阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, March 23, 2011

Le Patron c'est le chef de l'état Mr Nicolas Sakozy Dailymotion

Algerie Alger Violentes émeutes



Violentes émeutes à Alger: au moins 22 blessés
(AFP) – Il y a 17 heures

ALGER — Des émeutes déclenchées dans un quartier d'Alger mercredi à l'aube en raison de la démolition par les autorités de baraques illégales ont fait 22 blessés, dont 21 policiers, selon un bilan établi par la protection civile.

"Nous avons enregistré un seul blessé parmi les civils et 21 policiers" à la cité Climat de France, une agglomération populaire, mercredi à l'aube, a déclaré à l'AFP le haut responsable de la protection civile, un service rattaché au ministère de l'Intérieur.

Au moins un manifestant a été blessé, un garçon de 16 ans qui a "reçu une balle en caoutchouc dans l'oeil". Le jeune homme a été hospitalisé d'urgence et était en milieu de l'après-midi "sur la table d'opération à l'hôpital Maillot", a indiqué son frère joint par téléphone par l'AFP.

Il y aurait également deux enfants blessés, un bébé de sept mois "atteint par des gaz lacrymogènes et hospitalisé" et un garçon de neuf ans victime apparemment d'une crise d'asthme, a déclaré à l'AFP un témoin, mais cette information n'a pu être confirmée de source indépendante.

Les policiers ont fait "usage de balles à blanc, balles en caoutchouc, gaz lacrymogènes contre les manifestants", a indiqué Samir, artisan joaillier au chômage.

Les protestataires ont riposté à l'aide de barres de fer et de jets de pierres, selon des journalistes sur place.

Un autre témoin, Mohammed, 60 ans, a déclaré à l'AFP avoir vu "au moins 70 personnes blessées et évacuées par des particuliers dans les hôpitaux" des environs. Aucune autre témoin interrogé par l'AFP n'a confirmé ce bilan.

Les affrontements avaient commencé tôt dans la matinée avec l'arrivée d'engins de démolition de baraques illégales dans la Cité Climat de France, une agglomération populaire proche du ministère de la Défense. Ils se sont calmés en début d'après-midi laissant face à face des jeunes armés de pierres et environ un millier de policiers anti-émeutes.

Des traces de pneus brûlés jonchaient les rues ainsi qu'une carcasse de voiture incendiée, selon le correspondant de l'AFP.

Une centaine de baraques en tôle et parpaing ont été détruites par les engins dépêchés par le sous-préfet, dont cinq construites dans l'enceinte de l'école primaire Hadji Othmane. Seules cinq d'entre elles étaient déjà habitées tandis que les autres étaient en construction depuis le mois de janvier.

Mohammed a raconté qu'il habitait la cité depuis 1962 et ses "demandes répétées pour un logement depuis 1976, n'ont jamais été prises en compte". Il habite "un appartement exigu de trois pièces avec sa famille de 15 personnes".

Les émeutiers, en majorité jeunes, "n'ont pas de travail, pas de richesses alors que le pays est immensément riche", s'est plaint Samir.

Le président Abdelaziz Bouteflika s'est engagé lors de sa réélection en 2009 à construire un million d'habitations dans le cadre du plan quinquennal prévu jusqu'en 2014, mais le processus est lent malgré une manne estimée fin décembre à plus de 155 milliards de dollars.

L'Algérie connaît depuis le début de l'année une contestation sociale quotidienne. En janvier, des émeutes contre la vie chère qui touchent tous les secteurs de la société, ont fait 5 morts et quelque 800 blessés.

Copyright © 2011 AFP.

Le Patron patronus c'est Mr le Président Nicolas Sarkozy



Mr le chef de l'état Nicolas Sarkozy tenait son traditionnel conseil des ministres. Il fit la leçon à ses ministres, et même à Fillon, le premier d'entre eux. Il leur a demandé de jouer « collectif », c'est-à-dire de se plier à la consigne présidentielle pour le second tour des élections cantonales dimanche prochain, le fameux « ni FN, ni PS. » : « Si vous voulez combattre le Front national, faites le sur le fond, au lieu de vous placer sur le plan de la morale. Un ministre n'est pas un homme politique comme les autres, il est tenu à un devoir de solidarité dans l'expression collective, surtout en période électorale. Je suis président de la République, je n'ai pas de position personnelle, un ministre n'a pas à avoir de position personnelle. Une ligne a été définie, Il est trop facile de choisir ce qu'on soutient et de prendre ses distances avec le reste » a rapporté le Figaro, grâce à la confidence bien placée d'un participant.

Mr le Président Nicolas sarkozy l'intérêt général



GUILLAUME TABARD, Les Echos
La colère de Sarkozy
Le ton était posé et le cadre solennel. C'est à la table du Conseil des ministres que Nicolas Sarkozy a rappelé à l'ordre ses ministres qui, depuis une semaine, prennent position en ordre dispersé sur la stratégie au second tour des cantonales en cas d'absence de l'UMP. « Le rôle des ministres est d'abord de s'occuper des Français. » Avant d'ajouter : « Un ministre n'est pas n'importe quel responsable politique. Il n'a pas à avoir de position personnelle. Il doit respecter les décisions collectives. » Or, a rappelé Nicolas Sarkozy, la position commune - « ni alliance avec le FN ni front républicain avec le PS » -avait été calée lors d'un petit déjeuner de la majorité il y a deux semaines, c'est-à-dire avant que, de Nathalie Kosciusko-Morizet à Alain Juppé, huit ministres déclarent « à titre personnel » qu'ils voteraient pour le Parti socialiste.

« La mise au point concernait tous les ministres, du premier au dernier », précise un collaborateur du président, faisant ainsi comprendre que François Fillon n'échappe pas à l'ire présidentielle. Certes, le chef du gouvernement a profité de la réunion du groupe UMP, mardi dernier, pour assurer que sa position était en tous points conforme à celle du président. Mais, à l'Elysée, et plus encore à la direction de l'UMP, on fait remarquer que cette mise au point est arrivée tardivement, Matignon ayant laissé prospérer les commentaires accréditant la thèse d'une fermeté de Fillon à l'égard du FN plus grande que celle de Sarkozy.

Le président de la République a voulu aussi conjurer un divorce entre l'UMP gouvernementale et l'UMP parlementaire. Il a fait remarquer à plusieurs ministres que cela ne leur coûtait pas grand-chose de prendre des « postures » alors qu'ils n'étaient pas eux-mêmes candidats, tandis que les élus avaient à affronter l'embarras des électeurs sur le terrain. « Que les ministres se taisent et s'occupent de leur département ministériel ! C'est en réglant les problèmes du pays qu'ils peuvent nous aider », confie Jean-Claude Gaudin, maire de Marseille, ville où le FN est au second tour dans tous les cantons.

Plutôt que d'afficher ses divisions, Nicolas Sarkozy aimerait que l'UMP pointe les contradictions du PS, qui n'appelle pas à voter explicitement pour la droite dans chacun des 126 duels où c'est la gauche qui a été éliminée.

Le chef de l'Etat Mr Nicolas Sarkozy Front républicain



Le chef de l'Etat Mr Nicolas Sarkozy a "rappelé aux membres du gouvernement qu'ils appartiennent à un collectif et que ce collectif est exclusivement au service des Français

Benghazi One, two, three, viva Sarkozy



Aujourd'hui dans Benghazi, on entend Viva Sarkozy !"
Le Point.fr - Publié le 23/03/2011 à 14:38
Des membres du Comité de transition national (CNT) libyen sont à Paris pour évoquer la Libye de demain et le sort de Kadhafi.Par Saïd Mahrane On découvre enfin les visages de la Libye de demain, ceux qui espèrent succéder au colonel Kadhafi, présider aux destinées du pays pour en faire, selon ces mots maintes fois prononcés par eux, "une démocratie laïque". Pleinement engagé dans l'affaire libyenne, le philosophe Bernard-Henri Lévy organisait mardi soir une rencontre avec deux opposants au régime kadhafiste, membres du Comité de transition national (CNT), dans un salon de l'hôtel parisien Raphaël. Tout ce que la capitale compte d'intellectuels et d'écrivains militants des droits de l'homme était présent : Pascal Bruckner, André Glucksmann, Romain Goupil, Yann Moix, Christine Angot... Des politiques étaient également au rendez-vous - Jack Lang, Bernard Kouchner et l'ancien ministre de la Défense Paul Quilés - ainsi que des amis de Bernard-Henri Lévy, dont Pierre Bergé et Claire Chazal. À quoi ressemblent donc ces opposants libyens reconnus par la France comme seule autorité représentative du pays ?

Ali Zeidan, la cinquantaine, joufflu dans un costume sombre, parlant un français impeccable, est membre de la Ligue libyenne des droits de l'homme et "porte-parole" en Europe du CNT. Son acolyte, Mansour Saif al-Nasr, cheveux courts et grisonnants, anglophone, est lui un des responsables du comité, exilé aux États-Unis. En introduction de leur présentation, les deux hommes ont tenu à remercier le rôle "décisif" de la France et de Bernard-Henri Lévy - qui a favorisé la médiation entre Nicolas Sarkozy et le CNT - dans le vote de la résolution 1973 de l'ONU, qui a ouvert la voie à une intervention militaire de la coalition internationale. "Aujourd'hui, dans Benghazi, on entend des One, two, three, viva Sarkozy ! Les Libyens remercient la France et des drapeaux français flottent au côté des drapeaux libyens", rapporte Ali Zeidan. Conscient des interrogations qui entourent la composition du CNT, il assure que le comité "représente toutes les couches de la population" : des avocats, des médecins, des professeurs d'université, des petites gens et aussi des membres de la tribu de Kadhafi. Pour exemple, ils citent ce cousin du "Guide" libyen engagé dans l'armée et qui a refusé de tirer sur "ses frères" avant de rejoindre la résistance et de mourir au combat, tué par les forces loyalistes.


Ils jurent que le peuple libyen est "assoiffé de démocratie et de liberté", qu'il aspire à vivre "dans la sécurité". S'agissant du conflit armé, les deux représentants du CNT assurent avoir suffisamment de combattants "volontaires" pour tenir tête à Kadhafi, mais ajoutent manquer d'armes. Si les tribus existent en Libye, ils réfutent toute idée de "tribalisme" et promettent que le pays, une fois Kadhafi détrôné, ne sombrera pas dans une guerre tribale. Respectueux du droit international, ils souhaitent que le dictateur "reste vivant", qu'il soit déféré devant des tribunaux "pour qu'il paie ses crimes contre l'humanité". Leur rapport à l'islam est apaisé. Ils considèrent la religion comme "une affaire privée entre l'homme et son dieu" et garantissent que le futur État libyen ne sera "pas conduit par des fanatiques" : "Celui qui veut pratiquer pratique ; celui qui ne veut pas pratiquer sera libre de ne pas pratiquer." L'ouverture de la Libye, tel est enfin leur credo : "Nous avons un pays merveilleux, avec des sites magnifiques. Vous serez les bienvenus !" Mais pour cela, "Kadhafi doit partir !".

chinois, Dynasty Tang Youtube

Le president Mr Nicolas Sarkozy appelle le gouvernement à jouer collectif



Mr le chef Nicolas Sarkozy a profité mercredi du Conseil des ministres pour appeler les membres du gouvernement à jouer "collectif" après la cacophonie suscitée au sein de l'UMP par les consignes de vote pour le second tour des cantonales, a rapporté Mr le Ministre François Baroin.

Une blogueuse syrienne Mlle Tal Al-Mallouhi condamnée à cinq ans de prison



Tal Al-Mallouhi, une blogueuse syrienne de 19 ans, a été condamnée lundi à cinq d’emprisonnement par la Haute cour de Sûreté à Damas a annoncé l’Observatoire syrien des droits de l’homme. Elle est accusée d’espionnage pour le compte des Etats-Unis.

Dès samedi, le département d’Etat américain avait émis un communiqué condamnant sévèrement le “procès secret” de la blogueuse et demandant sa libération immédiate. “Nous appelons le gouvernement syrien à relâcher immédiatement tous ses prisonniers de conscience, et à autoriser ses citoyens à jouir de leurs droits universels d’expression et d’association sans peur de représailles”, avait ajouté Philip Crowley, porte-parole du département d’Etat.

Tal Al-Mallouhi est la petite-fille d’un ancien ministre syrien en poste sous la présidence d’Hafez al-Assad, le père, décédé, de l’actuel président Bachar al-Assad. La jeune lycéenne a été arrêtée le 27 décembre 2009 suite à une convocation des services de sécurité. Deux jours plus tard, son ordinateur, quelques livres, des CDs et d’autres affaires personnelles étaient saisis à son domicile. Elle était depuis détenue sans charge.

Selon l’ONG de défense des droits de l’homme Human Right Watch, Tal Al-Mallouhi ne fait partie d’aucun groupe politique. Sur son blog, elle publiait essentiellement des poèmes et des articles en soutien à la cause palestinienne. Sa famille et des militants syriens n’expliquent pas son arrestation, mis à part un poème critiquant les limites imposées à la liberté d’expression en Syrie.

Cette condamnation survient dans un contexte tendu entre la Syrie et les Etat-Unis. Le mois dernier, les Etats-Unis ont rappelé leur ambassadeur en Syrie. La secrétaire d’Etat Hillary Clinton doit, quant à elle, prononcer mardi un discours annoncé comme “capital” sur les libertés sur Internet.

Les réseaux sociaux sur le web et les blogs ont été largement utilisés au cours des mouvements populaires qui viennent de provoquer la chute du président tunisien Zine El Abidine Ben Ali et du président égyptien Hosni Moubarak. Coupé depuis deux ans et demi, l’accès aux sites Facebook et Youtube vient d‘être rétabli. Dans le journal El Watan proche du gouvernement, des analystes expliquent que la levée de ce blocage montre “que le gouvernement a confiance en ses capacités et ne considère aucun site comme une menace, ni ces deux-là ni aucun autre.” D’autres y voient une concession du gouvernement pour éviter à l’histoire tunisienne ou égyptienne de se répéter à Damas.

Avec AFP et Reuters

Hommage Madame Elizabeth Taylor YOUTUBE


Dame Elizabeth Rosemond Taylor, née le 27 février 1932 à Hampstead en Angleterre et morte le 23 mars 2011 à Los Angeles[1], aussi connue sous le diminutif Liz Taylor, est une actrice anglo-américaine.

Elle commence sa carrière à l’âge de dix ans et rencontre aussitôt le succès en tournant dans des films tels que Fidèle Lassie, le mélodrame Le Grand National (qui lui vaut son premier triomphe personnel) réalisé par le directeur favori de Greta Garbo, Clarence Brown, Les Quatre Filles du docteur March mis en scène par Mervyn LeRoy (qui révéla Lana Turner), la comédie Le Père de la mariée de Vincente Minnelli et sa suite… Une place au soleil et Géant, les deux de George Stevens avec respectivement Montgomery Clift, James Dean et Rock Hudson, lui ouvrent, en 1956, les portes de l’immortalité. Étoile d’Hollywood dans les années 1950 et 1960, elle reçoit deux Oscars pour ses rôles dans La Vénus au vison et Qui a peur de Virginia Woolf ?. Ses autres grands succès incluent La Chatte sur un toit brûlant, Soudain l’été dernier ainsi que Cléopâtre et La Mégère apprivoisée.

Plus rare sur grand écran à partir des années 1970 en raison de sa santé précaire (et de l’insuccès de ses films dès la fin des années 1960), Elizabeth Taylor se consacre à la lutte contre le SIDA depuis le décès de son ami Rock Hudson en 1985.

En 1999, l’American Film Institute distingue Elizabeth Taylor comme la septième plus grande actrice de tous les temps dans le classement AFI’s 100 Years… 100 Stars.

Algérie-UE Union européenne


Algérie-UE: Les négociations pour le report du démantèlement tarifaire à mi parcours

Avant la fin du premier semestre de cette année, Alger et Bruxelles devraient finaliser un accord sur le report du démantèlement tarifaire initialement prévu en 2017 et repoussé à 2020.



Lundi à Alger, l'ambassadrice de l'Union européenne, Laura Baeza, a affirmé que «les négociations commerciales sur le rééchelonnement du démantèlement tarifaire sont à mi-parcours». «Chaque partie a exprimé ses positions. Nous avons demandé des explications et l’Algérie aussi. Nous avons mis toutes les informations sur la table», a-t-elle souligné dans une déclaration à l’APS, ajoutant que «maintenant, il s’agit de voir comment on peut avancer». En marge de la signature d’une convention de financement du programme d’appui à la mise en œuvre de l’Accord d’Association (P3A), dotée de 30 millions d’euros, elle a encore précisé qu'il y a déjà eu plusieurs réunions à Bruxelles et à Alger. «Nous espérons pouvoir achever ces négociations avant le prochain conseil d’association programmé pour juin 2011», a-t-elle ajouté. Selon le ministre algérien du Commerce, Mustapha Bendada, il y a eu déjà quatre rounds de négociations entre Alger et Bruxelles pour le report du démantèlement tarifaire. Fin décembre dernier, l’Algérie avait demandé une révision du rythme de démantèlement des dispositions tarifaires et douanières relatives à l’Accord d’association avec l'UE. Cette demande porte essentiellement sur le report à 2020 du délai de démantèlement total des barrières au lieu de 2017, comme initialement prévu dans le cadre de l’Accord entré en vigueur le 1er septembre 2005.

L’Algérie a proposé de décaler les dates butoirs du démantèlement progressif et final, initialement prévues en 2012, 2015 et 2017 à respectivement 2015, 2017 et 2020. La demande algérienne a été motivée, officiellement, par le temps nécessaire à la préparation des entreprises algériennes à la concurrence, étant donné que le marché algérien devait être, dès 2017, totalement ouvert aux produits européens. «Cette démarche devrait permettre d’accorder une phase de transition supplémentaire à nos entreprises pour se préparer à l’ouverture», a souligné le ministre algérien du Commerce.



Alger veut une liste négative



Mais ce qui a quelque peu étonné la partie européenne, c'est qu’en même temps que la demande de report de la date butoir du démantèlement tarifaire, l’Algérie a mis sur la table des négociations une liste négative. Pour M. Benbada, qui avait expliqué cette démarche en décembre 2010, les discussions de l'Algérie avec l’UE portent également sur l’introduction d’une liste négative de 1.740 produits industriels. D'où la crispation de

Bruxelles qui aurait voulu au moins que les verrous sautent en ce qui concerne le principe du «51/49%».

Pour l’Algérie, l’Accord a profité exclusivement à l’UE. Les importations en provenance du Vieux continent ont explosé depuis l’entrée en application de l’Accord, pour atteindre, selon les autorités algériennes, 20 mds de dollars, soit 16,3 mds d’euros en 2008. Le démantèlement des tarifs douaniers a fait perdre, toujours selon la même source, 2,5 mds de dollars, soit 2,035 mds d’euros, à l’Algérie sur la période 2005-2009.

En outre, l’Algérie accuse ouvertement Bruxelles de bloquer l’importation de produits algériens, notamment agricoles. Les taxes et normes imposées par l’UE ont provoqué un recul des exportations agricoles algériennes déjà peu importantes vers l’Europe. Le seul secteur où la balance commerciale se situe légèrement en faveur de l’Algérie est celui de la pêche avec 18 millions d’euros d’exportations vers l’Europe.

Mr le Président Nicolas Sarkozy Mr le président Barack Obama le rôle de l'OTAN



Obama et Sarkozy s'accordent sur le rôle de l'OTAN
a France propose un 'pilotage politique' pour l'opération en Libye", titre le quotidien espagnol. Refusant de confier à l'OTAN la direction de la mission en Libye, Paris a proposé une "solution inédite", relate le journal. Les opérations seront pilotées par les ministres des Affaires étrangères des pays participants, l'OTAN leur apportant un "soutien technique" en lieu et place des Etats-Unis. Cette solution a été validée par Barack Obama, qui s'est entretenu le 22 mars avec Nicolas Sarkozy et le Premier ministre David Cameron

Syrie Euronews Youtube


La Syrie, en forme longue la République arabe syrienne, en arabe Suriyah, سوريا et Al Jumhuriyah al Arabiyah as Suriyah, الجمهورية العربية السورية, est un pays arabe du Proche-Orient situé sur la côte orientale de la Méditerranée : le bassin Levantin.

La Syrie se nommait jusqu'au XIXe siècle Bilad al-Cham (بلاد الشام). Cette région fut un temps regroupée comprenant la Syrie actuelle, le Liban actuel, la Jordanie actuelle, la Palestine. Durant l'Antiquité, ces pays étaient distinctement la Phénicie, la Palestine, l’Assyrie et une partie de la Mésopotamie occidentale.

Les français approuvent l'action de Mr le Président Nicolas Sarkozy en Libye


Un sondage Ifop destiné à France Soir indique que 66% des français approuvent l’action de Mr Le president Nicolas Sarkozy pour mettre fin au régime de Kadhafi en Libye.

Le président de la république Mr Nicolas s’est rendu hier sur la base de Solenzara ( en compagnie du ministre de la Défense Mr Gérard Longuet pour inspecter le dispositif engagé par la France dans l’opération aérienne en Libye.

Mort de Maître Capello : Mr le president Nicolas Sarkozy décrète un jour de deuil national



Mr le président Nicolas Sarkozy a tenu à montrer sa solidarité envers le monde des lettres. Après un hommage appuyé, dans lequel il a mis en avant le travail de fond de Maître Capello en faveur du redressement des mots fléchés harcelés et concurrencés depuis plusieurs années par l'arrivée en métropole du sudoku allogène, Nicolas Sarkozy – qui concède pour sa part une certaine préférence pour les mots mêlés – a annoncé plusieurs mesures d'importance.:

77 % des électeurs UMP donnent raison au chef de l'etat Mr Nicolas Sarkozy


Cantonales 201123 mars 2011, 06h44

77 % des électeurs UMP donnent raison à Sarkozy
Selon l’Ifop, la majorité des sympathisants de l’UMP sont d’accord avec le mot d’ordre du chef de l’Etat, qui fait pourtant débat : « Dimanche, ni vote FN ni vote PS.

Au lendemain du premier tour des élections cantonales – marqué par une forte abstention, un profond recul de l’UMP et une incontestable percée du Front national –, France-Soir a demandé à l’Ifop d’interroger un échantillon représentatif de Français pour savoir ce qu’ils pensaient de la consigne donnée, dans la perspective du second tour, par Jean-François Copé, au nom de la direction de l’UMP, lorsque ne seront plus en présence qu’un candidat socialiste et un candidat frontiste : « Ni vote FN ni vote PS. »

Rétropédalage
Une consigne élaborée, en réalité, à l’Elysée. D’ailleurs, pour que les choses soient claires, Nicolas Sarkozy l’a ensuite reprise publiquement à son compte, et l’a même martelée. Ce mot d’ordre – qui, d’une certaine façon, au travers du « ni-ni », banalise le FN – avait aussitôt provoqué, au sein même de l’UMP, pas mal de remous. Le président du Sénat, Gérard Larcher, le conseiller de Nicolas Sarkozy, Henri Guaino, et plusieurs ministres ou ténors de l’UMP (dont Jean-Louis Borloo) ont indiqué que, pour leur part, ils voteraient PS sans hésiter si le choix se limitait à trancher entre PS et FN. Mais le comble avait été atteint lundi soir – avant qu’il ne fasse hier du rétropédalage en assurant qu’on l’aurait mal compris – lorsque François Fillon, à son tour, avait dit qu’il fallait faire barrage par tous les moyens au FN, et qu’il fallait donc ne pas hésiter à voter PS s’il n’y avait pas d’autre façon d’agir.

Le « oui » du FN
L’enquête de l’Ifop prouve que, sur le plan comptable au moins, Nicolas Sarkozy – convaincu, de longue date, que la bataille de 2012 se jouera à droite – a été entendu et apparemment compris. Du moins dans son propre camp. Si 71 % des électeurs de gauche disent désapprouver le « ni-ni » élyséen, 77 % des sympathisants UMP, en revanche, l’approuvent, ou le comprennent. Et c’est aussi le cas de 61 % des sympathisants de Marine Le Pen (contre 39 % d’un avis contraire). C’est l’électorat populaire, que Sarkozy ne désespère pas de reconquérir, qui donne le plus raison au chef de l’Etat lorsqu’il refuse l’idée d’un « front républicain » (regroupant droite et gauche pour faire barrage au FN) : 73 % des artisans et commerçants, 55 % des ouvriers et 51 % des employés approuvent le mot d’ordre présidentiel. Un mot d’ordre que condamnent 63 % des membres des professions libérales et des cadres supérieurs.

Des hommes réticents
A noter que 55 % des hommes (et seulement 50 % des femmes) ne sont pas d’accord avec cette stratégie droitière. Pas d’accord non plus, 53 % des 25-34 ans. La stratégie de Nicolas Sarkozy correspond pour la droite française, au-delà des cantonales, à un vrai tournant, dont les conséquences sont difficiles aujourd’hui à mesurer. En l’état restent au moins deux inconnues. 1. Comment réagiront les 23 % de sympathisants UMP qui ne se retrouvent pas dans le mot d’ordre élyséen ? 2. Dans quel état se retrouvera l’UMP si, dimanche prochain, une fraction de ses électeurs transgresse le « ni-ni » et apporte ses voix au FN ?

Par Dominique de Montvallon

66 % des Français soutiennent le chef de l'état Nicolas Sarkozy


Intervention militaire en Libye23 mars 2011, 06h56

Libye : 66 % des Français soutiennent Sarkozy
Nicolas Sarkozy s'est rendu mardi sur la base de Solenzara (Corse). Deux Français sur trois applaudissent son action en Libye, selon notre sondage.

Chef de guerre depuis trois jours, Nicolas Sarkozy s'est rendu mardi sur la base aérienne de Solenzara (Corse-du-Sud), pour inspecter le dispositif engagé par la France dans le cadre de l'opération aérienne en Libye. Accompagné du ministre de la Défense, Gérard Longuet, il a déjeuné avec les personnels de la base et a dit « toute sa satisfaction vis-à-vis de l'ensemble des hommes et des femmes qui se sont mobilisés quand il leur a demandé », selon le chef d'état-major de l'armée de l'air, le général Jean-Paul Palomeros. Une visite en toute discrétion : pas question pour le chef de l'Etat de sembler chercher à tirer des bénéfices politiques de l'intervention militaire. Selon le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, il devrait s'exprimer sur le sujet « dans les prochains jours ».

Le 3 mars, 63 % des Français étaient contre une intervention
Bien qu'au plus bas dans les sondages de popularité, Sarkozy peut compter pour l'heure sur le soutien des Français. Selon notre sondage Ifop, 66 % d'entre eux approuvent l'action lancée à son initiative pour mettre fin à la répression sanglante de la rébellion par le régime de Kadhafi. Pourtant, les 3 et 4 mars, le rapport de forces était exactement inverse : seulement 36 % des personnes interrogées soutenaient une intervention qui était alors toute théorique, 63 % y étant hostiles. Le déclenchement des opérations a visiblement balayé ces réserves.

A l'unisson de l'opinion publique, la classe politique applaudit également, à l'exception du Front national et du Parti communiste. Un quasi-consensus confirmé mardi lors d'un débat au Parlement sur le sujet. « Nous avons suffisamment dénoncé la perte de crédibilité de la France » face aux révolutions arabes « pour ne pas manquer de saluer son engagement aux côtés du peuple libyen », a résumé le patron du groupe PS Jean-Marc Ayrault. Certes, il a épinglé au passage les « accointances passées avec Kadhafi » – Sarkozy avait déroulé le tapis rouge au leader libyen en décembre 2007 –, et soupçonné des « arrière-pensées nationales ». Sous les huées de la droite, Ayrault s'en est aussi pris aux « propos irresponsables » du ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, qui « a cru devoir se féliciter de voir "le Président prendre la tête de la croisade" ». Mais « l'essentiel, aujourd'hui, n'est pas là » et « nous approuvons une opération que nous avons souhaitée » pour « défendre un peuple contre un dictateur halluciné », a-t-il affirmé.

« Le drapeau français flotte à Benghazi »
« Le drapeau français flottant dans les rues de Benghazi (fief des rebelles) est redevenu pour ce peuple le symbole de la liberté, comme il l'a été pour tant d'autres dans notre histoire », s'est ému de son côté le président du groupe Nouveau Centre, François Sauvadet, « fier de son pays ».

Pour le président (UMP) de la commission des affaires étrangères de l'Assemblée nationale, Axel Poniatowski, « il fallait sauver la population civile de Benghazi. S'il y avait eu un massacre, je ne vous dis pas ce que l'on aurait entendu... ». Pour autant, a-t-il mis en garde, « l'opération doit être relativement brève dans le temps » et « tout cela n'a de sens que si c'est relayé par un nouveau soulèvement de la population, que si les Libyens prennent leur destin en main ».

Car c'est bien là tout le pari, risqué, de cette opération : que l'opposition libyenne parvienne dans la foulée des frappes aériennes à renverser elle-même le colonel Kadhafi. Une intervention au sol en Libye est « explicitement exclue », et il ne s'agit pas pour la France de se « substituer » au « peuple libyen », a confirmé François Fillon devant les députés.

En décidant de balayer le principe de « non-ingérence » dans les affaires intérieures des pays arabes qu'il théorisait encore en janvier, Sarkozy se porte au premier rang d'une opération semée d'embûches. Maintien au pouvoir de Kadhafi malgré l'intervention internationale, division des « alliés », enlisement du conflit voire partition de la Libye, bombardement accidentel de population civile, retournement des opinions arabes, attentats terroristes en représailles contre Paris... Les pièges sont nombreux. Si Sarkozy parvient à les éviter, il verra son blason sérieusement redoré. S'il trébuche, les Français pourraient bien lui demander des comptes en 2012.

Par Christine Ollivier