PATRICK LE BERRIGAUD EUROPE fédérale/UNION POUR LA MEDITERANNEE consultant ingenieur conseil
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L’Eurogroupe pourrait surveiller les budgets nationaux [Fenêtre sur l'Europe] Les États membres de la zone euro pourraient être contraints de présenter leurs projets de budgets à l'Eurogroupe avant qu'ils soient approuvés par les parlements nationaux. C’est ce que prévoit une nouvelle proposition sur une surveillance économique plus étroite que présenter la Commission européenne en mai. Les prévisions budgétaires devraient être examinées par les seize pays de la zone euro avant d'être adoptées au niveau national afin de pouvoir surveiller les excès de dépenses, a expliqué le commissaire aux Affaires économiques et monétaires, Olli Rehn, à la presse, après une réunion de l'Eurogroupe à Madrid le 16 avril.
Le 7e édition du Salon national du livre, organisé par le Syndicat national des éditeurs du livre (SNEL), a été inauguré jeudi, après deux ans d’absence, aux Pins maritimes (Safex), à Alger. Se déroulant du 15 au 24 avril 2010, le 7e Salon national du livre se veut marquant en célébrant doublement son retour après deux ans d’absence car coïncidant avec Youm El Ilm (la Journée du savoir, le 16 avril). Cette édition, dont l’invité d’honneur est la Palestine, est placée sous le signe « Un livre entre les mains de chaque lecteur ». Les organisateurs entendent inciter les visiteurs, plus particulièrement les jeunes, à acquérir (théoriquement, de manière économique), faire aimer et partager la passion dévorante du livre. Et ce, par des rayonnages exhibant à foison des ouvrages pour tous les goûts et tous les âges. Ainsi, le pavillon Gourara G de la Safex est une tribune compulsant 75 maisons d’édition publiques et privées, soit 5000 titres exposés. Par conséquent, cet espace dédié au livre national est une aubaine et une occasion pour découvrir de « jeunes et nouvelles » maisons d’édition faisant un travail méritoire de proximité. A l’image de l’éditeur Clic, spécialisé dans le livre et le dépliant parascolaire pour tous les cursus. Cette maison d’édition (existant depuis 5 ans), a réussi à publier 200 titres. Mais son succès demeure le dépliant pédagogique et didactique. « Le dépliant marche très bien. Il est très demandé partout en Algérie. Pour vous dire, il y a même des maisons d’édition qui nous reprochent la publication de dépliants. Car, selon elles, cela tuera le livre », nous indique le responsable du stand Clic. Les dépliants les plus demandés sont ceux relatifs aux langues. Les prix pratiqués sont vraiment intéressants : 50 DA le dépliant ; les livres affichent entre 200 et 400 DA. Le best-seller est le manuel d’anglais pour tous les niveaux, The Complete english grammar (for all levels) de Djamel A. cédé à… 400 DA seulement. De front, le stand de l’Office des publications universitaires(OPU) exhibe un espace important avec 900 titres pluridisciplinaires, dont 50 nouveaux (droit, histoire, technologie, sciences médicales, information et communication). Ici, les prix – subventionnés par l’Etat – varient entre 250 et 1000 DA. Et ce sont des ouvrages de référence. « Les prix des ouvrages de l’OPU sont abordables. Notre projet en 2010, est celui d’éditer 200 titres », affirme Djemaâ Achour. L’OPU, qui existe depuis 1975, vient de publier son 5088e ouvrage, Les Communications mobiles, de Boukelif Aoued. En chinant dans les stands, on tombe immanquablement sur une autre passion des lecteurs : la maison d’édition Média Sport, qui suscite l’engouement du public, effet Coupe du monde oblige ! Média Sport a publié un Guide du football algérien et maghrébin, le Guide des Verts et l’Histoire du football algérien, des ouvrages très prisés, proposés à 250 DA (50 DA de ristourne). Croisé au salon, Boubakeur Zemmal, poète et président de l’association El Beït pour la culture et les arts, dira, à propos de cet événement : « Je pense que le retour du Salon du livre est de bon aloi. Tout espace culturel est le bienvenu. C’est une autre voix, différente des autres salons organisés. Tant que c’est constructif, c’est bien. On voudrait que le Salon devienne beaucoup plus professionnel, ouvert à tous les éditeurs. Il faudrait que les éditeurs soient fédérés. » En marge du Salon, des activités sont prévues. Ainsi, aujourd’hui, un hommage sera rendu au poète et journaliste Tahar Djaout ; des communications porteront sur la culture amazighe, le livre et l’enfant ; il y aura aussi la représentation d’une pièce pour enfants par le Théâtre régional de Béjaïa. 7e Salon national du livre d’Alger Pins Maritimes - Safex Pavillon Gourara G Du 15 au 24 avril 2010 Parking pour les visiteurs Par K. Smaïl
Le commissariat du FIBDA est très heureux d’annoncer la tenue de la 3e édition du Festival international de la bande dessinée d’Alger, du 13 au 17 octobre 2010. Durant cette manifestation, dédiée à la promotion du 9e art dans notre pays, qui verra expositions, rencontres, débats, concerts et workshops organisés à Riadh el Feth, des professionnels, dessinateurs et scénaristes de toutes les nationalités concourront avec des œuvres originales et inédites pour d’importants prix sous forme de trophées et en numéraire, qui seront remis par un jury international de haute volée. Ce concours sera ouvert le 15 avril 2010 à tous les bédéistes, nationaux et étrangers, sur la présentation d’une œuvre de bande dessinée originale, inédite ou éditée entre 2009 et 2010. Six (6) prix consacreront les lauréats selon la décision d’un jury international, le style et les sujets sont libres. La clôture des inscriptions est fixée au 31 août 2010. Toutes les modalités et conditions afférentes au concours sont disponibles sur le site du FIBDA : www.bdalger.net. Pour toute information supplémentaire, s’adresser au secrétariat du FIBDA. Tél / Fax : 021 37 34 79 Mail : contact@bdalger.net Contact presse : rachidalik@gmail.com
Elles se souviennent des veillées d’hiver autour d’un qanoun La vie douillette qu’il mène aujourd’hui en ville, avec tout le confort qu’apporte le gaz naturel, le climatiseur et biens d’autres commodités qui relevaient, il n’y a pas si longtemps, du conte de fées, n’est pas arrivée à chasser de sa mémoire cette chaleur si particulière des veillées familiales des années 1950 et 1960 autour du qanoun où crépitaient des bûches de chêne ou d’olivier et dansaient langoureusement des flammes dessinant des ombres chinoises sur les murs, comme des amis invisibles qui viennent réclamer leur part de chaleur ou écouter le conte raconté par la voix apaisante de la grand-mère. Combien de fois il a écouté, sans se lasser, ces bons vieux contes qui relataient de sublimes histoires et des récits du terroir comme la Vache des orphelins (Bagrat litama) ou les histoires pleines d’humour caustique de Djeha. Il y en avait aussi qui portaient sur la vie du Prophète Mohamed (QSSSL) et de ses compagnons, notamment sidna Ali, le cousin et gendre du Prophète (QSSSL) et ses épopées guerrières contre le mal et les ennemis de Dieu. L’épée à deux pointes qui faisait la réputation de ce preux chevalier fascinait l’imagination des enfants qu’enchantaient aussi les aventures de l’intrépide Antar Ibn Cheddad. Les ruses de Djeha, cet incontournable donneur de leçons, par la dérision populaire, personnage mythique du folklore traditionnel maghrébin et arabe, «faisaient se tordre de rire les enfants candides que nous étions», se souvient le vieux Aïssa. «Ces veillées autour du qanoun par des nuits neigeuses et froides me ramènent, ajoute-t-il, à l’époque où toute la grande famille, père, mère, oncles, frères et soeurs, dormait dans la même pièce, sur une grande natte en alfa (h’sira) et se couvrait avec les mêmes henbels, ces grandes couvertures en laine tissées par les femmes de la maison. A cette époque, se souvient El-Hadj Aïssa, la relation familiale était quasi «charnelle» car la vie commune et le partage étaient poussés à l’extrême et l’on mangeait dans la même assiette et dormait côte à côte sur la même natte. C’était l’époque, dit-il, où «la vie était simple mais dont le goût était bien plus savoureux que celui, souvent factice, des plaisirs d’aujourd’hui». En ces temps «à la fois si proches et si lointains, un simple repas fait d’une galette d’orge trempée dans l’huile d’olive et accompagnée de figues ou de dattes sèches était un régal car l’altitude aiguisait les appétits et les gens vivaient dans un tel dénuement qu’ils ne pouvaient parfois s’offrir que de tels repas frugaux», se rappelle El-Hadj Aïssa Ourici, un moudjahid de la commune d’El-Kolla, située au nord de la wilaya et nichée à flanc de montagne comme tous les villages kabyles de la région. Souvenirs vivaces de temps révolus «De ces soirées, je garde un souvenir vivace, inoubliable, de ces histoires racontées par mes grands parents ou mon père», ajoute le vieil homme, prenant à témoin cheikh Mokrani Madani qui réside, lui, dans la localité de Tizi-Kachouchène. Ce dernier se souvient que, dans les années 1950, au plus fort de la Révolution, les parents, autour du qanoun, évitaient de parler des moudjahidine devant les enfants de peur que les noms de Si Abdelkader El-Bariki, d’Amirouche ou de Si El-Haouès n’arrivent aux oreilles des agents de la SAS (section administrative spécialisée) du village. Ces trois responsables de la Révolution algérienne, tombés au champ d’honneur, étaient très connus par leurs hauts faits d’armes dans tout le nord et l’ouest de la région des Bibans et leurs noms revenaient sans cesse. Pour ces vieux montagnards, «ce temps est bien révolu, cette intimité familiale autour d’un feu à l’intérieur de la maison est bien finie, en même temps qu’ont disparu le tissage de la laine, la confection à la manière traditionnelle des couvertures, des burnous et de la kachabia qui étaient la seule occupation des femmes pendant les longs et rudes hivers de la région». Un troisième larron, Hadj Larbi Laroussi, du village d’Ouchanène, dans la daïra de Djaâfra, se joint à la discussion pour égayer quelque peu une atmosphère devenue tristounette à force d’être alimentée par les récits empreints de nostalgie de ces deux amis. «On ne va pas quand même pas se plaindre aujourd’hui qu’il y a le gaz à la maison, l’eau courante, la voiture, les hôpitaux pour se soigner, sans compter la télé, et en couleur en plus», lance à la cantonade Hadj Larbi. Devant le mutisme de ses vieux camarades, il ajoute, plein d’emphase : «Avez-vous oublié que le poste radio a été introduit dans notre région en 1959 par un émigré venu de France, ? Avez-vous oublié que ce seul moyen de divertissement nous avait été confisqué par la SAS ?» Les petits sourires esquissés par ses deux amis l’encouragent à clamer encore, tout aussi cérémonieux : «Quelqu’un s’aviserait-il aujourd’hui à toucher à vos postes de télé ?» Agence
Béjaïa, ville millénaire, ville célèbre pour son attrait touristique, a néanmoins besoin d'être rajeunie. Dans ce sens, le projet de construction d'une nouvelle ville à la périphérie nord de Béjaïa sera concrétisé "mais selon une nouvelle conception". Selon le directeur de l'urbanisme et de la construction (DUC), prévu au lieudit "Plateau de Sidi-Bouderhem", le projet va reposer sur une superficie de plus de 200 hectares, destinés à accueillir, une fois sa viabilisation effectuée, l'essentiel des programmes futurs d'habitat et d'équipements publics retenus pour le compte de la wilaya, a ajouté M. Aït Ali. Un budget "spécial dont le montant n'est pas précisé" est mobilisé à cet effet pour entamer les travaux préparatoires, notamment l'ouverture de pistes, l'élaboration de l'étude technique y afférente et la mise en place des premiers programmes. S'agissant des indus occupants ayant déjà construit sur des terrains relevant du domaine forestier, vu leur nombre ainsi que l'état d'avancement de leurs construction, M. Aït Ali a souligné qu'il sera procédé à leur régularisation conformément à la loi fixant les règles de mise en conformité des constructions et leur achèvement, publiée en 2008. Afin de permettre à la ville de prendre son essor entier, le Duc, intervenant à l'occasion du forum de Radio Soummam, n'a pas exclu la possibilité de reprendre une ancienne option, soulevée mais qui n'a pas connu de début d'application, consistant en la délocalisation de tout le tissu d'entreprises industrielles se trouvant intra-muros vers la zone industrielle de la ville voisine d'El Kseur.R.R.
La dimension prise par le développement local qui par le passé évoquait a priori la stagnation et la faiblesse des moyens d'intervention, se trouve durant ces dernières années être un approfondissement continu de la politique engagée dans un cadre marquant à partir de l'application des PC et des PSD, une réponse plus large et plus intégrée aux besoins essentiels du bien-être. Ces programmes élaborés comme outil de proximité indispensable de par leurs actions visant directement la fixation des populations, la réduction des inégalités territoriales locales, l'amélioration du cadre et des conditions de vie des citoyens, ont permis de faire face à des situations concrètes en matière de développement local et de répondre aux doléances et aux besoins urgents exprimés par les populations. L'Etat, totalement engagé dans cette politique de décentralisation et de renforcement de ses capacités sur l'ensemble des régions, préconise un développement local participatif qui comprend la participation des citoyens à la prise de décision au niveau local. Un volet crucial pour le développement des compétences de tous les acteurs locaux en vue de partager ensemble la " culture " et la pratique de l'économie sociale durable et pour qu'elle soit davantage connue et reconnue comme une approche crédible et pérenne de développement économique local. Les souplesses et l'efficacité offertes en matière de gestion de ces programmes ont permis d'instaurer de nouveaux rapports sociaux qui servent désormais de cadre global et de stimulant au développement économique et social sur l'ensemble du territoire national, et ce dans la perspective renouvelée d'édification d'une société plus orientée vers le progrès et la prospérité. L'objectif ultime de ce développement décentralisé dans la réalisation d'actions tendant à la levée des contraintes objectives économiques et sociales, rencontrées par les collectivités territoriales, dans la concrétisation et l'approfondissement de la politique sociale, va dans le cadre de l'exécution du second programme quinquennal 2010/14 qui porte principalement des intitulés de progrès économiques, créer d'autres conditions d'une dynamique plus " permise " en matière de développement local et une importance accrue donnée à la modification de l'ensemble des conditions sociales, d'une part par la mise en œuvre d'une politique plus rigoureuse d'aménagement du cadre de vie, l'élargissement du réseau des équipements collectifs et sociaux, l'élargissement de la politique du renouveau rural, doublée aussi d'une approche plus intégrée des impératifs d'amélioration du bien-être des populations, gage d'une réussite du développement pour tous et source de nouveaux progrès et revenus. Pendant ce temps, à la faveur de ce développement mobilisant d'immenses moyens financiers et matériels au niveau des collectivités territoriales, permettant une explosion telle que la dynamique, les missions à accomplir et à la pérennité des activités deviennent hypothétiques. Pour cause, entre autres, le manque de ressources humaines capables et disponibles pour animer, à hauteur des enjeux et des missions, le développement local en question. Le renforcement des capacités locales en la matière pour qu'elles soient à la hauteur des enjeux et des défis du développement économique, de la décentralisation et des rapports sociaux, est nécessaire jusqu'à la détermination des modalités et des procédures d'intervention, à la création de richesses et d'emplois, en passant par le rôle d'ajustement des inégalités dont sont tributaires les élus locaux, la société civile et les autres acteurs de mécanisme de transfert socioéconomique en direction des populations.B. Chellali
New York - La Bibliothèque du Congrès américaine, dépositaire de tous les titres de l'édition traditionnelle, a annoncé mercredi qu'elle accueillerait les milliards de messages postés sur le site de microblogs Twitter depuis son lancement en mars 2006
Tous les 'tweets' (ndlr: littéralement: pépiements, en l'occurence les messages de 140 mots maximum échangés sur le site) ayant jamais été postés publiquement sur Twitter depuis ses débuts en mars 2006, seront archivés électroniquement à la Bibliothèque du Congrès", a annoncé la vénérable institution washingtonienne sur son propre compte Twitter, ainsi que sur son blog officiel."Cela fait BEAUCOUP de tweets, d'ailleurs: Twitter gère plus de 50 millions de tweets par jour, avec un total représentant plusieurs milliards", a précisé Matt Raymond, un responsable de la bibliothèque, sur le blog.Parmi les messages ainsi sauvegardés pour la postérité figurent le premier jamais publié par Twitter, signé de l'un de ses co-fondateurs, Jack Dorsey, ou encore celui de Barack Obama annonçant son élection à la présidence des Etats-Unis en 2008.M. Raymond a précisé que la Bibliothèque du Congrès avait commencé en 2000 à archiver des données numériques, en commençant par garder la trace de sites de campagnes électorales. Aujourd'hui, elle revendique l'archivage de 167.000 gigaoctets de données numériques (ou 167 teraoctets).Cette annonce intervient à un moment où Twitter compte déjà plusieurs dizaines de millions de visiteurs uniques par mois (plus de 69 millions en février selon le cabinet ComScore).
L’Algérie et la Grande-Bretagne veulent renforcer leur coopération
L’Algérie ambitionne de renforcer sa coopération économique avec la Grande-Bretagne selon le ministre Hamid Temmar.vendredi 16 avril 2010. Les relations économiques et commerciales entre l’Algérie et la Grande Bretagne sont au beau fixe. La deuxième session du sous-comité algéro-britannique pour les questions économiques, commerciales et financières, qui s’est tenue au cours de cette semaine, a été sanctionnée par une série de décisions aptes à booster le partenariat entre les deux pays. Le message de Hamid Temmar, adressé aux investisseurs britanniques, était sans ambiguïté : « nous n’avons pas besoin de votre argent, mais de votre savoir-faire ». « Les investisseurs britanniques sont intéressés au développement de partenariats dans les services, les finances, l’électronique et tous ce qui est industries de l’intelligence (applications à l’informatique, etc...) », a précisé le ministre. Abordant les mesures phares prises à l’issue de cette deuxième session du sous-comité algéro-britannique, il a annoncé la mise en place d’un « bureau United Kingdom » au niveau de son département ministériel pour la réception des dossiers des investisseurs britanniques. Il a été également décidé la création par les organisations patronales des deux pays d’un conseil des affaires pour examiner les opportunités de partenariat. Le ministre a annoncé également que le gouvernement est prêt à consentir plus d’avantages au profit des investissements directs étrangers tout en soutenant que l’Algérie est un « pays ouvert aux IDE ». « Je ne comprendrais jamais qu’on dise que notre pays est fermé. Nous vivons de l’exportation du pétrole, nous importons 55 à 60% de notre consommation, notre système douanier est certainement un des plus rationnels au monde avec seulement 4 taux de tarifs douaniers qui fait que l’Algérie n’est pas particulièrement protégée (…) Par ailleurs, les entreprises algériennes sont en relations permanentes avec les entreprises étrangères », a affirmé le ministre. Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com D’après Le Financier
Date limite d'envoi des dossiers 3 Mai 2010à 23:59:59 (heure locale) Dates à noter : Vote en ligne pour désigner le gagnant du concours national : 1 - 7 Juin 2010 Vote en ligne pour désigner le gagnant du concours international : 21 - 28 Juin 2010 Annonce du doodle gagnant du concours international : 11 Juillet 2010
Google vient de lancer un concours international, baptisé « Doodle 4 Google - La passion du football » (www.google.fr/lovefootball) qui propose aux 4-17 ans de créer leur propre logo Google à partir du thème « J'aime le football ». Le dessin gagnant apparaîtra sur la page d'accueil internationale de Google le temps d'une journée, le 11 juillet 2010. C'est le premier concours que lance Google qui modifie régulièrement son logo au grè des commémorations. Les dessins sont à envoyer avant le 3 mai puis ils seront jugés sur leur valeur artistique, leur créativité. L'e vainqueur remportera un voyage en Afrique du Sud pour 4 personnes.
La voix eco De nouvelles lignes aériennes pour l'Algérie depuis Lille-Lesquin mercredi 14.04.2010, 10:31 Les compagnies Aigle Azur et Air Algérie renforcent cet été leurs dessertes vers l'Algérie avec l'ouverture de nouvelles lignes vers Oran et Tlemcen. La compagnie Air Algérie ouvre une nouvelle liaison Lille-Oran du 5 juin au 26 juin, chaque samedi. À partir du 28 juin, les vols auront lieu tous les vendredi. Ces vols complètent les vols proposés régulièrement vers Alger (www.airalgerie.dz ou 03 20 06 19 30). La compagnie Aigle Azur ouvre, quant à elle, une nouvelle liaison Lille-Tlemcen à compter du 14 juin. Les vols auront lieu chaque lundi jusqu'au 7 septembre. A partir du 22 juin, chaque mardi jusqu'au 7 septembre, Aigle Azur proposera également des vols directs vers Oran. Ces vols complètent les vols proposés régulièrement vers Alger (www.aigle-azur.fr ou 03 20 49 67 27). OAS_AD('Position1'); La Voix du Nord
J-1 avant l'ouverture de l'évènement économique et énergétique de l'année. La 16e Conférence internationale du gaz naturel liquéfié (GNL 16) s'ouvre demain dans le tout nouveau Centre des conventions d'Oran. L'évènement sera pour cette 2e édition algérienne -Alger ayant déjà reçu la conférence en 1974- sera triple. Le sommet GNL 16 s'accompagnera d'une exposition qui se tiendra au CCO d'Oran du 18 au 21 avril en cours et de la réunion du Forum des pays exportateurs de gaz lundi. Pour en revenir à l'évènement principal, les travaux de la conférence seront ouverts par le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil. Plus de 4 000 participants de 62 pays d'Asie, d'Amérique, d'Europe, d'Australie et d'Afrique prendront part à cette rencontre mondiale. Parmi ces pays figurent notamment les Etats-Unis, l'Espagne, l'Italie, la France, le Japon, l'Allemagne, la Grande-Bretagne, la Norvège, l'Australie, la Chine, la Russie, la Malaisie, la Thaïlande, la Corée du Sud, le Qatar, les Emirats arabes unis, l'Egypte, Oman et l'Angola. Cette conférence va constituer un forum mondial regroupant les différents intervenants, experts et chercheurs nationaux et internationaux dans l'industrie du gaz pour échanger les expériences et les nouvelles données technologiques que connaît cette industrie. Durant les 4 jours de cette rencontre, les participants algériens et étrangers auront à débattre, en plénière et en ateliers, des thèmes relatifs notamment à l'évolution du marché GNL dans le contexte de crise économique, les développements technologiques et les ressources non conventionnelles, les projets de GNL, les développements commerciaux et techniques, l'évolution des coûts d'investissements dans les projets de GNL ainsi que les questions liées à la sécurité et l'environnement. Les participants aborderont aussi les tendances en matière d'innovations techniques et commerciales, l'orientation du marché mondial du GNL, les tendances et les défis en matière d'économie d'échelle ainsi que les questions de sécurité, de gestion des actifs et de fiabilité associés aux installations vieillissantes. Plusieurs dirigeants de l'industrie mondiale GNL devraient intervenir pour débattre des thèmes et sujets prévus dans le programme de la conférence. Il s'agit, notamment, du ministre nigérian des Ressources pétrolières, Rilwanu Lukman, du vice-président du comité de gestion du groupe gazier russe, Alexander Medvedev, et du P-DG de la compagnie gazière qatarie RasGas Company Limited, M. Hamad Rashid Al Mohannadi. D'autres responsables devraient également s'exprimer au cours de ce forum, dont des représentants d'institutions régionales et internationales ainsi que des managers de groupes gaziers internationaux. Dans un message adressé aux participants, le P-DG par intérim de Sonatrach, Abdelhafid Feghouli, a souligné que cette manifestation permettra à l'Algérie de partager avec la communauté mondiale son expérience en matière de l'industrie gazière et ses expertises multiples dans le renforcement continu des capacités de liquéfaction du gaz naturel, la maîtrise des technologies et des opérations et les innovations générées dans la formation permanente pour l'acquisition des nouveaux savoirs et savoir-faire.L'exposition prévue en parallèle à la conférence ouvrira, quant à elle, ses portes aux visiteurs pour découvrir les progrès réalisés par l'industrie gazière en Algérie, à travers le groupe Sonatrach et ses différentes filiales, et dans le monde. Une superficie de 20.000 m² a été consacrée à cette exposition qui verra la participation de 900 exposants dont une grande partie est composée de groupes gaziers internationaux, représentant 189 compagnies dont 25 algériennes. Les exposants représentent différentes nationalités, dont les Français (290), suivis par les Britanniques (257), les Japonais (246), les Américains (161), les Espagnols (120), les Italiens (114) et les Sud-Coréens (103). Le Qatar participe avec 80 exposants, la Hollande avec 79, l'Allemagne avec 74, l'Australie avec 52, les Emirats arabes unis avec 47, l'Angola avec 40 exposants, la Norvège avec 37 exposants, la Chine et la Russie avec 35 exposants chacun. Parmi ces sociétés exposantes figurent notamment Exxon Mobil, Chevron, Bechtel, Conocophilips (Etats-Unis), Gazprom (Russie), BP, BG Group (GB), BASF, Eon Rhurgas (Allemagne), GapEnergia (Portugal), ENI (Italie), EDF, Total (France), Chiyoda (Japon), Atlantic LNG (Tobago-Trinidad) Brunei LNG, Petrobras (Brazil) et Rasgas (Qatar) ainsi que Sonatrach, Sonelgaz, Naftal, Naftogaz et Hyproc (Algérie). Cette exposition vise à promouvoir et faire connaître les nouveaux produits et équipements liés à l'industrie de gaz de chaque société. Au plan médiatique, près de 300 journalistes dont une centaine de la presse étrangère tels que les agences Bloomerg, Dow Jones, Reuters, AFP, EFE, AP, RIA news, Chine nouvelle, Mena et les publications le Monde, Oil et gaz Journal, The Petroleum Economist, PGA et Energy Intelligence Center vont assurer la couverture médiatique de cet événement accueilli par l'Algérie pour la deuxième fois depuis 1974. En plus de la conférence et l'exposition, les invités de la ville d'Oran auront, grâce au programme élaboré par les organisateurs, l'occasion d'effectuer des visites techniques à des installations industrielles gazières (GL4Z Camel, GLIZ…) et à des sites touristiques de la ville tels que Santa cruiz, le Mausolée de Sidi El Houari et le Musée Ahmed Zabana. D'autres activités culturelles seront également organisées en collaboration avec le ministère de la Culture. Il s'agit des expositions sur le Sahara et sur l'Artisanat d'art à l'ancien Palais des expositions et une exposition des plus grands artistes algériens au musée d'Oran.Le GNL, le marché spot et les prix du gazL'évènement se présente déjà grandiose mais les enjeux de cette rencontre le sont autant. La conjoncture du marché gazier aujourd'hui y est pour beaucoup. Le développement du marché spot qui induit une réduction des prix du gaz lesquels ont été divisés par 4, ce qui a un impact négatif sur les pays exportateurs. C'est justement sur ce point que s'articulera la réunion du Forum des pays exportateurs de gaz lundi. L' Algérie entend, au cours de cette rencontre, présenter une étude importante sur l'évolution des marchés gaziers avec la nouvelle donne que représentent les gaz de schiste américains, elle entend même proposer une réduction de l'offre de gaz sur le marché afin de permettre aux prix de se redresser. Les principales conclusions de l'étude présentée par l'Algérie seront débattues par les ministres en charge de l'Energie des Etats membres du FPEG en vue d'établir un plan d'action visant à élaborer une stratégie pour développer une véritable coordination entre les pays membres, et ce, afin d'anticiper les réactions des marchés gaziers. Le ministre de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil, également président en exercice du Fpeg depuis le 1er janvier 2010, a affirmé, dans ce contexte, que l'Algérie présentera des propositions "très importantes" lors de cette réunion, dans le cadre de l'étude qu'elle a réalisée à la demande des pays membres du Forum. Il sera présenté, a-t-il indiqué, une stratégie basée sur la révision du volume de production et de l'offre, dans le but d'assurer un équilibre entre les prix sur le marché libre (4 dollars actuellement) et les prix adoptés pour les contrats de vente à long terme (entre 7 et 8 dollars). Aujourd'hui, les contrats d'exportation de gaz naturel à long terme des pays producteurs sont confrontés à "une réelle menace" car les consommateurs ne veulent pas s'engager dans des contrats à long terme sous prétexte qu'ils déterminent des prix et des niveaux d'exportation fixes alors que le marché Spot leur offre un plus large choix à des prix inférieurs à ceux stipulés dans les contrats à long terme. Les contrats gaziers à long terme stipulent des niveaux minimum et maximum du volume d'exportation du producteur vers le consommateur, rappelle-t-on. Le marché Spot de GNL enregistre depuis 2009 une baisse importante des prix en raison de la hausse inattendue de la production gazière aux Etats-Unis, grand consommateur de cette énergie, favorisée par de nouvelles techniques d'extraction. Vers une réduction de l'offre de gazLe ministre a rappelé que ce forum, dont les pays membres assurent quelque 42% de la production totale mondiale du gaz et disposent de 73% des réserves mondiales de cette énergie, sera également une occasion pour dégager des recommandations "utiles" pour le marché international du gaz, notamment en ce qui concerne l'échange d'informations, de points de vue et d'expériences relatifs à tous les aspects de l'industrie gazière. La 10e session du FPEG abordera, en outre, la possibilité de coopération avec les différents forums internationaux de l'énergie en vue de promouvoir l'industrie gazière et de renforcer son marché international, a-t-il indiqué. M. Khelil a assuré, à ce titre, que la coopération avec des organismes comme l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et l'Agence internationale de l'énergie sera "fructueuse" pour le Forum et lui permettra d'atteindre ses nombreux objectifs. Néanmoins, pour ce qui est de la réduction de l'offre de gaz, M. Francis Perrin directeur de la rédaction de la revue PGA, a affiché certains doutes quant à la possibilité pour les pays membres du FPEG d'arriver à un consensus sur une question aussi délicate que la réduction de l'offre gazière, dans un entretien qu'il a accordé à l'agence APS, M. Perrin a déclaré que le FPEG ne peut devenir avant longtemps une OPEP du gaz car il y a des différences importantes entre pétrole et le gaz naturel et entre la commercialisation du pétrole et celle du gaz, qui reste largement régie par des contrats de long terme. Francis Perrin a également abordé la question relative au développement des gaz non conventionnels aux Etats-Unis estimant que la hausse de la production gazière des Etats-Unis a fortement réduit les besoins d'importation de ce pays et a contribué à la création de surcapacités de production de gaz qui pèsent sur les prix. "De plus, nous n'en sommes qu'au début de l'exploitation de ces gaz non conventionnels (gaz provenant de formations très compactes, gaz de schiste et gaz récupéré dans des couches de charbon), et nous ne pouvons pas encore prendre toute la mesure de l'impact de ces avancées technologiques", a-t-il indiqué avant d'ajouter que le marché américain, que beaucoup voyaient comme un débouché très important pour les exportations de gaz, ne tiendra donc pas ses promesses. Dernier point, les Etats-Unis ne sont pas les seuls à avoir des ressources de gaz non conventionnel. La Chine et l'Europe en ont aussi. Il est donc très probable que d'autres pays consommateurs que les Etats-Unis tenteront, à la lumière de l'expérience américaine, de valoriser leurs ressources nationales même si cette expérience n'est pas complètement reproductible ailleurs. Il est clair que les acheteurs de gaz ne sont pas très contents quand ils voient l'écart entre les prix sur les marchés américain ou britannique, qui sont actuellement fort bas, et les prix prévus par les contrats à long terme dans lesquels il y a des mécanismes d'indexation sur les prix du pétrole ou des produits pétroliers. Un point de vue partagé par le professeur Chems Eddine Chitour qui considère que l'utilisation des nouvelles techniques d'extraction de gaz non conventionnels aux Etats-Unis, à l'origine de la hausse de la production américaine, pourrait avoir un "effet boule de neige" et s'étendre à d'autres régions du monde. "La nouvelle donne américaine a chamboulé toutes les cartes des pays exportateurs de gaz. Tout porte à croire que la nouvelle technique utilisée par les Etats-Unis va avoir un effet boule de neige" et s'étendre à d'autres régions du monde, a-t-il indiqué à l'APS. En Europe par exemple, la question du gaz non conventionnel a été abordée pour la première fois en automne 2008 dans le cadre d'une conférence tenue à Berlin. Cette conférence a donné naissance au programme européen GASH (Gas Shales in Europa), augurant des possibilités de changement de politique gazière si l'Europe découvre des réserves de gaz non conventionnel, souligne-t-il. Selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE), la Chine et l'Inde pourraient aussi receler d'immenses réserves de gaz non conventionnels. Avec toutes ces données, "il paraît difficile de faire des pronostics sur l'avenir du marché mondial du gaz", a-t-il souligné. S'appuyant sur les chiffres de cette agence, M. Chitour indique qu'en 2009, les gaz non conventionnels ont représenté 12 % des volumes produits dans le monde, alors qu'en 2030, cette énergie devrait représenter près de 60% de la production américaine. Interrogé sur les répercussions de la hausse de la production gazière aux Etats-Unis sur le marché international du GNL et sur les investissements gaziers dans le monde, cet analyste fait remarquer que cette surproduction a été la cause d'une forte baisse du prix du gaz dans le pays, affectant même la rentabilité des méga-projets du golfe Persique et de leurs usines de liquéfaction très coûteuses. Il est attendu une généralisation des nouvelles technologies pour l'extraction du gaz non conventionnel, et la forte offre pourrait affaiblir la position des pays exportateurs qui, même en baissant leur production, risquent de n'avoir aucun impact, juge-t-il. "Il est sûr que le développement brutal, aux Etats-Unis, des gaz non conventionnels pourrait remettre en question ces lourds investissements. Les gaz non conventionnels pourraient en effet permettre aux Etats-Unis de se défaire des importations de gaz et même, selon certains, de devenir exportateurs de gaz", prédit-il. "Il me parait problématique de continuer à investir dans la chaîne du GNL qui sera soumise à un marché spot et dont on ne peut pas assurer un débouché maintenant que les Américains n'importent plus de gaz", note cet analyste. Côté prix, "un million BTU de gaz, s'échange actuellement entre 4 et 5 dollars alors qu'il devrait être à 12 dollars, et nous sortons à peine de l'hiver ! Qu'en sera-t-il en été?", s'interroge-t-il. ''Cela est important pour l'Algérie puisque le gaz brut (GN et GNL) représente environ un tiers (1/3) de la valeur en devises de ses exportations et représentera beaucoup plus à l'avenir'', selon lui. Samira G.
L'EDITION EN PDF EDITO Rehausser l’importance du gaz Le gaz comme substitution du pétrole en raison de son abondance ? Certainement que cela est plus qu’une aspiration car elle est réelle, car le gaz se transporte plus facilement et à moindre coût, car encore il s’agit d’une énergie propre dans ce contexte international porté sur la préservation de l‘environnement. L’importance du gaz n’est pas assez ignorée depuis que la politique s’en est mêlée entre l’’Ukraine et la Russie, sous l’alibi du prix fixé. Or l’Europe reçoit le gaz Russe par le pipe line transitant par l’Ukraine. L’Europe a assez mesuré le risque de l’interruption des approvisionnements en gaz et s’est rendue compte de l’importance de la diversification de ses fournisseurs. Il était question que la Russie et l’Algérie s’associent Pour créer une OPEP du gaz compte tenu que cette énergie à terme pourra compenser l’épuisement annoncé pour 2030 des gisements de pétrole. La conférence internationale du gaz qui va se tenir en Algérie revêtira une importance certaine du fait que le monde a pris conscience de la place du gaz dans l’avenir et de l’irréversibilité de sa substitution à d’autres formes d’énergie. Les experts estiment que l’on va aller vers un « tout gazier » qui donnera moins d’importance à l’énergie nucléaire qui continuera à être critiquée pour le danger qu’elle charrie, les conséquences de l’explosion des réacteurs de la centrale nucléaire de Tchernobile étant encore en mémoire.. Les pays consommateurs de gaz devaient comprendre la nécessité d’une réévaluation du prix du mètre cube de gaz . Tant que le prix du baril de pétrole était poussé vers le bas, celui du mère cube de gaz indexé sur le prix du baril de pétrole était encore trop bas et ne justifiait pas des investissements couteux. Aujourd’hui, nous sommes dans la phase inverse avec un prix du pétrole qui connait l’ascension entrainant celui du gaz. N.B.
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