阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Monday, June 21, 2010

Algerie le P-DG de Sonelgaz à la Radio nationale : «L’Algérie veut créer une industrie du solaire»



A propos du projet Desertec, le président-directeur général de Sonelgaz, Nouredine Bouterfa, s’est fait l’écho du point de vue de l’Algérie en déclarant qu’il ne s’agit pas pour notre pays d’offrir le territoire pour la production d’électricité solaire qui serait acheminée vers l’Europe mais de mettre en œuvre le savoir-faire, la technologie et les équipements algériens.L’Algérie veut une industrialisation solaire, a-t-il insisté dans un entretien accordé à la Chaîne III de la Radio nationale dont il était l’invité de la rédaction. Les promoteurs du projet Desertec devront donc revoir leur copie s’ils tiennent à ce que l’Algérie s’y engage.M. Bouterfa a évoqué le plan d’urgence, décidé en 2006 et appliqué en 2009 qui a permis, pour un investissement de 2 milliards de dollars, de stabiliser le système et d’équilibrer l’offre et la demande grâce à la production de 2 000 mégawatts (MW). En matière de production de l’électricité, précise-t-il, le système est stabilisé jusqu’à 2012. Notre objectif n’est pas d’exporter, fait remarquer le P-DG de Sonelgaz, l’investissement est d’abord destiné à la demande nationale, mais, ajoute-t-il, pendant les heures de la journée où la demande interne est faible, il y a des opportunités d’exporter sans que cela porte préjudice à la satisfaction de la demande nationale. M. Bouterfa a également parlé des mesures d’assainissement décidées par le gouvernement qui ont consisté dans le rachat du découvert bancaire de 200 milliards DA ainsi que dans les facilités de financement. Mais, il estime que, fatalement, un jour, il faudra aller vers l’augmentation des tarifs. Dans trois ou quatre ans, un nouveau plan d’assainissement sera nécessaire. A ce moment-là, pense-t-il, les conditions seront peut-être réunies pour une augmentation des tarifs. Dans tous les cas, la différence doit être comblée, par l’Etat ou par le citoyen, ajoute-t-il. Il serait intéressant, dit-il, de cibler les catégories qui peuvent payer. Le P-DG de Sonelgaz qualifie l’année 2010 de calme en matière de production et de transport d’électricité, il faut améliorer la distribution, souligne-t-il. Il constate qu’il y a toujours les mêmes problèmes d’accès au foncier et de pénétration dans les périmètres privés. A propos de délestage, «nul ne peut garantir ce qui peut arriver», dit-il, en rappelant ce qui s’est passé à Biskra et El Oued. Il rend hommage aux travailleurs des sociétés de distribution qui ont rétabli l’électricité dans ces deux wilayas. M. Bouterfa a rappelé que Sonelgaz est un groupe industriel qui développe une stratégie d’intégration pour aller vers des capacités de réalisation en prenant certaines entreprises comme Anelec et Armel, pour récupérer une partie de la valeur ajoutée qui est aujourd’hui transférée vers l’étranger. Il fait observer qu’en 2010-2020, Sonelgaz devra réaliser l’équivalent de l’existant.Sonelgaz a également un plan d’industrialisation du solaire dont le pivot sera Rouiba Eclairage, a fait savoir son P-DG. Le programme de Sonelgaz prévoit 50 MW par an en énergies renouvelables, c’est-à-dire 500 MW sur 10 ans. Il fait savoir que pour 1 MW solaire, il faut 3 hectares de terrain. Le chiffre d’affaires pour 2009 a été de 254 milliards de dinars dont 136 milliards pour le gaz et l’électricité, a annoncé M. Bouterfa.Lakhdar A.
22-06-2010

Développement de l'aquaculture l'Algérie mise sur le partenariat



le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, Abdallah Khanafou, a estimé dimanche, au cours d'une visite dans la wilaya de Boumerdès, que l'"aquaculture est l'unique substitut". Elle que le "seul moyen" susceptible de contribuer à développer la production halieutique en vue de garantir une couverture des besoins nationaux en la matière à court et long termes, sachant que l'Algérie produit une moyenne de pas plus de 220.000 tonnes de poisson/an. La stratégie nationale fixée pour l'aquaculture repose essentiellement, a ajouté le ministre, sur l' "extension et l'encouragement des opportunités d'investissements au niveau de trois régions du pays (à l'Est, l'Ouest et le Centre) destinées spécialement pour cet objectif”. "Le partenariat étranger est la piste choisie pour la concrétisation de cet objectif", a indiqué le ministre qui a fait part de la "réalisation actuellement de fermes aquacoles par la Corée de Sud, au niveau des wilayas de Skikda et Ouargla". Cette visite du ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques s'inscrit dans le cadre des actions de rapprochement et des échanges avec les professionnels du secteur en vue de s'informer de leurs préoccupations, en prélude aux secondes assises nationales du secteur prévues pour octobre prochain, est-il signalé. "Ces assises constitueront une véritable opportunité pour le redressement de la démarche adoptée, à ce jour, au titre de la stratégie du secteur, si des insuffisances sont relevées lors des débats et actions d'évaluation qui auront lieu au titre des ateliers qui seront installés à cette fin", a-t-il encore ajouté. Notons que selon le rapport Cyclope, l'aquaculture a dépassé la pêche sauvage comme ressource alimentaire pour l'homme. Selon le même rapport, le commerce des produits de la mer a dépassé les 100 milliards de dollars l'an dernier. Depuis vingt ans, les captures de poissons et crustacés restent stables, entre 85 et 90 millions de tonnes par an. 30% des prises étant destinées aux minoteries pour l'alimentation animale, il reste quelque 60 millions de tonnes de produits de la pêche pour l'alimentation humaine. Dans le même temps, l'aquaculture s'est à ce point développée qu'elle vient de dépasser les 65 millions de tonnes, d'après la FAO : désormais l'élevage des poissons, des crustacés et des mollusques nourrit davantage son homme que la pêche sauvage. En visitant la ferme pilote de Hassi-Lefhal, en marge des assises régionales du secteur de la pêche et des ressources halieutiques, M. Mimoune n'a pas caché "l'intérêt particulier" qu'il attache à ce type de projets dans la wilaya de Ghardaïa. Un type de projet qui, a-t-il estimé, "servira de modèle expérimental dans le domaine de l'aquaculture pour d'autres jeunes entrepreneurs des wilayas du sud du pays". Ce projet de pisciculture, première initiative dans la région de Ghardaïa, est déterminant dans le développement rural, a déclaré le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, car il peut fournir un revenu complémentaire aux agriculteurs. ''Raison pour laquelle l'Etat encourage cette forme d'activité dans les régions déshéritées", a-t-il ajouté. Lancée en 2009, cette ferme compte commercialiser ses produits en septembre, a-t-on indiqué. Le ministre a également indiqué que des efforts sont consentis en vue du développement du secteur aquacole à Boumerdès, de manière à la promouvoir au rang de "wilaya pilote en la matière" a annoncé,. "Nous avons procédé à la sélection de 26 sites à travers le territoire de la wilaya pour les mettre à la disposition d'investisseurs nationaux et étrangers dans un cadre partenarial, en vue de l'implantation de projets en mer ou dans des barrages", a précisé le ministre. Cette visite de M.Khanafou à Boumerdès a constitué une opportunité pour les responsables du secteur pour faire un état des lieux, notamment une évaluation de l'état d'avancement des travaux de protection du port de pêche et de plaisance de Cap Djinet. Le ministre s'est, par ailleurs, rendu sur le chantier de réalisation, au niveau de la même plage de Cap Djinet, d'une ferme aquacole relevant d'un particulier avec un partenaire étranger, d'une capacité de production annuelle de 1600 tonnes de poisson. Au port de Zemmouri El Bahri, il a inspecté les travaux de réalisation d'une poissonnerie, parallèlement à d'autres projets sur le même site, dont un atelier de construction et de réparation navale, ainsi qu'une conserverie de poissons congelés.Dalila T.

M. Gerard J. van Epen, ambassadeur spécial de la Hollande à l’UPM, à LIBERTÉ


L’Algérie a tout à gagner dans cet espace méditerranéen


Très optimiste, le diplomate néerlandais croit réellement en la concrétisation de l’Union pour la Méditerranée, et refuse tout esprit défaitiste, même si certains problèmes, comme celui d’Israël qui était derrière le report du sommet de Barcelone, prévu au début du mois en cours, n’arrivent pas à être solutionnés.
Au cours de sa visite hier au siège de Liberté, M. Gerard J. van Epen, l’ambassadeur spécial des Pays-Bas au sein de l’Union pour la Méditerranée, a bien voulu nous entretenir sur sa perception de cet espace méditerranéen, qui n’arrive pas encore à atteindre sa vitesse de croisière. D’emblée, le diplomate hollandais affichera son optimisme sans limites quant à la concrétisation de l’UPM qui entre, selon lui, dans le cadre de “la politique de bon voisinage entre l’Union européenne et les pays de la rive sud de la Méditerranée, notamment l’Algérie”. À ce titre, il affirmera que “l’Algérie a tout à gagner dans l’UPM, sur tous les plans”. M. Gerard J. van Epen indiquera que cette union “permettra à l’UE et à l’Algérie de raffermir leurs relations dans différents domaines, car ce sera un canal supplémentaire de dialogue entre les deux parties”. “Après l’approche bilatérale entre l’UE et l’Algérie, l’UPM permettra une approche multilatérale, car l’une ne peut aller sans l’autre”, soulignera notre interlocuteur. Interrogé sur la lenteur qui caractérise le lancement de cette institution, l’ambassadeur batave estimera que cela n’est que conjoncturel et qu’il faut prendre le temps de construire l’UPM sur de bonnes bases. Pour illustrer cette vision, il dira que “la construction d’un immeuble ne se fait pas en un jour ni en un an, il faut davantage de temps pour bien le faire pour s’assurer de sa solidité”. D’après lui, aucun pays ne peut aujourd’hui s’isoler et travailler seul au moment où la globalisation mondiale impose une coopération multilatérale. M. van Epen expliquera qu’au sein des 43 membres de l’UPM, “chaque pays a ses particularités économiques, historiques, culturelles et politiques, d’où la nécessité de consacrer encore plus de temps pour rapprocher les positions des uns de celles des autres”. “C’est un projet à long terme qu’il faut mener à bien dans l’intérêt de tous”, ajoutera-t-il. Pour en revenir aux causes de blocage, il déclarera que le meilleur moyen d’avancer est de séparer le politique du technique. À ce titre, il citera pour l’exemple la dernière réunion de l’UPM sur l’eau, qui avait échoué à cause du différend israélo-palestinien. “Le dialogue politique doit se tenir en parallèle et laisser les technocrates faire leur travail et progresser dans les dossiers purement techniques”, insistera M. Gerard J. van Epen. Il dira que ceci est valable, notamment pour la question du conflit israélo-arabe que seuls les politiques pourront régler. Il nous révélera que la cause directe du report du sommet de Barcelone est le problème existant entre la Turquie et Chypre, et non le problème israélo-palestinien, tout en admettant que des pays arabes avaient menacé de boycotter la réunion en cas de participation du ministre israélien des affaires étrangères, l’extrémiste Avigdor Liebermann. Néanmoins, il précisera qu’“il faut éviter tout esprit défaitiste pour que le projet méditerranéen aboutisse, car c’est dans l’intérêt de tous ses membres”. Interpellé sur la montée de la xénophobie en Hollande comme cela a été montré par les résultats des dernières élections législatives, le responsable néerlandais estimera que les électeurs qui ont voté pour le parti de Gert Wilders ne l’ont fait que parce que cette formation politique représente actuellement l’opposition dans son pays. Pour lui, c’est “la conséquence d’un mécontentement populaire avec la manière de faire la politique, et non un regain de xénophobie aux Pays-Bas”.

Erasmus année 2008/2009



2008/2009, année record pour le programme Erasmus
[Fenêtre sur l'Europe]

La Commission européenne a publié le 21 juin de nouveaux chiffres montrant qu'un nombre record d'étudiants sont partis à l'étranger pour des études ou des stages en entreprise dans le cadre du programme Erasmus de l'UE pendant l'année académique 2008-2009. Au total, 198.600 étudiants sont allés dans l'un des 31 pays participant au programme, soit une hausse de 8,7% sur l'année précédente.

L’Europe sera alimentée en électricité à partir du solaire algérien


Lundi 21 juin 2010 Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Les trois pays du Maghreb envisagent d’unifier la tarification électrique. Ce qui pourrait pousser les prix du kilowatt/heure à la hausse en Algérie.
Dans une conférence de presse animée hier, à l’issue du Conseil ministériel maghrébin consacré à l’intégration des marchés électriques des trois pays du Maghreb — Algérie, Maroc et Tunisie — au marché de l’Union européenne (UE), le commissaire européen chargé de l’Énergie, Gunther Oettinger, a centré sa déclaration sur le projet très ambitieux d’alimentation de l’Europe en énergie électrique à partir de centrales solaires implantées au Maghreb connectées à des lignes de transport reliées à l’Europe via des câbles sous-marins. En préambule, il a tenu à adresser un message qu’il considère comme important : l’orientation affichée de l’UE et du Maghreb vers le développement des énergies renouvelables. “Les trois pays du Maghreb souhaitent un partenariat renforcé dans l’énergie et l’industrie. Le partenariat dans le domaine du pétrole et du gaz va être complété par une nouvelle dimension : les énergies renouvelables. Les pays du Maghreb vont produire de l’énergie solaire. L’électricité produite par ces moyens sera non seulement utilisée dans le Maghreb, mais également en Europe. Hier, nous avons parlé d’un projet-pilote très concret. On doit réaliser un nombre important d’infrastructures (des centrales solaires) du Maroc jusqu’au Moyen-Orient, d’un côté, et, de l’autre, du Portugal à la Grèce. Pour créer cet espace, il faut créer des infrastructures très modernes, très puissantes. C’est un défi au niveau politique, au niveau économique.” Allusion au projet Desertec. “Les pays du Maghreb sont prêts à prendre part à ce projet à travers la réalisation d’une partie de ces infrastructures. La Commission européenne accorde un intérêt à ce projet. Nous voulons tous faire le nécessaire pour que dans les années qui viennent, nous allons réaliser ce projet ambitieux (d’interconnexion entre le Maghreb et l’Europe à travers des câbles sous-marins alimentés en amont par des centrales solaires au Maroc, en Algérie et en Tunisie). Nous (l’UE) soutenons le projet Desertec”, a-t-il souligné. Sur sa concrétisation, le commissaire européen à l’Énergie évoquera l’appui public à ce projet.
Le gouvernement allemand agit pour concrétiser le projet Desertec “C’est un projet initié par notre économie (projet initié par des entreprises allemandes). Il est initié (précisément) par de grandes sociétés européennes spécialisées en électricité, notamment allemandes et espagnoles. Ce projet sera complété par une participation des pouvoirs publics pour arriver à sa réalisation technique et financière. Ce n’est pas un projet privé. Il sera réalisé uniquement s’il trouve un écho auprès des gouvernements. Je vais m’engager pour le réaliser dans l’intérêt des pays maghrébins et européens. Tout reste à faire, de la planification jusqu’au financement.” À noter que Cevital, le premier groupe privé algérien, fait partie du groupe d’entreprises internationales engagées dans le projet Desertec, dont le coût est estimé à 400 milliards d’euros. Quant à la position de l’Algérie, elle n’y est pas, à première vue, opposée. “Nous nous intéressons au développement de l’énergie solaire. Nous étudierons tous les projets non seulement au niveau régional, mais également au niveau de l’Union européenne”, a répondu le ministre de l’Énergie et des Mines Youcef Yousfi. Sur le différentiel des prix de l’énergie dans les pays du Maghreb, une potentielle contrainte à ce projet, Youcef Yousfi, le ministre de l’Énergie et des Mines, a déclaré que l’important est d’étudier aujourd’hui l’harmonisation de la tarification dans les échanges commerciaux d’électricité entre les trois pays du Maghreb. “Dans une seconde étape, nous étudierons l’harmonisation de la tarification de l’électricité dans les pays du Maghreb”, a-t-il ajouté. Dans un tel projet, on s’acheminerait à moyen terme sur des prix plus libres du kilowatt/heure, induisant une révision à la hausse des prix de l’électricité en Algérie. Tel pourrait être le prix de l’harmonisation des tarifications.
Signature de l’accord de partenariat entre l’Algérie et l’UE : Gunther H. Oettinger optimiste Sur les préalables, “la formation constitue une composante essentielle du projet dans la mesure où il intervient sur le niveau des connaissances et les compétences. Le dialogue a été instauré entre les trois pays sur un sujet aussi complexe”, a insisté Youcef Yousfi, mettant en relief l’importance des ressources humaines et de l’expertise dans la réussite de ce projet. Quant à l’accord de partenariat entre l’Algérie et l’UE, le commissaire européen chargé de l’Énergie a répondu sur un ton optimiste : “J’ai discuté hier avec le ministre de l’Énergie algérien Youcef Yousfi sur les relations entre l’Union européenne et l’Algérie en matière d’énergie. Je suis convaincu que dans les mois à venir, nous allons clarifier les questions qui sont ouvertes et que nous arriverons à signer un mémorandum of undestanding (arrangement préliminaire) suivi d’une convention (accord) sur les questions politiques, les questions énergétiques. L’Algérie a intérêt à un consensus sur les questions énergétiques avec l’UE.” La conclusion de cet accord traîne, rappelons-le, en raison de divergences entre les deux parties. À noter que la réunion du Conseil des ministres de l’Algérie, du Maroc et de la Tunisie sur le projet d’intégration progressive des marchés des trois pays du Maghreb au marché intérieur de l’électricité de l’UE a été sanctionnée par l’adoption d’une déclaration ministérielle (Déclaration d’Alger) et d’un plan d’action à moyen terme 2010-2015. Les ministres ont confirmé, dans la Déclaration d’Alger, leur volonté de poursuivre les réformes de leurs secteurs énergétiques nationaux et de mettre à profit la coopération bilatérale et multilatérale entre leurs pays respectifs et l’Union européenne afin de mener à bien les réformes et de développer leurs secteurs énergétiques nationaux. Les ministres se sont engagés à poursuivre les actions visant l’harmonisation des cadres législatifs et réglementaires, des conditions techniques et économiques pour la création d’un marché viable de l’électricité dans et entre les trois pays du Maghreb et son intégration à celui de l’Union européenne. Quant au plan d’action 2010-2015, adopté par le Conseil des ministres, il prévoit notamment “l’harmonisation des cadres législatifs permettant l’intégration progressive des marchés de l’électricité de l’Algérie, du Maroc, de la Tunisie au marché intérieur de l’Union européenne, le développement des marchés de l’électricité, la promotion du développement des énergies renouvelables dans le cadre d’un développement durable dans la région du Maghreb.”
Liberté

Deuxièmes journées sur les énergies renouvelables


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Lundi 21 juin 2010
Sous le sloghan "Une énergie et un développement durable pour tous", le laboratoire de physique énergétique de l’unisexualité Mentouri de Constantine organise les deuxièmes journées sur les énergies renouvelables les 22 et 23 juin au niveau du centre audiovisuel de Chabet-Ersas.
Ces journées visent à encourager l’investissement dans les énergies renouvelables en remplacement des énergies fossiles pour sauvegarder l’environnement, à faire face à la situation économique mondiale et à permettre un développement humain général dans un avenir durable.
L’évènement rentre également dans le cadre de l’enrichissement des activités scientifique de l’école doctorale "Energies Renouvelables" qui regroupe plusieurs établissements de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique au niveau national.
Les conférences programmées pour ces journées sont :
"Développement de nouveaux matériaux pour un environnement propre", présentée par le Professeur BENYOUCEF Boumediene de l’Unité de Recherche des Matériaux et Énergies Renouvelables de l’Université de Tlemcen U.R.M.E.R
"Simulation numérique de la convection dans un bâtiment avec un mur trombe", présentée par le professeur DRAOUI Belkacem de l’Université de Béchar
"Régulation et gestion du microclimat sous serre", présentée par le professeur DRAOUI Belkacem de l’Université de Béchar
"Matériaux utilisés pour les applications photosolaires", présentée par le professeur CHABANE SARI Nassereddine de l’Unité de Recherche des Matériaux et Énergies Renouvelables de l’Université de Tlemcen U.R.M.E.R.
"Perspectives des énergies renouvelables dans le monde et en Algérie", présentée par le Docteur BELHAMEL Maiouf, Directeur du centre de développement des énergies renouvelables C.D.E.R.
" Pollution énergie et développement", présentée par le Professeur Jean Pierre CHARLES de l’Université Paul Verlaine Metz
"Caractérisation des photopiles : un outil de recherche d’avenir", présentée par le Professeur Jean Pierre CHARLES de l’Université Paul Verlaine Metz.

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Lundi 21 juin 2010
La présence hier à Alger du commissaire européen à l’énergie, Günther H. Oettinger, invité pour assister au premier Conseil ministériel de l’énergie UMA-UE sur l’électricité, a permis de connaître un peu mieux les intentions de l’Union européenne sur des sujets importants comme l’accord stratégique sur l’énergie qu’elle a proposé à l’Algérie ou le projet solaire Desertec qui nécessite un investissement de 400 milliards d’euros pour approvisionner l’Europe en énergie d’origine solaire à partir du sud de la Méditerranée. La Commission européenne soutient le projet Desertec, selon le commissaire européen. Le nouveau commissaire européen, qui a pris ses fonctions au mois de février dernier, est arrivé samedi soir à Alger pour répondre à une invitation de l’Algérie qui organisait le premier Conseil ministériel dans le cadre du projet « Intégration progressive des marchés de l’Algérie, du Maroc et de la Tunisie au marché de l’électricité de l’Union européenne ». Une réunion prévue par le protocole d’accord signé à Rome en décembre 2003 par la Commission européenne et les ministres de l’Energie des trois pays cités plus haut. Un protocole prévu par le processus de Barcelone de 1995.
Cette intégration préfigure déjà l’approvisionnement de l’Europe en électricité produite à partir du solaire sur le flanc sud de la Méditerranée. Lors de la réunion d’hier, les ministres maghrébins ont fait le point sur les actions initiées depuis 2007 et adopté la déclaration d’Alger qui fixe de nouvelles actions pour la période 2010-2015. A l’ouverture de la réunion, le ministre de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi, a rappelé que « l’Algérie a joué un rôle croissant dans le développement des grands réseaux de transport d’électricité dans l’espace méditerranéen » et « les trois pays se sont attelés à la construction de lignes d’interconnexions de grande puissance » pour améliorer les échanges. La ministre marocaine de l’Energie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement, Amina Benkhadra, a abordé les récents changements survenus dans le système électrique maghrébin qui se sont traduits par « le renforcement des capacités d’interconnexion avec l’Algérie pour la réalisation des interconnexions à 400 KV ».Elle a aussi rappelé que « les liaisons intermaghrébines et leurs interconnexions à l’Europe via le câble Maroc-Espagne fonctionnent depuis de nombreuses années... »
Les ministres ont confirmé « leur volonté de poursuivre les réformes de leurs secteurs énergétiques nationaux » et de « mettre à profit les possibilités offertes par la coopération bilatérale et multilatérale entre leurs pays respectifs et l’Union européenne afin de mener à bien les réformes et développer leurs secteurs énergétiques nationaux ».« L’intégration et l’émergence d’un marché de l’électricité contribueront à la création d’un espace de libre-échange entre les pays méditerranéens et l’UE qui constituera à long terme une passerelle énergétique entre les pays de la rive sud et la rive nord de la Méditerranée », selon la même déclaration. La déclaration d’Alger a aussi souligné l’importance du développement des énergies nouvelles et renouvelables, la promotion de l’efficacité énergétique et la préservation de l’environnement dans le cadre du projet d’intégration des marchés électriques suivant l’approche d’un développement durable. A propos d’un accord stratégique sur l’énergie entre l’Algérie et l’Union européenne, le commissaire européen, qui répondait à la presse, a indiqué que l’Algérie et l’Union européenne pourraient signer un mémorandum d’entente dans le domaine de l’énergie avant de parvenir à la conclusion de l’accord stratégique énergétique, en cours de négociation entre les deux parties. « Je suis convaincu que dans les mois à venir, nous pouvons clarifier les questions en suspens en vue de signer un mémorandum d’entente qui sera suivi de la conclusion de cet accord », a déclaré M. Oettinger. Le commissaire européen, en visite à Alger, a eu des discussions samedi soir à ce sujet avec le ministre de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi, a-t-il fait savoir.
Le Conseil ministériel de l’énergie UMA-UE sur l’électricité a eu lieu hier à Alger et les travaux de sa première réunion ont eu lieu sous la présidence du ministre algérien de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi. Cette réunion, à laquelle ont pris part la ministre marocaine de l’Energie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement, Amina Benkhedra, le ministre tunisien de l’Industrie et de la Technologie, Affif Chelbi, ainsi que le commissaire européen chargé de l’Energie, Günther Oettinger, a porté sur l’intégration progressive des marchés d’électricité de l’Algérie, du Maroc et de la Tunisie dans celui de l’Union européenne. La tenue de cette rencontre s’inscrit dans le cadre de l’exécution du protocole d’accord signé à Rome en décembre 2003 par les ministres maghrébins chargés de l’Energie (Algérie, Maroc et Tunisie) et la Commission européenne, à l’occasion d’un Conseil des ministres euroméditerranéen.
El Watan

Nissa (femmes) 96 FM lancement dimanche 20 juin 2010




Lancement de la première radio féminine dans les territoires palestiniens
AFP 20.06.10 12h58
Des entrepreneurs palestiniens de Cisjordanie ont lancé dimanche une radio destinée au femmes, une première dans ce territoire palestinien.
Nissa (femmes) 96 FM, une chaîne en arabe doit diffuser des programmes de société axés sur les problèmes de la femme ainsi que de la musique. Son personnel est en grande majorité composé de femmes.
"Les programmes seront axés sur les sujets liés aux femmes, mais aussi ceux concernant les hommes, a dit à la presse Maysoun Odeh, une des fondatrices de la radio à l'occasion de son lancement à Ramallah.
"C'est une bonne nouvelle pour la société et pour les femmes palestiniennes là où elles se trouvent. Cette chaîne va s'intéresser à leurs problèmes et évoquer entre autres les violences dont elles sont victimes", a déclaré la ministre palestinienne de la condition féminine, Rabiha Diab, qui a assisté à la cérémonie.
Cette radio privée a obtenu l'aide de "Smiling Children Foundation", une organisation à but non lucratif basée en Suisse et en Grande-Bretagne.

Mr le Président Barack Obama Obama: père, c'est le métier qu'il préfère



ETATS-UNIS - Quart d'heure émotion pour le président américain...
Alors qu'il est englué dans la gestion d'une marée noire historique, Barack Obama s'est accordé une petite pause ce lundi. Lors d’une allocution pour la fête des pères, le président américain a affirmé qu’être père était sans hésitation le métier «le plus difficile, le plus gratifiant, le plus important» de toute sa vie.
Dans ce discours chargé en émotion, il a souligné l’importance d’être un bon père. Barack senior avait quitté le foyer alors que le futur président des Etats-Unis était encore très jeune. Ce dernier a donc été élevé par sa mère et ses grands parents.
Lui-même père des petites Sasha (8 ans) et Malia (11 ans), le président a confié aux trois cent personnes présentes qu’à la naissance de ses filles, il avait juré leur apporter tout ce qu’il na pas eu lui-même: «un père». Il a toutefois reconnu ne pas être présent autant qu’il le souhaiterait, du fait des contraintes qu’imposent ses fonctions.
R.B-P.

Nissa, une radio féminine lancée dans les territoires palestiniens





La radio « Nissa » destinée aux femmes palestiniennes a été lancée dimanche à Ramallah en Cisjordanie


Nissa (femmes), une chaîne en arabe doit diffuser des programmes de société axés sur les problèmes de la femme ainsi que de la musique, a indiqué à la presse Maysoun Odeh, une des fondatrices de la radio, citée par des médias.
« Les programmes de cette première radio féminine dans les territoires palestiniens, dont le personnel est en grande majorité composé de femmes, seront axés sur les sujets liés aux femmes, mais aussi ceux concernant les hommes, a ajouté Maysoun Odeh, à l’occasion du lancement de la radio à Ramallah. « C’est une bonne nouvelle pour la société et pour les femmes palestiniennes », a-t-elle souligné.
source: APS

Métro Alger les travaux de réalisation avancent à un taux élevé




Selon le ministre des Transports


Le ministre des Transports, M. Amar Tou, a indiqué, jeudi, en marge d'une séance plénière à l'Assemblée populaire nationale (APN), que les travaux de réalisation de la première ligne du métro d'Alger avancent à un taux élevé, tout en indiquant que le plan de sécurité des voyageurs sera bientôt prêt. Dans ce sens, le ministre a relevé que cette étape est la plus "compliquée et les essais sont lents et concernent les 14 rames". Ainsi, face à une situation concernant la sécurité des passagers , il est impossible jusqu'à maintenant d'avancer une date précise pour la mise en service de la première ligne du métro. Outre, dans ce sens, en réponse à une question orale d'un député à l'APN, le ministre a précisé que "les essais ont commencé depuis quelque temps en vue de réunir les conditions de mise en service", ajoutant que les travaux de réalisation de la ligne Hai el Badr El-Harrach connaissent un taux d'avancement élevé. Par ailleurs, le premier responsable du secteur a tenu à rappeler la situation économique, financière et sécuritaire qu'a connue le pays durant la décennie noire, a- t-il affirmé, avait entravé la réalisation du projet du métro d'Alger et a été à l'origine de l'arrêt des travaux pendant plusieurs années avant que le président de la République ne décide la relance du projet en mars 2006. Ainsi, aujourd'hui, après que le calme règne de nouveau sur le pays , une moyenne de 1500 ouvriers dont 1450 Algériens travaillent 24/24h sur cette ligne pour sa livraison dans les délais fixés. Dans ce contexte, le métro dont l'ouverture est très attendue par les habitants de la région, contribuera, une fois opérationnel, au "renforcement des transports collectifs". Rappelons à cet effet, que le métro d'Alger permettra le transport de 30 000 voyageurs par heure. En outre, il est à rappeler que le secteur des transports, en général figure parmi les priorités du nouveau programme quinquennal, et son développement amorcé lors des précédents exercices sera maintenu avec à la clé de nouveaux projets, et pas des moindres. L'enveloppe allouée au secteur renseigne, en effet, sur l'importance et la nécessité d'aller de l'avant dans la modernisation du réseau routier et du chemin de fer. Le développement du chemin de fer a nécessité la mobilisation d'une enveloppe de "30 milliards de dollars" pour les quatre prochaines années. A ce titre, plusieurs infrastructures relatives au développement des chemins de fer, de tramways, de métros, dans les grandes villes du pays seront concrétisées. N.I