阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Monday, February 21, 2011

Nouvelle-Zélande tremblement de terre


Romandie News

Nouvelle-Zélande: au moins 65 morts suite à un séisme meurtrier
Au moins 65 personnes ont péri dans un tremblement de terre qui a frappé mardi la deuxième ville de Nouvelle-Zélande, Christchurch. La catastrophe naturelle a aussi causé des incendies et l'effondrement de bâtiments, tandis que la population paniquée fuyait à travers les rues.

Christchurch, 340'000 habitants, avait déjà été secouée le 4 septembre 2010 par un séisme de magnitude 7, qui n'avait pas fait de mort, mais causé des dégâts considérables. Il s'était produit au petit matin, alors que les rues étaient encore vides.

Le tremblement de terre de ce mardi, survenu à la mi-journée, "a été bien pire, sans doute pas en intensité, mais en matière de dégâts, et beaucoup de gens sont piégés dans les bâtiments", a déclaré un porte-parole des pompiers à Radio New Zealand.

D'une magnitude de 6,3 sur l'échelle de Richter, le séisme est survenu à seulement 4km de profondeur. Il s'est produit à 10km au sud-ouest de Christchurch à 12h51 heure locale (00h51 suisses), selon l'Institut américain de veille géologique (USGS).

La télévision locale a montré des images de corps dégagés des décombres dans le centre ville. La police a fait état de "plusieurs victimes". Deux bus ont été écrasés par des débris, plusieurs bâtiments se sont effondrés, des incendies se sont déclarés et des personnes sont actuellement piégées dans des bâtiments, a ajouté la police.

"J'étais sur la place juste devant la cathédrale, tout le devant s'est effondré et il y avait des personnes qui sortaient en courant, il y avait également des personnes à l'intérieur", a indiqué John Gurr qui se trouvait dans le centre ville au moment du séisme.

L'aéroport de la ville a été fermé et la police a indiqué procéder à l'évacuation du centre-ville, dont les immeubles avaient déjà été fragilisés par le tremblement de terre de septembre 2010.

L'état d'urgence a été déclaré, a annoncé le maire de la ville. "Tout le monde doit comprendre qu'il s'agit d'un jour noir pour cette ville profondément secouée", a déclaré Bob Parker sur Radio New Zealand. Le Premier ministre John Key a convoqué un conseil des ministres extraordinaire mardi dans la journée.

(ats / 22 février 2011 07:09)

Le président français Nicolas Sarkozy soutien Tunisie UPM


Deux ministres français attendus en Tunisie pour y apporter le soutien
Le président français Nicolas Sarkozy a décidé d'envoyer deux ministres en Tunisie pour réaffirmer son soutien à la transition démocratique, a-t-on appris lundi de source gouvernementale.
La ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie, Christine Lagarde, et le ministre chargé des Affaires européennes, Laurent Wauquiez, se rendront mardi à Tunis pour "réitérer un message politique de soutien à la transition démocratique engagée et de souligner la disponibilité de la France pour aider le peuple tunisien à concrétiser ses aspirations et construire une Tunisie démocratique et prospère", selon un communiqué publié par le gouvernement français.

Il s'agit du premier déplacement de membres du gouvernement français en Tunisie depuis l'installation des nouvelles autorités. Il intervient aussi entre le Conseil des Affaires étrangères de l'Union européenne (UE) des 20 et 21 février, qui a permis d'examiner les relations entre l'UE et son voisinage sud, et avant une réunion de haut niveau organisée par l'UE, mercredi 23 février, à Bruxelles, avec les principaux intervenants multilatéraux.

Dans la perspective de la conférence internationale de Carthage consacrée aux réformes politiques et économiques, les deux ministres français rencontreront les nouvelles autorités tunisiennes afin de se mettre à l'écoute de leurs attentes. Ils étudieront avec leurs interlocuteurs les moyens d'y répondre, dans la durée et avec le concours de tous les acteurs concernés y compris l'Union pour la Méditerranée et l'Union européenne.

Algerie France coopération bilatérale 2011


Les partenariats industriels entre Paris et Alger avancent, selon Jean-Pierre Raffarin
Les négociations franco-algériennes de partenariat de production dans les dossiers de Renault, Total et Lafarge ont avancé et sont à "mi-chemin" d'accords, a annoncé lundi à Alger l'envoyé spécial français Jean-Pierre Raffarin.
S'exprimant après une réunion de travail avec son interlocuteur désigné, le ministre algérien de l'Industrie Mohamed Benmeradi, M. Raffarin a également rappelé que les discussions impliquaient "plus de 20.000 emplois directs". "Il s'agit, a-t-il dit d'un travail économique et social".
M. Raffarin, chargé par le président Nicolas Sarkozy de faire avancer la coopération bilatérale, est arrivé dimanche soir pour une seconde mission de travail, la première ayant eu lieu fin novembre.
Dans la matinée, les trois dossiers sont discutés par les groupes concernés lors de réunions de travail qui étaient en cours dans la journée. Pour le projet pétrochimique de Total avec la Sonatrach, il y a eu la participation dans la matinée du ministre de l'Energie Youcef Yousfi, a-t-il indiqué. Il s'agit "d'une véritable filière de pétrochimie et de l'éthylène, il y a là de grands projets stratégiques".
Ce projet, d'un montant de 5 milliards d'euros, "ne pouvait pas se décider au cours d'une (seule) réunion entre des représentants", a rappelé M. Benmeradi.
M. Raffarin a fait état de "sujets plus urgents où il est question de l'emploi à plus court terme pour ce qui est par exemple de Lafarge avec son partenaire Gica (Groupe industriel des ciments d'Algérie, public)", également en cours d'avancement.
Concernant l'implantation de Renault en Algérie, "un projet dont on parle depuis 40 ans", a rappelé M. Benmeradi, les discussions "avancent très bien".
Il a fait état d'une contre-proposition algérienne sur la production de 100.000 véhicules de gammes variées, et d'une liste de 50 entreprises de sous-traitance algérienne qui peuvent être intégrées au projet.
Enfin concernant le métro d'Alger, les deux parties ont réaffirmé qu'elles feront tout pour son entrée en fonction avant la fin de l'année.
M. Raffarin devait être reçu par le président Abdelaziz Bouteflika, avant d'avoir dans la soirée une séance de travail suivie d'un dîner avec le Premier ministre Ahmed Ouyahia.
Le volume total des échanges commerciaux entre l'Algérie et la France, son premier fournisseur, a atteint en 2009 quelque 9 milliards d'euros et 430 entreprises françaises sont implantées en Algérie où elles emploient plus de 35.OOO personnes, selon des sources françaises.

AFP

Le Président Mr Nicolas sarkozy Visite le salon de l'agriculture Vidéo 2011

http://www.elysee.fr/president/mediatheque/videos/videotheque.10.html?itemid=21587

Mr le president Nicolas Sarkozy Ankara 2011



Visite de travail de Monsieur le Président de la République attendu à Ankara le 25 février, dans le cadre de ses fonctions de président en exercice du G-20, dont fait partie la Turquie.

Mr le Président Nicolas Sarkozy politique nucléaire 2011


Nicolas Sarkozy réunit le Conseil de politique nucléaire

PARIS (Reuters) - L'organisation de la filière nucléaire française est à l'ordre du jour d'une réunion du Conseil de politique nucléaire ce lundi à 17h00 à l'Elysée, confirment des sources proches du dossier.

Cette réunion, dont le président Nicolas Sarkozy avait semble-t-il un temps envisagé le report à début mars pour des raisons d'agenda, devrait notamment porter sur un partenariat stratégique entre EDF et Areva.

Elle a été préparée par une réunion des industriels concernés - Areva, EDF, GDF-Suez, Alstom, plus le Commissariat à l'énergie atomique - vendredi, autour du ministre de l'Industrie, Eric Besson.

Selon les mêmes sources, la question d'une éventuelle association d'EDF et des Chinois au projet de réacteur de moyenne puissance Atmea, développé par Areva et le japonais Mitsubishi Heavy Industries, ainsi que la stratégie minière d'Areva et d'EDF, devraient faire partie des sujets traités.

Le quotidien économique Les Echos cite aussi l'organisation de la filière à l'exportation.

"La seule chose que je puisse vous dire, c'est (que cette réunion) porte sur l'organisation de (...) ce qu'on a appelé l'équipe de France du nucléaire", a pour sa part déclaré Eric Besson sur France 2.

SUCCESSION DE LAUVERGEON PAS AU MENU

"EDF joue un rôle important, c'est le premier producteur d'électricité nucléaire dans le monde. Comment pourrait-il ne pas jouer un rôle majeur dans la filière ?" a-t-il dit. "Mais il y a d'autres acteurs très importants : Alstom, Areva au premier chef, GDF-Suez, qui est un grand producteur d'électricité au niveau mondial et qui voudrait l'être davantage en France dans le nucléaire. Donc tout cela doit être organisé."

En revanche, sont exclus de l'ordre du jour le prix de revente de l'électricité nucléaire par EDF à ses concurrents et le renouvellement de la direction d'Areva, dit-on de sources proches du dossier.

Des rumeurs d'éviction d'Anne Lauvergeon ont régulièrement circulé depuis plus d'un an, sur fond de conflits récurrents avec le patron d'EDF, Henri Proglio.

Nicolas Sarkozy devrait recevoir dans les jours ou les semaines à venir une liste de candidats potentiels à sa succession - son mandat s'achève fin juin. Il n'est pas exclu qu'"Atomic Anne" fasse elle-même partie de cette liste.

"Ce que dira ce soir le président de la République (lors de la réunion de l'Elysée) sera éclairant", souligne une source proche du dossier.

Selon le quotidien économique La Tribune, le sénateur UMP Gérard Longuet serait candidat.

Présidé par le chef de l'Etat, le Conseil de politique nucléaire comprend le Premier ministre, le ministre chargé de l'énergie et ceux des Affaires étrangères, de l'Économie, de l'Industrie, du Commerce extérieur, de la Recherche, de la Défense et du Budget.

Il comprend également le chef d'état-major des armées, le secrétaire général de la Défense nationale et l'administrateur général du Commissariat à l'énergie atomique.

Gilles Guillaume et Emmanuel Jarry, édité par Patrick Vignal

Mr le president Nicolas Sarkozy Mr George Soros taxe sur les transactions financières


(Boursier.com)

Marchés : au G20, George Soros vote Sarkozy ! -- Taxe sur les transactions financières, lutte contre la spéculation sur les matières premières... Les propositions de Nicolas Sarkozy, repoussées par les Anglo-Saxons, viennent de trouver un allié célèbre en la personne de George Soros ! Le gérant de "hedge funds" affirme ainsi ce matin dans un entretien publié par 'Les Echos' que la création d'une "taxe sur les transactions financières est une bonne idée. Nous avons une TVA sur les transactions physiques, pourquoi n'aurions-nous pas une taxe sur les transactions financières ?". M. Soros ajoute : "Après tout, les banques ont entraîné de sérieuses pertes pour les contribuables, pourquoi ne pas les mettre à contribution ?"

Le financier se prononce aussi "en faveur des propositions françaises concernant le renforcement de la transparence dans le secteur minier et pétrolier". Il se réjouit que Nicolas Sarkozy ait endossé l'idée d'une transposition des règles américaines (l'amendement Cardin-Lugar) en ce domaine, car "en la matière, la réglementation américaine est plus avancée qu'en Europe. L'Europe a besoin de rattraper son retard afin que la régulation du G20 soit efficace".

Par ailleurs, George Soros s'inquiète d'une augmentation du risque de guerre des monnaies dans le monde : "la guerre des monnaies est déjà déclarée. Car, en pratique, il y a aujourd'hui deux systèmes monétaires : le système international et celui de la Chine qui refuse de laisser sa monnaie s'apprécier librement et entretient ainsi de profonds déséquilibres commerciaux...".

Enfin, George Soros prévoit que la hausse des prix des produits alimentaires va se poursuivre pendant plusieurs années, sous le triple effet du réchauffement climatique (un facteur encore "totalement sous-estimé" selon lui), de la demande croissante des pays émergents et de la spéculation sur cette nouvelle classe d'actifs. Au passage, il commente les insurrections en cours au Moyen-Orient, en estimant que leur lien avec la hausse des prix des denrées alimentaires "n'est pas aussi important que l'on voudrait le faire croire. En réalité (en Egypte et en Tunisie), on a assisté à une authentique révolution à l'ancienne, où le peuple s'est lassé d'un gouvernement corrompu et réclame désormais un profond changement"...