阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Friday, July 25, 2008

Election americaines climat environnement






Elections américaines : le climat devient un enjeu de campagne
Après huit années de présidence Bush, les Etats-Unis semblent désormais prêts à transformer leur politique environnementale et climatique. L’arrivée à maturité des énergies renouvelables, associée aux incertitudes tarifaires et géopolitiques du pétrole, sont autant d’arguments supplémentaires pour ces deux candidats convaincus. Des solutions bien différentes au problème se cachent toutefois derrière cette profession de foi commune.
Avec la fin des primaires, chaque candidat peaufine désormais son plan d’action pour enrayer l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre et tente de s’accaparer la place du candidat le plus vert. Tant pour Obama que pour Mc Cain, l’enjeu est de taille. Il s’agit de concocter le programme à même de séduire le groupe d’électeurs le plus recherché des présidentielles 2008 : les indépendants. Plus pragmatiques que les partisans de chaque parti, leur vote ira au candidat répondant à leurs priorités : la guerre en Irak, la santé, l’économie, l’immigration, la flambée du pétrole, la sécurité nationale et … un peu plus loin l’environnement, notamment le changement climatique.
Lutte contre le changement climatique
Tant pour Obama que pour Mc Cain, l’impact humain sur le climat n’est plus une théorie mais une réalité. « Je sais que le changement climatique est réel. Nous pouvons avoir un débat sur son importance, mais le débat sur son existence est clos », a récemment déclaré John Mc Cain. Ils considèrent par ailleurs tous deux qu’il s’agira d’une des trois priorités de leur présidence. Derrière cette apparente convergence se cachent toutefois deux visions différentes de la tache à entreprendre et des moyens à y consacrer.
John Mc Cain annonce des objectifs de réduction des émissions de GES de 60% d’ici 2050 alors que Barack Obama espère les diminuer de 80% ; en conformité avec le consensus scientifique actuel. Si tous deux s’engagent à mettre en place des quotas de CO2 et à instaurer des marchés de crédits carbone, ils adoptent des approches différentes.
Barack Obama, le progressiste
Alors que John Mc Cain souhaite octroyer gratuitement des crédits carbone aux entreprises avant de restreindre progressivement leur nombre, pour Obama, cette simple mesure ne suffit pas. Barack Obama souhaite contraindre les industries polluantes à compenser l’intégralité de leurs émissions de GES. « La nécessité de compenser 100% des émissions garantit que tous les pollueurs paieront pour chaque tonne de CO2 qu’ils émettent, » précise le site Internet du candidat.
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LE RÔLE DES INDÉPENDANTS
Si les vues des candidats sont diamétralement opposées sur les grands sujets, elles se rejoignent étonnamment souvent sur les questions considérées aux USA comme de second plan. Ils s’entendent tous deux pour promouvoir des politiques similaires en matière d’immigration, de transparence gouvernementale et de lutte contre le réchauffement climatique. Des similarités qui ne sont pas dues au hasard. Les deux candidats ont remporté leurs primaires en se présentant comme des « agents du changement » adeptes d’une politique moins partisane et plus pragmatique. Un positionnement qui les rend tous deux attrayants pour les électeurs indépendants et qui les poussent à étendre le champ de bataille sur des sujets considérés jusqu'ici comme secondaires.
Une partie des revenus du marché Carbone seront prélevés et serviront à financer le développement de nouvelles technologies de production ou de conservation d’énergie et des mesures de soutiens des industries en transition et des consommateurs.
Pour Obama, une partie des revenus du marché Carbone doivent être prélevés et serviront à financer le développement de nouvelles technologies de production d'énergie. Au cours des 10 prochaines années, il entend en effet investir 150 milliards de dollars dans les énergies renouvelables et dans l’ébauche d’un nouveau réseau électrique. A l’instar de l’Union européenne, il veut également fixer un objectif de 25% de production d’électricité d’origine renouvelable d’ici 2025, et améliorer l’efficacité énergétique du pays de 50% avant 2030.
John Mc Cain, le convaincu de longue date
John Mc Cain se plait à rappeler qu’il fut le « co-sponsor» du premier projet de loi visant à lutter contre le réchauffement climatique dans l’histoire du Sénat américain. Pro nucléaire affiché, il souhaite laisser les mécanismes de marché opérer la sélection des technologies les plus performantes. Il écarte ainsi tout engagement sur des objectifs réglementaires de production d’électricité issue des renouvelables... Mc Cain entretient également une certaine ambiguïté sur son programme de financement de la recherche et développement. Alors qu’il déclare être hostile à une injection massive de fonds publics dans les énergies renouvelables, son site Internet affiche pourtant des engagements dans ce sens.
Si elle n’est pas la favorite des environnementalistes, la politique promise par Mc Cain résonne favorablement tant auprès des conservateurs que dans une frange de l’électorat indépendant. Basé sur des technologies existantes et sur la mise en œuvre progressive d’un marché Carbone, il leur promet une gestion volontariste mais conservatrice de la crise. Le suffrage populaire va toutefois pour l’instant à Barack Obama, qui lui donne massivement sa préférence sur les questions environnementales.
Pierre-Marie CoupryMis en ligne le :
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18/06/2008

Knol Google 23 juillet 2008




Knol is open to everyone
7/23/2008 10:31:00 AM A few months ago we announced that we were testing a new product called Knol. Knols are authoritative articles about specific topics, written by people who know about those subjects. Today, we're making Knol available to everyone.The web contains vast amounts of information, but not everything worth knowing is on the web. An enormous amount of information resides in people's heads: millions of people know useful things and billions more could benefit from that knowledge. Knol will encourage these people to contribute their knowledge online and make it accessible to everyone.
The key principle behind Knol is authorship. Every knol will have an author (or group of authors) who put their name behind their content. It's their knol, their voice, their opinion. We expect that there will be multiple knols on the same subject, and we think that is good.With Knol, we are introducing a new method for authors to work together that we call "moderated collaboration." With this feature, any reader can make suggested edits to a knol which the author may then choose to accept, reject, or modify before these contributions become visible to the public. This allows authors to accept suggestions from everyone in the world while remaining in control of their content. After all, their name is associated with it!Knols include strong community tools which allow for many modes of interaction between readers and authors. People can submit comments, rate, or write a review of a knol. At the discretion of the author, a knol may include ads from our AdSense program. If an author chooses to include ads, Google will provide the author with a revenue share from the proceeds of those ad placements.We are happy to announce an agreement with the New Yorker magazine which allows any author to add one cartoon per knol from the New Yorker's extensive cartoon repository. Cartoons are an effective (and fun) way to make your point, even on the most serious topics.Everyone knows something. See what people are writing about, then tell the world what you know: knol.google.comPosted by Cedric Dupont, Product Manager and Michael McNally, Software Engineer
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Union pour la Méditerranée France diplomatie


Knolstuff plbd profil


Solaire nord sud UTOPIQUE?





L'approvisionnement "solaire" de l'Europe par le Sud
(src : Daily Mail)
Des panneaux solaires photovoltaïques installés dans le désert d'Afrique du Nord et couvrant une superficie grande comme le pays de Galles pourrait fournir en "électricité verte" l'ensemble du vieux continent a indiqué un groupe d'expert.
Selon le dailymail, cette idée appuyée par le premier ministre britannique Gordon Brown et le président français Nicolas Sarkozy, a été discutée lors du sommet de lancement de l’Union pour la Méditerranée (UPM), qui a réuni à Paris 43 chefs d’Etat et de gouvernement.En effet, l'intensité du soleil reçue dans le désert d'Afrique du Nord pourrait produire jusqu'à trois fois plus d'électricité que ces mêmes panneaux solaires situés en Europe du Nord. La construction de lignes à haute tension pourrait coûter jusqu'à 1,3 milliard d'euros par an jusqu'en 2050, et sur lesquelles transiteraient progressivement l'électricité produite par les fermes solaires en exploitation - jusqu'à 100 GW de courant. Il s'agirait également de permettre aux pays nordiques comme le Royaume-Uni et le Danemark d'exporter l'énergie éolienne et d'importation de l'énergie verte à partir d'autres sources d'approvisionnement.Doug Parr, le responsable scientifique de Greenpeace UK, apporte son soutien à ce projet : "En supposant un bon rapport coût-efficacité, un réseau d'énergie renouvelable à grande échelle constitue le genre d'innovation dont nous avons besoin, si nous voulons battre le

Chine Occident pollution Afp





L'Occident est en partie responsable de la pollution de la Chine, selon une étude
Il y a 16 heures
LONDRES (AFP) — Les émissions chinoises de gaz à effet de serre ont presque doublé en cinq ans mais l'Occident est en partie responsable car cette pollution émane pour un tiers des entreprises exportatrices du pays, selon une étude publiée jeudi dans la revue britannique Energy Policy.
"Notre niveau important de consommation contribue directement au réchauffement climatique, en particulier si les biens de consommation sont fabriqués dans d'autres pays comme la Chine, un pays où les technologies sont inefficaces et dépendent de l'énergie tirée du charbon", estime Klaus Hubacek, de l'Université de Leeds, dans le nord de l'Angleterre.
Les émissions de CO2 issues d'entreprises exportant (principalement vers l'Occident) ont nettement augmenté, pour passer de 12% du total des émissions de CO2 de la Chine en 1987 à 21% en 2002 puis 33% en 2005, évalue l'étude.
"Il ne s'agit pas d'un problème uniquement chinois. C'est notre responsabilité. De nombreux pays occidentaux sont déjà en retard par rapport à leurs objectifs de réduction de gaz à effet de serre et, pire encore, leur pollution est produite ailleurs", ajoute M. Hubacek, évoquant une pollution "sous-traitée".
Tandis que les Chinois aspirent de plus en plus à un mode de vie à l'américaine, grand dévoreur d'énergie, il est à craindre que même les progrès techniques permettant de limiter les émissions ne suffiront pas à l'avenir, note-t-il.
"Ne se reposer que sur le progrès technologique ne réussira même pas à stabiliser la pollution de la Chine à l'avenir (...). Même les estimations les plus optimistes, se basant sur des installations massives de système de captage et de stockage de CO2, ne feront que ralentir la hausse des émissions", ajoute l'expert.
L'étude prédit ainsi un triplement des émissions de gaz à effet de serre par la Chine d'ici à 2030.