la même source. "En cas de détection de l'une de ces affections, l'échantillon en question est immédiatement incinéré", a assuré le même responsable, en faisant également part d'autres prises d'échantillons pour analyses en laboratoires, effectuées d'octobre à décembre, coïncidant avec la période de mise en terre d'arbustes et plantes, puis vers la fin décembre pour constater leur développement et bonne santé. "Pour ouvrir droit à l'agrément de la DSA, une pépinière doit compter une surface de 9 ha de terre dotée d'une source d'irrigation, tout en étant facile d'accès, notamment, pour les agents de la DSA", apprend-on du chef du service de production végétale, qui ajoute que la structure en question doit être "encadrée par un spécialiste agricole (ingénieur ou technicien), au moment où son promoteur est détenteur d'une carte d'agriculteur". Le deuxième type des pépiniéristes de Blida (non agréés), dont certains ont été approchés par l'APS, en marge des floralies qui se tiennent dans la ville des roses, ces derniers ont tenu à exprimer certaines de leurs préoccupations professionnelles, notamment celles liées à la commercialisation de leurs produits. Actuellement, la seule opportunité offerte à ces producteurs c'est ces floralies qui se tiennent annuellement au niveau du boulevard "Laichi Abdellah" du centre-ville où ils peuvent écouler leurs produits. Certes, des efforts ont été consentis par l'APC qui a prolongé la durée de cette manifestation à un mois au lieu de 15 jours initialement, mais cette faveur demeure "insuffisante" à leurs yeux. D'autres pépiniéristes rencontrés au niveau de ces floralies, estiment "très contraignante" la condition exigeant une surface de 9 ha pour l'agrément d'une pépinière, car une majorité d'entre eux, disent-ils, "ne peut remplir une telle condition et détiennent des lots ne dépassant pas, dans le meilleur des cas, un (1) ha de terre". La majorité de ces pépiniéristes se félicite d'être structurés au sein de l'association de wilaya "Chlorophylle" qui leur a dédié une section spéciale, dite "promoteurs de pépinières", qui se targue de compter en son sein Ami Hocine, le doyen des pépiniéristes de Blida, qui a consacré une cinquantaine d'années de sa vie aux plantes et végétaux.R.R.

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Énergie Solaire: Cevital participe à un projet pour alimenter l’Europe



Énergie Solaire: Cevital participe à un projet pour alimenter l’Europe
L’initiative lancée par la fondation Desertec commence à donner ses premiers résultats. 12 compagnies, en majorité allemandes, ont signé, hier à Munich, un mémorandum d’entente
Selon la fondation, « 12 entreprises ont signé, aujourd’hui lundi à Munich, un protocole d’accord en vue de créer un bureau d’études : Desertec Industrial Initiative (DII) ». « Cette initiative a pour objet l’analyse et la mise en place d’un cadre technique, économique, politique, social et écologique en faveur d’une production d’énergie sans émission de CO2 dans les déserts d’Afrique du Nord. Le concept Desertec, conçu et réalisé par l’initiative Trec du Club de Rome, décrit les perspectives d’un approvisionnement électrique durable pour toutes les régions du monde avec accès au potentiel énergétique des déserts », précise le protocole signé.
Les sociétés fondatrices de DII, principalement concentrées en Europe, au Proche-Orient et en Afrique du Nord (Mena), sont les suivantes : ABB, Abengoa Solar, Cevital, Deutsche Bank, E.On, HSH Nordbank, MAN Solar, Millénium, Münchener Rück, M+W Zander, RWE, Schott Solar, Siemens », ajoute le texte. Mis à part Cevital (Algérie), ABB (Suisse) et Abengoa (Espagne), les autres sociétés sont allemandes. Parmi les missions du bureau d’études qui doit être créé au plus tard le 31 octobre 2009 figure « l’élaboration de plans d’exploitation concrets et de projets de financement associés, ainsi que le lancement des préparatifs industriels pour la construction d’un grand nombre de centrales solaires thermiques interconnectées et réparties dans toute la région Mena ». L’objectif serait de couvrir les besoins en électricité de l’Europe à hauteur de 15% et une part considérable des besoins en électricité des pays producteurs situés dans le Sud.
Les plans d’investissement que doit initier le bureau devraient être réalisables dans un délai de 3 ans. Les entreprises qui s’impliqueraient y trouveraient des perspectives commerciales et des potentiels économiques, écologiques et sociétaux liés au projet, selon ses concepteurs, qui citent « une sécurité énergétique renforcée dans les pays ue et Mena, des perspectives de croissance et de développement pour la région Mena grâce aux énormes investissements réalisés par les investisseurs privés, une garantie du futur approvisionnement en eau potable dans les pays Mena grâce à l’utilisation du surplus d’énergie dans des usines de dessalement d’eau de mer et une réduction des émissions de carbone et, donc, une contribution non négligeable pour soutenir les objectifs de protection du climat de l’Union européenne et du gouvernement allemand ».Les concepteurs du projet comptent attirer des investissements se chiffrant à 400 milliards d’euros. Le bureau d’études spécialisé DII, qui sera créé sous forme de Sarl régie par le droit allemand, pourra être rejoint par d’autres entreprises, selon le protocole signé.
source: elwatan

Algérie Europe Energie solaire




L’Algérie veut profiter de la technologie solaire européenne
L’Algérie souhaite bénéficier de l’expérience européenne en matière de technologie solaire pour se développer dans les énergies renouvelables.mardi 27 avril 2010.
Le groupe informel des 5+5 s’est réuni pour la 1re fois hier à Oran pour discuter de l’environnement et des énergies renouvelables. A ce titre, Ahmed Chikouche, directeur général de l’Unité de développement des équipements solaires, a indiqué hier matin sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale que « l’Algérie veut profiter de ce cadre de coopération qui se met en place pour bénéficier de l’expérience des pays de la rive nord en matière d’énergies nouvelles ». Ainsi, selon l’invité de la rédaction chargé du module énergie renouvelable pour cette réunion, il est attendu de la réunion d’Oran le lancement d’un plan méditerranéen pour le développement de l’énergie solaire. Citant l’exemple du Portugal qui a mis en place l’une des plus grandes centrales photovoltaïques au monde, M. Chikouche relèvera que l’Algérie doit également pouvoir bénéficier, dans le cadre du groupe des 5+5, des échanges en matière d’énergies renouvelables, notamment en termes de transfert de technologies, afin d’améliorer et perfectionner ses programmes de recherche ayant trait au domaine de ces énergies.
A ce propos, M. Chikouche soulignera que « le concept est accepté, reste à définir les mécanismes ». Par ailleurs, l’invité de la rédaction indiquera qu’un programme national vient d’être tracé et concernera dans un premier temps la fabrication de plaquettes de silicium et des modules solaires. Néanmoins, il soulignera qu’« il n’y a pas que le solaire. Nous voulons développer également l’éolien, la thermodynamique et la géothermie ». Aussi, rappellera- t-il, l’Etat a dégagé une enveloppe de un milliard de dinars pour développer les énergies renouvelables. En outre, l’invité de Soriya El Hachemi fera remarquer, lors de son intervention, qu’outre le volet des énergies renouvelables, d’autres thèmes, à savoir l’avancée du désert, la pollution marine et la protection du littoral seront discutés lors de cette réunion. Pour rappel, les 5+5 regroupent le Portugal, l’Espagne, la France, l’Italie, Malte, le Maroc, la Mauritanie, l’Algérie, la Tunisie et la Libye.
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après Le Jour d’Algérie

citoyens du monde



Se nomment citoyens du monde certaines personnes estimant que les habitants de la Terre forment un peuple commun avec des droits et devoirs communs, en dehors des clivages nationaux, et placent l'intérêt de cet ensemble humain au-dessus des intérêts nationaux.

Algerie Oran Saison estivale: Les grands préparatifs commencent



par Djamel B.

A l'instar de l'année précédente, d'importantes mesures seront prises par l'ensemble des directions de l'exécutif et par les communes pour la réussite de la saison estivale, apprend-on de sources proches de la commission du tourisme et de l'environnement de l'APW d'Oran. Nos sources indiquent que la direction du tourisme entamera dans les tout prochains jours une vaste opération de contrôle des infrastructures touristiques notamment les hôtels et les restaurants. En parallèle, d'autres agents se chargeront du contrôle des agences touristiques. Selon nos interlocuteurs, l'opération ciblera plus d'une centaine d'hôtels répartis entre les communes du littoral et Oran ville, ainsi qu'une trentaine d'agences touristiques. Les responsables de la direction du tourisme, ajoutent nos sources, auront à constater sur place les conditions d'accueil des estivants, en matière d'hébergement, de restauration, d'hygiène, entre autres. La direction du tourisme, rappelons le, reprendra à partir de cette saison estivale la gestion de la concession des plages. Sur les 33 plages autorisées à la baignade, 19 sont concernées par la concession et la direction du tourisme prendra en charge les plages dotées de plans d'aménagement. L'initiative de la direction du tourisme permettra une meilleure gestion de ces plages. Outre le programme de contrôle initié par la direction du tourisme, nos interlocuteurs signalent que le wali d'Oran a donné instruction à tous les présidents d'APC pour préparer dès à présent la saison estivale en procédant à la mobilisation d'agents et de matériel pour des opérations régulières de nettoyage des plages, des travaux d'embellissement et de ravalement des façades. En plus des travailleurs communaux, le wali a exhorté les maires à solliciter les services des jeunes notamment les micros entreprises spécialisées dans la collecte et le nettoyage. Le premier responsable a, d'autre part, insisté sur le respect des cahiers des charges inhérents à la concession des espaces au niveau des plages et le droit du citoyen d'y accéder gratuitement. Les mêmes instructions ont été données pour la concession des parkings au niveau des communes côtières. Les services de l'environnement, ainsi que les maires des communes côtières ont été aussi instruits pour prendre les mesures qui s'imposent contre les entreprises et autres infrastructures touristiques pollueuses notamment celles qui rejettent les eaux usées directement en mer. A l'intérieur du tissu urbain des communes côtières, les maires sont tenus de procéder à l'aménagement des aires de stationnement et les espaces verts. Le premier responsable de l'exécutif a, en outre, appelé les P/APC à procéder à la démolition de constructions érigées illicitement notamment au niveau de certaines plages de la corniche. Concernant la sécurité des baigneurs, les mêmes sources signalent que la Protection civile mobilisera d'importants moyens humains et matériels. A ce titre, les espaces réservés aux usagers des Jet Skis seront délimités par des bouées au niveau des plages, notamment à Ain El Turck, les Corales, la Grande Plage, les Andalouses, entre autres. Des mesures coercitives sont prévues à l'encontre de ceux qui outrepassent les espaces qui leurs ont été délimités. Pour la protection des baigneurs, nos sources indiquent qu'à l'image de l'année dernière un important contingent de maîtres nageurs sera mobilisé au niveau de plus d'une trentaine de plages autorisées à la baignade. De leur côté, les membres de la commission du tourisme de l'APW s'attelleront au suivi sur le terrain des recommandations prises lors de la dernière session de l'assemblée. Notre source rappelle qu'à ce titre les membres de la commission insistent sur le principe de l'accès gratuit aux plages et le respect des clauses des cahiers des charges en matière de concession et des espaces limités pour l'utilisation des Jet Skis, et ce en mettant en place une commission qui veillera en permanence au contrôle des plages. 0 fois lus
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La Commission lance une consultation publique sur l’avenir des industries culturelles et créatives




La Commission européenne vient de lancer une consultation publique en ligne concernant les industries culturelles et créatives d’Europe, dont elle souhaite libérer tout le potentiel.
Cette consultation est liée à un nouveau livre vert qui souligne la nécessité d’améliorer l’accès au financement, en particulier pour les petites entreprises, afin de permettre au secteur de la culture et de la création de prospérer et de contribuer à une croissance durable et ouverte à tous. Pour Androulla Vassiliou, la commissaire européenne à l'éducation, à la culture, au multilinguisme et à la jeunesse, les industries culturelles et créatives d’Europe ne sont pas seulement essentielles à la diversité culturelle de notre continent, elles constituent aussi l’un de nos secteurs économiques les plus dynamiques. Elles peuvent vraiment aider l’Europe à sortir de la crise. La commissaire a ouvert la consultation publique lors d’une conférence de presse à Bruxelles, en compagnie de Peter Dundas, directeur de la création chez Emilio Pucci, l'une des plus anciennes marques de luxe italiennes. Mr Dundas se félicite du lancement du livre vert de la Commission européenne car il souligne le rôle essentiel joué par les secteurs de la création et de l'art dans la stimulation de la croissance économique européenne. Le secteur de la culture et de la création, qui englobe les arts du spectacle les arts visuels, le patrimoine culturel, les films, la télévision et la radio, la musique, l’édition, les jeux vidéo, les nouveaux médias, l’architecture, le design, la création de mode et la publicité, fournit des emplois de qualité à cinq millions de personnes dans l’Union européenne. Il représente 2,6 % du PIB européen, c’est-à-dire plus que beaucoup d’industries manufacturières. Les industries culturelles et créatives connaissent également une croissance plus rapide que la plupart des secteurs de l’économie. La numérisation et la mondialisation ouvrent de nouveaux marchés, en particulier aux petites entreprises. Toutefois, ces entreprises rencontrent souvent des obstacles qui les empêchent d’exploiter tout leur potentiel. Cette consultation publique encouragera les parties intéressées et d’autres acteurs à se pencher sur certaines questions, telles que: Comment faciliter l’accès au financement pour les petites entreprises et les microentreprises dont le seul atout est la créativité? Comment l’Union européenne peut-elle aider à assurer une combinaison adaptée de compétences créatives et de compétences managériales dans ce secteur? Comment stimuler l’innovation et l’expérimentation et encourager notamment un usage plus large des technologies de l’information et de la communication? Les industries culturelles et créatives contribuent également à la compétitivité et à la cohésion sociale de nos villes et de nos régions. Les capitales européennes de la culture, comme Lille, Liverpool et bien d’autres, ont montré qu’investir dans ce secteur créait de l’emploi et aidait à faire évoluer l’image des villes. Si le développement des industries culturelles et créatives s’effectue d’abord aux niveaux local et régional, leur portée peut toutefois être internationale, contribuant à assurer la présence de l’Europe dans le monde. Soutenir ces industries dans leur environnement local et régional peut les aider à prendre leur envol vers une réussite mondiale. Les industries culturelles et créatives peuvent aussi avoir des retombées positives sur un large éventail d’autres entreprises et sur la société dans son ensemble. Les designers, par exemple, sont progressivement devenus des éléments essentiels des équipes de direction de nombreuses grandes compagnies. La consultation publique ouverte par le livre vert durera jusqu’à la fin du mois de juillet.Pour participer :http://ec.europa.eu/culture/our-policy-development/doc2577_fr.htm

UE Plan solaire méditerranéen et de l'initiative DESERTEC,



Union pour la Méditerranée : résoudre les conflits régionaux
Parlement Européen (Communiqué de presse) - ‎Il y a 15 minutes ‎
La résolution soutient une mise en oeuvre "rapide" du Plan solaire méditerranéen et de l'initiative DESERTEC,

Algerie Alger archéologique fenêtre sur l'histoire algérienne.




Un sondage archéologique réalisé au pied de la Casbah sur plus de sept mètres d'épaisseur ouvre une fenêtre sur l'histoire algérienne.François Savatier
Puniques, Romains, Vandales, Arabes, Espagnols, Turcs, Français... L'histoire de l'Algérie se résume à l'assimilation par une majorité berbère d'apports successifs divers. L'équipe d'archéologues de Kamel Stiti, du Centre national de la recherche archéologique (CNRA, Algérie) et de François Souq, de l'Institut national d'archéologie préventive (Inrap, France) est en train de mettre au jour cette réalité à Alger.
Sans précédent en Algérie, le sondage archéologique de la place des Martyrs, au pied de la Casbah («village fortifié» en berbère) précède la construction d'une station de métro. « Pour nous, il s'agit de répondre à ceux qui continuent de penser que l'archéologie est antinomique du développement, alors qu'elle peut l'accompagner », souligne K. Stiti.
Sous le bitume, les archéologues ont d'abord découvert les traces de la colonisation française de 1830 : ce qui deviendrait la Place du gouvernement a été aménagée en une place d'armes. Ensuite sont apparus des souks ottomans sous la forme de deux rues pavées accueillant des échoppes et des ateliers d'artisans. Parmi eux, un atelier de ferronnerie avec ses sols marqués par les enclumes ou aménagés pour entreposer forges et fours. Icosium, l'Alger romaine, transparaît ensuite dans les niveaux sous-jacents : un bâtiment de taille respectable se révèle être une basilique paléochrétienne, du Ve siècle probablement. Les squelettes de la nécropole qui fut installée dans ses ruines devraient aider à dater a quel moment cette basilique a été désaffectée.
Les archéologues ont découvert que le sol le plus profond de la basilique consistait en une mosaïque polychrome, qui pourrait remonter au IVe ou Ve siècle de notre ère. Sous la céramique et son décor constitué de cercles dentelés alternativement rouges et verts, et d'une série de panneaux carrés décorés, il reste environ trois mètres de sol à fouiller avant de buter sur le socle schisteux algérois. Y retrouvera-t-on Ikosim, le comptoir punique qui précéda Icosium, puis encore en dessous une occupation préhistorique ?

Algérie-UE : L'Algérie va proposer la révision de la charte euro-méditerranéenne pour l'entreprise



L'Algérie devrait proposer la modification de la charte euro-méditerranèenne pour l'entreprise, adoptée dans le cadre de l'application du processus de Barcelone, a indiqué hier un responsable du ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements (MIPI). L'Algérie veut ériger les deux volets, relatifs à l'environnement et l'innovation, comme des dimensions de la charte, a indiqué à l'APS le directeur des programmes zones industrielles au MIPI, M. Mohamed Kirat lors de la présentation de la 3e évaluation de la mise en oeuvre de cette charte par l'Algérie. Adoptée en 2004 en Italie par les 35 ministres de l'Industrie des pays de cette région, la charte contient actuellement 10 dimensions politiques clés relatives notamment aux procédures simples pour les entreprises, éducation et formation à l'esprit d'entreprise, financement et fiscalité appliquée à l'investissement, accès des entreprises au marché, organisations professionnelles et qualité des services d'appui aux entreprises. Ces dimensions servent à évaluer la mise en œuvre de cette charte par les pays partenaires, a expliqué ce responsable, précisant toutefois que l'application de cette charte dépendra des propres priorités de chacun des pays. La charte comprend les principes communs sur lesquels les politiques d'entreprises des partenaires de la région méditerranéenne doivent se fonder et ce en perspective de la création de la vaste zone de libre échange euro-méditerranéenne, prévue initialement pour 2010, ajoute ce responsable. Les propositions algériennes seront débattues en juin prochain à Bruxelles au niveau du groupe des experts pour ensuite être discutées, si elles seront retenues, par les ministres euro-méditérranèens de l'Industrie en octobre. Plusieurs pays du Sud, secoués par la crise économique internationale, tels que la Jordanie et l'Egypte ont souhaité la révision de cette charte notamment sur les aspects financement et commerce international. Par ailleurs la dernière évaluation interne de la mise en œuvre de cette charte par l'Algérie, effectuée en mai en 2009, fait ressortir une nette amélioration de l'environnement économique par rapport à celle de 2008. L'avancée a été constatée sur les aspects facilitations pour la création d'entreprises et financement des entreprises, a souligné M. Kirat qui a noté aussi une stagnation sur les autres aspects liés à l'information économique claire et ciblée et le dialogue entre les aurorités et les organisations professionnelles. Cette évaluation a été élaborée à partir d'un questionnaire standard, établi par les 35 pays membres de la zone euroméditerranéenne et concerne les dix dimensions clés et 77 indicateurs relatifs à l'environnement économique.Près de 45 structures et institutions nationales, représentant les parties prenantes concernées par les aspects liés à cette charte, ont participé à cette évaluation préliminaire, selon lui. Elle a concerné environ une douzaine de ministères, banques, associations professionnelles, et instituts. Concernant l'aspect des procédures simples pour les entreprises, l'étude relève une insuffisance dans le partage des responsabilités pour les politiques d'entreprises, en soulignant la centralisation des grandes décisions. Mais, l'évaluation note toutefois une nette amélioration concernant la coordination entre les ministères, assurée à travers le conseil interministériel et une meilleure simplification de la législation et des procédures administratives relatives aux commerce, à la création d'entreprises et à l'allégement de l'inscription au registre du commerce. Quant à la dimension éducation et formation à l'esprit d'entreprise, l'enquête souligne l'insuffisance de l'apprentissage sur cet aspect, dû à l'absence d'une stratégie nationale en la matière. Même constat établi pour la dimension accès à la formation pour les entreprises, qui reste aussi insuffisant, selon cette évaluation qui note l'absence de formation spécifique pour les entreprises en démarrage, alors que la formation en entreprise reste une pratique limitée dans certaines grandes entreprises. S'agissant de la dimension accès des entreprises algériennes au marché, l'évaluation relève l'insuffisance des initiatives Ad hoc pour la mise en oeuvre d'un politique commerciale proactive et l'accès encore limité à l'information réglementaire et procédurale relative au commerce extérieur. En revanche, l'évaluation du MIPI fait ressortir une amélioration de l'accès au financement, notant à ce propos la mise en place des systèmes de garantie de crédits, l'accès aux marchés des capitaux et la fiscalité favorable à l'investissement à travers les avantages fiscaux accordés par l'ANDI, et les dispositifs Ansej et Cnac. Concernant la dimension organisations professionnelles, les résultats de l'enquête soulignent que le cadre de consultation entre le gouvernement et le secteur public/privé "reste également insuffisant", en raison du degré d'engagement qui reste faible ainsi que par la mise en place de plusieurs organes de consultation tels que le Conseil national consultatifs des PME ou la CACI.
La commission des finances de l'APN rencontre des experts financiers de l'UE La commission des finances et du budget de l'Assemblée populaire nationale (APN) a tenu hierà Alger une réunion avec une délégation d'experts financiers de l'Union européenne (UE), a indiqué cette institution parlementaire dans un communiqué. Cette rencontre a permis aux deux parties de procéder à ''un échange de points de vue sur la procédure appelée +appui budgétaire+, son cadre d'application et ses objectifs'' ainsi que le lien entre ce thème et la question de la souveraineté nationale, ajoute la même source. Les deux parties ont ainsi convenu de la possibilité d'organiser une ''rencontre de concertation'' après avoir défini ses objectifs et son cadre juridique.