Wednesday, June 30, 2010
Accord d'Ankara historique
Signature à Bruxelles du protocole entre la Communauté européenne et la Turquie
23 novembre 1970 De gauche à droite, Maurice Schumann, ministre français des Affaires étrangères ; Ihsan Sabri Çaglayangil, ministre turc des Affaires étrangères, et Walter Scheel, ministre fédéral allemand des Affaires étrangères
L'Accord d’Ankara, signé le 12 septembre 1963, est un accord d’association entre la Turquie et la Communauté économique européenne.
Comme pour la Grèce, et contrairement au Maroc et à la Tunisie en 1969, il inclut la perspective d’une adhésion. Le préambule de l’accord d’association « reconnaît que l’appui apporté par la CEE aux efforts du peuple turc pour améliorer son niveau de vie facilitera ultérieurement l’adhésion de la Turquie à la Communauté ».
Dans le texte de l’accord, l’article 28 précise : « Lorsque le fonctionnement de l’accord aura permis d’envisager l’acceptation intégrale de la part de la Turquie des obligations découlant du traité instituant la Communauté, les parties contractantes examineront la possibilité d’une adhésion de la Turquie à la Communauté. »
Lors de son allocution prononcée à Ankara, lors de la signature de l'accord, Walter Hallstein, président de la Commission de la CEE et ancien secrétaire d'État allemand aux Affaires étrangères, loue la « compréhension » manifestée par « la délégation turque à l'égard des idéaux et des principes du traité de Rome » et déclare que « la Turquie fait partie de l'Europe » et qu'« un jour le dernier pas sera franchi : la Turquie sera membre de plein exercice de la Communauté. »
Le 23 novembre 1970 seront signés un protocole additionnel et un protocole financier renforçant l'association.
23 novembre 1970 De gauche à droite, Maurice Schumann, ministre français des Affaires étrangères ; Ihsan Sabri Çaglayangil, ministre turc des Affaires étrangères, et Walter Scheel, ministre fédéral allemand des Affaires étrangères
L'Accord d’Ankara, signé le 12 septembre 1963, est un accord d’association entre la Turquie et la Communauté économique européenne.
Comme pour la Grèce, et contrairement au Maroc et à la Tunisie en 1969, il inclut la perspective d’une adhésion. Le préambule de l’accord d’association « reconnaît que l’appui apporté par la CEE aux efforts du peuple turc pour améliorer son niveau de vie facilitera ultérieurement l’adhésion de la Turquie à la Communauté ».
Dans le texte de l’accord, l’article 28 précise : « Lorsque le fonctionnement de l’accord aura permis d’envisager l’acceptation intégrale de la part de la Turquie des obligations découlant du traité instituant la Communauté, les parties contractantes examineront la possibilité d’une adhésion de la Turquie à la Communauté. »
Lors de son allocution prononcée à Ankara, lors de la signature de l'accord, Walter Hallstein, président de la Commission de la CEE et ancien secrétaire d'État allemand aux Affaires étrangères, loue la « compréhension » manifestée par « la délégation turque à l'égard des idéaux et des principes du traité de Rome » et déclare que « la Turquie fait partie de l'Europe » et qu'« un jour le dernier pas sera franchi : la Turquie sera membre de plein exercice de la Communauté. »
Le 23 novembre 1970 seront signés un protocole additionnel et un protocole financier renforçant l'association.
Turquie Union Européenne 1959
Union Européenne
Dès 1959, la Turquie a souhaité adhérer à la Communauté européenne, maintenant Union européenne. La Turquie a été officiellement reconnue candidate pour l’adhésion le 10 décembre 1999 au sommet européen d’Helsinki, étant un pays associé depuis 1963.
Libellés :
Turquie Union Européenne 1959
UNION EUROPÉENNE ouverture d'un nouveau chapitre de négociations avec la Turquie
lepoint.fr
L'Union européenne a fait, mercredi, un geste envers la Turquie en ouvrant un nouveau chapitre dans les négociations d'adhésion menées par le pays, concernant les aspects de sécurité alimentaire, vétérinaire et phytosanitaire, a-t-on appris de source diplomatique. La décision a été prise par les représentants permanents des 27 pays de l'UE, peu avant une réunion ministérielle à Bruxelles à laquelle devait participer le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu, pour confirmer l'ouverture des discussions sur ce thème.
Il s'agit du treizième chapitre sur 35 à avoir été ouvert depuis le début des négociations en 2004. Mais seul un chapitre a été fermé à ce jour. Les négociations avancent depuis plusieurs mois à un rythme ralenti, notamment du fait des conflits persistants à propos du statut de Chypre : l'UE a lié la reprise des négociations sur plusieurs chapitres à l'ouverture des ports et aéroports turcs à Chypre, alors qu'Ankara ne reconnaît pas la partie sud de l'île, membre de l'UE depuis 2004. Mais l'Espagne avait promis d'ouvrir de nouveaux chapitres avant la fin de sa présidence tournante de l'UE qui s'est achevée ce mercredi.
Ce nouveau geste intervient dans un contexte de dissensions turco-israéliennes qui font craindre aux Occidentaux de voir la Turquie se détourner d'eux. Les relations entre Israël et la Turquie se sont fortement dégradées depuis l'assaut, le 31 mai, d'un commando israélien sur la flottille d'aide humanitaire à Gaza, au cours duquel neuf ressortissants turcs ont été tués.
L'Union européenne a fait, mercredi, un geste envers la Turquie en ouvrant un nouveau chapitre dans les négociations d'adhésion menées par le pays, concernant les aspects de sécurité alimentaire, vétérinaire et phytosanitaire, a-t-on appris de source diplomatique. La décision a été prise par les représentants permanents des 27 pays de l'UE, peu avant une réunion ministérielle à Bruxelles à laquelle devait participer le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu, pour confirmer l'ouverture des discussions sur ce thème.
Il s'agit du treizième chapitre sur 35 à avoir été ouvert depuis le début des négociations en 2004. Mais seul un chapitre a été fermé à ce jour. Les négociations avancent depuis plusieurs mois à un rythme ralenti, notamment du fait des conflits persistants à propos du statut de Chypre : l'UE a lié la reprise des négociations sur plusieurs chapitres à l'ouverture des ports et aéroports turcs à Chypre, alors qu'Ankara ne reconnaît pas la partie sud de l'île, membre de l'UE depuis 2004. Mais l'Espagne avait promis d'ouvrir de nouveaux chapitres avant la fin de sa présidence tournante de l'UE qui s'est achevée ce mercredi.
Ce nouveau geste intervient dans un contexte de dissensions turco-israéliennes qui font craindre aux Occidentaux de voir la Turquie se détourner d'eux. Les relations entre Israël et la Turquie se sont fortement dégradées depuis l'assaut, le 31 mai, d'un commando israélien sur la flottille d'aide humanitaire à Gaza, au cours duquel neuf ressortissants turcs ont été tués.
Algerie l’aéroport Ferhat-Abbas de Jijel a enregistré, avant-hier, l’atterrissage du premier vol en provenance de Paris, en France.
Par : SAOU MOULOUD Jijel
Premier vol international à l’aéroport Ferhat-Abbas
L’aéroport Ferhat-Abbas de Jijel a enregistré, avant-hier, l’atterrissage du premier vol en provenance de Paris, en France. La liaison a été assurée par l’entreprise aérienne française Air Méditerranée, à bord d’un avion de type Airbus 320, d’une capacité de 220 passagers.
Nous avons approché quelques passagers qui étaient à bord de cet appareil. Ces derniers ont manifesté leur joie et leur satisfaction vis-à-vis de cette initiative, qui, selon eux, leur facilite l’accès à cette wilaya. En effet, les émigrés de France voulant rentrer au pays devaient faire plusieurs escales par Alger, Béjaïa ou Constantine, pour enfin pouvoir arriver à Jijel. Il va sans dire que la dotation de l’aéroport Ferhat-Abbas de lignes internationales est l’initiative du wali de Jijel qui a fait de cette action “son cheval de bataille, depuis son installation à la tête de l’exécutif il y a 6 ans”, nous dit-il. D’après les déclarations du premier responsable de la wilaya, l’entreprise Air Algérie compte renforcer sa flotte en se procurant 13 avions de type Boeing, dont l’un sera destiné à une nouvelle ligne Jijel-Marseille-Jijel. Notre interlocuteur dit à ce sujet : “On ouvrira bientôt une deuxième ligne Jijel-Marseille-Jijel, et pourquoi pas une autre liaison avec un autre pays européen, vu l’importance et l’essor économique que connaît Jijel en ce moment.” En effet, la wilaya de Jijel a arraché une place importante dans tous les domaines, notamment celui économique. M. Chapui, pilote de l’Airbus A320, nous a dit qu’Air Méditerranée est très fière de cette initiative, lui souhaitant un avenir prospère. Les autorités locales civiles et militaires étaient présentes sur les lieux afin d’assister à l’inauguration de cette première à Jijel. La liaison entre Jijel et les villes françaises sera effectuée chaque lundi, avec deux vols, le premier Paris-Jijel-Mulhouse et le second Mulhouse-Jijel-Paris. Il est important de rappeler que l’aéroport Ferhat-Abbas de Jijel connaît un développement colossal, car outre les vols internationaux, celui-ci a enregistré une augmentation de vols de Jijel vers Alger, qui passent de 6 à 8 vols par semaine. Ce programme restera actif jusqu’au 26 octobre de cette année, afin de faciliter l’accès à Jijel vu que nous sommes en pleine saison des vacances
Nous avons approché quelques passagers qui étaient à bord de cet appareil. Ces derniers ont manifesté leur joie et leur satisfaction vis-à-vis de cette initiative, qui, selon eux, leur facilite l’accès à cette wilaya. En effet, les émigrés de France voulant rentrer au pays devaient faire plusieurs escales par Alger, Béjaïa ou Constantine, pour enfin pouvoir arriver à Jijel. Il va sans dire que la dotation de l’aéroport Ferhat-Abbas de lignes internationales est l’initiative du wali de Jijel qui a fait de cette action “son cheval de bataille, depuis son installation à la tête de l’exécutif il y a 6 ans”, nous dit-il. D’après les déclarations du premier responsable de la wilaya, l’entreprise Air Algérie compte renforcer sa flotte en se procurant 13 avions de type Boeing, dont l’un sera destiné à une nouvelle ligne Jijel-Marseille-Jijel. Notre interlocuteur dit à ce sujet : “On ouvrira bientôt une deuxième ligne Jijel-Marseille-Jijel, et pourquoi pas une autre liaison avec un autre pays européen, vu l’importance et l’essor économique que connaît Jijel en ce moment.” En effet, la wilaya de Jijel a arraché une place importante dans tous les domaines, notamment celui économique. M. Chapui, pilote de l’Airbus A320, nous a dit qu’Air Méditerranée est très fière de cette initiative, lui souhaitant un avenir prospère. Les autorités locales civiles et militaires étaient présentes sur les lieux afin d’assister à l’inauguration de cette première à Jijel. La liaison entre Jijel et les villes françaises sera effectuée chaque lundi, avec deux vols, le premier Paris-Jijel-Mulhouse et le second Mulhouse-Jijel-Paris. Il est important de rappeler que l’aéroport Ferhat-Abbas de Jijel connaît un développement colossal, car outre les vols internationaux, celui-ci a enregistré une augmentation de vols de Jijel vers Alger, qui passent de 6 à 8 vols par semaine. Ce programme restera actif jusqu’au 26 octobre de cette année, afin de faciliter l’accès à Jijel vu que nous sommes en pleine saison des vacances
L’Algérie sa pomme de terre sur le marché européen
L’Algérie veut placer sa pomme de terre sur le marché européen
Publié le 29. juin, 2010 par Yazid Alilat
Le bilan des exportations algériennes de produits agricoles est modeste, comparativement à la Tunisie et le Maroc : 60.000 tonnes de produits agricoles exportés en 2009 pour 42 millions de dollars contre 52.000 tonnes en 2008 pour 46 millions de dollars. Et encore, l’essentiel étant constitué de dattes et de produits dérivés. C’est autour de cette problématique de l’exportation des produits agricoles algériens vers le marché communautaire qu’avait été organisée à Alger, lundi et mardi, une rencontre internationale animée par des experts algériens et européens.
«L’accès au marché européen des produits algériens» était le thème de cette rencontre organisée par le ministère de l’Agriculture, en collaboration avec la Commission européenne (CE). Plusieurs thèmes liés aux exportations de produits agricoles algériens et leur entrave ont été durant cette rencontre abordés. Plusieurs participants ont ainsi souligné la nécessité pour les agriculteurs algériens de se conformer aux normes et standards de production et d’exportation exigés par la CE.
Au manque de professionnalisme des agriculteurs et les différents intervenants de la filière agricole, il faut également ajouter le manque d’organisation du segment des exportations. Selon des représentants du ministère de l’Agriculture et du Développement rural, de nouvelles mesures de réforme des chambres agricoles, de renforcement des compétences des associations professionnelles et de revalorisation de l’organisation coopérative sont envisagées pour soutenir les exportations agricoles algériennes. Paolo Gouveia, expert européen, relève ainsi que» les coopératives sont le seul outil à même d’augmenter la compétitivité et la viabilité économique de beaucoup d’exploitations agricoles, soulignant que «les coopératives ont besoin de dimension pour gagner en pouvoir et se positionner sur le marché». De son côté, Jacques Dasque, expert européen, estime nécessaire la mise en place d’une politique pour la filière fruits et légumes, basée sur l’organisation de la production et l’exportation.
Pour lui, l’Algérie dispose de potentiels de production importants qu’il faut moderniser pour les adapter à la demande sur les marchés internationaux. Plus concret, Francisco Moya, représentant l’Europatat, un organisme du commerce de pommes de terre en Europe, affirme que des opportunités pour l’exportation de la pomme de terre algérienne existent en Europe. «Il existe un marché de la primeur en Europe, certes difficile, contraignant mais réel. Il appartient aux professionnels d’approfondir le sujet en mesurant les contraintes inhérentes au produit», a-t-il ajouté. Pour autant, au ministère de l’Agriculture, il y a un autre son de cloche car, selon le directeur de la régulation au niveau de ce ministère, M. Cherif Omari, certains exportateurs algériens éprouvent des difficultés pour écouler leurs produits sur le marché communautaire, malgré les clauses de l’accord d’association.
Il a indiqué que «les normes sanitaires ne sont pas identifiées comme de véritables obstacles à l’export», par contre, il a signalé la lenteur des procédures de l’UE pour donner leur feu vert, citant le cas d’une demande qui a été faite auprès de l’UE pour l’exportation de miel, du lait et des produits laitiers. Cette demande est toujours à l’étude au niveau de la CE depuis 2 ans. Suffisant pour que la partie algérienne aille jusqu’à demander la révision de certaines clauses, dans le volet agricole, de l’accord d’association, lors du dernier conseil tenu le 15 juin dernier à Luxembourg. Pour autant, l’Algérie vise, à l’horizon 2014, l’exportation de quelque 60.000 tonnes de dattes et 100.000 tonnes de fruits et légumes.
«L’accès au marché européen des produits algériens» était le thème de cette rencontre organisée par le ministère de l’Agriculture, en collaboration avec la Commission européenne (CE). Plusieurs thèmes liés aux exportations de produits agricoles algériens et leur entrave ont été durant cette rencontre abordés. Plusieurs participants ont ainsi souligné la nécessité pour les agriculteurs algériens de se conformer aux normes et standards de production et d’exportation exigés par la CE.
Au manque de professionnalisme des agriculteurs et les différents intervenants de la filière agricole, il faut également ajouter le manque d’organisation du segment des exportations. Selon des représentants du ministère de l’Agriculture et du Développement rural, de nouvelles mesures de réforme des chambres agricoles, de renforcement des compétences des associations professionnelles et de revalorisation de l’organisation coopérative sont envisagées pour soutenir les exportations agricoles algériennes. Paolo Gouveia, expert européen, relève ainsi que» les coopératives sont le seul outil à même d’augmenter la compétitivité et la viabilité économique de beaucoup d’exploitations agricoles, soulignant que «les coopératives ont besoin de dimension pour gagner en pouvoir et se positionner sur le marché». De son côté, Jacques Dasque, expert européen, estime nécessaire la mise en place d’une politique pour la filière fruits et légumes, basée sur l’organisation de la production et l’exportation.
Pour lui, l’Algérie dispose de potentiels de production importants qu’il faut moderniser pour les adapter à la demande sur les marchés internationaux. Plus concret, Francisco Moya, représentant l’Europatat, un organisme du commerce de pommes de terre en Europe, affirme que des opportunités pour l’exportation de la pomme de terre algérienne existent en Europe. «Il existe un marché de la primeur en Europe, certes difficile, contraignant mais réel. Il appartient aux professionnels d’approfondir le sujet en mesurant les contraintes inhérentes au produit», a-t-il ajouté. Pour autant, au ministère de l’Agriculture, il y a un autre son de cloche car, selon le directeur de la régulation au niveau de ce ministère, M. Cherif Omari, certains exportateurs algériens éprouvent des difficultés pour écouler leurs produits sur le marché communautaire, malgré les clauses de l’accord d’association.
Il a indiqué que «les normes sanitaires ne sont pas identifiées comme de véritables obstacles à l’export», par contre, il a signalé la lenteur des procédures de l’UE pour donner leur feu vert, citant le cas d’une demande qui a été faite auprès de l’UE pour l’exportation de miel, du lait et des produits laitiers. Cette demande est toujours à l’étude au niveau de la CE depuis 2 ans. Suffisant pour que la partie algérienne aille jusqu’à demander la révision de certaines clauses, dans le volet agricole, de l’accord d’association, lors du dernier conseil tenu le 15 juin dernier à Luxembourg. Pour autant, l’Algérie vise, à l’horizon 2014, l’exportation de quelque 60.000 tonnes de dattes et 100.000 tonnes de fruits et légumes.
Sortie du 17ème numéro du bulletin des énergies renouvelables
Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Dimanche 27 juin 2010
A l’occasion du solstice d’été le bulletin des énergies renouvelables a édité son 17ème numéro. Le bulletin se penche sur le programme présidentiel 2010-2014 "épanouissement de la recherche scientifique et développement durable", la visite de la centrale hybride solaire/gaz de Hassi R’mel, les perspectives de développement de la bioénergie en Algérie ainsi que plusieurs sujets et actualités sur l’essor des énergies renouvelables en Algérie et dans le monde. Le Bulletin des énergies renouvelables est consultable sur le site du Centre de Développement des Energies Renouvelables
Sommaire du 17ème numéro :
Editorial
Développement des Chauffe Eau Solaires en Algérie, F. Bouhired
Pollution de l’air par les aérosols particulaires et les métaux lourds qui leur sont associés sur un site de proximité à Alger, N. Oucher
Valorisation du gisement solaire de Ghardaïa, K. Gairaa
L’Islande, Pays de la Géothermie, S. Ouali
La climatisation géothermique : une solution adaptée à l’Algérie, W. Bendaïkha
La Cuisson Solaire, A. Harmim
Vers une Normalisation et une Standardisation des équipements solaires-photovoltaïques, H. Zeraia née Benyahia
Normalisation des équipements solaires thermiques, A. Chenak
1er Séminaire Méditerranéen sur l’Energie Eolienne SMEE’2010, Dr N. Kasbadji Merzouk
Ecole de Printemps sur les Techniques CFD appliquées aux Energies Renouvelables, Dr o. Guerri
Workshop d’énergie photovoltaïque, USTO 2010 : Solutions et perspectives, B. Bouzidi
1er Salon des Energies Renouvelables Laghouat, les 1-2 Juin 2010, Dr A. Cheknane
Visite de la centrale hybride solaire/gaz de Hassi R’mel
Revue de Presse :
Conférence ministérielle du groupe de dialogue 5+5 sur « l’environnement et les énergies renouvelables »
La Méditerranée a besoin d’être protégée
Adoption des propositions de l’Algérie sur l’environnement et les énergies renouvelables dans la déclaration d’Oran
Formatation :
Ecole Doctorale Energies Renouvelables
Pages centrales :
Perspectives de développement de la bioénergie en Algérie, Dr M.A. Aziza
Dimanche 27 juin 2010
A l’occasion du solstice d’été le bulletin des énergies renouvelables a édité son 17ème numéro. Le bulletin se penche sur le programme présidentiel 2010-2014 "épanouissement de la recherche scientifique et développement durable", la visite de la centrale hybride solaire/gaz de Hassi R’mel, les perspectives de développement de la bioénergie en Algérie ainsi que plusieurs sujets et actualités sur l’essor des énergies renouvelables en Algérie et dans le monde. Le Bulletin des énergies renouvelables est consultable sur le site du Centre de Développement des Energies Renouvelables
Sommaire du 17ème numéro :
Editorial
Développement des Chauffe Eau Solaires en Algérie, F. Bouhired
Pollution de l’air par les aérosols particulaires et les métaux lourds qui leur sont associés sur un site de proximité à Alger, N. Oucher
Valorisation du gisement solaire de Ghardaïa, K. Gairaa
L’Islande, Pays de la Géothermie, S. Ouali
La climatisation géothermique : une solution adaptée à l’Algérie, W. Bendaïkha
La Cuisson Solaire, A. Harmim
Vers une Normalisation et une Standardisation des équipements solaires-photovoltaïques, H. Zeraia née Benyahia
Normalisation des équipements solaires thermiques, A. Chenak
1er Séminaire Méditerranéen sur l’Energie Eolienne SMEE’2010, Dr N. Kasbadji Merzouk
Ecole de Printemps sur les Techniques CFD appliquées aux Energies Renouvelables, Dr o. Guerri
Workshop d’énergie photovoltaïque, USTO 2010 : Solutions et perspectives, B. Bouzidi
1er Salon des Energies Renouvelables Laghouat, les 1-2 Juin 2010, Dr A. Cheknane
Visite de la centrale hybride solaire/gaz de Hassi R’mel
Revue de Presse :
Conférence ministérielle du groupe de dialogue 5+5 sur « l’environnement et les énergies renouvelables »
La Méditerranée a besoin d’être protégée
Adoption des propositions de l’Algérie sur l’environnement et les énergies renouvelables dans la déclaration d’Oran
Formatation :
Ecole Doctorale Energies Renouvelables
Pages centrales :
Perspectives de développement de la bioénergie en Algérie, Dr M.A. Aziza
Diplomtie Google Chine
Google change de stratégie pour la Chine
Le groupe américain Google a annoncé, lundi 28 juin, qu'il allait cesser de rediriger automatiquement les requêtes des internautes se rendant sur Google.cn, la version chinoise du moteur de recherche, vers son site de Hongkong, comme il le fait depuis le début d'année pour ne plus se soumettre à la censure.
Le groupe américain Google a annoncé, lundi 28 juin, qu'il allait cesser de rediriger automatiquement les requêtes des internautes se rendant sur Google.cn, la version chinoise du moteur de recherche, vers son site de Hongkong, comme il le fait depuis le début d'année pour ne plus se soumettre à la censure.
Dans les prochains jours, nous cesserons entièrement de rediriger [les internautes], accueillant nos clients chinois sur une nouvelle page", a indiqué le vice-président de Google, David Drummond, sur le blog officiel de l'entreprise. Sur cette nouvelle page, figure un lien cliquable, qui permet d'accéder au site de Hongkong.
Depuis la fin du mois de mars, Google redirige ses pages, trois mois après que le moteur de recherche s'est dit victime d'un piratage informatique de grande ampleur, commis depuis la Chine selon le groupe américain.
"ENTRE LE MARTEAU ET L'ENCLUME"
Cette décision s'explique par l'expiration le 30 juin de la licence accordée à Google pour sa gestion en Chine continentale, explique-t-il. "Si nous continuons à rediriger les utilisateurs, notre licence ICP (Internet Content Provider) ne sera pas renouvelée. Sans cette licence, nous ne pouvons pas gérer un site commercial comme Google.cn – donc Google serait effectivement dans le noir en Chine", a-t-il dit. Mais pour l'heure, rien ne dit que les autorités chinoises vont accepter ce nouveau dispositif.
"Google est entre le marteau et l'enclume" en Chine, ironise Mashable. "La Chine est un marché trop lucratif pour qu'on s'en retire entièrement, mais censurer les contenus irait à l'encontre de ce que l'entreprise a cherché à faire jusqu'à présent", souligne le site spécialisé.
Le Monde.fr, avec AFP
Depuis la fin du mois de mars, Google redirige ses pages, trois mois après que le moteur de recherche s'est dit victime d'un piratage informatique de grande ampleur, commis depuis la Chine selon le groupe américain.
"ENTRE LE MARTEAU ET L'ENCLUME"
Cette décision s'explique par l'expiration le 30 juin de la licence accordée à Google pour sa gestion en Chine continentale, explique-t-il. "Si nous continuons à rediriger les utilisateurs, notre licence ICP (Internet Content Provider) ne sera pas renouvelée. Sans cette licence, nous ne pouvons pas gérer un site commercial comme Google.cn – donc Google serait effectivement dans le noir en Chine", a-t-il dit. Mais pour l'heure, rien ne dit que les autorités chinoises vont accepter ce nouveau dispositif.
"Google est entre le marteau et l'enclume" en Chine, ironise Mashable. "La Chine est un marché trop lucratif pour qu'on s'en retire entièrement, mais censurer les contenus irait à l'encontre de ce que l'entreprise a cherché à faire jusqu'à présent", souligne le site spécialisé.
Le Monde.fr, avec AFP
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