阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Monday, January 04, 2010

Algerie grands projets d’infrastructures



Grands projets d’infrastructures : l’Algérie veut maîtriser les dépenses
Merouane Mokdad
L’Algérie veut mieux maîtriser les dépenses publiques dans l’exécution des grands projets d’équipement. Pour y parvenir, le ministère des Finances a lancé, lundi 4 janvier, le Guide de management des grands projets d'infrastructures.

Elaboré par la Caisse nationale d'équipement pour le développement(CNED), « le guide est articulé autour de trois volets : maturation qui concerne toutes les phases du moment de l'idée du projet jusqu'au lancement de l'appel d'offre, suivi des projets et évaluation. Cela participe à mieux suivre, évaluer et contrôler les dépenses publiques en ce qui concerne les grands projets d'équipement », a précisé Karim Djoudi, ministre des Finances.

Le nouveau guide sera distribué aux différentes administrations et maîtres d'œuvres impliqués dans les grands projets. « Même les petits projets peuvent s'en inspirer. Il sera disponible dans toutes les universités, les wilayas, bureaux d'études…etc, de façon à ce qu'il y est une méthodologie de préparation des projets avant le lancement des travaux aux fins de ne pas dépasser les coûts et délais des projets ainsi que le respect de la qualité », a indiqué, pour sa part, Farouk Chiali, Directeur Général de la CNED.

Crée en 2005, la CNED a pour mission l’accompagnement technique des projets. En 2009, cette structure a suivi 31 grands projets représentant un montant de 3000 milliards de dinars (38 milliards de dollars). “On a pratiquement suivi 75% de l'ensemble des grands projets inscrits au niveau de la nomenclature de l'Algérie. Les grands projets sont ceux dont le montant dépasse les 20 milliards de dinars ou des projets qui ont un impact important sur la vie économique et sociale de l'Algérie", a indiqué Farouk Chiali.

Par ailleurs, selon Karim Djoudi, le ministère des Finances a promulgué dernièrement un décret sur le contrôle financier et un autre qui fixe les dépenses d'équipement pour que tous les projets aient des études de maturation validées par la CNED ou une autre institution publique.
Les pouvoirs publics, via cette initiative, aspirent visiblement à atténuer l’impact des scandales qui ont touché plusieurs grands projets, notamment celui de l’autoroute Est-Ouest.

Automobiles Dacia



Automobiles : Les voitures de la marque Dacia parmi les plus fiables au monde
[Fenêtre sur l'Europe]
Selon l'enquête annuelle du magazine français UFC-Que choisir, les voitures Dacia, une marque discount du groupe Reanult, accèdent pour la première fois à la troisième marche des automobiles les plus fiables.
Dacia, la marque roumaine rachetée par Renault, est devancée par deux marques japonaises du groupe Toyota. En tête Daihatsu obtient un indice de fiabilité de 96,02% devant Lexus (94,13%). Dacia pointe à la troisème place avec un score de 92,61%. A noter que la Logan MC décroche la deuxième place des voitures familiales les plus fiables derrière la Honda Accord. Enfin, la marque roumaine se distingue aussi en se classant en tête des véhicules les moins onéreux à entretenir avec une dépense annuelle de 130 euros, contre 229 euros pour Mazda et 230 euros pour Ford.

Algerie PMI PME



Le pari
Par : Omar Ouali

Il ne s’agit pas de faire la fine bouche, d’autant que l’administration reste un des traditionnels gisements d’emplois, mais c’est dans le secteur économique industriel que la dynamique de l’emploi doit trouver sa concrétisation.
La loi de finances 2010 porte une marque sociale très prononcée qui traduit au demeurant les engagements du président Bouteflika à fouetter l’emploi en créant d’ici à 2014 – fin de son troisième mandat – trois millions de postes de travail. Soit un ratio de 600 000 postes l’an. Un pari certes généreux, mais qui exige une forte dose de volontarisme politique pour être traduit dans les chiffres. Les vrais, s’entend et pas ceux de Djamel Ould-Abbès.C’est certainement dans ce cadre qu’il convient d’inscrire les 59 500 emplois annoncés hier par le ministère des finances pour une enveloppe globale de 42,6 milliards de dinars.Outre le fait de constituer une bouffée d’oxygène pour ces millions de jeunes qui attendent depuis des années d’accéder au monde du travail, ces emplois seront d’un apport certain dans l’amélioration des performances des quatorze départements ministériels concernés par ce recrutement. Faut-il encore que la formation de ces futurs salariés le permette.Il ne s’agit pas de faire la fine bouche, d’autant que l’administration reste un des traditionnels gisements d’emplois, mais c’est dans le secteur économique industriel que la dynamique de l’emploi doit trouver sa concrétisation.L’option des pouvoirs publics, dans le cadre de la nouvelle stratégie industrielle de renflouer certaines entreprises publiques, pour en faire des champions, est une garantie sûre de l’emploi. Comme le sera également une nouvelle politique de la PME/PMI avec des facilitations diverses et des aménagements fiscaux.Mais pour atteindre l’objectif de trois millions d’emplois alors que les effets de la crise économique sont toujours là, c’est un véritable plan Marshall qui doit être mis en branle. C’est à ce prix qu’il sera possible de donner à ces milliers d’algériens, qui se suicident collectivement en mer, en tentant de gagner l’eldorado européen, un horizon, une espérance

Institut Pasteur d’Algérie



Institut Pasteur d’Algérie : Le Pr Tazir Mohamed installé en qualité de directeur général

Le Pr Mohamed Tazir a été installé, hier, en qualité de directeur général de l'Institut Pasteur d'Algérie (IPA). La cérémonie d'installation s'est déroulée au siège de l'IPA sous la présidence de M. secrétaire général du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière et en présence, notamment des chefs de service de I'IPA.Le Pr Tazir Mohamed est médecin microbiologiste de formation. Il a été directeur général de l'Institut Pasteur d'Algérie entre 1994 et 2000 et chef du service de microbiologie médicale du CHU Mustapha d'Alger de 1993 à ce jour ; entre 1975 et 1988, il a été assistant à l'Institut Pasteur d'Algérie avant d'être, de 1988 à 1990, chef de l'unité des mycobactéries atypiques au service de la tuberculose et des mycobactéries au sein du même institut

Algérie agriculture



L’Algérie va investir massivement dans l’agriculture en 2010

L’Algérie prévoit d’investir 220 milliards de dinars dans le secteur de l’agriculture en 2010 selon le ministre Rachid Benaïssa.lundi 4 janvier 2010.
Alors que la pluie se fait très rare en Algérie en ce début d’hiver, le spectre de la sécheresse ne semble pas inquiéter le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, M. Rachid Benaïssa, qui s’est montré serein sur cette question, lors de son passage, hier, sur les ondes de la Chaîne III. Il estime, à ce sujet : « On est dans une répartition acceptable. Nous attendons, j’espère, des pluies au mois d’avril. Ce que je peux dire au sujet de la céréaliculture, c’est que jusqu’au 31 décembre 2009, les céréaliculteurs avaient déjà emblavé près de 2,8 millions d’hectares. C’est-à-dire qu’on est très proches des 3 millions d’hectares habituels. Ils ont très bien travaillé, ils croient en leur activité, ils ont opté pour une utilisation meilleure des engrais et des semences traitées. J’espère qu’ils mettront les engrais supplémentaires au cours des mois à venir (janvier et février) lorsque les opérations de désherbage auront lieu. » Questionné à propos du montant financier consommé durant l’année 2009 et s’il sera le même durant l’année 2010, le ministre a répondu que « dans le cadre des actions de recentrage, il fallait assainir un certain nombre de situations, revoir les modes de financement et de soutien, etc. Le bilan est en train d’être fait en ce qui concerne les consommations. En 2010, on disposera de 210 à 220 milliards de dinars pour le renouveau rural, pour le renouveau agricole et également pour soutenir les activités en terme de recherche et d’assistance technique et autres. »
Mais le ministre a indiqué que « le plus grand soutien dans le domaine de l’agriculture en Algérie va aller à l’économie de l’eau ainsi qu’à tout ce qui est lié au patrimoine génétique ». Le ministre appréhende l’année 2010 sous de bons auspices. Pour lui, la dynamique est lancée et elle va se renforcer, car l’un des objectifs visés par les actions de recentrage était de donner confiance aux agriculteurs, aux éleveurs et aussi aux investisseurs dans l’agroalimentaire et l’agro-industrie. « Nous sommes en train de constater qu’il y a un mouvement sur le terrain et l’introduction des techniques nécessaires à l’amélioration de la productivité agricole en Algérie. Je pense qu’avec cette dynamique et une bonne pluviométrie, la productivité s’améliorera dans beaucoup de produits. Il n’y a pas de miracle, seul le travail compte. Si cette dynamique se poursuit, et en mettant tous ces éléments en synergie ainsi que des conditions nécessaires pour un développement durable, les objectifs assignés pour 2010 seront atteints ». M. Benaïssa est catégorique : « En 2010, seul le travail donnera des résultats. »
Synthèse de Samir, www.algerie-dz.com D’après Le Jeune Indépendant

Djanet, ville touristique par excellence




Une destination privilégiée pour les touristes nationaux et étrangers

Le plus grand musée à ciel ouvert, Djanet, wilaya d'Illizi (extrême Sud-Est), est un véritable cadeau de la nature. S'étalant avec toute la grâce de ses splendides jardins dans la vallée du Tassili, Djanet est un éden où se conjuguent les couleurs chatoyantes du désert et celles de la culture targuie. Riche en atouts touristiques et disposant d'un paysage naturel féerique, de sculptures et dessins rupestres et autres vestiges plus que millénaires, la région de Djanet demeure, pour nombre de touristes, étrangers et nationaux, une destination privilégiée. D'ailleurs, et durant le passage à la nouvelle année 2010, cette région a enregistré une grande affluence de touristes venus célébrer les fêtes de fin d'année dans le Tassili N'Ajjers. Ces touristes, algériens et étrangers, ont convergé vers la région, qui par avion, qui par voie terrestre, à partir de la wilaya limitrophe de Tamanrasset via la commune de Bordj El Haouès. Les touristes étrangers, notamment de pays d'Europe et d'Asie, venus par route à partir de Tamanrasset, ont été accueillis par des guides à travers les pistes d'accès aux sites de Tadrart, Timerzouga, Essendilène, Tamrit, Erg Admer et le plateau du Tassili, a indiqué le directeur du tourisme. La direction du tourisme d'Illizi fait état de l'arrivée de plus de 3.000 touristes étrangers, en majorité des Européens, qui ont séjourné dans le Tassili pour célébrer le nouvel an dans une ambiance festive animée par des troupes musicales et folkloriques de la ville de Djanet. Cet intérêt pour la destination Algérie, notamment son Grand Sud, est de nature à relancer le tourisme dans la région et à y insuffler une dynamique aux activités commerciales, comme cela a été constaté devant les locaux commerciaux, les boutiques d'artisanat, les stations -service et les agences de voyages. Plusieurs responsables d'agences de voyage et tours opérateurs se sont déclarés "très satisfaits" de la relance, tant attendue, du tourisme dans la région. De son côté, le secteur de l'artisanat connaît des jours florissants au vu de la demande des touristes sur le produit local en guise de souvenir de leur séjour dans le Grand Sud algérien et notamment la région du Tassili. Abdelkader Tadrart, propriétaire du village touristique de la ville de Djanet, a affirmé que le regain d'intérêt pour le tourisme dans le Tassili et les fréquents vols à destination de la région depuis début décembre "sont une preuve de l'amélioration de la situation et des efforts déployés par les pouvoirs publics pour redorer le blason du produit touristique saharien". Pour le directeur du secteur dans la wilaya, le tourisme saharien a connu cette saison un "nouvel élan, à la faveur de la convention paraphée entre les agences de voyages et la direction du tourisme portant développement du produit touristique local". "Beaucoup d'espoirs sont fondés sur la contribution des opérateurs de voyage dans le développement du tourisme saharien, à travers la parfaite prise en charge des invités de la wilaya et l'exploitation optimale des atouts touristiques que recèle la région", a-t-il indiqué. Parmi les 37 agences de voyages activant dans la wilaya d'Illizi, des opérateurs affirment s'employer à "hisser haut l'étendard du tourisme saharien" par "une meilleure prise en charge des étrangers" et à travers la mobilisation, outre des moyens de transport (véhicules tout-terrain, dromadaires), des guides et accompagnateurs chargés d'améliorer la qualité du séjour de leurs hôtes. "La majorité des touristes ont opté pour la visite, à dos de dromadaires, des sites touristiques Dider, Essendilène, Tadrart et Erg Admer dans la région de Djanet", a indiqué un guide d'une agence à Djanet, accompagnant un groupe d'universitaires et de chercheurs algériens venus d'Alger. Zineb B.