阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

retrouver ce média sur www.ina.fr

commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Monday, May 17, 2010

Révision de l’accord d’association Algérie-UE : Des responsables européens dépêchés à Alger




Les tractations sont d’ores et déjà engagées pour préparer la 5e session du Conseil d’association entre l’Algérie et l’Union européenne, prévue le 15 juin prochain au Luxembourg.
L’Algérie s’est résolue à soumettre à débat la révision de certaines clauses de l’Accord d’association dans l’espoir de limiter les dégâts d’une convention mal négociée en amont. L’Algérie ne jurait que par cette refonte qui n’a cessé d’alimenter une controverse, impliquant experts, économistes et patrons. L’Union européenne, elle, a décidé de dépêcher à Alger son commissaire européen responsable de l’élargissement et de la politique européenne de voisinage, Stefan Fule. Ce dernier effectuera une visite en Algérie, les 19 et 20 mai, selon les termes d’une note de presse rendue publique hier par le ministère des Affaires étrangères. D’après le même communiqué, le commissaire européen aura à s’entretenir avec les hauts responsables politiques algériens de l’état et des perspectives des relations entre l’Algérie et l’Union européenne, à la lumière de la mise en œuvre de l’Accord d’association Algérie-UE ainsi que d’une série de questions régionales et internationales d’intérêt commun.
Décidément, l’heure des comptes a sonné. Lorsqu’on quitte le terrain de la tactique politique, la partie algérienne a, tout compte fait, perdu au change dans ses rapports économiques et commerciaux avec les pays de la zone euro. Mais sur le plan politique, l’un des piliers sur lesquels a été fondée en 2002 l’alliance algéro-européenne, les experts et économistes les plus avertis de la place d’Alger estiment que la partie algérienne avait négocié en position de faiblesse. C’est-à-dire que les tractations engagées en vue de parvenir à un accord d’association « n’étaient nullement exploitées pour obtenir des concessions économiques, mais bel et bien pour arracher un soutien politique à un régime en quête de légitimité », nous explique Mourad Ouchichi, universitaire.
Cinq années après la mise en marche, en septembre 2005, de cet accord d’association et après avoir gravement subi ses impairs et concessions, l’Algérie entend forcer la main aux Européens pour revoir certains textes de la convention. La visite, mercredi prochain, du commissaire européen à Alger, intervient à la veille de la 5e session du Conseil d’association Algérie-UE. Elle (la visite) sera l’occasion de « mieux préparer cette importante échéance et constitue un témoignage de l’intérêt qu’accordent les deux parties au renforcement de leurs relations de coopération et de dialogue », lit-on dans le communiqué du département des Affaires étrangères, teinté d’une forte dose de propos diplomatiques.
Car, en d’autres lieux, les ministres algériens ne font plus usage d’expressions diplomatiques pour dresser un tableau négatif des cinq années ayant suivi la mise en œuvre de l’Accord d’association. Le ministère des Affaires étrangères a précisé également dans son communiqué qu’il sera procédé en marge de la visite de M. Stefan Fule, à la signature du Mémorandum d’entente relatif à la programmation financière 2011-2013, d’un montant de 172 millions d’euros, couvrant six projets de coopération liés au développement durable, à la culture, à la croissance économique et à l’emploi.
Par Ali Titouche

Algérie Union Européenne Le commissaire européen Mr Stefan Fule mercredi à Alger



Algérie-UE : Le commissaire européen Stefan Fule mercredi à Alger

Le commissaire européen responsable de l'Elargissement et de la politique européenne de voisinage, M. Stefan Fule, effectuera une visite en Algérie, les 19 et 20 mai, a indiqué hier un communiqué du ministère des Affaires étrangères. Au cours de son séjour, M. Fule s'entretiendra avec les hauts responsables politiques algériens de l'état et des perspectives des relations entre l'Algérie et l'Union européenne, à la lumière de la mise en œuvre de l'accord d'association Algérie-UE ainsi que d'une série de questions régionales et internationales d'intérêt commun, a précisé le communiqué. Cette visite, qui intervient à la veille de la 5e session du Conseil d'association Algérie-UE, prévue le 15 juin prochain au Luxembourg, sera l'occasion de "mieux préparer cette importante échéance et constitue un témoignage de l'intérêt qu'accordent les deux parties au renforcement de leurs relations de coopération et de dialogue", a-t-on ajouté de même source. Il sera procédé, enfin, en marge de la visite, à la signature du mémorandum d'entente relatif à la programmation financière 2011-2013, d'un montant de 172 millions d'euros, couvrant six projets de coopération liés au développement durable, à la culture, à la croissance économique et à l'emploi, a conclu le communiqué

Algerie Turquie coopération





Algérie / Turquie : Signature d’un protocole d’accord de coopération entre l’Algérie et la Turquie dans le secteur de l’habitat


par Hakan



Un protocole d’accord de coopération entre l’Algérie et la Turquie dans le domaine de l’habitat et de l’urbanisme a été signé à l’occasion de la visite à Ankara du ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme, M. Nourredine Moussa, a-t-on appris vendredi auprès du ministère.
Cet accord, dont les documents ont été paraphés par M. Moussa et le ministre turc des travaux publics et de l’Habitat, M. Mustapha Demir, est axé sur la formation, le transfert du savoir faire et le partenariat entre les entreprises des deux pays, selon un communiqué du ministère.
Durant son séjour à Ankara (10-14 mai) M. Moussa a eu, en outre, des entretiens avec plusieurs responsables et opérateurs économiques turcs.
Dans ce cadre, il a tenu une réunion avec M. Demir au cours de laquelle il a fait un exposé sur les projets du secteur prévus dans le plan quinquennal 2010-2014.
Il a, à cet effet, invité les entreprises turques à "s’impliquer davantage dans le marché algérien en privilégiant le partenariat, le transfert du savoir faire et l’investissement", a indiqué le communiqué.
M. Moussa s’est également entretenu avec le ministre d’Etat turc chargé du Commerce extérieur, M. Zafer Caglayan, au sujet du renforcement des relations entre les deux pays.
Le ministre a, d’autre part, tenu des discussions avec le syndicat des employeurs et industriels de la construction de Turquie (INTES) qui regroupe de nombreuses sociétés opérant en Algérie.
Ces discussions ont été axées, notamment, sur "l’environnement des affaires en Algérie et les perspectives offertes par le marché algérien dans le secteur de la construction et de l’urbanisme".
Le ministre s’est également entretenu avec les responsables de l’Administration du logement collectif et ceux de la Direction générale des affaires de construction.
A la faveur de ces rencontres, il a été convenu d’organiser prochainement une visite d’experts des deux administrations en Algérie "afin de renforcer les relations avec les entreprises publiques algériennes dans le domaine de la construction", a-t-on ajouté.
Par ailleurs, M. Moussa a visité le chantier du projet de transformation urbaine de la ville d’Ankara et le projet de rénovation de la municipalité d’Altindag la vieille cité d’Ankara, selon la même source.
Source APS

Algerie Béjaïa projets visités


Amar Tou revient à Béjaïa pour s’enquérir de nombreux projets qu’il a lancé lui même, à l’image de la gare internationale qui sera livrée fin juillet. Une infrastructure qui a coûté 60 milliards qui, en plus de disposer d’une belle esthétique, va réunir les trois gares éparses de la ville. Après son accueil par le wali, le P/APW et une forte délégation locale, le ministre a entamé sa visite par l’école maritime mitoyenne avec l’aéroport Abane-Ramdane. Un projet évalué à 6 milliards de centimes et qui connaît un grand retard dans sa réalisation. Afin d’accélérer les travaux, le wali a promis de prendre en charge la question des VRD et du raccordement de gaz. A Ighil Ouazoug, le ministre a procédé à la visite de l’établissement de transport urbain. Une entité nouvelle qui vient ainsi réguler le transport, notamment au niveau de certains quartiers peu ou mal desservis, en attendant le tram, un projet dont le principe a été retenu et approuvé. L’après-midi, le ministre a fait une halte au niveau du port de Béjaïa. Une structure gérée par l’EPB qui s’apprête à opérer des extensions et réaliser une gare maritime, le ministre a entendu un exposé sur les activités du port qui est classé deuxième au niveau national. B. M.-O.