Le Président Bouteflika attendu sur le chantier le 5 juillet : comment va fonctionner le Métro d’AlgerPar sonia lyes , le 21/06/2009 réactions : 16 Les Algérois découvriront bientôt leur métro. La mise en service de la première ligne aura lieu dans les prochains mois, au plus tard début 2010, selon les prévisions du ministère des Transports. Le président Abdelaziz Bouteflika devrait prendre pour la première fois le Métro d'Alger le 5 juillet. Les préparatifs de la visite du chef de l'Etat sont en cours depuis plusieurs jours. Le groupement Siemens-Vinci-Caf s'affaire en effet à achever les travaux de finition et multiplie les essais de circulation de trains. Constituée de dix stations, cette ligne reliera la Grande Poste à Hai El Badr, en passant par Khelifa Boukhalfa, la place du 1er mai, Aissat Idir, El Hamma, le jardin d'Essai, les Fusillés, la cité Amirouche et la cité Mer et Soleil. Les dix stations de la « Ligne1 » du métro d'Alger seront surveillés par un important dispositif de sécurité constitué de 400 policiers, une centaine d'agents RATP El Djezair et des caméras de surveillance, selon des sources proches de l'Entreprise du métro d'Alger (EMA). Le français RATP est en charge de l'exploitation et de la maintenance du métro d'Alger durant une période de huit ans à partir de sa mise en service.Cet important dispositif de sécurité est destiné à prévenir d'éventuels attentats terroristes et à lutter contre la délinquance. La sécurité dans le métro constitue en effet la principale préoccupation des Algérois. La capitale pourrait être ciblée par les groupes terroristes et la délinquance est fortement présente dans ses rues. Elle a pris ces dernières années des proportions alarmantes, avec la multiplication des vols et des agressions. Les trains ont été fabriqués par le groupe espagnol CAF. Les dessertes des stations se feront à un rythme d'une rame toutes les trois minutes, dans une première étape, et circuleront de 5H jusqu'à 23H30. Les rames sont constituées de six voitures chacune pouvant transporter jusqu'à 1290 passagers dont 210 en places assises. Les quatorze rames qui circuleront sur la « Ligne1 » de ce métro peuvent transporter entre 150.000 et 200.000 voyageurs par jour.
Thursday, June 25, 2009
Métro Alger info
Le Président Bouteflika attendu sur le chantier le 5 juillet : comment va fonctionner le Métro d’AlgerPar sonia lyes , le 21/06/2009 réactions : 16 Les Algérois découvriront bientôt leur métro. La mise en service de la première ligne aura lieu dans les prochains mois, au plus tard début 2010, selon les prévisions du ministère des Transports. Le président Abdelaziz Bouteflika devrait prendre pour la première fois le Métro d'Alger le 5 juillet. Les préparatifs de la visite du chef de l'Etat sont en cours depuis plusieurs jours. Le groupement Siemens-Vinci-Caf s'affaire en effet à achever les travaux de finition et multiplie les essais de circulation de trains. Constituée de dix stations, cette ligne reliera la Grande Poste à Hai El Badr, en passant par Khelifa Boukhalfa, la place du 1er mai, Aissat Idir, El Hamma, le jardin d'Essai, les Fusillés, la cité Amirouche et la cité Mer et Soleil. Les dix stations de la « Ligne1 » du métro d'Alger seront surveillés par un important dispositif de sécurité constitué de 400 policiers, une centaine d'agents RATP El Djezair et des caméras de surveillance, selon des sources proches de l'Entreprise du métro d'Alger (EMA). Le français RATP est en charge de l'exploitation et de la maintenance du métro d'Alger durant une période de huit ans à partir de sa mise en service.Cet important dispositif de sécurité est destiné à prévenir d'éventuels attentats terroristes et à lutter contre la délinquance. La sécurité dans le métro constitue en effet la principale préoccupation des Algérois. La capitale pourrait être ciblée par les groupes terroristes et la délinquance est fortement présente dans ses rues. Elle a pris ces dernières années des proportions alarmantes, avec la multiplication des vols et des agressions. Les trains ont été fabriqués par le groupe espagnol CAF. Les dessertes des stations se feront à un rythme d'une rame toutes les trois minutes, dans une première étape, et circuleront de 5H jusqu'à 23H30. Les rames sont constituées de six voitures chacune pouvant transporter jusqu'à 1290 passagers dont 210 en places assises. Les quatorze rames qui circuleront sur la « Ligne1 » de ce métro peuvent transporter entre 150.000 et 200.000 voyageurs par jour.
Algerie promouvoir le Made in Algerie
L’Algérie peine à promouvoir le Made in Algeria
L’Algérie devrait mettre en place une stratégie de développement et de promotion des produits Made in Algeria selon les experts.jeudi 25 juin 2009.
L’Algérie ne dispose pas d’un plan de communication qui lui permet de promouvoir le produit national (Made in Algeria), selon Kamel Khelifa, expert-consultant en communication dans les échanges internationaux et en transport-logistique. « Nous n’avons pas de plan de communication à l’échelle nationale et encore moins à celle internationale », a-t-il fait constater hier à l’occasion d’une journée d’information ayant pour thème : « la communication intégrée au service de l’exportation des produits », tenue hier au siège de l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur. Lors de cette journée, M. Khelifa a expliqué que ce plan est un schéma stratégique qui obéit à des règles et nécessite des moyens financiers et un encadrement des pouvoirs publics. L’acte d’exporter, selon lui, « se base sur la connaissance des forces et faiblesses des produits que nous exportons et de l’usage de ce produit par le consommateur étranger ».
« On ne peut pas exporter les dattes dans un pays qui n’en consomme pas ou faut-il les exporter sous une autre forme de façon à séduire le consommateur », a-t-il suggéré en donnant l’exemple des figues de barbarie produites en Italie et exportées dans beaucoup de pays européens sous une autre forme. Pour M. Khelifa, l’Algérie, qui a été gérée pendant plus de 30 ans par une économie dirigiste, n’a pas encore compris l’intérêt de la communication et vit toujours dans un circuit fermé. Quant au rôle de l’Etat dans l’élaboration de plan de communi-cation, il a expliqué que cela est du ressort des organisations professionnelles qui devraient employer des professionnels pour dégager une multitude de plans de communication après des explorations et des études préalables. Il a relevé, néanmoins, l’absence d’une section économique au niveau des ambassades algériennes à l’étrangers pour promouvoir les produits Made in Algeria.
Synthèse de Samir, www.algerie-dz.com D’après le Jeune Indépendant
Algerie Economie
Le positionnement de l’Algérie comme l’un des quatre pays émergents en Afrique traduit le chemin appréciable parcouru par notre pays dans la voie du développement durable. Une situation qui ne fait qu’accroître l’attractivité de l’Algérie pour les investisseurs étrangers en quête d’opportunités susceptibles de les aider à sortir de la crise actuelle. En quelques années, la stratégie mise en œuvre pour conforter la stabilité et donner une forte impulsion à la croissance économique a donné des résultats probants, faisant apparaître l’Algérie comme un pays pionnier en matière de réformes. Les secteurs névralgiques comme la justice, les banques, les administrations en plus des institutions d’accompagnement des entreprises ont connu d’importantes mutations faisant émerger une réalité où s’affirment les valeurs de la compétence, de la transparence, de la primauté de la loi. La détermination à consolider l’Etat de droit, traduite notamment par la lutte implacable contre les pratiques de la corruption, du clientélisme et des passe-droits, a renforcé la confiance des porteurs de projets qui ont saisi l’importance des plans de charges liés à la réalisation des projets d’équipement financés par le budget de l’Etat. La réalisation des projets d’infrastructures (barrages, chemins de fer, autoroute Est-Ouest...) constitue un enjeu vital vu l’impact attendu sur le développement de l’activité économique et l’amélioration des conditions de vie des citoyens.Pour mener à bon port tous ces projets vitaux, une véritable course contre la montre a été engagée. Les entreprises nationales ont trouvé là une opportunité pour démontrer leur savoir-faire et leur capacité à réaliser les projets qui leur sont confiés dans le respect des délais et de la qualité. La présence des grandes firmes étrangères devait logiquement constituer un stimulant pour les entreprises nationales publiques et privées qui aspirent à renforcer leur professionnalisme. L’un des objectifs de la politique économique du gouvernement est de favoriser l’émergence de champions nationaux capables d’élargir leurs parts de marché au plan interne, mais aussi de rafler des contrats sur les marchés extérieurs.Outre les programmes de mise à niveau, des mesures de soutien en faveur des entreprises publiques viables sont prévues dans le plan d’action du gouvernement. Le lancement du prochain plan quinquennal doté d’une enveloppe de 150 milliards de dollars ouvre d’intéressantes perspectives pour les entreprises nationales dynamiques qui disposent de sérieuses références qui leur vaudront la confiance de l’Etat. La relance prévisible de la consommation des ménages avec la création de nombreux emplois (l’objectif est de 3 millions d’emplois en cinq ans) est un autre élément d’encouragement pour les entreprises nationales qui seront incitées à investir davantage, tant dans la formation des ressources humaines que dans la modernisation de l’outil de production. Comme on le voit, une nouvelle dynamique est ouverte qui favorise la libération des initiatives et le croisement des synergies.Les autoroutes, les chemins de fer, les barrages rendent possible le développement de l’agriculture, du tourisme, de l’industrie, du commerce. Une situation de prospérité qui ne peut qu’attirer davantage d’investisseurs intéressés par les marchés où le pouvoir d’achat est important. L’enjeu est bien sûr de garantir l’avenir des générations futures en parvenant à s’extraire de la dépendance du pétrole comme source unique de revenu. Un objectif qui appelle à redoubler d’effort pour remporter le challenge.M. Brahim
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