阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, October 23, 2008

Gabin Bourvil Defunès Youtube


Un amour pour la vie Youtube


Rennes session du parlement européens





Présidence française : Plus de 300 jeunes à Rennes pour la session du Parlement européens des Jeunes
[Fenêtre sur l'Europe]
Dès le vendredi 24 octobre, Rennes accueille, pendant 10 jours, la 59e Session internationale du Parlement Européen des Jeunes.
Inscrite au programme officiel de la Présidence française de l’Unioneuropéenne et placée sous le Haut Patronage de M. Nicolas SARKOZY, cette session réunira plus de 300 jeunes d’une trentaine de pays d’Europe. Ces jeunes viennent débattre des questions d’actualité européenne, mettant leur diversité culturelle au service du débat.Des activités culturelles sont également prévues afin de favoriser une meilleure connaissance mutuelle et le réveil de la citoyenneté européenne parmi les jeunes.Xavier DARCOS, Ministre de l’Education nationale, interviendra lors de l’ouverture officielle de cet événement, le lundi 27 octobre dès 9h00 aux Champs Libres, grand établissement culturel rennais. Le Ministre échangera avec les jeunes parlementaires jusqu’à 10h45 sur les enjeux de l’Unioneuropéenne. Un échange qui s’annonce comme l’un des moments forts de la Présidence française de l’Union européenne.Enfin, à cette occasion, Xavier DARCOS et Guillaume BORIE, Président du Parlement Européen des Jeunes – France, signeront une convention-cadre de partenariat entre le Ministère de l’Education nationale et l’association.Pour plus d'informationshttp://www.rennes08.com/http://www.pejfrance.org/

TV squad


Energie des algues





Les algues : 70 md de litres de carburant potentiel
(src : Carbon Trust)
La société britannique Carbon Trust lance aujourd'hui un appel à projets pour le développement des biocarburants issue de la culture des algues. L'objectif : parvenir à commercialiser cette solution alternative d'ici 2020.
A partir de 2020, les biocarburants d'algues pourraient remplacer une proportion significative de carburant fossile dans les transports terrestres et aériens, estime la société Carbon Trust.
Avec à la clé, une réduction des émissions du CO2 évaluée à plusieurs millions de tonnes par an et la création d'une nouvelle filière industrielle. Plus précisément, Carbon Trust évalue à 70 milliards,le nombre de litres de combustibles fossiles qui pourraient être remplacés, soit 12% de la consommation du transport aérien, ou 6% du diesel automobile. Ce qui représenterait une économie annuelle en termes de carbone de plus de 160 millions de tonnes au niveau mondial, et une valeur de marché de 19 milliards d'euros.
"Nous devons trouver une alternative rentable et durable au pétrole utilisé dans nos avions et voitures, si nous voulons réaliser les profondes réductions d'émissions nécessaires pour lutter contre le changement climatique, explique le Dr Mark Wiliamson, directeur des Innovations chez Carbon Trust.
Pour le ministre des transports, Andrew Adonis, "ce projet démontre l'engagement [du gouvernement] à faire en sorte que les biocarburants de deuxième génération soient vraiment durables, et à approfondir notre compréhension du potentiel des microalgues dans le cadre du développement de carburants renouvelables"
En cas de succès de l'expérimentation, la culture des algues offrirait un rendement par hectare 6 à 10 fois supérieur à celui des biocarburants conventionnels, tout en réduisant de 80% les émissions de carbone par rapport aux combustibles fossiles. Les algues ont également l'avantage de ne pas nécessiter de terres arables, et d'utiliser l'eau de mer ou des eaux usées.
Cet appel à projet est mené dans le cadre du Défi pour le Carburant Algal, destiné à accélérer la commercialisation de cette technologie en deux phases. Carbon Trust est une entreprise financée par le ministère de l'énergie et le département des Affaires ainsi que par les gouvernements écossais, gallois et nord-irlandais.
La première phase du projet accordera des subventions à la recherche, notamment à la sélection des espèces destinées à la production en étangs ouverts. Les algues choisies devront offrir un maximum de biomasse exploitable et une efficacité de conversion optimale de l'énergie solaire. La recherche portera également sur la mise au point des modes de culture.
La deuxième phase devrait voir la construction d'un étang d'essai et de démonstration. Elle visera à démontrer la viabilité industrielle et commerciale du procédé.
L'appel à proposition est ouvert aujourd'hui, ses conditions sont consultables en ligne.

European elections 4/7 june 2009


élections européennes 2009 Alain Hutchinson entretien


Google code source d'Android






développement
Google publie le code source d'Android
Le jour de la mise en vente du G1, de HTC, le premier téléphone portable sous Android, Google a mis à disposition l'intégralité du code source de son système d'exploitation pour mobiles.
Stéphanie Renault, 01net., le 22/10/2008 à 17h10


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Le G1, le premier téléphone portable équipé du système d'exploitation (OS) Android, a-t-il provoqué le même engouement aux Etats-Unis que l'iPhone, lors de son lancement ? La réponse est tombée hier. C'est non ! Si les 95 villes américaines qui ont eu la primeur du G1 ont vu des files de geeks impatients devant les magasins T-Mobile, l'effervescence semble, d'après nos informations, ne pas atteindre celle provoquée par le joujou d'Apple.
Qu'à cela ne tienne ! Google a prévu autre chose pour satisfaire ses fans. Le moteur de recherche vient de publier l'intégralité du code source de son OS. Les développeurs, les constructeurs et toute personne qui souhaiterait construire son propre téléphone n'ont qu'à se rendre sur le site Web open source Android Project pour télécharger l'ensemble de la documentation. Contributions et rapports de bogues trouvent leur place sur le site communautaire.
Quant à ceux qui souhaiteraient développer des applications pour ces téléphones, qu'ils continuent de se rendre sur le site pour les développeurs d'Android. Avec cette publication, Google suit les traces de Nokia, qui a publié le code source de son OS pour mobiles (Symbian) au mois de juillet 2008.
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L'inde dans la Lune





L'Inde dans la Lune
(Agence Science-Presse) - Quel est le point commun entre le premier engin spatial indien lancé aujourd’hui vers la Lune, le vol spatial chinois habité du mois dernier et le programme de retour sur la Lune de la NASA? Le point commun: la politique.
Il faut savoir que le programme spatial indien est âgé de... 39 ans. À la grande surprise de la majorité des Occidentaux, qui n’en entendent vraiment pas souvent parler. Or, pendant ces 39 années, il s’est presque entièrement consacré à un usage pratique de l’espace: météorologie, télédétection et télécommunications, incluant un réseau de télémédecine et de télé-enseignement reliant ses régions éloignées et qui ferait l’envie de bien des pays riches.
Avec la sonde Chandrayaan, lancée à l’aube du 22 octobre, l’Agence spatiale indienne (ISRO) brise la tradition « pratico-pratique » pour privilégier le prestige politique. La sonde, qui cartographiera la surface lunaire et ses ressources pendant les deux prochaines années, larguera surtout un « impacteur » qui, avec son petit drapeau indien, ira s’écraser sur notre satellite —en faisant ainsi le quatrième pays de l’histoire à se « poser » là-haut : après les États-Unis, l’URSS, le Japon... et avant la Chine.
Si les autorités indiennes insistent depuis longtemps pour prétendre qu’ils ne se sentent pas impliqués dans une « course à la Lune » avec la Chine (voir ce texte), les déclarations des dernières semaines, en revanche, insistent beaucoup sur le fait que la sonde indienne accomplira sa mission pour 79 millions$, un sixième du coût d’une mission américaine similaire.
Au-delà de cette rhétorique, le programme spatial indien se démarque de ses comparses américains, soviétiques et même chinois : il n’est pas né comme une extension de programmes militaires. « Parce qu’il s’est développé plus tard, il a dû être justifié en terme de retombées sociales », explique un ancien administrateur de l’ISRO au quotidien américain Christian Science Monitor.
Une relève de la garde?Les observateurs n'ont pas manqué de remarquer que les succès indien de cette semaine et chinois du mois dernier, surviennent au moment où les États-Unis semblent n’aller nulle part : leurs navettes spatiales sont proches de la retraite, le sort de la station est entre les mains des Russes, et le programme de retour sur la Lune demeure mal défini. L’avenir de l’exploration spatiale se lève-t-il en Asie?Le budget de l’agence spatiale indienne (ISRO) correspond au dixième de celui de l’agence spatiale américaine (NASA). Une synthèse de ce nouveau phénomène : La course à la Lune, chapitre deux Perspective d’avenir : 100 ans après SpoutnikChandra veut dire “Lune” et Yaan, “véhicule”. Voir le (modeste) site web de l’ISRO
C’est ainsi que les besoins proprement indiens ont prévalu —améliorer les conditions de vie d’une population très pauvre, soumise à des variations climatiques parfois extrêmes, et dont plus de 600 millions (plus de la moitié de la population du pays) vit dans des régions rurales, certaines très en retard économiquement parlant. Depuis les années 1970 :
- des satellites de télédétection ont analysé la surface du pays, à la recherche de nappes d’eau souterraines; - des satellites de communication ont rejoint des écoles loin des grands centres;- même de futurs ingénieurs, dans des collèges éloignés, profitent de la « télé-présence » d’enseignants des grandes villes, plusieurs heures par jour;- et des patients trop pauvres pour se rendre en ville ont peuvent rencontrer virtuellement des médecins via satellite.
Cette ère de l’usage exclusivement pratique de l’espace est-elle terminée? Chose certaine, les médias parlent déjà, cette semaine, d’une mission indienne habitée vers la Lune vers 2014 ou 2015 —soit, là aussi, avant les Chinois, qui en prévoient une pour la fin de la décennie 2010. Mais les autorités indiennes asssurent que la décision de lancer un programme de missions habitées dans l’espace n’a pas encore été officiellement prise.
Pascal Lapointe

Elections américaines





Elections américaines : La préférence pour Barak Obama progresse encore chez les Européens
[Fenêtre sur l'Europe]
Alors que les électeurs américains se prononceront en faveur de Barack Obama ou John McCain dans un peu moins de quinze jours, la préférence des Européens pour le candidat démocrate à la présidence des États-Unis a encore progressé.
Le dernier sondage Toluna - leader des panels et technologies d’études de marché en ligne - atteste la préférence des Européens por le sénateurs l'Illinois en me créditan de 73% d'intentions de vote contre 10% pour le sénateur de l'Arizona.. Seuls 17% d'entre eux rejettent maintenant les deux candidats sous la pression de la crise financière.Comparé à la précédente vague du baromètre Toluna, le candidat démocrate à la Maison Blanche, enregistre une progression de 6 points en Europe, devançant largement son adversaire républicain John McCain.La progression du candidat démocrate se fait principalement auprès des personnes qui rejetaient auparavant les deux adversaires de la prochaine élection. Cette conversion est particulièrement nette au Royaume-Uni où les inquiétudes sur la crise actuelle sont fortes : seuls 6 % des répondantsrefusent désormais de se prononcer en faveur d’un des deux candidats.leurs propres panels.Pour plus d’information : http://www.toluna-group.com/fr/