阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, November 05, 2008

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Calogero Youtube


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Déficits publics 2010



Déficits publics: L'objectif d'équilibre budgétaire en 2010 abandonné.
[Fenêtre sur l'Europe]
En raison de la crise économique les ministres des Finances de la zone euro (Eurogroupe) renconcent à l'objectif qu'ils s'étaient fixé d'un retour à l'équilibre budgétaire au plus tard en 2010.
Il était difficile de faire autrement, les mauvaises prévisions de Bruxelles sur la croissance en Europe laissaient augurer une montée des déficits budgétaires. D'ailleurs, ainsi que l'a indiqué le Premier ministre français François Fillon sur France Inter, "c'est ce que le pacte de stabilité de la zone euro prévoit, puisqu'il prévoit qu'en cas de circonstances exceptionnelles on peut aller au-delà des 3%." Les ministres des Finances de la zone euro ont donc officiellement abandonné l'objectif de l'équilibre en 2010. Le commmissaire européen Joaquin Alemunia n'entend pas pour autant renoncer aux procédures pour déficit excessif contre le déficit des pays qui ne serait "ni proches ni temporairement" au-dessus du seuil de 3%. Visant particulièrement la France, le commissaire européen a déclaré que, si ses prévisions se vérifient, celle-ci aura, à un certain moment, "la nécessité de mesures additionnelles à prendre."

Erasmus




Enseignement : Erasmus ne fait pas le plein en France
[Fenêtre sur l'Europe]
Quelque 4.000 bourses Erasmus, destinées aux étudiants français partant dans une université européenne, n'ont pas été délivrées en 2008 faute de candidats.
"Vingt-sept mille bourses étaient proposées. Seules 23.000 ont été pourvues. Quatre mille n'ont "surprenamment" pas trouvé preneurs", a déclaré la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, à Nancy, où se tenait mardi et mercredi un colloque européen sur la mobilité dans l'enseignement supérieur.Cependant environ 4,5% des étudiants français accèdent à la mobilité Erasmus au cours de leurs études, contre une moyenne de 3,5% au niveau européen, selon un document du ministère. Mais la ministre a regretté que mobilité internationale ne concerne qu'une une minorité d'étudiants "initiés et aisés".Valérie Pécresse a, toutefois, annoncé le doublement du nombre des bourses de mobilité pour favoriser les échanges.

Google renonce Yahoo





Google renonce à son partenariat avec Yahoo! sur la publicité

NEW YORK (AFP) — Le géant américain de l'internet Google a annoncé mercredi qu'il renonçait au partenariat commercial avec son rival Yahoo! qu'il avait dévoilé en juin, en raison des difficultés à convaincre les autorités de la concurrence du mérite de cet accord.

"Il est clair que l'accord continuait à inquiéter les autorités de régulation et certains annonceurs", a expliqué sur le blog officiel du groupe le directeur juridique David Drummond.

"Perséverer risquait non seulement de lancer une longue bataille juridique, mais aussi de nuire aux relations établies avec des partnaires établis. Cela n'aurait pas été dans l'intérêt à long terme de Google ou de nos utilisateurs. Donc, nous avons décidé de mettre fin à l'accord", a ajouté M. Drummond.

Un partenariat sur dix ans avait été annoncé en juin alors que Yahoo! était en plein bras de fer avec le géant informatique Microsoft, qui voulait le racheter. Il aurait permis notamment à Yahoo! d'afficher sur ses pages des liens sponsorisés négociés par Google, et de partager les revenus.

Mais son entrée en vigueur avait dû être retardée en raison des objections soulevées par les autorités de la concurrence, auxquelles, selon le Wall Street Journal de lundi, Google et Yahoo avaient présenté une proposition amendée.

A eux deux, Google et Yahoo! encaissent plus de 50% des recettes mondiales de la publicité en ligne. Notamment, ils contrôlent ensemble 75% des recherches sur internet et des recettes publicitaires qui en découlent.

Quelques minutes après cette annonce, l'action Yahoo! gagnait 5,25% à la Bourse, à 14,03 dollars. Celle de Google cédait 1,81% à 360,31 dolllars.

Union pour la Méditerranée Barcelone/Espagne






Le siège du secrétariat de l'Union pour la Méditerranée sera à Barcelone

2008-11-05 08:23:40

MARSEILLE (France), 4 novembre (Xinhua) -- La conférence ministérieulle "Processus de Barcelone : Union pour la Méditerranée" à Marseille, en France, a décidé mardi que le siège de l'Union pour la Méditerranée (UPM) sera à Barcelone, en Espagne.
Il est également décidé que la Ligue arabe participera à toutes les réunions de tous les niveaux du processus de Barcelone, selon une déclaration finale publiée à l'issue de la conférence de deux jours lundi et mardi à Marseille, à laquelle ont participé les ministres des AE des pays de l'UE et d'autres pays méditerranéens non européens.
Le principe de la coprésidence de l'UPM s'appliquera sur tous les niveaux, du sommet jusqu'aux réunions des experts si possible, affirme la déclaration. Du côté de l'UE, la coprésidence sera " compatible avec la représentation extérieure" conformément au traité pertinent, et du côté des partenaires non européens, le coprésident sera choisi par consensus pour un mandat de deux ans non renouvelables.
Un comité permanent conjoint sera établi à Bruxelles, pour aider les réunions de hauts fonctionnaires chargés de traiter tous les aspects de l'initiative. Le secrétariat informera le comité permanent conjoint et rend compte aux hauts fonctionnaires. Un secrétaire général et cinq secrétaires généraux adjoints seront choisis par les hauts fonctionnaires par consensus. Le financement du secrétariat sera assuré par une subvention répartie de manière "équilibrée", sur une "base volontaire" et le "budget communautaire".
La conférence ministérielle de Marseille, suite au sommet de Paris en juillet, a imprimé une nouvelle dynamique politique aux relations euro-méditerranéennes, indique la déclaration finale.
En plus des décisions institutionnelles, un programme de travail pour 2009 a été adopté, prévoyant une série de réunions ministérielles dans divers domaines, tels que l'eau, le développement durable, les transports, l'énergie, l'environnement, l'enseignement, l'économie, les affaires étrangères, l'humanitaire et le social, l'agriculture et la sécurité alimentaire.
Les ministres ont également fait état des progrès dans la mise en oeuvre des projets prioritaires fixés lors du sommet de l'UPM à Paris.

Union pour la Méditerranée Algerie





La France arrache un accord global sur l'Union pour la Méditerranée
LE MONDE 05.11.08 13h51

MARSEILLE ENVOYÉE SPÉCIALE
C'est une victoire à l'arraché qu'a emportée la France, mardi 4 novembre, à Marseille, au deuxième et dernier jour de la conférence des ministres des affaires étrangères du "Processus de Barcelone : Union pour la Méditerranée". Un accord global a été trouvé sur trois points clés. Barcelone abritera le siège du secrétariat de l'UPM. La Ligue arabe est admise au sein de la nouvelle organisation (avec un statut cependant assez vague). Et Israël obtient un poste de secrétaire général adjoint.


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Visiblement exténués, les Français ne cachaient pas leur soulagement, mardi soir. Ils avaient frôlé l'échec. La veille, l'UPM butait sur la question du Proche-Orient. Et puis, coup de théâtre. Bernard Kouchner, le chef de la diplomatie française, propose "l'impossible", selon l'expression de l'un des participants : qu'Israël se voie accorder un secrétariat général adjoint en échange de la participation de la Ligue arabe à toutes les réunions de l'UPM. Etonnament, les pays arabes ne s'indignent pas. "Personne n'a osé dire non. Chacun attendait que le voisin tempête !", raconte un témoin.
En réalité, l'Algérie proteste, mais elle obtient du ministre français que ses "réserves" soient inscrites dans la déclaration finale. On l'assure en outre que la fonction d'Israël sera débattue ultérieurement par les deux coprésidents de l'UPM, Nicolas Sarkozy et Hosni Moubarak. La Syrie, quant à elle, ne bronche pas, sans doute parce qu'elle a obtenu satisfaction sur un point qui lui tenait à coeur : que le siège de l'UPM soit à Barcelone, et non à Tunis. "En réalité, nous ne voulions pas jouer les trouble-fête et mettre nos amis français dans l'embarras", affirme-t-on, côté syrien.
Pour sortir de l'impasse, la France aura distribué sans compter les lots de consolation. Cinq - voire six - postes de secrétaire général adjoint ont ainsi été créés. L'Autorité palestinienne en obtient un, de même que la Grèce, l'Italie, Malte, et probablement la Turquie, sans compter Israël. Le poste de secrétaire général, en revanche, reste vacant. La Tunisie a déclaré forfait, supportant mal de s'être fait rafler le siège de l'UPM par Barcelone. Pour manifester sa mauvaise humeur, Tunis a refusé de briguer la fonction, comme il était prévu. Et à Marseille, elle n'avait pas dépêché son ministre des affaires étrangères mais un secrétaire d'Etat. Le message a été reçu par Bernard Kouchner, qui a émis le souhait publiquement, mardi, que la Tunisie change d'avis. Pour l'heure, seule la Jordanie s'est portée candidate, mais l'Algérie examinerait, elle aussi, cette éventualité.
Si Israël ne cache pas sa satisfaction, les pays arabes font preuve en coulisse d'un enthousiasme très mesuré. "C'est une bonne réunion, mais qu'on ne parle pas d'accord historique ! Nous avons besoin de d'éclaircir un certain nombre de questions qui n'ont pas fait l'objet de consensus", déclarait le ministre algérien des affaires étrangères, Mourad Medelci, mardi soir, dans une allusion à Israël.
La délégation française, elle, se félicitait que Bernard Kouchner ait réussi à mêler "talent et chance". Un consensus a même été trouvé sur la question controversée de la coprésidence française de l'UPM, après la fin du mandat de la France à la tête de l'Union européenne le 1er janvier. Les Tchèques, qui prendront le relais, partageront leur fauteuil avec Paris pendant dix-huit mois. Enfin, le nom du projet si cher à Nicolas Sarkozy se simplifie et devient l'"Union pour la Méditerranée". Cadeau de remerciement de l'Espagne, satisfaite d'obtenir le siège de l'UPM.
Florence Beaugé

le President Obama Energie Environnement





Obama : ce qui va changer dans l'énergie
(src : discours du candidat Obama)
Barack Obama est officiellement élu 44ème Président des Etats-Unis : un événement qui devrait marquer un changement majeur dans la politique énergétique de la première puissance mondiale. Si le futur Président américain tient ses promesses, les Etats-Unis devraient se lancer dans la lutte contre le réchauffement climatique au sein de l'ONU, réduire considérablement leur dépendance à l'égard des pays exportateurs de pétrole, ainsi que leur consommation énergétique.
6 objectifs principaux ressortent du programme énergétique que devra appliquer le futur Président :
Aider les foyers américains à faire face à la flambée des prix à la pompe
Aider à la création de 5 millions d'emplois par le biais de 150 milliards d'investissement dans les 10 ans, consacrés aux énergies propres
Economiser davantage de pétrole que le pays n'en importe actuellement du Moyen-Orient et du Vénézuela
Mettre un million de véhicules hybrides sur les routes d'ici 2015, tout en s'assurant qu'elles soient construites en Amérique.
Assurer 10 % de la production électrique en provenance de sources renouvelables d'ici 2012, et 25% en 2025.
Mettre en place un programme d'échange de quotas de CO2 pour réduire de 80 % les émissions d'ici 2050

A court terme :
Aider les foyers américains à faire face à la flambée des prix énergétiques
Face à la flambée des prix du carburant à la pompe, et aux diffultés économiques, le programme de Barack Obama promettait de mettre à contribution les bénéfices record des entreprises pétrolières pour fournir des aides d'urgence de 500 $ par personne. Une aide sera également consacrée aux ménages pour le chauffage et l'isolation.
Le futur Président prévoit également un plan "agressif" pour lutter contre la spéculation pétrolière, en garantissant transparence et régulation. Les réserves stratégiques seront utilisées pour limiter la hausse des cours.
A moyen et long terme :
prendre part à la lutte contre le réchauffement climatique
Pour limiter la dépendance aux importations et lutter contre les changements climatiques, Barack Obama a présenté le développement des énergies propres comme un "devoir moral, environnemental, économique et de sécurité".
Réduction des émissions de GES
La réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) américaines passera par la mise en oeuvre d'un programme de plafonnement et d'échanges de quotas d'émissions, avec un objectif de 80% de réduction des GES d'ici 2050 par rapport aux niveaux de 1990. Les crédits de pollution seront mis aux enchères pour stimuler une économie 'propre', et concernera l'ensemble de l'industrie.
Une partie des bénéfices (15 milliards de dollars) de ce système sera consacré à l'amélioration de l'efficacité énegétique, à l'émergence de la prochaine génération de biocarburants et celle de véhicules propres. Une partie sera égaement consacrée à la préservation de la faune.
Barack Obama promet de renouer avec la Convention-cadre des Nations unies sur le changement climatique (CCNUCC), et d'encourager les Pays émergents comme la Chine et le Brésil à suivre le mouvement mondial de lutte contre le changement climatique.
Nouvelles énergies
Une partie des recettes du systèmes d'échange du CO2 sera consacré à la recherche, au développement et au déploiement de technologies à bas niveau de carbone.
Le secteur de l'environnement et des nouvelles énergies représente une gisement de 5 millions d'emploi, selon Barack Obama, auxquels seront consacrés 150 milliards d'euros au cours de la prochaine décennie.
Ce budget servira à canaliser les efforts privés en direction des véhicules hybrides, à promouvoir les énergies renouvelables à une échelle commerciale, les centrales charbon à faible émission de CO2, la nouvelle génération de biocarburants, et à amorcer la transition vers un système de distribution électrique intelligent. Ce développement s'accompagnera d'un programme de formation dans les métiers correspondants, en particulier à destination des jeunes et des anciens combattants.
Un milliard de dollars supplémentaires seront consacrés chaque année à la recherche, le développement et au déploiement de technologies de pointe.
Des véhicules plus propres
Présenté comme l'une des priorités, la réduction de la consommation du carburant des véhicules devra être équivalente au niveau d'importation de l'or noir en provenance du Moyen-Orient et du Vénézuela, a promis le candidat.
Pour cela, les Etats-unis devront renforcer les normes d'efficacité des carburants, de l'ordre de 4% par an. Un plan qui devra permettre d'économiser à lui seul près de deux milliards de litres de carburant.
Autre objectif : mettre sur le routes 1 million de voitures hybrides d'ici 2015. Un crédit d'impôt de 7 000 $ sera mis en place pour l'achat de tels véhicules. D'ici un an, l'ensemble de la flotte de véhicules de la Maison blanche sera constitué de véhicules électriques (sous réserves de conditions de sécurité), et la moitié des véhicules achetés par le gouvernement fédéral sera hybride ou tout électrique d'ici 2012.
4 milliards en crédits d'impots et garanties de prêts seront consacrés aux usines et fabricants d'équipements automobiles, afin de garantir des véhicules propres "made in USA".
La réduction de la consommation de carburant fossile passera également par la promotion de biocarburant durable. L'éthanol cellulosique, le biobutanol et d'autres technologies alternatives au pétrole seront développés et intégrés dès que possible. La prodution devra dépasser les 200 milliards de litres di'ci 2030.
Le Président mettra en place un Conseil national des normes de carburant à faible émission de carbone, pour accélérer la mise en place des alternatives. Il veillera à ce que les fournisseurs de combustibles réduisent de 5% dans les 5 ans et de 10 % dans les 10 ans la teneur en carbone des carburants, tout en veillant à l'impact sur l'environnement.
Exploiter l'or noir américain
Les Etats-Unis renforceront la production pétrolière et gazière sur leur sol. 25 millions d'hectares à l'intérieur des terres et 16 millions en mer seront rendus accessibles au forage, "sans pour autant nécessiter l'ouverture de zones protégées". Les compagnies qui possèdent des champs non exploités devront les employer ou les céder à une autre compagnie.
Priorité est donnée à la construction du gazoduc d'Alaska, projet lancé en 1976. il devrait offrir une capacité de transport de 4 milliards de pieds cubes de gaz naturel par jour, soit 7 % de la consommation américaine actuelle.
85 milliards de barils de pétrole seraient exploitables actuellement sur le territoire américain dans les champs existants, tout en offrant des espaces pour la séquestration du carbone.
Diversifier les sources d'énergie
10 % de l'énergie consommée aux Etats-Unis devra provenir de sources "propres et durables" comme l'énergie solaire, éolienne et géothermique d'ici 2012.
Des exigences nationales devraient stimuler l'investissement privé et créer des milliers de nouveaux emplois, en particulier dans les milieux ruraux. Ainsi le crédit d'impot fédéral sera-t-il étendu pour les cinq prochaines années.
Les incitations vers le secteur privé seront également consacrées aux centrales charbon à 'zéro-émission" afin d'en assurer la viabilité commerciale, ainsi qu'au piégeage et stockage du carbone. Le DOE participera directement à 5 projets pilotes.
L'énergie nucléaire est considérée comme incontournable pour réduire les émissions de carbone du pays. Cependant, le futur président insiste sur la nécessité de se pencher sur les questions de sécurité du combustible nucléaire et de ses déchets, sur leur stockage et la prolifération nucléaire.
Renforcer l'efficacité énergétique
B.Obama fixe un objectif de réduction de 15% de la consommation energétique par rapport aux prévisions du DOE pour 2020. Celui-ci table sur une augmentation de la consommation de 1,1% par an au cours des prochaines décennies.
Ce plan devra permettre une économie de 130 milliards de dollars, et une réduction des émissions de CO2 de plus de 5 milliards de tonnes d'ici 2030, tout en créant de l'emploi. Une parite de ces objectifs sera atteinte par les services publics, ainsi que par des normes sur le bâtiments et les appareils électriques.
Ainsi, tous les nouveaux bâtiments devront être neutres en carbone d'ici 2030. Les bâtiments anciens devront voir leur consommation réduite de 50 % au cours de la prochaine décennie , et le bâti existant de 25%. Le DOE sera doté de nouveaux moyens pour appliquer les normes actuelles non respectées.
Le grouvernement fédéral devra également revoir à la baisse sa propre consommation, par une augmentation de l'efficacité des nouveaux bâtiments fédéraux de 40% sur 5 ans, et 25% pour les bâitments anciens. Cela, pour parvenir à 15% de réduction de la consommation d'ici 2015.
L'augmentation de la part d'énergies renouvelables nécessitera d'importantes rénovations du système de transmission électrique. Une Commission de modernisation sera mise en place, pour améliorer la sécurité et la fiabilité du réseau par une vaste plan d'investissement.

OBAMA
ETATS-UNIS
PETROLE
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HYBRIDES

Google Yahoo





Google et Yahoo proposent une version light de leur accord publicitaire

Les deux groupes ont fait parvenir ce week-end aux autorités américaines de la concurrence une nouvelle version bridée de leur accord publicitaire. L'objectif est d'éviter une action antitrust.

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Google et Yahoo sont bien décidés à faire leur possible pour éviter une action antitrust. Selon le "Wall Street Journal", les deux groupes américains ont amendé leur projet de partenariat publicitaire pour en réduire à la fois la portée et la durée. Cette nouvelle version de l'accord a été envoyée durant le week-end au département américain de la Justice.

Les deux sociétés se seraient accordées pour limiter les revenus de Yahoo tirés de cet accord à 25 % du chiffre d'affaire global du portail violet sur le search. Jusqu'à présent, l'accord ne prévoyait pas de limitation en matière de chiffre d'affaires généré. La durée de ce partenariat serait par ailleurs réduite à deux ans, alors que la version originale de l'accord portait sur une décennie. Google donnera également la possibilité aux annonceurs de refuser que leurs liens sponsorisés soient diffusés sur Yahoo.

Ce partenariat publicitaire, annoncé en juin (lire Yahoo fait allégeance à Google, du l'article 16/06/2008), devait permettre à Yahoo d'utiliser la plate-forme de liens sponsorisés de Google sur une partie de son portail, afin d'optimiser sa monétisation. Cet accord, non exclusif, est censé rapporter 800 millions de dollars par an à Yahoo, qui se laisse la possibilité de signer d'autres partenariats du même type avec d'autres régies de liens sponsorisés.

En proposant de telles concessions, les deux groupes espèrent calmer les autorités américaines de la concurrence. Au début du mois de septembre, le département américain de la Justice, dont dépendent les autorités de la concurrence, a embauché le juriste spécialisé sur les situations de monopole Sanford Litvack, pour monter un dossier en vue de bloquer l'accord passé entre Google et Yahoo.

Les partenaires espèrent également rassurer les annonceurs, qui redoutent que Google et Yahoo ne s'arrogent ainsi plus de 90 % du marché de la publicité en ligne. Cette crainte a été renforcée par les déclarations de certains concurrents de Google, et Yahoo. Au premier rang, Microsoft, qui dénonçait quelques jours après l'annonce du partenariat entre ses deux rivaux une entente sur les prix et donc une réduction de la concurrence dans la publicité en ligne.

Si les deux groupes sont prêts à faire de telles concessions, c'est que ni l'un ni l'autre ne sortirait indemne d'une action antitrust. Yahoo en particulier. Avec un bénéfice net au troisième trimestre en chute de 64 % sur un an, à 54 millions de dollars, le portail a récemment annoncé qu'il allait supprimer au moins 10 % de ses effectifs, soit 1 500 personnes.

Le blocage de cet accord par l'administration américaine serait surtout un mauvais signe pour Jerry Yang, le co-fondateur et actuel PDG de Yahoo. C'est justement grâce à cet accord passé avec Google que Jerry Yang avait réussi à repousser les avances de Microsoft et rassurer une partie des actionnaires de Yahoo, favorables une cession au fabricant de systèmes d'exploitation. Le co-fondateur du portail a donc absolument besoin d'un aval des autorités américaines, même sur un accord au rabais.

Déjà, l'activiste boursier Carl Icahn, fait à nouveau parler de lui. Entré au capital de Yahoo au printemps pour tenter, en vain, de forcer la revente à Microsoft, le milliardaire (qui détient 4,3% de Yahoo) avait cependant obtenu plusieurs sièges au conseil d'administration de Yahoo. Lundi 3 novembre, celui qui fut un des leaders de l'insurrection des actionnaires contre la direction de Yahoo, indiquait sur CNBC qu'un partenariat entre Microsoft et Yahoo méritait toujours d'être étudié.

En attendant la décision finale des autorités de la concurrence, Yahoo semble déjà chercher une autre échappatoire à Microsoft. Le groupe envisagerait une fusion avec AOL (lire Yahoo et AOL étudient l'intérêt d'une fusion, du 30/10/2008). Les deux sociétés auraient engagé depuis deux semaines des discussions pour voir comment les activités d'AOL pourraient être intégrées à celles de Yahoo. Des discussions avaient déjà été engagées entre le groupe de Jerry Yang et la maison mère d'AOL en mars-avril... pour échapper à l'OPA de Microsoft.
Benoît Méli, Journal du Net