阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, June 29, 2008

Angleterre l'Euro Comprendre



L’ANGLETERRE REPOUSSE L’EURO

La décision a étonné certains de ses partenaires : l’Angleterre a osé dire non à l’euro, du moins dans les circonstances actuelles. Comment peut-on refuser une monnaie aussi unanimement appréciée par les marchés des changes ? Peut-être par amour de la liberté, ce qui permet à l’Angleterre de se porter mieux que ses voisins de la zone euro.

Des situations économiques divergentes

On disait Tony BLAIR plutôt favorable à l’euro, mais il a préféré repousser la décision d’adhésion à une date indéfinie et suivre son ministre des finances Gordon BROWN. Celui-ci a exclu officiellement une adhésion immédiate de la Grande-Bretagne à l’euro et s’est contenté d’ouvrir la porte à un éventuel référendum ultérieur, sans préciser une date.
Pour justifier sa décision, le chancelier de l’échiquier a présenté son évaluation des cinq critères économiques fixés en 1997 pour déterminer si l’euro était dans l’intérêt de la Grande-Bretagne. Le premier critère, le plus important sans doute, porte sur la convergence des cycles et des conjonctures économiques. On ne peut avoir des changes fixes et a fortiori une monnaie unique si les situations conjoncturelles sont trop différentes. Sinon, les ajustements se font par des variables réelles et en particulier par l’emploi.
Or les situations économiques sont effectivement sensiblement divergentes, sauf pour l’inflation où les situations sont assez proches : 2% dans la zone euro, 2,5% en Angleterre. Mais les divergences sont fortes pour la croissance. Celle-ci en 2002 a été de 0,8% en moyenne en Europe, alors qu’elle était d‘un point au dessus en Angleterre. En 2003, on prévoit 2% au moins en Grande-Bretagne, moins de 1% en Europe (et même une récession en Allemagne).
La divergence porte aussi, plus fortement encore, sur le taux de chômage. Selon les statistiques anglaises, il est à peine de 3,1% dans ce pays, et de 5,1% selon les statistiques harmonisées de l’OCDE. Pendant ce temps, la zone euro connaît 8,8% de chômeurs dans sa population active, et même sensiblement plus de 9% en France et en Allemagne. On comprend que l’Angleterre n’ait pas envie de s’arrimer à un ensemble à la conjoncture aussi médiocre, qui ne pourrait que l’entraîner vers le bas.

Une flexibilité plus grande, mais insuffisante

Ensuite, et cela rejoint le point précédent, le deuxième critère mis en avant par les Anglais est celui de la flexibilité : il faut que les économies soient assez flexibles pour que les chocs ou ralentissements de l’activité puissent être absorbés. Or cette flexibilité est très supérieure en Angleterre à ce qu’elle est sur le continent. C’est une évidence sur le marché du travail, avec la quasi-inexistence du salaire minimum, la flexibilité du salaire et la mobilité des travailleurs (les licenciements sont plus faciles, et de loin, que chez nous, donc les embauches y sont plus rapides). Ne parlons pas des dépenses publiques ou des prélèvements obligatoires : la situation anglaise est beaucoup moins figée.
Or qu'en concluent les Anglais ? Non pas qu’ils sont plus flexibles que nous -ce qui est vrai- mais qu’ils ne sont pas encore suffisamment flexibles à leurs yeux. Autrement dit, ils pensent que pour appartenir avec efficacité à une même zone monétaire, il faut que les ajustements se fassent le plus vite et le mieux possible : il faut être hyper-flexible. Les Anglais veulent aller plus loin dans ce domaine ; on pourrait inverser le raisonnement et en conclure que ce sont les Français ou les Allemands qui, étant donné leurs rigidités, n’auraient pas dû adhérer à la zone euro...
Le troisième critère porte sur l’investissement. L’adhésion du Royaume-Uni à la monnaie unique doit se traduire à long terme par un accroissement des investissements, publics ou privés, qu’ils soient étrangers ou britanniques. Ils considèrent que cette condition n’est pas réunie.
Quatrième critère : les services financiers : l’union monétaire doit améliorer la position compétitive du secteur des services financiers au Royaume-Uni, notamment à Londres. Sur ce point, le chancelier de l’échiquier considère que la condition est remplie, car les services financiers de la City sont largement compétitifs ; ouverts à la concurrence depuis longtemps, ils se sont renforcés.

Monnaie unique ou monnaie commune

Enfin, le dernier critère portait sur le fait que l’union monétaire devait avoir des effets positifs pour le taux d’emploi et la croissance économique, mesurés par les effets sur le commerce extérieur britannique et les différences de prix. Sur ce point, on ne voit pas ce que l’Euro pourrait amener de plus à l’Angleterre : sa politique monétaire actuelle préserve la stabilité des prix et l’absence de frontières douanières est un fait, avec ou sans euro, et favorise ainsi le commerce extérieur.
Le gouvernement britannique réexaminera la situation au printemps 2004 et verra si on peut donner une nouvelle évaluation de ces cinq critères. Ce qui fait la prospérité de la Grande Bretagne, c’est sa grande indépendance qui lui permet de mener des politiques libérales -même avec un gouvernement travailliste-. Ce qui fait son dynamisme, c’est la faiblesse des impôts et des dépenses publiques ou encore la flexibilité du marché du travail. Il n’y a pas besoin de l’euro pour cela.
On se souvient qu’au moment de la création de l’euro, les Anglais avaient refusé la monnaie unique, parce qu’elle constituait un monopole et que le monopole monétaire ne leur semblait pas plus attrayant que n’importe quel autre monopole. Ils avaient suggéré un solution différente, celle de la monnaie commune, qui aurait laissé aux consommateurs et aux épargnants le choix entre monnaies nationales et monnaie européenne, avec des changes flottants entre elles. Comme dans la concurrence monétaire préconisée par F. HAYEK, mais à un degré moindre puisqu’il s’agit de monnaies publiques, ce sont les phénomènes de confiance qui auraient peu à peu sélectionné la ou les bonnes monnaies. L’Europe n’a pas voulu de la concurrence, l’Angleterre ne veut pas du monopole de l’euro. Elle a plutôt choisi la liberté et, pour l’instant, cela lui réussit plutôt bien.

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Europe 2010




Scénario Europe 2010 - L’ARE lance ses travaux sur le Livre blanc sur le rôle des régions
'L'élargissement de l'UE et la mondialisation créent de nouvelles opportunités et de nouveaux défis pour les régions d'Europe. Le Traité Constitutionnel en cours de ratification dans les Etats membres et la Stratégie de Lisbonne supposent une implication plus grande des régions dans la gouvernance européenne dans les années à venir, tout particulièrement si nous voulons rendre le projet européen plus proche des citoyens' a dit Lars-Gerhard Westberg (Västra-Götaland-S), Vice-Président de la Commission ‘Affaires institutionnelles' de l'ARE, lors la conférence ‘Rôle des régions en Europe : Scénario 2010', organisée par l'Assemblée des Régions d'Europe à Dubrownik, le 29 avril.
La compétitivité et l'entrepreneuriat européens ne pourront pas être amélorés, s'ils ne reposent pas sur les conditions et opportunités existantes dans les régions, villes et communes d'Europe" a dit Catarina Segersten Larsson, Présidente du Comité exécutif du Comté de Värmland (S). Dans sa contribution "La stratégie de Lisbonne : le rôle des régions dans la création de l'économie la plus compétitive et dynamique du monde d'ici 2010", Madame Segersten Larsson a souligné que, pour accomplir les objectifs ambitieux de l'Agenda de Lisbonne, il était primordial que l'UE développe des perspectives plus décentralisées dans toutes les politiques européennes et que les régions acceptent leur responsabilité dans ce processus. En se référant au rapport d'Anders Gustâv, Président d'ECOS, Comité des Régions, qui sera présenté la semaine prochaine, Madame Segersten Larsson a insisté sur la double approche de la mise en œuvre de l'Agenda de Lisbonne au niveau régional : l'amélioration de la compétitivité régionale et le développement des Partenariats Public-Privé (PPP).La conférence a aussi permis aux régions représentées d'avoir une discussion sur l'impact du Traité Constitutionnel sur le rôle des régions dans la gouvernance européenne, sur de nouvelles opportunités pour le niveau régional de participer à l'élaboration des politiques européennes et sur les moyens à mettre en œuvre pour rapprocher l'Europe de ses citoyens.La conférence s'est tenue en Croatie, pays où la question de l'adhésion à l'UE est actuellement en débat. Si les négociations entre l'UE et le gouvernement croate sur la coopération avec le Tribunal criminel international pour l'ancienne Yougoslavie (ITCY) aboutissent, ce seront les régions qui joueront un rôle de premier plan dans la préparation du pays à l'adhésion. Forte de l'expertise de ses 250 régions membres, l'ARE soutiendra les régions croates à relever ce défi.

pollution de la méditerannée


Allemagne Union pour la Méditérannée








Alger semble faire partie des priorités de la chancelière allemande déterminée à s’y faire une place au soleil au double plan économique et politique, refusant de laisser le champ libre à ses autres rivaux, notamment la France, comme l’indiquent les réticences qu’elle a affichées concernant l’union pour la Méditerranée, forçant Sarkozy à en modifier le contour

France présidence de l'Union Européennne



Mardi, la France prendra la présidence tournante de l'Union européenne. Le programme de Nicolas Sarkozy s'annonce chargé. Mais son défi le plus difficile sera sûrement de redonner confiance aux Français, qui restent majoritairement craintifs à l'égard de l'UE. Un sondage BVA réalisé pour Ouest France Dimanche fait le point sur ces inquiétudes, mais aussi ce qu'attendent les Français de ces six mois.

Turquie Européenne


Microsoft Bill Gates retraite





Bill Gates va laisser la destiné de Microsoft, Son entreprise, à Steve Ballmer. En effet, le fondateur de l'éditeur quitte sa fonction de dirigeant. Gates avait mûrement réfléchi sa passation de pouvoir à son ami Steve Ballmer. En 2000, il cède la direction général à Ballmer puis, au début du mois, lache ces fonctions d'architecte en chef des logiciels et de patron de la recherche. Néanmoins, Bill Gates reste président du conseil d'administration de Microsoft et premier actionnaire du géant du logiciel avec 8,7% du capital. Bill Gates fondent Microsoft à l'âge de 20 ans avec ses camarades d'Havard. Dans Microsoft, il crée le langage Basic qu'il vend au MITS. Il acquière QDOS et le vend sous le nom de MS-DOS. Microsoft vend des licences de MS-DOS à IBM qu'il utilise comme système d'exploitation . En 1985, Microsoft lance Windows. Il laissera sur la carreau IBM avec OS/2 et Apple, ses Mac et Mac OS (Il fera même reconnaitre la supériorité de Microsoft à Steve Jobs, le PDG d'un Apple proche de la mort). Cette ascension lui permettra de devenir la plus grosse fortune de la planète mais également d'être l'incarnation du Diable pour bon nombre d'informaticiens. Il recevra même une tarte de la part de Noël Godin, l'entarteur belge. Ce départ marque un tournant dans la vie de la société Microsoft. Son modèle est basé sur la vente de matériels et de logiciels (Windows, Office,...) mais a raté le coche des baladeurs musicaux et de la publicité sur Internet. Ces 2 grands rivaux que sont Google et Apple, chassent sur ses propres terres.Microsoft a bien tenté de suivre le mouvement : MSN/Windows Live Search a connu un succès mitigés face aux moteurs de Google et de Yahoo! Malgré des investissements colossaux (rachat de sociétés), il reste à la traine face à Google sur la publicité en ligne. L'achat manqué de Yahoo! ne fait que lui rappeller son retard sur le géant de Mountain View.Sur les baladeurs numériques, le Zune n'arrive pas à percer avec ses 4% de parts de marché face aux 71% de l'iPod d'Apple. Apple va même faire "switcher" (terme designant le fait de passer d'un PC à un Mac) nombres d'utilisateurs de l'iPod vers ses machines et Mac OS X (Apple vient de dépasser les 5% d'utilisateurs d'ordinateurs). Les distributions Linux et les logiciels libres vont aussi mettre à mal son modèle économique de logiciels payants. Les vives critiques sur Windows Vista ne font pas arranger les choses.Seul bon point, les jeux et les consoles XBox (XBox et Xbox 360) ont permis à Microsoft de se prendre une bonne part du gateau dans le monde du jeux vidéo où un duopole commencait à apparaitre entre Sony et Nintendo.Microsoft va tenter de faire oublier Vista avec Windows Seven tandis que Bill Gates va s'occuper de sa fondation, "Bill and Melinda Gates Fundation". Elle s'attache à apporter à la population mondiale des innovations en matière de santé et d'acquisition de connaissances. Quelques critiques lui reprochent d'investir dans des entreprises plus ou moins impliquées dans le malheur du monde sans excercer de pression pour y remédier.