阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Friday, April 02, 2010

la France et l’Espagne font cause commune pour le solaire et l'éolien



Innovation : la France et l’Espagne font cause commune pour le solaire et l'éolien

Ubifrance l’Agence française pour le développement international, et son homologue espagnol, l’ICEX, se mobilisent pour les énergies renouvelables et pour le Plan solaire méditerranéen mis en place dans le cadre de l’Union pour la Méditerranée (UPM). Les deux institutions organisent pour les PME deux jours d’échanges avec les acteurs espagnols du secteur à l’occasion du salon Genera, un salon dédié à l’environnement et à l’énergie, qui se déroulera à Madrid du 19 au 21 mai.
Pendant ces deux jours, des tables rondes techniques seront intégrées au cycle de conférence du salon. Des rendez-vous BtoB et des ateliers sur les opportunités d’affaires sont également au programme. Les deux pays ont mis en commun leurs ressources et leurs dispositifs d’appui à l’export dans le but d’accentuer l’impact de l’opération. Les organisations professionnelles françaises et espagnoles du secteur ont également été mises à contribution.
L’objectif pour les PME françaises est naturellement de rencontrer les acteurs du marché espagnol, mais également d’échanger de bonnes pratiques, faciliter les démarches export sous l’égide des associations professionnelles des deux pays. Des représentants des pays de la rive Sud de la Méditerranée seront également présents pour entamer un dialogue technologique et commercial. Ce sera aussi l’occasion de visiter le salon Genera et 415 ses entreprises exposantes, venues de 22 pays.

Samuel Delziani

Algerie béjaia tourisme



Béjaïa, Vgayet en kabyle (berbère) et transcrit (Tifinagh: ) ; Bougie étant l'ancien nom français de la ville (la bougie tire son nom de la ville), Vaga des phéniciens (les ronces, en libyco-berbère) puis Saldae au temps des Romains et est une ville d'Algérie. Elle est aussi le chef-lieu de la wilaya (département) du même nom.
Les habitants de Béjaïa sont appelés les Bougiotes ou les Bédjaouis. Avec ses 210 000 habitants en 2009, Béjaïa est en termes de population la plus grande ville de Kabylie. C'est aussi, grâce à sa situation géographique, le plus important pôle industriel de la région, notamment par la concentration de nombreuses industries, et la présence d'un des plus grands ports pétroliers et commerciaux de Méditerranée. Béjaïa est également dotée d'un aéroport international (Soummam / Abane Ramdane - code AITA : BJA)..
Connue à l'époque romaine sous le nom de Saldae, elle devient au Moyen Âge l'une des cités les plus prospères de la côte méditerranéenne, capitale de grandes dynasties musulmanes. D'abord connue en Europe grâce à la qualité de ses chandelles faites de cire d'abeille auxquelles elle a donné son nom, Bougie a également joué un rôle important dans la diffusion des « chiffres arabes » en Occident

Transgreen: comment le désert pourrait éclairer l'Europe



Transgreen: comment le désert pourrait éclairer l'Europe

Des entreprises françaises et allemandes s'intéressent "au gisement" de soleil du Sahara. Un projet d'acheminement de l'électricité solaire du Maghreb vers Europe est à l'étude par les Français.
En France, on n'a pas de pétrole mais on a des idées, disait-on lors des chocs pétroliers. Aujourd'hui, on pourrait remplacer le soleil par le pétrole dans ce slogan.
Une idée étudiée par la France et l'Allemagne est d'exploiter avec les pays du Maghreb leur potentiel solaire et d'en exporter une partie en Europe grâce à un vaste réseau électrique passant sous la mer Méditerranée.
L'idée digne de Jules Vernes est déjà à l'étude par un consortium d'entreprises françaises (fournisseurs d'électricité, gestionnaires de réseau électrique et fabricants de matériel haute tension), chargé de l'étude de faisabilité du transport de l'électricité, selon des sources proches du projet baptisé Transgreen. Le consortium serait placé sous l'égide d'EDF.
Faisabilité
Trois arguments forts soutiennent ce projet industriel: un potentiel solaire peu exploité, un foncier libre et pas cher et des économies d'échelle importante (la production d'électricité pouvant être transporté en grande quantité sur d'assez longue distance)
Le développement du solaire au Sud permettrait de "réduire les coûts, ce qui constitue l’un des enjeux majeurs de cette technologie", remarquait dans la revue spécialisée Enerpresse l'économiste Christian Stoffaes qui a remis en février un rapport sur le projet aux ministres chargés de l’Énergie, de l’Industrie et des Affaires européennes.
Selon le site Desertec, les pertes électriques liées au transport s'évaluent à environ 4 à 5% pour 1.000 km de ligne, ce qui viendra accroître le coût de l'énergie en plus des dépenses de production. Mais ces coûts baisseraient avec la hausse relative des prix des matières fossiles à long terme.
En un mot, les pays africains pourraient vendre une ressource naturelle inépuisable et en profiter. Mais derrière cette belle idée, tout reste encore à faire avec des défis techniques d'envergure.
Plan solaire méditerranéen
Le plan français de transport de l'électricité viendrait compléter le projet allemand Desertec qui vise à créer d'ici à 40 ans un vaste réseau d'installations éoliennes et solaires en Afrique du nord et au Moyen-Orient, afin de fournir jusqu'à 15% de la consommation d'électricité de l'Europe. Le consortium Desertec compte déjà 17 partenaires, comme l'italien Enel et le français Saint-Gobain.
Les pays méditerranéens seront directement impliqués à ces projets dans le cadre du "plan solaire méditerranéen". Transgreen devrait être annoncé lors d'une réunion des ministres de l'Energie des 43 pays de l’Union pour la Méditerranée (UPM) prévue le 25 mai au Caire.
Le Plan solaire méditerranéen, lancé dans le cadre de l'UPM, prévoit la construction de capacités de production d'électricité "bas carbone", notamment solaire, de 20 gigawatts (GW) à horizon 2020. Une partie de cette électricité (5 GW) a vocation à être exportée vers l'Europe.
TV

Algerie salon des activités maritimes et du littoral



Salon des activités maritimes et du littoral : Il ouvrira ses portes le 15 avril

Organisé par Fomexpo, en partenariat avec la Safex, le Salon des activités maritimes et du littoral ouvrira ses portes du 15 au 18 avril prochain.Une quarantaine de sociétés et d’institutions prendront part à cette 1re édition qui s’annonce déjà très intéressante au vu de la qualité des exposants. Toute la filière sera en effet représentée par des entreprises de travaux maritimes, des chantiers navals, des compagnies maritimes, des fournisseurs d’équipements portuaires, des entreprises de manutention, des entreprises portuaires, des fournisseurs de systèmes de navigation, de moteurs marins et de propulseurs de navire, ainsi que des entreprises de réparation navale. En plus des opérateurs algériens publics et privés qui activent dans le domaine, de nombreuses entreprises étrangères (de France, de Bulgarie, de Grande-Bretagne, d’Espagne, de Tunisie, d’Italie etc.) seront présents au Salon

L’Algérie propose l’adoption d’une charte arabe de la PME-PMI


Les travaux du 5e congrès arabe des petites et moyennes industries (PMI) ont débuté hier à l’hôtel Hilton en présence de plusieurs ministres, d’experts et d’opérateurs économiques. 17 pays prennent part à cette rencontre de deux jours placée sous le haut patronage du Président de la République et dont l’organisation revient au ministère de la PME et de l’Artisanat en collaboration avec l’Organisation arabe du développement industriel et minier (OADIM) et la Banque islamique de développement (BID). “Vers le renforcement des capacités des PMI pour l’innovation et la créativité” est le thème choisi pour ce 5e congrès. Le Président Bouteflika a adressé un message aux participants, lu par son conseiller M. Mohamed Ali Boughazi dans lequel le Chef de l’Etat a souligné la nécessité des regroupements régionaux, seule voie permettant de sortir du sous-développement et de la dépendance. Tout en notant que cette rencontre est une opportunité pour l’échange des expériences et l’élaboration de plans d’action, le Chef de l’Etat mettra en relief l’importance des normes internationales, de l’innovation et des technologies qui sont incontournables et qu’il y a lieu par conséquent de prendre en considération dans l’élaboration de toute stratégie. Lors d’un briefing avec les journalistes M. Mustapha Benbada, ministre de la PME et de l’Artisanat, a évoqué la proposition présentée par l’Algérie de débattre du projet de charte arabe pour le développement du secteur de la PME. Cette plate-forme devant être adoptée par consensus s’inspire de la Charte européenne des PME, a précisé M. Benbada. Cette charte énonce un certain nombre de principes généraux. C’est un engagement politique pris par chaque pays de mettre en place les législations nécessaires ainsi que les structures et instruments devant contribuer à développer et améliorer le secteur de la PME. Il s’agit également de mettre en place les mécanismes de suivi et d’évaluation de ces politiques dédiées à la PME. Bien entendu chaque pays choisit les législations et les mécanismes qui l’intéressent. A travers l’échange des expériences, l’objectif est le renforcement de la compétitivité des industries arabes, l’acquisition du savoir-faire et des méthodes de travail qui ont fait la preuve de leur efficacité. L’innovation scientifique est un levier essentiel de la compétitivité des entreprises. Il s’agit de mettre à contribution les centres de recherche, les universités, les laboratoires pour promouvoir cette culture de l’innovation. M. Benbada a précisé que l’Algérie a donné son accord pour participer au Fonds arabe, nouvellement créé, et dont le Koweit a contribué dans le capital social pour un montant d’un demi-milliard de dollars. Pour sa part, le directeur de l’OADIM, M. Mohamed Benyoucef, a souligné la nécessité de coordonner les efforts, de trouver les instruments de coordination relevant qu’il y a une prise de conscience dans le Monde arabe pour développer la PME de sorte à relever le défi s’agissant de la lutte contre la pauvreté et le chômage. Dans sa présentation de la situation du secteur de la PME en Algérie, M. Benbada a noté que le secteur connaît une bonne croissance d’environ 10% par an, le nombre des PME étant évalué à fin 2009 à 455.000 et près de 170.000 activités artisanales.M. Brahim

Journée mondiale de sensibilisation à l'autisme



Une Journée pour apprivoiser l'autisme


L'autisme, troubles du spectre autistiques demeurent méconnus, alors que les neurosciences font de grands pas et que, surtout, il frappe un nombre impressionnant de gens dès les trois premières années de leur vie, selon un étude publiée à Genève à l'occasion de la Journée internationale de sensibilisation célébrée le 2 avril par L'organisation des Nations unies (Onu).


Cette journée a pour objectif de faire éclater la bulle d'indifférence des préjugés qui entoure ce mal génétique et exclut ceux qui en souffrent.Selon Nouchine Hadjikhani, professeur au Brain Mind Institute de l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), «un enfant sur 100 est touché par l'autisme et même un garçon sur 70», précisant que se sont «des troubles de plus en plus répandus, avec une progression de 500 à 600% en 15 ans».Elle indique que «cela s'expliquerait par une interaction entre des gènes et un mauvais environnement (pollution), mais on sait que ce trouble du développement du cerveau peut apparaître pendant la grossesse» faisant remarquer qu'«il est certainement génétique, puisqu'on connaît déjà entre 30 et 50 gènes».La neuroscientifique, qui est aussi colauréate du Prix Leenards 2010 pour ses recherche sur un gène associé à l'autisme et à l'obésité, explique qu'on ne peut diagnostiquer ce syndrome qu'à partir du comportement.Quant à Annemarie Chavaz, présidente de l'association «Autisme Suisse romande», elle relève que «le point commun est un trouble de la communication sociale, de la communication tout court, une certaine rigidité et des comportements répétitifs. Le diagnostic est difficile en raison des degrés variables de l'autisme qui va du génie, comme le grand pianiste canadien Glenn Gould au retard mental (60% des cas).Annemarie Chavaz fait remarquer que «quand on a un enfant autiste, on découvre qu'il est différent, qui se développe en dehors de ce qu'on connaît, pour lequel on n'a aucune référence par rapport à sa propre enfance ou à ses autres enfants. On ne sait pas pourquoi il est comme ça, on ne sait pas qu'en faire, on est perdu et on commence une errance de plusieurs années».Au sein de la Confédération helvétique, il faut en moyenne sept ans pour diagnostiquer un autiste, sept années perdues pendant lesquelles l'enfant n'est pas scolarisé et subit des thérapies inappropriées, ce qui crée beaucoup de souffrance, souligne la présidente d'«Autisme Suisse romande» pour laquelle «le diagnostic est souvent reçu comme une sorte de libération pour les parents puisqu'ils peuvent enfin mette un nom sur cette différence.S'il y a des troubles ou handicaps associés, cela se dépiste assez vite, mais c'est plus difficile si l'autisme est léger, d'autant plus que les pédiatres ne le connaissent pas bien.Face à ce qu'on prend pour de «simples» troubles du comportement, les parents ou l'enfant sont envoyés chez un psychiatre et si celui-ci «n'est pas compétent, il dira que l'enfant ne se développe pas parce qu'il y a des problèmes relationnels, si bien que cela culpabilise les parents», explique Nouchine Hadjikhani.Toutefois, elle pense que les psychiatres auront toujours un rôle différents à jouer, «puisqu'on sait que les autistes sont très angoissés et souffrent du rejet social, alors qu'ils peuvent les aider».En Suisse romande (francophone) et en France voisine, les associations mènent un combat inégal contre cette psychiatrisation de l'autisme pour des raisons historiques liées au développement de la psychanalyse qui a longtemps affirmé que les mères étaient responsables du comportement de leurs enfants.En fait, cette différence culturelle touche aussi la prise en charge, soutient Annemarie Chavaz, ajoutant que «les pays anglo-saxons et nordiques ont très vite reconnu la maladie, avec une définition et une prise en charge communes et précises, en y adaptant leurs institutions».Les auteurs de l'étude relèvent que, paradoxalement, la Suisse, pénalisée par son passé de pionnière en matière de prise en charge des handicapés et de densité des institutions, ne s'est pas adaptée à la prise en charge des autistes qui développent des troubles graves du comportement.«Il n'y a pas ou pas assez d'éducateurs formés et informés spécifiquement et, du reste, on a beaucoup de mal à trouver des formateurs», indique l'étude.«Les autistes me touchent parce qu'ils sont très entiers et ne peuvent mentir», confesse Nouchine Hadjikhani, indiquant qu'«en même temps, ils souffrent parce que, souvent, on les traite comme des retardés, alors que c'est simplement nos rituels sociaux qu'ils ne comprennent pas».



Par MAP

Maroc Casablanca théâtre festival




Festival
«Allons au théâtre» à Casablanca
Une quatrième édition plus ouverte et plus éclectique

Les portes des théâtres de Casablanca s'ouvrent de nouveau devant le public. Habitués à une rare activité, ces espaces censés être des scènes de création et de production renouent avec les amateurs du quatrième art, au moins pour les dix jours que durera la quatrième édition du festival « Allons au théâtre ».
Organisé par la Fondation des Arts Vivants du 9 au 18 avril, ce rendez-vous annuel qui célèbre le théâtre marocain revient pour redonner vie aux scènes de la ville, pousser les gens à s'y rendre en masse et passer de véritables moments de plaisir. Le festival lance encore une fois une invitation ouverte au public mais ne présente pas ses spectacles gratuitement. Les billets sont en effet de 20 DH et de 10 Dh pour les étudiants. La nouvelle directrice de la fondation, Amel Abou El Eezm, explique ce choix « Nous voulons que le public paye pour consommer l'art d'autant plus que les prix restent symboliques. » Visant à promouvoir le théâtre, honorer ses vétérans et encourager ses jeunes talents, «Allons au théâtre» propose un programme alléchant. Amal Ayouch, la directrice artistique du festival nous explique la ligne directrice «Nous avons choisi le meilleur de la scène nationale avec ses vétérans et grandes figures dont Abdeljebbar Louzir ou encore la troupe du théâtre national de Rabat avec Mohamed Al Jem, mais aussi les toutes dernières expériences venues enrichir le théâtre marocain créant une dynamique innovante. Pour la nouveauté de cette édition, nous présentons une pièce du théâtre amazigh « Taslit n uz'rou », un spectacle de rue et une rencontre autour de la scène théâtrale marocaine, de ses enjeux actuels et de ses perspectives. Nous invitons également des acteurs marocains de l'étranger.» Le menu de cette édition sert un cocktail varié qui regroupe tous les genres. La Fondation des Arts Vivants met à l'honneur le théâtre marocain dans sa diversité. Du théâtre populaire au théâtre moderne en passant par le burlesque, l'absurde, le théâtre de rue, le théâtre militant et des spectacles vivants… il y en a pour tous les goûts, pour les grands et les petits. En arabe, en français ou en amazigh, une quinzaine de spectacles dévoilera le meilleur des dernières créations théâtrales marocaines à Casablanca. En plus des théâtres du centre-ville et des quartiers périphériques, Allons au théâtre s'invite à la prison locale des femmes de Oukacha pour divertir une population qui ne peut la rejoindre. Assia Ouadii de la Fondation Mohammed VI pour la réinsertion des détenus déclare «La fondation considère que les prisonniers sont des citoyens comme les autres. Elle œuvre pour que les détenus profitent de tous les éléments pour une meilleure insertion dans le quotidien une fois qu'ils sont libres et l'art fait partie de ces éléments.» Casablanca accueillera également, et en avant-première, la troupe Dabateatr avec son produit phare « Khbar Fl'masrah » qui réjouira autant les nostalgiques de la verve des années 70 que les adeptes d'un Maroc qui bouge. «Li'fhamator» une adaptation originale de Ionesco, ou encore «3 nuits avec Madox» de Visniec une démarche où les comédiens décident de transgresser les règles de la scène pour venir jouer au plus près du public seront aussi de la fête. Le spectacle réunissant des Marocains d'ici et d'ailleurs «Douleur sous clé », les pièces «Tbourida», «Houwa», «Mama... tsabhi ala kheir», «âam nbeg », «Naker l'hssane» et bien d'autres œuvres théâtrales célèbrent le père des arts à Casablanca. Allons donc au théâtre !
Un festival engagéLe festival « Allons au Théâtre » consiste depuis plusieurs années à programmer les nouvelles créations théâtrales marocaines pour adultes et enfants dans différents espaces culturels de Casablanca. Le festival escompte ainsi de nombreux objectifs. Il cherche d'abord à dynamiser les offres culturelles et créer une ambiance artistique au sein de la ville de Casablanca, à drainer le public vers les théâtres en lui proposant des spectacles de qualité à des prix subventionnés, à encourager la créativité en donnant aux talents la possibilité de s'exprimer et favoriser la création de réseaux autour du théâtre. Ouvert à tous les publics, ce festival présente tous les genres du théâtre sans exception. Il répond ainsi à la célèbre citation de Jules Renard qu'il reprend comme une devise. « Nous voulons de la vie au théâtre, et du théâtre dans la vie.”