阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, November 04, 2009

Réchauffement climatique



Réchauffement climatique : l’Afrique met les pays riches sous pression
Les pays industrialisés doivent consentir à réduire davantage leurs émissions de gaz à effet de serre selon le continent
Les délégués africains ont décidé mardi soir de reprendre part aux négociations de Barcelone sur le climat, après avoir boycotté les débats lundi pour obliger les pays riches à préciser leurs engagements dans la lutte contre le réchauffement climatique. L’Afrique souhaite que les pays développés proposent des objectifs plus ambitieux, en ce qui concerne la réduction de leur émission de gaz à effet de serre. Les discussions de Barcelone qui se termineront vendredi préparent le sommet mondial sur le climat, prévu en décembre à Copenhague la capitale danoise

Mercredi 4 novembre 2009, par René Dassié
A Barcelone, où se tient depuis lundi le dernier round des négociations préparatoires au sommet de Copenhague sur le climat, l’Afrique multiplie les pressions en vue d’obtenir des pays riches, qu’ils s’engagent à combattre plus efficacement le réchauffement climatique. Les délégués africains ont ainsi suspendu lundi soir leur participation aux discussions, accusant ceux des pays industrialisés de ne pas prendre les débats avec tout le sérieux qu’imposent la gravité et l’urgence du sujet.
C’est le niveau de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) auquel les pays riches s’engageront, qui ne satisfait pas les pays africains. Ceux-ci exigent en effet que les pays développés acceptent de réduire de 40% leur émission de GES par rapport à 1990, d’ici 2020. A l’opposé, les pays riches n’ont jusqu’ici proposé qu’un taux compris entre 11 et 15%.
L’Afrique principale victime du réchauffement climatique
Pour appuyer leurs exigences, les Etats africains, auxquels se sont joints d’autres pays en développement à l’instar de la Bolivie et du Venezuela, mettent en avant l’ampleur des dégâts causés sur le continent par le réchauffement climatique. Des dégâts dont la responsabilité incombe principalement aux pays du Nord. Alors que le continent produit à peine 4% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, il est l’une des régions du monde les plus exposées aux effets néfastes du réchauffement climatique. Les dérèglements climatiques causeront d’importantes pénuries d’eau et affectera les récoltes. Ils provoqueront l’extension de la désertification. « En Afrique, des gens meurent maintenant », déplorait mardi Kemal Djemouai, président du groupe africain.
Mardi soir, les délégués africains ont repris part aux discussions, après avoir obtenu qu’au moins 60% du temps restant soit consacré aux discussions sur les chiffres. La conférence de Copenhague se tiendra du 7 au 18 décembre prochain. Elle devrait déboucher sur la conclusion d’un nouvel accord climatique.
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Une femme présidente du conseil européen


Rue sésame - 40e anniversaire Google



1 rue Sésame (ou Bonjour Sésame, ou la Rue Sésame, en anglais Sesame Street) est une émission de télévision éducative pour les jeunes enfants, créée le 4 novembre 1969, qui a été conçue aux Etats-Unis par Jim Henson et dont la musique est de Joseph Raposo

http://www.youtube.com/watch?v=WUb6YZctOqQ&feature=related

DESERTEC projet société DII

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Une initiative industrielle unique destinée à développer, à partir des déserts du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord (MENA), un approvisionnement en énergie solaire est en train de prendre forme.
Les statuts de la société DII GmbH ont été signés vendredi dernier à Munich par le groupe des membres fondateurs composé de douze sociétés et de la Fondation DESERTEC.
Le travail de DII consistera à réaliser une analyse approfondie et à mettre en place une structure pour les investissements destinés à l’approvisionnement de la région MENA et de l'Europe en électricité produite à partir des sources d’énergie solaire et éolienne. L’objectif à long terme est de satisfaire une part substantielle des besoins en électricité des pays de la zone MENA et de répondre à hauteur de 15 % à la demande d'électricité de l'Europe d'ici à 2050.
Ce projet pharaonique recquiert toutefois un financement à la hauteur de ses ambitions avec un coût estimé à 400 milliards d'euros, dont 50 employés à la mise en oeuvre d'un réseau électrique jusqu'en Europe.
Les déserts de notre planète reçoivent en 6 heures plus d'énergie solaire que n'en consomme l'humanité en toute une année. C'est pourquoi, la raison d'être du projet Desertec reviendrait à savoir "comment transformer économiquement cette énergie rayonnante en énergie utilisable et transportable jusqu'aux consommateurs."Des études effectuées par le Centre Aérospatial Allemand (DLR) montrent que les centrales thermiques solaires pourront, surtout dans les régions désertiques, couvrir dans les 40 ans à venir plus de la moitié des besoins énergétiques nécessaires sous forme d’électricité de la région EUMENA (Europe, Moyen Orient, Afrique du Nord) d’une manière économique.Il suffirait, pour couvrir les besoins mondiaux actuels en électricité de 18 000 TWh / an, d’équiper trois millièmes seulement des 40 millions de km2 des surfaces désertiques de notre planète en centrales thermiques solaires dotées de champs de capteurs paraboliques ou de collecteurs. Il suffirait de 20 m2 de désert par personne pour couvrir jour et nuit, sans émissions de CO2, les besoins en électricité d’une personne. Si les pouvoirs publics étaient prêts à créer les conditions d’encadrement nécessaires à un tel projet, il serait possible dans un délai de moins de 30 ans de concrétiser à l’échelle mondiale le concept DESERTEC.Selon DESERTEC, comme les lignes de transmission modernes en Courant Continu Haute Tension (CCHT) permettent de transporter le courant avec des pertes inférieures à 3% par 1.000 km de distance, plus de 90 % de l'humanité dans des rayons jusqu'à 3 000 km pourraient en profiter. Toujours selon les calculs du DLR, les coûts estimés pour la construction de 20 lignes de 5 GW chacune s’élèverait au total à environ 45 milliards d’euros.



Les pays qui disposent aujourd'hui encore de pétrole et de gaz naturel se doteraient ainsi d'une ressource supplémentaire qui les rendrait indépendants des périodes de crises. Le concept DESERTEC proposerait aux pays européens, une option supplémentaire face aux ressources énergétiques fossiles, tels que le gaz naturel et le charbon, et permettrait de réduire la dépendance de ces derniers."Nous pensons et sommes même fortement persuadés que la vision du concept DESERTEC constitue le pivot de la transition vers un approvisionnement durable en énergie dans les pays de la région MENA et en Europe. L’heure est maintenant venue de faire de cette vision une réalité. Pour y parvenir, une coopération intensive entre les différentes parties et cultures impliquées est nécessaire afin de pouvoir créer une base solide pour la réalisation d’investissements dans les technologies touchant aux énergies renouvelables et aux réseaux électriques interconnectés. DII se concentrera principalement sur les conditions économiques, techniques et réglementaires qui doivent être remplies pour que la mise en oeuvre du projet soit une réussite. Les premiers projets de référence nous permettront de tirer des enseignements qui nous serviront pour les plans qui seront lancés par la suite par DII et les autres parties impliquées. », a déclaré le directeur fraîchement promu, Paul van Son.Depuis l’annonce de sa création en juillet, DII a reçu le soutien d’un très grand nombre d’institutions politiques et gouvernementales dans la région MENA et en Europe. Il est ainsi prévu par exemple que DII collabore étroitement avec le Plan Solaire Méditerranéen (PSM), une initiative lancée en 2008 par la présidence française du Conseil de l’Union européenne dans le cadre de l’« Union pour la Méditerranée ». Le Plan Solaire Méditerranéen vise à la création d’un nouvel équilibre dans les relations nord-sud basé sur le développement de projets énergétiques durables. Les deux initiatives – initiative politique pour le PSM et initiative privée pour DII – partagent des objectifs similaires et peuvent donc s’apporter un soutien mutuel.Plusieurs entreprises se sont associées pour créer DII : ABB, ABENGOA Solar, Cevital, la Fondation DESERTEC, Deutsche Bank, E.ON, HSH Nordbank, MAN Solar Millenium, Munich Re, M+W Zander, RWE, SCHOTT Solar et Siemens. Dans un avenir proche, d’autres sociétés de différents pays rejoindront DII en tant qu’associées ou partenaires, afin d’élargir la base du soutien apporté par les pays de la zone EUMENA. Les bureaux de DII seront situés à Munich.Tous les signataires de DII reconnaissent la nécessité d'introduire des mesures efficaces de protection du climat. Torsten Jeworrek, membre du Directoire de Munich Re, s'exprimant au nom des membres fondateurs de DII, a ainsi déclaré : "La question n’est pas de savoir si l’on devrait faire quelque chose, mais comment on peut réduire les émissions de gaz à effet de serre dans l’atmosphère et comment parvenir à ce but de façon intelligente, de sorte qu’il en résulte une situation gagnante à la fois pour l’environnement et pour l’économie. Dans la perspective de l’important Sommet de l’ONU sur le climat qui se tiendra à Copenhague, cette initiative du secteur privé démontre que l’exploitation des potentiels d’affaires est conciliable avec des objectifs de développement durable."

Turquie_news


Hommage à Claude Lévi-Strauss



Culture : Hommage à Claude Lévi-Strauss
[Fenêtre sur l'Europe]
L'ethnologue et anthropologue français, s'est éteint ce week-end, à l'âge de 100 ans.
Le hommages se multiplient autour de celui que fut Claude Lévi-Strauss : le maître de l'anthropologie.L'ancien président Jacques Chirac : "C'est la France, c'est le monde qui perd aujourd'hui un anthropologue d'exception, un intellectuel qui aura consacré sa vie à comprendre et à expliquer les cultures, leurs richesses, leur diversité, leurs grandeurs et leurs fragilités". Jacques Chirac salue "un homme qui se sera mis au service de la dignité humaine et de la défense des libertés, et dont l'oeuvre a fait avancer la connaissance de notre monde".Nicolas Sarkozy : Le chef de l'Etat "rend hommage à l'humaniste infatigable, à l'universitaire curieux, toujours en quête de nouveaux savoirs, à l'homme libre de tout sectarisme et de tout endoctrinement qu'incarnait M. Claude Lévi-Strauss". Il salue "la mémoire d'un très grand savant, toujours ouvert au monde, qui a créé l'anthropologie moderne et a porté au plus haut la réputation des sciences humaines et sociales françaises".Valérie Pécresse : La ministre de la Recherche "tient à saluer la mémoire d'une des plus grandes figures intellectuelles de notre temps, dont les travaux ont profondément renouvelé notre vision de l'homme. C'est en effet en accordant enfin à nos différences l'attention qu'elle méritait et en leur donnant sens que Claude Lévi-Strauss est parvenu à saisir l'unité profonde de l'humanité".Le ministre de la Culture et de la communication, Frédéric Mitterrand : "Claude Lévi-Strauss a fait mieux encore que nous léguer les trésors de son érudition, il nous a enseigné une nouvelle grammaire du regard et nous a appris à "regarder, écouter, voir". Ce sage plus que centenaire restera une référence et un modèle pour chacun d'entre nous", conclut-il, paraphrasant le titre d'un ouvrage de Lévi-Strauss, "Regarder, écouter, lire".Le Pr Philippe Descola, successeur de Claude Lévi-Strauss au laboratoire d'anthropologie sociale au Collège de France, au New-York TImes : "Il était un des plus grands intellectuels du XXe siècle. Il a définit ce qu'est l'anthropologie. Il a crée. Ce n'est pas seulement une sciences humaine, mais une science d'étude systématique de la nature humaine avec toute la place faite au culturel. Claude Lévi-Strauss mettait l'accent sur le fait qu'il ne fallait pas chercher des ressemblances entre des sociétés, mais comprendre en quoi les sociétés sont différentes des unes des autres. C'est toujours très nouveau. Ca va à l'encontre des habitudes de pensée".Karim Mouttalib, directeur général du musée du Quai Branly, à l'AFP : "Pour nous, c'est vraiment une figure tutélaire qui disparaît. De nombreux détracteurs parmi les anthropologues et les ethnologues s'étaient fait jour lors de la création du musée et Claude Lévi-Strauss, lui, n'a jamais douté de la pertinence du projet scientifique et artistique du musée".Dinah Ribard, maître de conférences à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS) (sur France Culture): "Etant donné la longueur de sa carrière et son influence, on peut dire que tous les anthropologues français et un bon nombre d'étrangers sont les enfants et les fils spirituels de Claude Lévi-Strauss. C'était à la fois une figure de référence et c'était déjà une oeuvre".L'écrivain Bernard Pivot, sur RTL : "Claude Lévi-Strauss, pour moi, c'est l'humanisme. C'est un homme qui a fait des études formidables et qui tout d'un coup décide d'aller à la rencontre de primitifs: les Indiens du Brésil, s'intégrer à eux, les étudier de près. (...) On voit très bien qu'avec une sorte d'humanité, de bienveillance, et surtout une grande intelligence, il perce les secrets de leur mode de vie, de leur comportement". S.M.

Mur de Berlin Maison de l'Europe de Paris



Mercredi 04 Novembre 2009
Mur de Berlin : "Mon mur à moi" à la Maison de l'Europe de Paris
[Fenêtre sur l'Europe]
La Maison de l'Europe de Paris et le P'tit européen présentent "Mon Mur à moi/Die Mauer und ich" , Musiktheater avec Marén Berg le lundi 9 novembre 2009 à 20h30 à la Maison de l'Europe de Paris.
Une fresque théâtrale et musicale inédite, créée pour le 20ème anniversaire de la Chute du Mur de Berlin en formule "Spectacle+Dîner" (forfait 28 € - 25€ pour les adhérents de la Maison de l'Europe de Paris).